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    Comment les violences policières ont (difficilement) percé le mur médiatique

    par Frédéric Lemaire, Pauline Perrenot

     

    Nous évoquions fin décembre, plus d’un mois après le début de la mobilisation des Gilets Jaunes, le « voile médiatique » sur les violences policières – pourtant largement documentées par ailleurs. À partir de la mi-janvier, on assiste cependant à un revirement subit : en quelques jours, cette question s’impose dans les grands médias, à travers des interviews, des débats, ou des émissions spéciales. Un réveil tardif qui révèle, par contraste, le désintérêt dont ces violences avaient fait l’objet dans les premières semaines du mouvement. Et qui pose question : comment et pourquoi les violences policières sont-elles (difficilement) passées de l’ombre à la lumière médiatique ?

    Note : cet article est le premier d’une série consacrée au traitement médiatique des violences policières.

    À partir du début de la mobilisation des Gilets Jaunes, on peut distinguer deux grandes périodes dans le traitement des violences policières par les grands médias. La première, qui s’étend de fin novembre à début janvier, se caractérise par le désintérêt médiatique à l’égard de ces violences pourtant sans précédent.

    Nous nous étions penchés sur le quasi-silence médiatique autour de la publication d’un rapport d’Amnesty International qui dénonçait « le recours excessif à la force par des policiers » pendant les mobilisations des Gilets Jaunes [1]. Un épisode représentatif de la grande indigence du traitement médiatique des violences policières dans la presse et sur les chaînes de télévision, malgré un nombre de blessés déjà très élevé (1407 manifestants dont une cinquantaine grièvement, selon les chiffres officiels). Représentatif également de l’absence (ou presque) de remise en question significative de la surenchère sécuritaire du gouvernement.

    Notre tour d’horizon des articles publiés dans les quotidiens, sous format papier ou numérique, témoignait ainsi, fin décembre, d’une couverture quasi nulle des violences policières par Le Monde et Le Parisien. Libération s’est distingué par une couverture un peu plus détaillée – dont une partie importante a été traitée via la page de fact-checking « Checknews », où les vidéos de violences policières tournées par les manifestants ont été soumises à un examen de véracité. De manière générale, la couverture est restée bien timide au regard de ce qui a pu se faire à partir de la mi-janvier, et en comparaison – par exemple – avec celle d’un quotidien comme L’Humanité, et ce dès les premières mobilisations.

    Sur les principales chaînes de télévision, le constat est également celui d’une invisibilisation des violences policières. Arrêt sur Images a publié un article, suite à l’observation des journaux télévisés de TF1 et France 2, au titre éloquent : « Aux JT, les violences policières n’existent pas ». Publié le 14 janvier, cet article fait un constat sans appel : huit semaines après le début du mouvement, malgré 90 blessés graves, les deux principaux journaux télévisés français n’ont dédié chacun que deux sujets à part entière à la question des violences policières (les 6 et 7 janvier).

    Le dimanche 6 janvier, Laurent Delahousse, tout en retenue, évoque ainsi « des images qui font débat » à propos du tabassage infligé par le commandant de police Didier Andrieux à deux manifestants. Mais c’est TF1 qui remporte la palme de la désinformation lors du 20h du 10 janvier. Cinq jours après l’affaire du commandant Andrieux, et malgré la quantité de documentation accumulée notamment par le journaliste indépendant David Dufresne concernant les violences policières [2], le « spécialiste police de TF1 » Georges Brenier est catégorique : tout va bien dans le meilleur des mondes. Interrogé par le présentateur à propos des enquêtes ouvertes par l’inspection générale de la police nationale (IGPN), il répondait :

    Depuis le début du mouvement des Gilets Jaunes, 64 enquêtes judiciaires au total ont été ouvertes. […] 64, c’est peu et c’est beaucoup à la fois. Peu d’abord parce que vu la violence inouïe des casseurs, il n’y a pas eu, à première vue en tout cas, de bavure, pas de mort, pas de blessé grave. Et de l’avis de tous les experts, c’est la preuve de beaucoup de sang-froid et de maîtrise [3].

    Les personnes mutilées par des grenades ou des tirs de lanceurs de balle de défense (LBD) auront sans nul doute apprécié… À notre connaissance, TF1 n’est jamais revenu sur ces propos.

    Exception notable dans les grands médias, France 2 a diffusé le 13 décembre un numéro d’Envoyé spécial consacré à la « surenchère de la violence », qui s’attarde sur les violences policières avec des témoignages édifiants de manifestants blessés lors de précédentes manifestations [4]. Mais en tout état de cause, ce reportage apparaît comme une goutte d’eau dans l’océan de désintérêt médiatique qui a caractérisé la période qui s’étend de fin novembre à début janvier. Dans leur grande majorité, les grands médias ont bien contribué, par leurs choix éditoriaux, à passer sous silence la question des violences policières. Contrairement aux actes de « casse » des manifestants qui ont focalisé l’essentiel de l’attention et des commentaires médiatiques.

    Coup de projecteur (tardif) sur les violences policières

    On assiste, à partir de la mi-janvier, à un basculement dans la médiatisation des violences policières, avec une multiplication de sujets, d’interviews, et de débats sur ce thème. L’agenda médiatique du journaliste indépendant David Dufresne, qui s’est attaché à répertorier et à vérifier les signalements de dérives et de violences policières depuis le début du mouvement, témoigne de ce revirement. Alors qu’il n’avait pas ou peu été invité dans les médias jusque-là [5], il entreprend à partir de la mi-janvier un véritable marathon médiatique.

    David Dufresne est interviewé dans le JT de France 2 le soir du 15 janvier, et il est invité le lendemain matin dans la matinale de France Culture sur le thème « Police, assiste-t-on à une montée des violences ? ». Le même jour, le journaliste fait un passage dans « Arte Info », il apparaît dans le JT de BFM-TV ainsi que dans l’émission « Grand angle » de la chaîne d’information en continu. A 19h, il intervient dans « C à vous » sur France 5. Toujours le 16 janvier, Le Monde publie un entretien avec le journaliste indépendant, et il est largement cité dans l’article du quotidien sur les lanceurs de balles de défense (LBD) : « Le lourd bilan des lanceurs de balles de défense de la police ».

    À partir de cette date, David Dufresne apparaît régulièrement dans différents médias, et son travail sur les violences policières est largement diffusé. Le 17 janvier, il est interviewé sur Brut. Le lendemain, Libération fait sa Une sur les violences policières et publie une infographie qui synthétise le travail de David Dufresne. Le 19 janvier, il est invité sur le plateau d’Arrêt sur images. Une de ses citations donne le titre de l’émission : « Les bavures policières, c’est l’omerta absolue ». On notera également que Mediapart consacre aux violences policières une édition spéciale et une infographie à partir du travail de David Dufresne le 25 janvier : « Allô Place Beauvau ? C’est pour un bilan (provisoire) ». Il apparaît de nouveau au JT de France 2, sur LCI, sur AJ+ et Vécu, dans le magazine du Monde, et ses chiffres seront même cités sur CNews. Le 31 janvier, il refuse même une invitation pour l’émission de Cyril Hanouna, « Balance ton post », tout comme il le fit à deux reprises pour des plateaux de BFM-TV, pointant notamment les mauvaises conditions d’expression et les dispositifs déplorables des émissions de la chaîne.

    Si cet agenda (non exhaustif) témoigne donc d’une prise en compte des questions de violences policières par les grands médias, il nous dit également des choses sur le fonctionnement du système médiatique. Sans imaginer recourir à d’autres chercheurs ou intervenants sur le sujet, les grands médias se sont contentés de solliciter David Dufresne, devenu une figure de proue médiatique. Mais ces nombreuses invitations pallient en réalité l’absence d’un travail systématique et spécialisé tel que celui réalisé par le journaliste indépendant de la part de ses confrères et consœurs dans les grandes rédactions. Et ce malgré l’ampleur du phénomène des violences policières, et malgré la pléthore d’experts « police » et « justice » que ces rédactions comptent…

    Comment expliquer ce revirement ?

    Pourquoi un coup de projecteur si subit sur le travail de David Dufresne, et plus généralement sur la question des violences policières ? Un faisceau d’éléments entrent en jeu dans l’irruption des violences policières dans l’agenda médiatique. Des éléments qui tiennent à la fois à des pressions extérieures aux grands médias, et à des pressions qui s’exercent en leur sein même. Une conjonction de pressions exercées sur la durée, et sur lesquelles viennent se greffer un ou plusieurs événements déclencheurs, qui, en quelque sorte, « mettent le feu aux poudres ».

    Les pressions « extérieures »

    Le premier paramètre à prendre en compte est la durée de la mobilisation : début janvier, les Gilets Jaunes manifestent à Paris et en province tous les samedis depuis plus d’un mois et demi et demeurent, le reste de la semaine, mobilisés sur les ronds-points. Cette vague de protestation s’installe ainsi dans le temps, et avec elle, la question des violences policières présente dès les débuts du mouvement. Des pressions extérieures, mettant les violences policières en lumière, s’exercent dès lors sur le milieu journalistique de manière de plus en plus vive.

    Des pressions venues d’une part des réseaux sociaux, sur lesquels circulent des témoignages de manifestants et des vidéos de violences policières, sujets autour desquels se construisent des communautés d’internautes plus ou moins « visibles ».

    Des pressions venues de journalistes extérieurs aux médias dominants tels que David Dufresne et des confrères et consœurs travaillant dans des médias indépendants tels que Bastamag, Arrêt sur images, Mediapart, Le Média, etc., qui n’ont pas attendu le mois de janvier pour s’emparer de cette question.

    Des pressions exercées par des organisations indépendantes, des associations, des collectifs contre les violences policières, des partis politiques, des ONG, etc. Ces organisations ont contribué à « pousser » dans le débat public le sujet des violences policières par le biais de communiqués, rapports et réunions publiques. On citera ici par exemple la Ligue des droits de l’Homme, dans son communiqué du 7 décembre sur l’usage des grenades lacrymogènes instantanées (GLI) et des lanceurs de balles de défense (LBD) ; Human Rights Watch dans son rapport du 14 décembre sur le même thème ; ou encore Amnesty international (enquête du 17 décembre déjà évoquée). À cela s’ajoute la conférence de presse du Défenseur des droits le 16 janvier, demandant l’interdiction du LBD.

    Les pressions au sein des médias

    Parmi les pressions « internes » – même s’il est difficile d’évoquer des médias au cas par cas – il faut d’abord citer la pression exercée par les journalistes eux-mêmes. En particulier des journalistes de terrain, qui couvrent les manifestations et rapportent les cas de violences exercées par la police. Mais, comme l’explique David Dufresne dans l’émission d’Arrêt sur images, « les remontées du terrain s’arrêtent à peu près au bureau de la rédaction en chef » et elles se heurtent à « une omerta, une gêne à parler de ça ». Une omerta à géométrie variable, qui ne s’applique pas lorsque les actes de violence sont commis par des manifestants…

    Ces remontées des journalistes de terrain deviennent une pression d’autant plus importante qu’ils sont eux-mêmes victimes de violences policières. Le souci d’informer sur ces violences se fait dès lors de plus en plus entendre dans les rédactions, a fortiori quand elles sont dénoncées par les syndicats de journalistes, comme ce fut le cas le 10 décembre, date à laquelle a paru un communiqué intersyndical. À cela s’ajoutent également des plaintes collectives, comme celle que déposèrent 24 photographes et journalistes le 15 décembre [6]. Mais, étonnamment, ces plaintes n’ont pas provoqué de cris d’orfraie parmi les éditocrates… À la différence des quelques cas de prise à partie de journalistes par des manifestants.

    Parmi les pressions qui s’expriment au sein des médias, on mentionnera également les Gilets Jaunes eux-mêmes qui, en direct des plateaux, mettent régulièrement les violences de la police à l’ordre du jour des débats : en les dénonçant, et en rapportant des témoignages sur les difficultés ou la peur de manifester. Si le fait que les gilets jaunes évoquent ces violences ne signifie pas que le sujet sera pris au sérieux par les grands médias, cette prise de parole a tout de même un certain impact dans le débat médiatique.

    Les « étincelles »

    Toutes ces pressions constituent en réalité, depuis le début de la mobilisation, des forces souterraines qui travaillent le milieu journalistique, tandis que s’accumulent les données, les témoignages, les rapports et surtout, les blessés graves et mutilés. À ces pressions viennent se greffer des événements déclencheurs, ou du moins, accélérateurs : l’hypermédiatisation du « boxeur Dettinger » s’en prenant à un policier lors de l’acte VIII, le 5 janvier. Un emballement qui fait très vite face à une réponse de taille le même jour, ciblant cette fois le commandant Andrieux, autre boxeur, filmé en train de tabasser un manifestant arrêté et dont la vidéo est massivement diffusée sur internet.

    À partir de là, le sujet des violences arrive véritablement dans le débat comme un « problème public ». Symptôme : le 8 janvier, soit trois jours plus tard, Jean-Michel Aphatie se décide – enfin – à consacrer une grande partie de sa chronique d’Europe 1 aux violences policières en mentionnant le cas précis du commandant Andrieux.

    Autre événement qui a contribué à l’irruption sur la scène médiatique des violences policières : le 16 janvier, le Défenseur des droits réitère sa demande d’interdiction du LBD. Cette demande s’ajoute à l’épisode des boxeurs, et surgit également dans un contexte de discussions à l’intérieur du corps policier lui-même. Discussions suivies et scrutées par les journalistes, ainsi qu’en témoigne ce titre du Monde, le 8 février :

    ***

    Après une période de grande indigence du traitement médiatique des violences policières, il semble qu’il soit devenu impossible, à partir de la mi-janvier, de faire l’impasse sur cette question dans les grands médias. La multiplication des témoignages documentés de violences policières, sur les réseaux sociaux et dans les médias indépendants, doublés de prises de positions publiques de la part d’organisations et d’autorités administratives diverses, ont indéniablement contribué à faire pression sur le système médiatique. Cette pression a finalement donné gain de cause aux journalistes qui, en interne, n’étaient jusque-là pas parvenus à imposer les violences policières comme une question médiatique à part entière.

    Mais le fait que les grands médias se soient emparés de la question des violences policières (au moins partiellement) ne nous dit rien de la manière dont ces violences ont été traitées qualitativement, une fois intégrées à l’agenda médiatique. Or, le traitement de ces violences s’est souvent accompagné de biais de langage, ou de déséquilibres dans le poids accordé à la parole des manifestants et de la police. Il reste également à expliquer les causes structurelles de ce « journalisme de préfecture » et des résistances considérables à l’irruption des violences policières dans l’agenda médiatique. Nous y reviendrons dans les prochains articles de notre série.

    Frédéric Lemaire et Pauline Perrenot

    —————

    [1Le rapport en question est daté du 17 décembre.

    [2Voir le compte Twitter de David Dufresne.

    [3La suite de l’exposé de « l’expert » de TF1 est à l’avenant : « 64 enquêtes c’est évidemment beaucoup, ça montre surtout que le système fonctionne bien. […] L’IGPN lance une enquête, ça ne veut pas dire bien sûr qu’une faute a été commise, mais cela veut dire en revanche que contrairement aux idées reçues, les fameux « bœufs carottes », comme on les surnomme, ne font aucune fleur, aucun cadeau à leurs propres collègues. »

    Bref : circulez, il n’y a rien à voir !

    [4Voir l’émission d’Envoyé spécial, « Violence, la surenchère ».

    [5Sauf à de notables exceptions, comme l’émission d’Envoyé spécial ou l’entretien de David Dufresne au Média, daté du 7 janvier, qui a contribué à populariser son travail.

     


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    Sur BFM-TV, il est interdit de parler des familles de victimes qui ne se sentent par concernées par les hommages Made in Paris...

    la vidéo ici, 1 mn, ou plus bas :
     
     
    Sonia Monard

    NON NON NON .... apparemment sur bfm interdit de parler des familles de victimes qui ne se sentent par concernées par les hommages made in paris actuelles.. POURQUOI ne se sentent elles pas concernées? Bah on ne le saura pas.. regardez ici la technique du problème technique !!!!
    Abusé, mais vous voyez pas les manipulations?

     

    Les commentaires : 
     
    Whoua c est violent !!!!
    - On n'y arrivera jamais comme ça
    - elle va se faire remonter les bretelles la journaliste.
    - Dingue ...
    - y en a une qui va se faire virer !!! hahaha
    - Ah! la censure en direct émoticône smile  surtout "on vous arrête...pb technique"
    - C'est incroyable..le son est hyper net et l'autres conne" on vous entend très très mal
    - Ce qui est dangereux dans cette censure est qu'il nous montre que la télé surtout BFM pense pour nous.
    - voila bfm tv d enfants putain qui vous manipule des preuve vous en voulez il y en aura beausoup
    - Énorme le contrôle de l'information !!!! Xptdr peuple du monde réveil toi !
    - ho la vache !
    - La coupe est pleine !!!
    - Tout ça va très très mal finir
    - Des moutons ! Je pense vraiment, vraiment! qu'ils pensent que nous sommes tous des moutons !
    - Des moutons ! Je pense vraiment, vraiment! qu'ils pensent que nous sommes tous des moutons !
    - l y a ses terroriste au pouvoir est vous en avais la preuve
    - l y a ses terroriste au pouvoir est vous en avais la preuve
    - Tous les Medias Main Stream sont désormais à la solde des Pouvoirs
    - vous avez dit liberté d'expression ! même en direct , la presse se fait elle même censurer ! bravo
    - Charlie pour le Gouvernement Valls, c'est la liberté d'expression. A condition qu'elle soit à sens unique, "vérité" officielle !
     
     
    Autres exemples de manipulation des meRdias,
     
    Envoyé Spécial sur Fance2 a consacré 9 mn au site Panamza. Résultat: Un condensé de mensonges, non-dits, approxismations
     

    Cordon de sécurité près d"un commissariat du 18e arrondissement à Paris. Un homme qui tentait de pénétrer avec un couteau dans un commissariat de la Goutte-d"Or a été abattu par les policiers. / REUTERS/Charles Platiau

     

    Tout ça pour un homme avec un couteau ?
    Et déjà mort, en plus !
    Quel courage dans la police !

    L’article montre trois versions successives de l’événement livrées par Reuters afin de bien montrer comment s’élabore la propagande d’État. Bien sûr, comme le dit l’adage : « La vérité est dans l’instant ». La première version est donc la bonne (..)

     

    Spectacle de Terrorisme - 7 janvier 2015 - Étude par l’exemple du processus d’élaboration de la propagande (vidéos BFM prouvant le mensonge d’État)

    Un an après l’attentat de Charlie Hebdo: La police abat un jeune SDF dans un quartier populaire de Paris

     

     
     
    Photos truquées, ou prises dans d'autres lieux à d'autres dates, c'est l'éternelle…
     
    reseauinternational.net|De Réseau International
     
    Syrian Republic a ajouté une nouvelle vidéo. 

    BEIRUT: The family of a south Lebanon girl depicted in a photo that went viral alleging to show a starving child from a besieged Syrian border town [Madaya] has...

    Afficher la suite
     
     
    JPEG - 45 ko
    La guerre médiatique se poursuit en Syrie. Ici, un groupe d’une quarantaine de membres de l’Armée de l’islam (Jaysh al-Islam) accusent le président démocratiquement élu el-Assad et la Résistance libanaise d’affamer 40 000 Syriens à Madaya.
     
     

    Madaya : une nouvelle manipulation médiatique

     

    Désinformation: l’égérie syrienne de « la famine » de Madaya est libanaise:

    A lire ou à voir :

    Comment on falsifie les déclarations de Poutine

    Des forces politiques françaises étaient-elles complices de l’attentat contre Charlie Hebdo ?

    http://www.mondialisation.ca/des-forces-politiques-francaises-etaient-elles-complices-de-lattentat-contre-charlie-hebdo/5500252

     

    "Nous sommes tous manipulés" selon un ancien officier de la DGSE

     

    Attentats de Paris: les grands délires des « révélations »

    Qui a organisé les attentats de janvier et novembre 2015 à Paris ?

     

    L'image que les meRdias ne montrent

    pas. La prestation théâtrale des

    Hollande-Valls suivie par une

    assistance clairsemée

    Permalien de l'image intégrée
     
    Suite à la diffusion le jeudi 07 janvier 2016 du numéro de Envoyé Spécial sur France 2, Thierry Meyssan exerce son droit de réponse et dresse le bilan du journalisme français.
     
     
     
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    Et comme j'ai sous les yeux les vérités de l'ancien député belge Laurent Louis, les voici :
     
     

    1 commentaire
  • Information à vérifier.

    Qui en dirait long sur l'état de la France-barbouze...

    Fausse immatriculation russe,

    armements POUR les terroristes de Boko Haram,

    noir dessein: Partition Nigéria-Cameroun,

    et NOTRE Armée enrôlée pour des opérations ignobles...

    J'ai honte de cette France ! eva R-sistons

     

    LA VRAIE RAISON DE L’ESCALE DE FRANCOIS HOLLANDE A L’AEROPORT INTERNATIONAL DE MOSCOU

    http://www.alterinfo.net/LA-VRAIE-RAISON-DE-L-ESCALE-DE-FRANCOIS-HOLLANDE-A-L-AEROPORT-INTERNATIONAL-DE-MOSCOU_a108657.html



    Mercredi 10 Décembre 2014



    LA VRAIE RAISON DE L’ESCALE DE FRANCOIS HOLLANDE A L’AEROPORT INTERNATIONAL DE MOSCOU

    # PCN-SPO/ LA VRAIE RAISON DE L’ESCALE DE FRANCOIS HOLLANDE A L’AEROPORT INTERNATIONAL DE MOSCOU
     
    Revue de Presse : Quand l’Armée française fait le sale boulot de la CIA et arme les djihadistes de Boko Haram …
     
    PCN-SPO avec Groupe Europäischer Widerstand sur Facebook/
    2O14 12 09/
    http://www.scoop.it/t/pcn-spo
    https://www.facebook.com/PCN.NCP.press.office
     
    Selon plusieurs sources concordantes, diffusées sur les Réseaux sociaux, la véritable raison de l’escale de François Hollande à l’Aéroport International de Moscou du samedi 6 décembre 2014 serait l’arrestation à l’Aéroport International de Kano (Nigeria), dans la nuit du vendredi 5 ou samedi 6 décembre , de plusieurs militaires français de l’opération Barkhane.
     
    Ces militaires français dont la base logistique est située à Ndjamena au Tchad, sont en réalité l’équipage d’un avion-cargo AVEC UNE FAUSSE IMMATRICULATION RUSSE, transportant une quantité importante d’armes et de munitions. Cet appareil qui avait pour destination finale Ndjamena (QG de l’Opération Barkhane) a été contraint pour des raisons techniques à atterrir à l’Aéroport International d’Aminu à Kano dans le nord du Nigeria. Dès son atterrissage, les autorités Nigérianes ont découvert un important arsenal à bord de l’avion sans qu’il n’existe de documents justificatifs.
     
    L’AMBASSADE DE LA FÉDÉRATION DE RUSSIE AU NIGERIA A IMMÉDIATEMENT DÉCLARÉ FAUSSE L’IMMATRICULATION DE L’AVION-CARGO EN PRÉCISANT QUE LE GOUVERNEMENT RUSSE N’ÉTAIT PAS CONCERNÉ PAR CETTE AFFAIRE DE CARGAISON D’ARMES TROUVÉE DANS L’APPAREIL.
     
    Il est de notoriété publique que les autorités Nigérianes accusent depuis plusieurs semaines le Tchad – d’où sont redéployées les forces française dans le cadre de l’opération Barkhane - de servir de base arrière aux éléments de Boko-Haram qui mènent des attaques meurtrières contre plusieurs localités du Nord Est du Nigeria.
     
    LA PRESSE NIGÉRIANE, TOUT COMME CELLE DU CAMEROUN, ACCUSE DE PLUS EN PLUS LA FRANCE ET LES USA DE SE CACHER DERRIÈRE BOKO-HARAM POUR ACCOMPLIR UN NOIR DESSEIN : CELUI DE LA PARTITION DU NIGÉRIA ET DU CAMEROUN
     
    Tout indique donc que l’escale Moscovite de François Hollande visait à « régler de manière diplomatique » les conséquences d’une OPÉRATION « BARBOUZE » ayant foiré. L’opération a foiré, car c’est le pilote du « faux avion russe » lui-même qui a demandé l’autorisation aux autorités aéroportuaires Nigérianes d’atterrir, à cause de problèmes mécaniques.
     
    La rencontre de toute urgence de Vladimir Poutine avec François Hollande, et à la demande du dernier cité, pour parler de l’Ukraine dans l’enceinte de l’Aéroport International de Moscou est tout à fait ridicule. C’est parce que la France s’est fait prendre la « main dans le sac » (probablement à la demande de Washington) que François Hollande s’est senti obligé de rencontrer le Président Poutine. Il faudra suivre avec attention, la manière dont Moscou et Abuja vont réagir face à cette attaque contre leur nouvelle alliance militaire. A l’heure actuelle, l’équipage Français est toujours détenu à l’Aéroport International de Kano.
     
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  • medias-censure.jpg

    DRÔME Bourg-lès-Valence:

    frappée et menacée d’un poignard par un inconnu

     

    En larmes, un Bourcain d’une trentaine d’années peine à trouver ses mots ce samedi après-midi. « Je suis sous le choc. Désemparé. Ma femme et mes enfants sont traumatisés. Je n’arrive pas à comprendre ».


    Samedi matin, vers 11 heures, « alors que je suis au travail, je reçois un appel de mon épouse ». Blessée et totalement bouleversée, elle va lui raconter sa violente agression. « Tout s’est passé très vite témoigne le Bourcain. Ma femme, vers 10h30, a entendu gratter à la porte. En ouvrant, elle a surpris un homme en train de taguer la porte d’entrée de mon appartement ».


    « Si tu bouges ou si tu cries, je te coupe les veines »


    Au feutre rouge des injures racistes et deux mots inscrits en lettres capitales : “Israël Vainqueur” entourent un cercueil.


    Le trentenaire poursuit : « L’homme, un inconnu, a également dû être surpris. Il a alors aussitôt porté un coup de poing au visage de ma femme qui a lourdement chuté au sol.

     

    Il a sorti un poignard avant de la menacer : “si tu bouges ou si tu cries, je te coupe les veines”. Avant de lui scarifier l’avant-bras. Pour ma femme, l’agresseur doit être âgé d’une vingtaine d’années ».


    Pour le Bourcain : « Nous étions ciblés. Nous sommes la seule famille d’origine maghrébine à vivre dans cette résidence à Bourg-lès-Valence ».

    Une enquête de police en cours


    Toujours sous le choc, il s’interroge : « Pourquoi une telle agression ? Pourquoi nous ? Je vis depuis cinq années sur la commune. Je n’ai jamais eu de problème, avec personne ».


    Hier après-midi, le parquet de Valence a confirmé les faits et en précisant que différentes investigations et vérifications étaient en cours, menées par les policiers valentinois.

     

    Par Thomas ZIMMERMANN | Publié le 27/07/2014 à 06:08

     

    http://www.ledauphine.com/faits-divers/2014/07/26/frappee-et-menacee-d-un-poignard-par-un-inconnu


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  • Ce que les médias ne vous diront pas au sujet du vol MH17 de la Malaysian Airlines

               
    What-the-media-won’t-report-about-Malaysia-Airlines-Flight-MH17

    Quelques jours après l’accident tragique d’un vol de la Malaysian Airlines sur l’est de l’Ukraine, les politiciens et les médias occidentaux se sont réunis pour diffuser une propagande maximale autour de la catastrophe. Cela doit être la Russie; il doit s’agir de Poutine, ont-ils dit. Le président Obama a tenu une conférence de presse pour déclamer – avant même une enquête – que les rebelles pro-russes dans la région étaient les premiers responsables. Son ambassadeur à l’ONU, Samantha Power, a fait de même au Conseil de sécurité des Nations unies – juste un jour après l’accident !

    Alors que les médias occidentaux se précipitent pour répéter la propagande du gouvernement états-unien sur l’événement, il y a quelques éléments d’informations qu’ils ne signaleront pas.

    Ils ne vont pas rapporter que la crise en Ukraine a commencé à la fin de l’année dernière, lorsque des manifestants soutenus par l’UE et les États-Unis ont comploté pour renverser le président ukrainien élu, Viktor Ianoukovitch. Sans le soutien US au «changement de régime», il est peu probable que des centaines de personnes auraient été tués lors des troubles qui ont suivi. De même le crash de la Malaysian Airlines ne serait pas arrivé.

    Les médias ont déclaré que l’avion devait avoir été abattu par les forces russes ou séparatistes russes, parce que le missile qui aurait touché l’avion était de fabrication russe. Mais ils ne signalent pas que le gouvernement ukrainien utilise également les mêmes armes de fabrication russe.

    Ils ne vont pas annoncer non plus que le gouvernement post-coup d’Etat de Kiev a, selon les observateurs de l’OSCE, tué 250 personnes dans la région séparatiste de Lugansk depuis juin, dont 20 tués alors que les forces gouvernementales ont bombardé le centre-ville le lendemain de l’accident d’avion ! La plupart d’entre eux sont des civils et, ensemble, ils équivalent à peu près au nombre de personnes tuées dans l’accident d’avion. En revanche, la Russie n’a tué personne en Ukraine, et les séparatistes ont frappé essentiellement des cibles militaires et non civils.

    Ils ne vont pas dire que les États-Unis ont fortement soutenu le gouvernement ukrainien dans ces attaques contre les civils, qu’un porte-parole du département d’Etat considère comme “mesurées et modérées.”

    Ils ne vont pas signaler que ni la Russie ni les séparatistes dans l’est de l’Ukraine ont quelque chose à gagner, mais plutôt tout à perdre, en abattant un avion plein de civils.

    Ils ne signalent pas que le gouvernement ukrainien a tout à gagner en épinglant la Russie, et que le Premier ministre ukrainien a déjà exprimé sa satisfaction que la Russie soit mise en cause pour l’attaque.

    Ils ne rapportent pas que le missile, qui a apparemment abattu l’avion, était un système sophistiqué de missile sol-air qui exige une bonne formation que les séparatistes n’ont pas.

    Ils ne signalent pas que les séparatistes dans l’est de l’Ukraine ont infligé des pertes considérables au gouvernement ukrainien dans la semaine précédent la destruction de l’avion.

    Ils ne rapportent pas non plus comment cette action est similaire à la déclaration des États-Unis l’été dernier selon lequel le gouvernement Assad en Syrie a utilisé des gaz toxiques contre les civils à La Ghouta. Assad, était également en train de prendre le dessus dans sa lutte contre les rebelles soutenus par les États-Unis, et les USA ont a affirmé que l’attaque provenait des positions du gouvernement syrien. Ensuite, les déclarations des États-Unis nous ont conduits au bord d’une nouvelle guerre au Moyen-Orient. À la dernière minute, l’opposition du public a forcé Obama à faire marche arrière – et nous avons appris depuis que les allégations des États-Unis au sujet de l’attaque au gaz de la Ghouta étaient fausses.

    Bien sûr, il est tout à fait possible que l’administration Obama et les médias US aient raison cette fois, et la Russie ou les séparatistes dans l’est de l’Ukraine ait délibérément ou par inadvertance abattu cet avion. Le vrai problème est qu’il est très difficile d’obtenir des informations précises dans un contexte où tout le monde s’engage dans la propagande. A ce stade, il serait imprudent de dire que les Russes l’ont fait, le gouvernement ukrainien l’a fait, ou bien que les rebelles l’ont fait. Est-il si difficile de simplement exiger une véritable enquête ?

    Ron Paul

    ronpaulWhat the Mainstream Media won’t Report about Malaysia Airlines Flight MH17

    Article original : What the Media Won’t Report About Malaysian Airlines Flight MH17

    Traduction : Sam La Touch

     

    http://www.mondialisation.ca/ce-que-les-medias-ne-vous-diront-pas-au-sujet-du-vol-mh17-de-la-malaysian-airlines/5393482

     


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    Le Donbass est vendu à l’Occident. Les « laquais » de Kiev font le « nettoyage » du territoire

    21-07-2014

    Le 30 avril 2013, la reine des Pays-Bas, Beatrix (Beatrix Wilhelmina Armgard), abdiqua en faveur de son fils, après avoir régné sur le pays pendant 33 ans.
    Sur le trône est monté son fils âgé de 46 ans, le Prince d'Orange Willem-Alexander, héritier du capital dont les principaux actifs de la dynastie sont la compagnie « Phillips », « KLM » et « Royal Dutch Shell ».
    « Royal Dutch Shell » est une multinationale néerlando-britannique, englobant les entreprises énergétiques pétrochimiques, et mène ses activités dans plus de 90 pays à travers le monde. Le siège social de « Shell » se situé à La Haye (Pays-Bas).


    Le 24 janvier 2013, l'Ukraine a signé un accord de partage de production pour 50 ans avec la compagnie « Shell », qui va investir et produire le gaz de schiste dans le Sud-Est de l’Ukraine.
    L’accord avec « Shell » est confidentiel, ses termes ne peuvent être divulgués pendant 55 ans, cependant ce qui se fait de nuit, paraît au grand jour.
    .
    Les terrains contractuels de la production de gaz de schiste sont des territoires essentiellement des régions de Donetsk, Lougansk et Kharkov d’une surface de 7 886 km².
    Cette zone couvre complètement certaines villes : Slaviansk, Izume, Barvenkovo, une grosse partie de Kramatorsk, une partie de Druzhkovka et Balakley, ainsi que des dizaines et des centaines de plus petites collectivités.
    Voici la liste seulement des plus grandes d'entre elles : Gousarovka, Savintsy, Tchervonny Oskol, Krasny Liman, Seversk, Yasnogorka, Avdeevka, Krasnogorovka, Orlovka, Kamichevka, Novogrigorovka, Novonikolaevka, Toretskoye, Alexandrovka, Novoaleksandrovka, Otcheretino, Petrovskoye, Velikaya Kamychevakha, Tchervony Chakhteur, Petrovskoye.

    Conformément à l'article 37.2 (b) de l'accord, l'État s’engage à...
    « … Si les terrains relèvent d’une propriété privée et que les propriétaires n'ont pas accepté la signature de l'Accord sur les Terrains volontairement ou exigent de compléter de tels Accords par des conditions, qui selon un avis justifié de l’Opérateur sont inacceptables, de résilier… les droits de la propriété privée, usufruit, bail et d’autres droits des tiers en rapport avec ces terrains.
    Tous les terrains faisant l’objet d'une telle résiliation..., sont concédés à l’Opérateur « Shell » dans un délai raisonnable sur base des Accords sur les Terrains qui comprennentdes conditions raisonnables ».
    .
    Maintenant, traduisons cela du langage administratif en russe.
    .
    Si « Shell » déclare qu'en dessous d’un immeuble, d’une entreprise, d’un jardin ou d’un champ de blé peut se trouver le gaz de schiste, les habitants seronttenus de vendre leurs biens aux anglais au prix proposé par l’Opérateur. Si le prix proposéne leur convient pas, l'État est tenude saisir les biens d'autorité et de les mettre à disposition de« Shell ».
    L’Accord avec « Shell » de par ces articles 5.3.3, 5.6.3, 5.6.4, 7.1(l) prévoit la possibilité d'adjonction à la zone d’exploitation dugaz de schiste de toute parcelle qui leur plaît située de fait n'importe où en Ukraine. Et l'État est obligé de la céder pour sa destruction immédiatement et gratuitement.
    .
    Aujourd'hui Porochenko n’a pas de possibilité de reloger les habitants de Sud-Est de l'Ukraine dans d'autres régions. Les tentatives d’exterminer la population dans le Sud-Est au cours de la ATO n’ont abouti à rien, et les autorités actuelles n’ont pas non plus de ressources nécessaires.
    .
    Il ne reste qu’une chose : de convaincre le propriétaire de « Shell » le roi des Pays-Bas Willem-Alexander de se débrouiller tout seul avec la population dans le Sud-Est (les combattants de Novorussie).
    Le roi Willem-Alexander ne peut défendre les intérêts de la société « Shell » que par l’entrée des forces armées néerlandaises dans le Sud-Est de l'Ukraine. Le déploiement de troupes n'est possible que dans le cadre de l'OTAN sous le couvertdes forces de maintien de la paixet avec l'aval du Conseil de sécurité de l'ONU. Et pour déployer les forces de maintien de la paix de l'OTAN dans le Sud-Est de l'Ukraine, la Novorussie doit être reconnue comme une organisation terroriste internationale.
    C'est pourquoi, proprement dit, le 17 juillet a été abattule Boeing 777 malaisien, portant à bord au moins 143 passagers sujets des Pays-Bas.

    Et c’est pourquoi Porochenkoest tellement sûr que c’est la milice de Novorussie qui va être reconnue coupable de l'attaque terroriste. 
    Sergey Volodine
    Agence centrale d’information de Novorussie
    Novorus.info


    Source : novorus.info-news : Донбасс продан Западу. "Лакеи" Киева ведут "зачистку" территории

    Traduction : GalCha

     

     

     

     

    http://caledosphere.com/2014/02/22/ukraine-guerre-civile/

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    A voir absolument :

    Asselineau : Oui, c'est un complot contre l'Ukraine ! (vidéo à voir)

     

    En savoir plus sur l'Ukraine,

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