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    L’UPR saisit en urgence le CSA en raison du non-respect, par les grands médias audiovisuels, des principes démocratiques posés par l’article 4 de la Constitution

    le 27 avril 2014 dans Communiqués de presse

     

    L’Union Populaire Républicaine (UPR) a adressé, le 23 avril 2014, un courrier recommandé avec accusé de réception au Président du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA), Olivier Schrameck.


    Ce courrier circonstancié – en copie de ce communiqué – demande au CSA d’intervenir en urgence auprès des médias audiovisuels de grande diffusion pour qu’ils ouvrent enfin leurs antennes à l’UPR, en application du principe d’équité posé par le CSA lui-même et en application de l’obligation, posée par la Constitution, de permettre les expressions pluralistes des opinions politiques.

     

    L’UPR rappelle que ces principes démocratiques fondamentaux figurent en effet dans la Constitution, dont l’article 4 dispose que « la loi garantit les expressions pluralistes des opinions et la participation équitable des partis et groupements politiques à la vie démocratique de la Nation ». C’est le CSA qui, en vertu de la loi du 30 septembre 1986, « assure le respect de l’expression pluraliste des courants de pensée et d’opinion dans les programmes des services de radio et de télévision, en particulier pour les émissions d’information politique et générale ».

     

    Alors qu’a débuté la campagne pour les élections européennes, l’UPR, malgré sa présence dans l’ensemble des circonscriptions du scrutin et malgré son développement spectaculaire, n’est, en effet, toujours pas admise à s’exprimer ni sur les grandes chaînes de télévision, ni sur les grandes stations de radio. 

    L’existence même de l’UPR n’est même jamais mentionnée nulle part dans ces médias de grande diffusion, qui  continuent de promouvoir les partis politiques qui ont été rejetés par 61% des Français, abstentionnistes au scrutin de 2009.

     

    En outre, alors que tous les partis politiques présents au scrutin, de l’extrême droite à l’extrême gauche, proposent une « autre Europe » ou de « renégocier les traités européens » , seule l’UPR propose la sortie de la France de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN.


    La diversité et le pluralisme des opinions ne sont donc pas représentés dans les médias, dès lors que ces derniers empêchent de s’exprimer le seul parti qui s’oppose au principe même de la « construction européenne ».

    Le courrier de l’UPR adressé au CSA comporte :

    a) une lettre de six pages, par laquelle François Asselineau, Président de l’UPR et candidat tête de liste dans la circonscription Île-de-France, demande au Président du CSA de contraindre les médias audiovisuels à jouer leur rôle démocratique normal, en application de l’article 4 de la Constitution ;

     


    b)- un dossier de vingt-cinq pages constitué de huit annexes qui démontrent que :

     


    1)  l’UPR rassemble désormais un nombre d’adhérents très supérieur à celui de partis politiques largement médiatisés ;

    2) le site Internet de l’UPR est le deuxième site le plus fréquenté de tous les partis politiques français ;

    3) les émissions ou les entretiens avec l’UPR sur les télés-web ou sur les radios de la bande FM enregistrent des succès d’audience importants, très supérieurs aux résultats obtenus sur les mêmes vecteurs par les partis ou responsables politiques constamment invités dans les médias de grande diffusion ;

    4) les partis politiques « Nouvelle donne » et « Nous citoyens », lancés à l’automne 2013, ont été massivement médiatisés dès leur début, alors qu’ils n’étaient que d’une taille embryonnaire ;

    5) le poids des voix obtenues par l’UPR à l’élection législative partielle du 16 juin 2013 par rapport à des formations très médiatisées ne se retrouve pas dans la représentation de l’UPR au sein des médias audiovisuels de grande diffusion ;

    6) le FN fait l’objet d’une sur-médiatisation dans le but d’assimiler, aux yeux du public, le rejet de l’Union européenne à une position d’extrême droite, et d’empêcher ainsi tout débat réel de fond ;

    7) en empêchant tout débat sérieux et serein sur le principe de la « construction européenne », les médias de grande diffusion contribuent de façon tragique à la dénaturation de la démocratie ;

    8) en refusant d’inviter l’UPR, les médias de grande diffusion empêchent cette dernière de répondre aux attaques et manipulations du FN.

     

    Documents :


    Lettre envoyée au Président du CSA le 22 avril 2014

    Passages médias des partis Nouvelle Donne et Nous citoyens

     

     

    http://www.upr.fr/presse/communiques-de-presse/lupr-saisit-en-urgence-csa-en-raison-du-respect-les-grands-medias-audiovisuels-principes-democratiques-poses-larticle-4-constitution


     

    UPR-CSA.jpg.

     

     

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    Pour ceux qui veulent faire découvrir

    qui est

    François Asselineau - Union Populaire Républicaine

     

     

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    Ici, tout ce qu'on ne vous a

    jamais dit sur l'Europe. Passionnant !

     

     

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    La notice Wikipédia de François Asselineau est désormais disponible en langues grecque et arabe

     

    (et toujours rien en Français ! Note d'eva)

     

    http://www.upr.fr/actualite/upr/notice-wikipedia-francois-asselineau-desormais-disponible-en-langues-grecque-arabe

    le 14 avril 2014 dans UPR

    WIKIPEDIA-UPR

     

    La notice Wikipédia de François Asselineau est déjà disponible :


    1- en anglais : http://en.wikipedia.org/wiki/François_Asselineau

    2- en allemand : http://de.wikipedia.org/wiki/François_Asselineau

    3- en espéranto : http://eo.wikipedia.org/wiki/François_Asselineau

    4- en espagnol : http://es.wikipedia.org/wiki/François_Asselineau

    5- en japonais : http://ja.wikipedia.org/wiki/フランソワ・アスリノー

    6- en roumain : http://ro.wikipedia.org/wiki/François_Asselineau

    7- en russe : http://ru.wikipedia.org/wiki/Франсуа_Асэлино

    8 – et en tchèque : https://cs.wikipedia.org/wiki/François_Asselineau

    Depuis ce 14 avril 2014, elle est également disponible dans une 9e et une 10e langue :

    9 – en arabe : http://ar.wikipedia.org/wiki/فرانسوا_أسلينو
    Il ne s’agit cependant que d’une notice très brève, qui mériterait d’être étoffée par des éléments de biographie plus détaillés.

    10 – et en grec : https://el.wikipedia.org/wiki/Φρανσουά_Ασελινώ

     

    Ceux qui s’étonneraient de ne pas les trouver en langue française doivent savoir que les notices Wikipédia sur François Asselineau et sur l’UPR ont été l’une et l’autre censurées sur Wikipédia français depuis fin 2007 par plusieurs « gestionnaires » anonymes, dont l’un agissant sous le pseudonyme de « Docteur Cosmos ».

     

    Cachés derrière leur anonymat, ces « gestionnaires » ont jugé que l’UPR n’était « pas représentative ». Depuis plus de 6 ans, toute tentative de republier ces deux notices en français est supprimée dans les instants qui suivent.

     

    Rappelons que Wikipédia français a pourtant ouvert grand ses colonnes, sitôt après leur création :


    - au « Parti du Plaisir » et à a fondatrice « Cindy Lee » dont le programme présidentiel en 2012 consistait à exhiber ses seins nus sur les marchés devant les caméras,
    - à Denis Payre, fondateur en 2013 du parti ultra-européiste « Nous citoyens », qui ne s’est jamais présenté à la moindre élection, qui n’a aucun élu, n’a jamais publié de livre et n’a aucun programme,
    - à « Nouvelle donne », parti européiste « de gauche et de centre gauche » lancé le 28 novembre 2013 par Pierre Larrouturou, par ailleurs membre du PS, qui ne s’est jamais présenté à la moindre élection, qui n’a ni aucun élu, et qui n’a pas de programme précis.

    Rappelons enfin que la censure systématique des notices sur François Asselineau et sur l’UPR par Wikipédia français intervient alors même :

    - que l’UPR s’est présentée à l’élection législative du Lot-et-Garonne, où son score, certes modeste, a néanmoins été supérieur au cumul des 3 scores du Parti Pirate (qui a une notice Wikipédia français), du Parti Libertarien et de l’Alliance Royale (qui a une notice Wikipédia français) ;

    - que l’UPR a dépassé le cap des 4630 adhérents (c’est-à-dire beaucoup plus que des partis médiatisés) et que la croissance de ce nombre accélère ;

    - que les vidéos des conférences et entretiens de François Asselineau dépassent plus de 3 000 000 visionnages en cumulé

    - et que notre site Internet www.upr.fr est désormais solidement implanté comme étant le 2e site le plus consulté de tous les partis politiques de France (source : Alexa Ranking avril 2014)

     

    http://www.upr.fr/actualite/upr/notice-wikipedia-francois-asselineau-desormais-disponible-en-langues-grecque-arabe

     

     

    Envoyé Spécial, Wikipedia et François Asselineau (+ vidéo ... 

    cequelesmediasnenousdisentpas.over-blog.com/article-envoye-special-wi...
    10 nov. 2012 - Envoyé Spécial, Wikipedia et François Asselineau (+ vidéo) .... Traducir esta página en español Traduci questa pagina in italiano. Traduzir esta ...

    François Asselineau : “Ma fiche wikipedia a été censurée”

    17 janvier 2011, 18:13 Auteur : 63 commentaires

       

    Lors d’un débat ce 17 janvier 2011 sur la radio Divergence FM, François Asselineau (énarque, inspecteur des finances à Bercy et leader du mouvement UPR, pour la sortie de la France de l’Union Européenne) a affirmé que sa fiche Wikipedia avait été censurée. Fait surprenant pour une personnalité aussi qualifiée et reconnue par les institutions de la République, d’autant que M. Asselineau a été directeur de cabinet de plusieurs ministres. Vérification faite, c’est bien le cas.


    Wikipedia est une construction formidable de la connaissance humaine, mais elle n’est peut-être pas l’encyclopédie de la liberté d’expression ou la défendant. Lors d’un débat sur l’Union européenne avec Jean-Claude Gayssot sur Divergence FM, l’énarque et inspecteur des finances François Asselineau a révélé que sa fiche wikipedia avait été supprimée. Après recherche, il s’avère que cela est vrai depuis 3 ans ! Sur cet article datant de février 2008, les faits sont rappelés :


    “En effet, c’est un Dr Cosmos qui avait supprimé la page Asselineau, trouvant l’homme trop obscur. Dr Cosmos est un gros contributeur à Wikipedia, avec près de 600 000 interventions affichées sur sa page (?), une trentaine de rédacteurs “parrainés”, et dont la contribution majeur est l’article Harry McNish, charpentier de l’expédition Shackleton [...] Bref, la page ayant été recrée par mes soins, cela a ouvert un débat (voir la page de débat). Pendant une semaine environ, la page “en voie de suppression” fait l’objet d’un débat. Surprise, seuls les contributeurs ayant plus de 50 interventions recensées ont un avis qui compte. Mon avis n’a donc pas compté. [...] Après dix jours de débat, malgré quatre avis pour conserver la page  et fort de onze avis contre le maintien, le bon Dr Cosmos la supprime d’office, arguant d’un “quasi-consensus”. Il faut noter que nombre d’intervenants en faveur de la suppression se sont contentés de dire qu’ils étaient du même avis que l’intervenant précédent (on notera avec intérêt que simultanément la page de l’UPR a été supprimée : marrant la suppression de la page d’un parti deux mois avant des élections ou il annonce présenter des candidats).”


    Par ailleurs François Asselineau se veut le champion de l’ouverture du débat sur l’Union européenne, voici notamment ce qu’il déclare sur Divergence FM aujourd’hui, à raison : “Sur toutes les télévisions de France, sur toutes les radios de France, on ne fait débattre que 2 types de personnalités, ceux qui sont pour l’Europe, et ceux qui sont pour une autre Europe. Jamais ceux qui sont pour la sortie de l’Union Européenne.”


    Voici les vœux de François Asselineau pour 2011, qui vous convaincront peut-être que ce gaulliste sincère mérite d’être invité dans les grands médias, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui :

     

    http://www.enquete-debat.fr/archives/francois-asselineau-ma-fiche-wikipedia-a-ete-censureeArticles qui pourraient aussi vous intéresser

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    Le traitement de défaveur de François Asselineau et de l’UPR sur Wikipédia

    le 4 février 2013 dans Monde

    François Asselineau et l’Union Populaire Républicaine (UPR) n’ont toujours pas de pages sur Wikipédia en français, alors qu’il existe des notices sur les versions anglaise, russe, espagnole, et désormais japonaise, de l’encyclopédie en ligne. La demande initiale n’a jamais été validée par les « modérateurs » et la création de page est aujourd’hui bloquée.


    Cette absence est remarquée par de plus en plus d’observateurs de la scène politique française, notamment des journalistes. La manifestation médiatique la plus visible de cette attention reste le reportage d’ « Envoyé spécial » sur France 2 du 8 novembre 2012. Deux semaines plus tard, le site Internet Arrêt sur images consacre une bonne partie de son émission portant sur Wikipédia à cette polémique, utilisant comme base de discussion l’extrait d’ « Envoyé spécial » sur François Asselineau et l’UPR.

     

    suite ici :


    Le traitement de défaveur de François Asselineau et de l’UPR sur Wikipédia

     

     

    L'incroyable et inique censure de François Asselineau et de ... 

    www.agoravox.tv › Tribune Libre

    26 mars 2014 - Pour obtenir une liste de vidéos sur François Asselineau, cliquez [ici]. ... Tu n'as pas de chance, je considère presque le wikipédia français ...

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    2:10 François Asselineau censuré, même sur Wikipédia ...  

    www.youtube.com/watch?v=0dX_Run0ggs
    31 mars 2013 - Ajouté par Franklin32i

    Extrait d'un reportage d'Envoyé Spécial sur Wikipédia vu le 08 novembre 2012 sur France 2. Sous-titres en ...
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    Mort de la Presse libre

    et de la démocratie.


    La France défigurée

    Introduction d'eva R-sistons

     

     

    Effrayant ! Il n'y a plus de liberté de la Presse en France, plus de débats dignes de ce nom (voir C dans l'Air, ou Les débats de France24, par exemple), les journalistes sont de vils laquais du Pouvoir, parfois même des criminels de guerre en incitant à la guerre contre des Etats souverains, et il faudrait les traduire en Justice. Ne nous étonnons pas si ensuite, la France est Lanterne Rouge d'Europe en matière d'Information. Dans la patrie des Droits de l'Homme, il faut lire la Presse étrangère pour avoir une idée juste de la réalité. Ainsi, Fabius est appelé en dehors de nos frontières, "le Ministre des Affaires Etrangères d'Israël". Pauvre France !  

     

    Donc, une liste NOIRE de gens à ne pas inviter à la TV, circule, sans doute préparée par les agents du CRIF lui-même. Vous voyez des partisans du Hezbollah, de Bachar-el-Assad, de Poutine à la TV ? Non. Vous ne me voyez plus à la TV depuis que je suis non-alignée. Et un François Asselineau qui dit la vérité sur la nature de l'UE (créée par les Américains pour servir leurs intérêts et un jour leurs guerres) est boycotté par nos meRdias atlantistes.

     

    Il n'est pas étonnant si ensuite, la France n'est plus respectée dans le monde; Au lieu d'être comme jadis une alternative, elle est désormais juste le caniche de Bruxelles, des Anglo-Saxons et des Israéliens ! 

     

    Et alors que nos meRdias pourfendent la Russie, celle-ci au contraire a aujourd'hui des leçons à donner à la France en matière de liberté de Presse !

     

    La France d'aujourd'hui est l'ombre d'elle-même, dans tous les domaines (Presse, Diplomatie...). Défigurée !

     

    C'est tout simplement intolérable...


    Eva R-sistons (Chantal Dupille)  ...

     

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    Dmitri Kisselev pense que la réaction de l’Occident relève d’une schizophrénie

    Le directeur général de l’agence internationale Rossiya Segodnya (Russie Aujourd’hui) Dmitri Kisselev
    20:48 04/04/2014

    Le directeur général de l’agence internationale Rossiya Segodnya (Russie Aujourd’hui), auteur et présentateur du programme « Actualités de la semaine » est le seul journaliste au monde qui a fait l’objet des sanctions politiques introduites par l’EU.


    Le journaliste est interdit d’entrée en EU et n’a pas le droit de posséder les biens immobiliers et les comptes bancaires dans les pays de l’Union. Le Comité mondial pour la liberté de la presse qui protège les droits des journalistes a pris la défense de Dmitri Kisselev sanctionnée par l’UE. Comme l’a raconté au journal Izvestia Dmitri Kisselev lui-même, en le sanctionnant, l’UE a porté atteinte à la liberté de parole de l’ensemble des journalistes du monde. Dans l’histoire moderne, explique le directeur de Rossiya Segodnya, la Russie et l’Occident ont interverti les rôles si bien que c’est la Russie qui est devenue défenseur des principes démocratiques et de la liberté de parole.


    - Vous êtes l’unique journaliste qui fait l’objet de sanctions politiques. Y étiez-vous préparé?

    - Cela concerne tous les journalistes. Si ma mémoire est bonne, c’est la première fois qu’un journaliste est sanctionné au niveau international. Je ne suis après tout qu’un journaliste lambda. C’est l’Europe qui a pris l’initiative des sanctions. Cela témoigne du mépris non dissimulé que les fonctionnaires de l’UE manifestent pour la liberté de parole. C’est un précédent très dangereux et une trahison de fait des valeurs européennes. Si ce précédent est légalisé et si la communauté des journalistes européens, américains et du monde entier ne réagit pas, cela signifie que les journalistes estiment que c’est normal. Il s’agit là d’un tournant civilisationnel radical en ce sens que nous n’avons plus besoin de liberté de parole qui n’a plus aucune valeur. La position de l’UE est confirmée non seulement par la décision des bureaucrates européens, mais encore par celle du parlement norvégien.


    - Qui, selon vous, est en train de faire baisser le rideau de fer? Laquelle des parties?

    - Nos rôles sont intervertis. La Russie est pour la liberté de parole alors que l’Occident ne l’est plus. C’est une véritable secousse tellurique civilisationnelle. En effet, en Russie, on peut dire ce qu’on veut, les chaînes de télévision défendent les opinions différentes, l’internet n’est pas bloqué et il y a une profusion de radios et de journaux les plus divers. Aucune œuvre littéraire n’est interdite sauf celles que le sont explicitement par la Constitution. Les extrêmes sont dans la nature des Russes à tel point que certains s’en prennent même au mot patriotisme. C’est le cas de la présentatrice Ksénia Larina des Échos de Moscou que dit que ce mot lui donne des nausées. Personne ne songe cependant à lui imposer des restrictions. Allez Ksénia, ne vous gênez pas. L’UE sanctionne les uns et encourage les autres comme les Pussy Riot qui demandent aussi d’élargir la liste des sanctions. Cela montre bien les préférences européennes qui incluent les danses sacrilèges de Tolokonnikova et d’Aliokhina dans la Cathédrale du Christ-Sauveur de Moscou. Elles n’en sont pas moins reçues au parlement européen. Par conséquent, c’est bon et c’est permis mais la liberté de parole personnellement pour le journaliste Dmitri Kisselev, présentateur du programme analytique aimé par le peuple, ce n’est ni bon, ni permis. Le patriotisme vous donne des nausées, c’est très bien, mais nos correspondants et reporters qui voient ce qui se passe à Kiev et parlent du fascisme ukrainien, c’est mauvais. C’est étonnant comme échelle de valeurs, mais cela profite finalement à la Russie parce que nous voyons très bien qui défend quoi.


    - Le MAE de Russie a annoncé n’avoir pas l’intention d’interdire l’entrée des journalistes occidentaux. C’est-à-dire que nous ne répondons pas de manière symétrique.

    - Naturellement, la Russie est moralement supérieure. Nous avons déjà connu des temps, où la liberté d’expression était violée en URSS. Par exemple, sous Staline. Nous avons vécu l’époque de rideau de fer. Et à présent, aussi paradoxal que cela ne paraisse, nous échangeons de rôles. Cela veut dire que la Russie devient simplement le flambeau de la liberté d’expression. D’aucuns peuvent rire, comme Ksenia Larina, mais elle le fera librement en direct, sans craindre des sanctions de la part de la Russie, ni de celle de l’Union Européenne. Parce que chez nous, lors d’une émission en direct on peut jouir pratiquement sans restriction de la liberté d’expression et même en abuser, voire s’exprimer contre l’Etat et la Patrie. Pour cette raison, les sanctions de l’UE en réalité nuisent aux valeurs européennes en Europe-même, et non à moi ou à quelqu’un en Russie. Par là même l’Union Européenne proclame que la liberté d’expression n’est plus désormais une valeur pour elle. Voilà de quoi il revient.


    - Avez-vous déjà ordonné la stratégie de Rossiya Segodnya ? Le Kremlin avait bien coopéré avec la compagnie des relations publiques américaine Ketchum. A votre avis, est-il acceptable que des spécialistes occidentaux répondent pour la propagande de la Russie ?

    - Je ne sais pas s’il y a maintenant un contrat ou non. Admettons qu’il y en a. D’abord, je ne peux pas évaluer l’efficacité du contrat, mais supposons qu’il soit efficace. Nous ne sommes pas quand même pour une autarcie ? Bien des journalistes étrangers sont employés sur les chaînes de télévision russes. Ils comprennent que la domination du point de vue dit anglo-saxon dans le champ informationnel est funeste aussi pour leur pays. On verra apparaître des Etats franchement totalitaires, s’il n’y a aucun contrepoids en la personne de la Russie, défendant un point de vue alternatif.

    J’ai des collègues qui ont travaillé pendant 25 ans à la BBC, ils demandent actuellement de venir chez nous, ne pouvant plus supporter tout ce délire, cette haine antirusse, la censure. On m’appelle de Paris et raconte qu’il existe en France toute une liste de personnes à ne pas inviter à la télévision, même si avant on les voyait souvent passer à l’écran, on les savait être des dominantes culturelles en France.


    - Et vous, pouvez-vous leur donner la parole ?

    - Bien entendu. Et voilà que des journalistes occidentaux m’avouent franchement avoir chez eux la censure. Il est donc normal que les gens veulent travailler avec la Russie – ils voient en elle une certaine voie alternative, un équilibre et une parité nucléaire, mais aussi informationnelle. Par là même ils défendent leur liberté. Et un appui uniquement sur ses propres forces, un isolement n’est pas très efficace. D’ailleurs, la Russie n’y aspire pas. Nous sommes un pays ouvert. Ainsi, la Russie déclare, par exemple, être prête à un régime sans visas avec l’UE dès demain, mais l’UE n’y est pas prête. Nous nous sommes échangés de rôles. Avant en Union Soviétique il fallait des visas pour sortir, alors l’URSS s’est isolée, et à présent nous comprenons que nous vivons dans le meilleur pays du monde.

     

    La Voix de la Russie

    http://fr.ria.ru/discussion/20140404/200911118.html

     

     

    Dmitri Kisselev : le seul journaliste au monde interdit officiellement de travail en Occident. 

     

    Durée : 5min 22sec | Postée : Il y a 20 heures | Chaîne : Le journal par chapitre

     
    Fait unique dans l’histoire des démocraties européennes. Un journaliste est interdit d’entrée dans l’Union européenne, interdit de possession de biens immobiliers et de comptes bancaires en Europe. Une condamnation à mort sociale et professionnelle en quelque sorte. Certains dictateurs africains ont eu droit à plus d’égard que Dimitri Kisselev, le directeur général de l’agence international Rossia Segodnia nouvellement créée.
     
    Présentateur vedette de la télévision russe, Dmitri Kisselev est donc l’unique journaliste à faire officiellement l’objet de sanctions politiques en Europe. Officiellement, car d’autres journalistes ont déjà subi les ravages du politiquement correct, la mise au placard, l’interdiction d’antenne ou l’impossibilité définitive de faire son métier, faute d’employeur. Mais cela se passait dans l’ombre des couloirs des rédactions, sans réelle publicité. Si une raison officielle devait être avancée, il ne s’agissait que de faible audience ou d’inadéquation avec l’ensemble de la grille de programme. Là, il s’agit bien d’une sentence officielle, internationale et notifiée à défaut d’être motivée.


    Le Comité mondial pour la liberté de la presse, qui protège les droits des journalistes, a pris sa défense, mais les médias français ne se sont ni manifestés, ni même n’ont relayé l’information. Le pays des droits de l’homme est aux ordres de l’OTAN et les valeurs qu’il défend désormais sont monétaires.
     
    Dmitri Kisselev, dans une interview choc donnée en Russie, puisqu’il n’y a désormais que là-bas que la liberté d’information existe, est longuement revenu sur cette fatwa occidentale. « Cette mesure, je cite, concerne tous les journalistes. Si ma mémoire est bonne, c’est la première fois qu’un journaliste est sanctionné au niveau international. Je ne suis, après tout, qu’un journaliste lambda. C’est l’Europe qui a pris l’initiative des sanctions. Cela témoigne du mépris non dissimulé que les fonctionnaires de l’UE manifestent pour la liberté de parole. C’est un précédent très dangereux et une trahison de fait, des valeurs européennes. Si ce précédent est légalisé et si la communauté des journalistes européens, américains et du monde entier ne réagit pas, cela signifie que les journalistes estiment que c’est normal. Il s’agit là d’un tournant civilisationnel radical en ce sens que nous n’avons plus besoin de liberté de parole qui n’a plus aucune valeur. ». Fin de citation.
     
    Étonnant paradoxe qui veut que depuis la chute du rideau de fer, la Russie soit pour la liberté de parole alors que l’Occident ne l’est plus. Dmitri Kissilev, en tant que journaliste de télévision fait également remarquer, je cite, que : « en Russie, on peut dire ce qu’on veut, les chaînes de télévision défendent les opinions différentes, l’internet n’est pas bloqué et il y a une profusion de radios et de journaux les plus divers. Aucune œuvre littéraire n’est interdite sauf celles qui le sont explicitement par la Constitution. Les extrêmes sont dans la nature des Russes à tel point que certains s’en prennent même au mot patriotisme. C’est le cas de la présentatrice Ksénia Larina des Échos de Moscou qui dit que ce mot lui donne des nausées. Personne ne songe cependant à lui imposer des restrictions ». Fin de citation.
     
    Cette liberté de ton est confirmée par le fait que le Ministère des affaires étrangères ne prendra pas de sanctions similaires. Les journalistes étrangers pourront toujours faire leur métier depuis la Russie, ou plus exactement, ils pourront continuer à vomir leur haine de tout ce qui est russe, comme le font par exemple, les envoyés permanents de France2, du Monde ou du Figaro. Plus caricaturaux qu’eux, c’est BHL. Après, il y a le soleil comme dirait un certain humoriste de talent français.


    Pour Dmitri Kisselev, cette non-réciprocité est normale, car, je cite toujours : « la Russie est moralement supérieure. Nous avons déjà connu des temps, où la liberté d’expression était violée en URSS. Par exemple, sous Staline. Nous avons vécu l’époque du rideau de fer. Et à présent, aussi paradoxal que cela ne paraisse, nous échangeons de rôles. Cela veut dire que la Russie devient simplement le porte-flambeau de la liberté d’expression. D’aucuns peuvent en abuser, comme Ksenia Larina, mais elle le fera librement en direct, sans craindre des sanctions de la part de la Russie, ni de celle de l’Union Européenne. Parce que chez nous, lors d’une émission en direct on peut jouir pratiquement sans restriction de la liberté d’expression et même en abuser, voire s’exprimer contre l’Etat ou la Patrie. Pour cette raison, les sanctions de l’UE en réalité nuisent aux valeurs européennes en Europe-même, et non à moi ou à quelqu’un d’autre en Russie. Par cette décision inique, l’Union Européenne proclame que la liberté d’expression n’est plus désormais une valeur pour elle. » Fin de citation.
     
    Le plus déroutant dans cette affaire est sans aucun doute l’absence de réaction des journalistes eux-mêmes. Ils se sont peu à peu accoutumés à n’être que de serviles relais du Pouvoir, à travailler pour des marchands d’armes ou des monstres du BTP, qui ont besoin de flatter les gouvernements pour obtenir ces marchés publics sans lesquels ils ne seraient rien. Il n’y a plus de liberté de la presse en France ou en Europe parce qu’il n’y a plus de groupe de presse libre.

     

    Et Dmitri Kisselev d’expliquer, je le cite à nouveau « on m’appelle de Paris et on me raconte qu’il existe en France toute une liste de personnes à ne pas inviter à la télévision, même si avant on les voyait souvent passer à l’écran, on les savait être des dominantes culturelles en France » fin de citation.
     
    Mais la liberté de la presse peut aussi naître de peu de choses. Que l’on mette à notre disposition des locaux sur Paris pour y installer bureaux et studios, et cette liste noire pourrait tout aussi bien devenir la grille de programme de ProRussia.tv. Internet n’a pas de frontière, et n’est pas soumis au CSA…


    http://www.prorussia.tv/Dmitri-Kisselev-le-seul-journaliste-au-monde-interdit-officiellement-de-travail-en-Occident_v860.html

     

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    Notre France est occupée, colonisée,

    et une Police de la Pensée veille.

     

    Le drame français: C'est aujourd'hui un pays colonisé - R-sistons vidéo 16
    16:05

    Le drame français: C'est aujourd'hui un pays colonisé - R-sistons vidéo 16

     

    Un écrivain français ne plaît pas au Lobby juif,

    alors il est en prison pour ses écrits !

     

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    http://herveryssen-leslivres.hautetfort.com/

     

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     Si le Mind Control peut harceler des cibles individuelles qui déplaisent à la dictature, que ce soit pour des raisons politiques, personnelles, ethniques, religieuses ou autres, le Mind Control peut aussi influer sur les politiques nationales et internationales des Etats.

    le Mind Control peut par exemple éliminer politiquement des hommes politiques compétents pour les remplacer par des fous ou des corrompus faciles à manipuler, il peut provoquer guerres civiles et massacres dans divers pays du tiers monde, il peut favoriser le néofascisme et le nazisme, sans que personne ne puisse protester puisque le Mind Control est secret.

     

    La montée de l'extrême droite raciste en Occident depuis plus de 30 ans ,n'est pas due au hasard. Elle provient d'un complot fasciste appuyé sur le Mind Control et a pour projet de prendre le pouvoir en infiltrant ses agents partout, en supprimant progressivement les libertés, de manière à ensuite gagner des élections truquées qui constitueront un voyage sans retour.

     

    Le fascisme du Mind Control manipule de plus les votes de l'ONU en prenant directement le contrôle des cerveaux des diplomates et en les faisant voter contre leurs intérêts.

     

    Le Mind Control peut aussi provoquer massacres et génocides, en Afrique ou Moyen-Orient, en manipulant le mental des miliciens, militaires, politiques locaux, en les rendant fous furieux, en les poussant au crime, pour finalement intervenir et jouer au pompier pyromane.

     

    La terreur du Mind Control détruira probablement rapidement toutes nos "démocraties"  si personne ne dénonce le phénomène.

     

    Il est temps de lever la loi du silence et de libérer les otages du Mind Control.

    http://edouardjean.canalblog.com/archives/2013/12/08/28611750.html


      

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    Le Mind Control satellitaire peut aussi manipuler les chefs d'Etats, élus, journalistes, membres des services de sécurité, pour les faire agir contre l'intérêt de leur pays. Par exemple, les pressions satellitaires empêchent les gouvernants de faire payer les riches, de développer l'industrie, de combattre la fraude fiscale. Le Mind Control est la créature de la ploutocratie fasciste qui dirige le monde, celle qui provoque crises économiques, guerres coloniales, krachs boursiers. Le Mind Control renforce le racisme, divise pour régner, tente de bloquer l'émergence du tiers monde.

     

    Le Mind Control n'est pas seulement un problème d'atteinte aux libertés individuelles : c'est l'instrument d'un complot plus vaste qui vise à livrer le monde aux fascistes, qui en feront un enfer pour la plupart des gens et un paradis pour la petite clique de nazis qui dirige le système et persécute le reste du genre humain.

         Le Mind Control est la cause de nombreux génocides qui ont eu lieu ces 30 dernières années. Au Rwanda, au Congo, au Libéria, au Cambodge, au Liban, en Algérie, partout des massacres ont été planifiés par les maîtres du Mind Control, en utilisant les ondes électromagnétiques satellitaires pour manipuler des groupes armés et provoquer des carnages. C'est la même logique qui semble être mise en œuvre en Centre-Afrique, où les forces coloniales tentent de provoquer un génocide de musulmans tout en faisant mine de venir pacifier le pays.

    Il faudra qu'un jour les criminels du Mind Control qui manipulent des pantins qui commettent des atrocités dans le tiers monde soient jugés pour leurs actes. Les massacreurs anonymes cachés derrière leurs écran doivent cesser de nuire.

    Le Mind Control est aussi utilisé à manipuler les terroristes dans le monde entier. Les attentats pilotés par le Mind Control servent de prétexte à la suppression progressive de toutes les libertés. Les attentats "islamistes" en Occident servent de plus à développer l'islamophobie et à faire progresser l'extrême droite.

    En RCA, en Syrie, le Mind Control est à l'œuvre pour inciter les gens à se massacrer.

     

    http://peacepink.ning.com/group/francophone/forum/topics/mind-control-et-g-nocides

     

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    Laurent LOUIS révèle QUI dirige la presse en Belgique ! (valable aussi pour la France)

     

     


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    Élections européennes : l’UPR présente ses têtes de liste dans les 8 circonscriptions du scrutin et se lance dans la campagne


    le 7 avril 2014 dans Communiqués de presse

    L’Union Populaire Républicaine (UPR) a désigné les candidats qui conduiront ses listes aux élections européennes du 25 mai prochain dans chacune des huit circonscriptions interrégionales du scrutin :

    Circonscription Ile-de-France

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    François ASSELINEAU, HEC, ENA, Inspecteur général des finances, ancien Délégué général à l’intelligence économique au ministère de l’économie et des finances, Président fondateur de l’UPR, et Valérie BUGAULT, docteur en droit, avocate, coordonnatrice nationale pour les élections européennes, conduiront la liste de la circonscription Île-de-France ;

    Circonscription Nord-Ouest

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    François-Xavier GRISON, HEC, cadre bancaire, responsable national de l’UPR pour les relations presse et les solidarités francophones, et Dolorès BAUDELOT, ancienne attachée parlementaire, conduiront la liste de la circonscription Nord-Ouest ;


    Circonscription Ouest

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    Jean-François GOURVENEC, cadre bancaire, délégué départemental de l’UPR dans le Finistère, et Barbara SILARD, IFSI de l’hôpital Ambroise Paré à Paris, infirmière, conduiront la liste de la circonscription Ouest ;


    Circonscription Est

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    Yannick HERVÉ, ENS Cachan, docteur en informatique et électronique, maître de conférences à l’université Louis Pasteur de Strasbourg, délégué départemental de l’UPR du Bas-Rhin, et Karine COMAS, responsable de laboratoire, conduiront la liste de la circonscription Est ;


    Circonscription Centre-Massif central

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    Vincent BROUSSEAU, ENS, docteur en mathématiques, docteur en économie, ancien économiste à la Banque Centrale Européenne, responsable national de l’UPR pour l’euro et les questions monétaires, et Jeanine LAUBRETON, directrice d’agence immobilière, conduiront la liste de la circonscription Centre-Massif central ;


    Circonscription Sud-Ouest

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    Régis CHAMAGNE, École de l’Air, colonel en retraite de l’armée de l’air, responsable national de l’UPR pour les questions de Défense, et Clélia SIMON, art thérapeute, conduiront la liste de la circonscription Sud-Ouest ;


    Circonscription Sud-Est

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    Daniel ROMANI, antiquaire, délégué départemental de l’UPR dans le Vaucluse, et Anne-Claire MAGNIEZ, germaniste, docteur en musicologie, conduiront la liste de la circonscription Sud-Est (Corse, Provence-Alpes-Côte d’Azur, Rhône-Alpes) ;


    Circonscription Outre-mer 

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    Dominique FRUT, cadre dans une entreprise privée, délégué régional de l’UPR pour l’Océan Indien, et Marie-Christine CLÉVY, artisan, conduiront la liste de la circonscription Outre-mer.

     

    Pour la toute première fois, les Français vont avoir la possibilité de voter pour un parti politique qui propose de faire sortir la France de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN.


    Tous les autres partis politiques présents au scrutin du 25 mai, de l’extrême droite à l’extrême gauche, en passant par la droite, le centre et la gauche, ne proposent en effet aux électeurs qu’un énième projet « d’autre Europe » ou qu’une énième promesse de « renégocier les traités européens ». Chaque parti, bien que ne parvenant même pas à faire accepter par une majorité de Français son propre projet « d’autre Europe », différent de celui des autres, prétend sans rire être en mesure de l’imposer aux 27 autres États de l’Union européenne.

    Tout au long de la campagne, l’UPR expliquera aux Français que ces promesses d’« autre Europe » sont des slogans et des leurres, constamment ressassés par les européistes depuis la première élection du Parlement européen au suffrage universel en 1979, il y a maintenant 35 ans.

    Comme le pose l’article 48 du traité sur l’Union européenne (TUE), la modification substantielle des traités européens ne dépend, en effet, pas seulement des Français mais aussi, et surtout, de l’accord unanime de 27 autres États, dont les intérêts divergent dans tous les domaines. A contrario, sortir de l’Union européenne et de l’euro ne dépend que de la volonté souveraine des Français de mettre en œuvre l’article 50 du même TUE.

    Tout au long de la campagne, l’UPR expliquera aux Français que la prétendue « construction européenne » n’est pas une construction européenne mais une construction voulue par les États-Unis depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale, qu’elle ne vise pas le bonheur des peuples mais, au contraire, leur asservissement à une puissance tutélaire étrangère.

    Ces analyses, développées par l’UPR dès son congrès fondateur le 25 mars 2007, n’ont cessé, depuis, d’être confirmées par les faits. Quel parti politique, à part l’UPR, pourrait aujourd’hui assumer tout ce qu’il a dit et écrit depuis sept ans ?

    La situation catastrophique dans laquelle s’enfonce la France conduit un nombre sans cesse croissant de nos concitoyens de droite et de gauche à se rassembler sur l’essentiel, en adhérant à l’UPR. L’UPR, étrangère à tout extrémisme et dotée d’un programme politique inspiré du programme du Conseil national de la Résistance de 1944, fait, en effet, figure de repère inébranlable, pondéré et sûr au milieu du chaos. Le nombre d’adhérents de l’UPR a cru de façon spectaculaire ces deux dernières années, passant de 707 fin 2011 à 4.544 au 6 avril 2014.

    Dans le même temps, l’UPR a vu sa notoriété sur Internet s’envoler. Les conférences de François Asselineau ont, en effet, été vues plus de trois millions de fois en cumulé et le site Internet de l’UPR est le deuxième site de parti politique le plus fréquenté par les Français, d’après le classement d’Alexa Ranking.

    Il est temps que les Français tirent les conséquences des tromperies et des trahisons dont ils sont victimes de la part des partis européistes ou alter-européistes, en élisant au Parlement européen des députés UPR. Les Français doivent prendre acte de l’échec de la « construction européenne », vieille maintenant de 57 ans, et mettre provisoirement de côté leurs divisions pour se rassembler sur l’essentiel : le rétablissement par des voies démocratiques, juridiques et sereines, de la souveraineté et de l’indépendance de la France.


    ATTENTION ! 

    NOUS AVONS VRAIMENT BESOIN DE NOS ADHÉRENTS ET SYMPATHISANTS POUR FINANCER CETTE CAMPAGNE.


    Vos cotisations (pour les adhésions ou réadhésions) et vos dons vous ouvriront droit à une réduction, égale à 2/3 du montant de la somme versée, sur le montant de votre impôt sur le revenu.

    Si nous ne parvenons pas à rassembler l’intégralité de la somme de 500 000 € que nous nous sommes fixé pour objectif, nous nous limiterons à ce qui est impératif, c’est-à-dire l’impression de 47 millions de bulletins de vote, de 200 000 affiches pour les panneaux électoraux et d’environ 1 million de tracts ; nous serons contraints de ne pas faire imprimer les professions de foi adressées préalablement aux électeurs et dont le coût est de l’ordre de 250 000 euros pour 47 millions de personnes.


    Pour toutes les précisions nécessaires et pour savoir comment nous aider concrètement, lire : http://www.upr.fr/actualite/europe/mobilisation-generale-les-elections-europeennes-appel-dons


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    A Madrid ce samedi, plus d'un million de manifestants ont protesté contre l'austérité

    Monde - le 23 Mars 2014

    L’info intoxiquée: l’exemple de l’Espagne


    Une chape de plomb médiatique s'est abattue en France sur l'événement considérable qui s'est déroulé ce samedi en Espagne. Service minimum pour les dizaines de milliers d’hommes et de femmes ont marché contre l’austérité.


    Un événement considérable s’est déroulé samedi en Espagne. Des dizaines de milliers d’hommes et de femmes ont marché contre l’austérité, le chômage, le mal vivre, la politique de la droite au pouvoir et de l’Union européenne. Ils venaient de toutes les régions du pays pour converger vers Madrid. Ils étaient plus d’un million samedi sur les grandes places madrilènes (beaucoup plus que sur la place Maidan à Kiev, il y a quelques jours) et pourtant une chape de plomb s’est abattue sur cette démonstration de force et de large unité combattive. Comment expliquer ce désintérêt sur cette explosion maitrisée de colère si ce n’est qu’elle ne correspond pas aux objectifs fixés aux médias français à la botte. Critiquer un pouvoir de droite détruisant le pays sur directive de Bruxelles au nom du remboursement de la dette et de la compétitivité, relève de l’impossible. Et comme la plupart des présentateurs télé et radio observent scrupuleusement l’orientation atlantiste, la mission de silence ou de détournement des faits ne leur pose aucun problème.


    Dans ces conditions, et alors que nos démarches pour plus de pluralisme et d’honnêteté dans l’information ne sont pas entendues, faut-il se limiter à protester poliment, gentiment, posément. Ne faut-il pas réfléchir à d’autres formes d’actions rassembleuses et déterminées pour en finir avec les caciques et détenteurs à vie de la distribution de l’information. Le temps n’est-il pas venu de les écarter de la vie démocratique qu’ils participent à dévoyer en renvoyant dans leurs foyers les plus vieux, souvent gâteux, accrochés à leurs fauteuils et leurs enfants putatifs accrochés à leurs privilèges ?


    • A lire aussi:

    La plus grande manifestation de l'histoire récente de l'Espagne

    C'est un monde, la chronique de José Fort

     

     

    http://www.humanite.fr/monde/l-info-intoxiquee-l-exemple-de-l-espagne-561542

     

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    Encore de la désinformation !

     

    Bahreïn – plongée dans un pays interdit.
     
    Une dictature violente, dont on parle si peu dans notre "douce France".
    Mais qui sont ces cavaliers de la démocratie, qui oublient les plus terribles dictatures ? Qui par le mensonge désignent comme...Afficher la suite



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