• Elections européennes : La liste que les médias français tenteront de masquer

     

     

    Élections européennes : l’UPR présente ses têtes de liste dans les 8 circonscriptions du scrutin et se lance dans la campagne


    le 7 avril 2014 dans Communiqués de presse

    L’Union Populaire Républicaine (UPR) a désigné les candidats qui conduiront ses listes aux élections européennes du 25 mai prochain dans chacune des huit circonscriptions interrégionales du scrutin :

    Circonscription Ile-de-France

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    François ASSELINEAU, HEC, ENA, Inspecteur général des finances, ancien Délégué général à l’intelligence économique au ministère de l’économie et des finances, Président fondateur de l’UPR, et Valérie BUGAULT, docteur en droit, avocate, coordonnatrice nationale pour les élections européennes, conduiront la liste de la circonscription Île-de-France ;

    Circonscription Nord-Ouest

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    François-Xavier GRISON, HEC, cadre bancaire, responsable national de l’UPR pour les relations presse et les solidarités francophones, et Dolorès BAUDELOT, ancienne attachée parlementaire, conduiront la liste de la circonscription Nord-Ouest ;


    Circonscription Ouest

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    Jean-François GOURVENEC, cadre bancaire, délégué départemental de l’UPR dans le Finistère, et Barbara SILARD, IFSI de l’hôpital Ambroise Paré à Paris, infirmière, conduiront la liste de la circonscription Ouest ;


    Circonscription Est

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    Yannick HERVÉ, ENS Cachan, docteur en informatique et électronique, maître de conférences à l’université Louis Pasteur de Strasbourg, délégué départemental de l’UPR du Bas-Rhin, et Karine COMAS, responsable de laboratoire, conduiront la liste de la circonscription Est ;


    Circonscription Centre-Massif central

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    Vincent BROUSSEAU, ENS, docteur en mathématiques, docteur en économie, ancien économiste à la Banque Centrale Européenne, responsable national de l’UPR pour l’euro et les questions monétaires, et Jeanine LAUBRETON, directrice d’agence immobilière, conduiront la liste de la circonscription Centre-Massif central ;


    Circonscription Sud-Ouest

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    Régis CHAMAGNE, École de l’Air, colonel en retraite de l’armée de l’air, responsable national de l’UPR pour les questions de Défense, et Clélia SIMON, art thérapeute, conduiront la liste de la circonscription Sud-Ouest ;


    Circonscription Sud-Est

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    Daniel ROMANI, antiquaire, délégué départemental de l’UPR dans le Vaucluse, et Anne-Claire MAGNIEZ, germaniste, docteur en musicologie, conduiront la liste de la circonscription Sud-Est (Corse, Provence-Alpes-Côte d’Azur, Rhône-Alpes) ;


    Circonscription Outre-mer 

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    Dominique FRUT, cadre dans une entreprise privée, délégué régional de l’UPR pour l’Océan Indien, et Marie-Christine CLÉVY, artisan, conduiront la liste de la circonscription Outre-mer.

     

    Pour la toute première fois, les Français vont avoir la possibilité de voter pour un parti politique qui propose de faire sortir la France de l’Union européenne, de l’euro et de l’OTAN.


    Tous les autres partis politiques présents au scrutin du 25 mai, de l’extrême droite à l’extrême gauche, en passant par la droite, le centre et la gauche, ne proposent en effet aux électeurs qu’un énième projet « d’autre Europe » ou qu’une énième promesse de « renégocier les traités européens ». Chaque parti, bien que ne parvenant même pas à faire accepter par une majorité de Français son propre projet « d’autre Europe », différent de celui des autres, prétend sans rire être en mesure de l’imposer aux 27 autres États de l’Union européenne.

    Tout au long de la campagne, l’UPR expliquera aux Français que ces promesses d’« autre Europe » sont des slogans et des leurres, constamment ressassés par les européistes depuis la première élection du Parlement européen au suffrage universel en 1979, il y a maintenant 35 ans.

    Comme le pose l’article 48 du traité sur l’Union européenne (TUE), la modification substantielle des traités européens ne dépend, en effet, pas seulement des Français mais aussi, et surtout, de l’accord unanime de 27 autres États, dont les intérêts divergent dans tous les domaines. A contrario, sortir de l’Union européenne et de l’euro ne dépend que de la volonté souveraine des Français de mettre en œuvre l’article 50 du même TUE.

    Tout au long de la campagne, l’UPR expliquera aux Français que la prétendue « construction européenne » n’est pas une construction européenne mais une construction voulue par les États-Unis depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale, qu’elle ne vise pas le bonheur des peuples mais, au contraire, leur asservissement à une puissance tutélaire étrangère.

    Ces analyses, développées par l’UPR dès son congrès fondateur le 25 mars 2007, n’ont cessé, depuis, d’être confirmées par les faits. Quel parti politique, à part l’UPR, pourrait aujourd’hui assumer tout ce qu’il a dit et écrit depuis sept ans ?

    La situation catastrophique dans laquelle s’enfonce la France conduit un nombre sans cesse croissant de nos concitoyens de droite et de gauche à se rassembler sur l’essentiel, en adhérant à l’UPR. L’UPR, étrangère à tout extrémisme et dotée d’un programme politique inspiré du programme du Conseil national de la Résistance de 1944, fait, en effet, figure de repère inébranlable, pondéré et sûr au milieu du chaos. Le nombre d’adhérents de l’UPR a cru de façon spectaculaire ces deux dernières années, passant de 707 fin 2011 à 4.544 au 6 avril 2014.

    Dans le même temps, l’UPR a vu sa notoriété sur Internet s’envoler. Les conférences de François Asselineau ont, en effet, été vues plus de trois millions de fois en cumulé et le site Internet de l’UPR est le deuxième site de parti politique le plus fréquenté par les Français, d’après le classement d’Alexa Ranking.

    Il est temps que les Français tirent les conséquences des tromperies et des trahisons dont ils sont victimes de la part des partis européistes ou alter-européistes, en élisant au Parlement européen des députés UPR. Les Français doivent prendre acte de l’échec de la « construction européenne », vieille maintenant de 57 ans, et mettre provisoirement de côté leurs divisions pour se rassembler sur l’essentiel : le rétablissement par des voies démocratiques, juridiques et sereines, de la souveraineté et de l’indépendance de la France.


    ATTENTION ! 

    NOUS AVONS VRAIMENT BESOIN DE NOS ADHÉRENTS ET SYMPATHISANTS POUR FINANCER CETTE CAMPAGNE.


    Vos cotisations (pour les adhésions ou réadhésions) et vos dons vous ouvriront droit à une réduction, égale à 2/3 du montant de la somme versée, sur le montant de votre impôt sur le revenu.

    Si nous ne parvenons pas à rassembler l’intégralité de la somme de 500 000 € que nous nous sommes fixé pour objectif, nous nous limiterons à ce qui est impératif, c’est-à-dire l’impression de 47 millions de bulletins de vote, de 200 000 affiches pour les panneaux électoraux et d’environ 1 million de tracts ; nous serons contraints de ne pas faire imprimer les professions de foi adressées préalablement aux électeurs et dont le coût est de l’ordre de 250 000 euros pour 47 millions de personnes.


    Pour toutes les précisions nécessaires et pour savoir comment nous aider concrètement, lire : http://www.upr.fr/actualite/europe/mobilisation-generale-les-elections-europeennes-appel-dons


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