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    Benoît ou le triomphe du journalisme courtisan

    Par eva R-sistons

     


    J'ai vraiment découvert Benoît Duquesne en 2005, lors du Référedum français sur le Traité établissant une Constitution pour l'Europe. Il interviewait chaque jour des personnalités des différents Partis Politiques. Tout se passait bien. Jusqu'au jour où l'invité fût... Nicolas Dupont-Aignan, très critique vis-à-vis de ce Traité, très offensif et très convainquant. Patatra ! Le journaliste perdit contenance et se fendit même de quelque chose comme "oh non, vous allez trop loin" ! Son Journal changea alors, et il prit toutes les précautions possibles... pour écarter les invités imprévisibles et pour que les Français soient désinformés, votent "comme il faut" (c'est-à-dire pour l'Europe), en tordant la réalité pour les convaincre.

     

    Le temps à passé. En zappant, ici ou là, je suis tombée sur le sieur en question. Pas longtemps, car toutes ses émissions étaient des chefs-d'oeuvre... de désinformation, de propagande la plus énorme pour que les Français ne s'écartent surtout pas de la Pensée Unique mondialiste. Du grand, du très grand journalisme courtisan ! A tel point que dès que la frimousse du journaleux apparaissait, je changeais de chaîne.

     

    Hop là ! Par hasard, je suis tombée sur sa dernière émission, concernant le plus triste sire de France, à l'origine des plus grandes tragédies humaines de notre temps : Le sayan BHL, promoteur de guerres iniques, illégitimes, sauvages, détruisant des pays comme la Libye, si prospère (1). Et là, je n'ai jamais eu autant envie de vomir devant mon écran. Tout était fait pour flatter, encenser le misérable bonhomme, celui qui devrait se retrouver depuis longtemps devant la CPI. J'ai d'ailleurs manqué m'étouffer en entendant B.Duquesne évoquer Malraux à son égard ! Là ce n'était plus du journalisme courtisan, mais une abjecte falsification de la réalité (2). Voir transformer un criminel de haut vol au seul service des intérêts de l'entité sioniste voyou Israël, en grande figure de l'Histoire de France comme Malraux, est une des choses les plus insensées, horribles, révoltantes, qui soient. Et cela a scandalisé beaucoup d'honnêtes gens ! Notre Presse est d'ailleurs si servile, elle aussi, qu'elle a relayé l'extrait évoquant Malraux au sujet du personnage le plus immonde de France. Et on s'étonne, après, que la Presse française soit considérée comme la pire d'Europe, "lanterne Rouge" ?

     

    Lorsque la mort du journaleux B. Duquesne a été connue, le lendemain de la diffusion de l'horrible reportage de cour sur BHL, cela a été la curée sur les Réseaux Sociaux. J'y suis allée aussi de mon tweet, de la même veine irrévérencieuse : "Le tueur en série a sévi de nouveau. B. Duquesne est sa nouvelle victime...".

     

    Ceux qui ont une haute idée de la fonction de journaliste, professionnel scrupuleux, neutre, courageux, n'ont pas versé une larme sur la disparition de M. Duquesne.

     

    Eva R-sistons (Chantal Dupille)

     

     (1) Mon article très documenté sur le VRAI Kadhafi :

    - Libye : Le vrai Kadhafi, un grand réformateur sauvagement assassiné

     

     

    (2) Morceaux choisis :

     

    "BHL est l'icône du pouvoir médiatique, Il arrive sans drapeau - il est lui-même le drapeau.  Le philosophe se rend indispensable au Pouvoir.  Il a un grand talent persuasif, son premier coup d'éclat est à Serajevo, c'est un intellectuel de combat comme Hemingway, Malraux.  Son couple fascine il est riche, beau, célèbre. Il aime avoir une influence.  En Libye il est à l'apogée de son savoir-faire.  Nicolas Sarkozy qui voulait peser sur l'Histoire célèbre sa victoire.  Une vie témoignage qui rend vie à des milliers de morts.  Une voix vibrante à Kiev un peu aux accents gaulliens,  il est la conscience des politiques, une grande voix,  il n'y a pas beaucoup d'hommes comme ça.  Ses engagements marqueront l'Histoire pour rejoindre le Panthéon des journalistes engagés... ". Le sommet du mensonge courtisan et communautariste, un sioniste célébrant un sioniste ! Et le criminel N°1 de France, BHL, ajoute : " Je fais BON usage du pouvoir, je ne regrette rien..." !  Comme dit Alain Jules, il est fou ! (§)

     

    (§)

    FAUT-IL INTERNER BHL ? Vidéo: Voici son numéro de .

     

     

    Voir aussi cet article très virulent :

    Benoît Duquesne abattu par BHL ?


    .BHL-wanted-a-jules.jpg.

     


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    13/07/2010

    Pujadas, homme de mien élyséen

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    David Pujadas

    Le chef de l’Etat est interviewé durant une heure par David Pujadas pour France  2…

     

     

    Dehors les journaleux comme Pujadas !

    Par eva R-sistons

     

     

    Bonjour


    je ne m'étendrai pas sur le sujet, j'ai souvent parlé de Pujadas, et un jour je ferai un article spécial sur tous ses manquements à la déontologie.

     

    Il y a d'autres journaleux comme lui, mais il est le pire.

     

    Tout, avec lui, n'est que propagande pour l'Europe des banksters, l'ultra-libéralisme sacrifiant les populations avec l'austérité imposée, la réduction du coût du travail, les emplois précaires, l'expatriement des chômeurs etc (Le presstitué Pujadas compare toujours avec les pays du "moins-disant"), le Nouvel Ordre Mondial, les guerres impériales et impérialistes, entre autres. Manichéisme garanti : Vive l'ami américain et ses rêves, jolie couronne d'Angleterre et gentils moines du Thibet...  haro sur les "dictateurs" russe, iranien, syrien, chinois, cubain, vénézuelien etc, et puis souffrances des Juifs, les Palestiniens n'existent pas, les Musulmans sont dangereux, etc, etc.

     

    Et cette caricature de journaliste qu'est Pujadas Laisse d'Or du journaliste le PLUS servile (à israël, à l'Occident, aux lobbies, à l'Oligarchie...), va jusqu'à faire une propagande éhontée pour le gaz de schiste !

     

    Et il va jusqu'à discréditer les résistants, après la mort de Hessel détesté par les ultra-sionistes !


    Comment sur France2 (Pujadas) on déconsidère la Résistance..

     

    Alors, je pose solennellement la question : Le Service public peut-il, avec nos sous, financer grassement de faux journalistes vrais propagandistes pour des causes (austérité, guerres, gaz de schiste, etc, etc) contre les peuples ?

     

    Et plus généralement, jusqu'à quand tolèrerons-nous que les Médias soient orchestrés par les Sayanim, les agents de Tel-Aviv et de ses politiques anti-populaires, prédatrices, criminelles ?


    Il est temps de se poser les VRAIES questions. Comme celle, justement, de cet article : Jusqu'à quand l'impunité ?

    Les journalistes, instrument clé dans la guerre - Jusqu'à quand l'impunité ?

     

    Et qu'attend-on pour exiger le départ de ces faux journalistes-vrais propagandistes au service des oligarchies criminelles ?

     

    Eva R-sistons (Chantal Dupille)

     

     

    David Pujadas reçoit sa laisse d’or

    jeudi 15 juillet 2010, par Comité Valmy




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    Pujadas, sayanim roi des laquais

    Par eva R-sistons

     

    En écrivant cet article, je regarde la télévision, je zappe. Me voici sur "Place aux idées" de P. Poivre D'Arvor - spécial Europe. Débat ? Idées ? Pas du tout ! A chaque instant, même lorsqu'il s'agit de juguler la crise, ou l'austérité pour les peuples, un seul slogan, avec l'Invité Jean-Claude Trichet : Plus d'Europe, aller plus vite, aller plus loin ! Et on appelle ça de l'information... il s'agit en fait de propagande pour l'horreur européenne § fatale aux peuples ! C'est tout simplement scandaleux, c'est du bourrage de crâne pour que finalement la situation en Grèce (profitable aux banksters) soit celle de tous les pays européens, bref c'est du conditionnement pour nous préparer à accepter la dictature du Nouvel Ordre Mondial !

     

    § :

    L'horreur européenne, colère d'eva - R-sistons vidéo 12  
    13:30

    L'horreur européenne, colère d'eva - R-sistons vidéo 12

     

    Le sayanim Pujadas n'est pas un journaliste au sens d'informateur neutre, impartial, honnête, mais un valet des Lobbies (propagande éhontée pour le gaz de schiste, par ex), de l'Oligarchie militaro-financière en faisant l'apologie de la Droite, du moins-disant social, de la flexibilité, de la "nécessaire" austérité, de l'Europe de la "paix", des guerres pour la "démocratie", du "rêve" américain, de la protection des citoyens juifs, ou même des Tibétains pour le compte de la CIA, etc, et en diabolisant l'Islam, Bachar-el-Assad, l'Iran, la Russie de Poutine, la Chine, Cuba, Chavez, et j'en passe. Et surtout, ce pseudo journaliste, clairement très sioniste, est pour moi au service des intérêts israéliens. Il fait donc la promotion des hommes choisis par le CRIF pour diriger la France : En particulier Copé (interviewé en pleine compétition politique contre François Fillon) afin de le mettre en avant, de "booster" sa candidature. A l'inverse, l'ancien Premier Ministre est invité ce mardi soir au Journal du 20 h pour... être ridiculisé, car le travail de Pujadas, sur une Chaîne publique et avec l'argent des contribuables, consiste à promouvoir la Droite contre la Gauche, les guerres impérialistes contre la paix, et dans ce cas, les candidats agréés par le CRIF, c'est-à-dire des Sayanims (comme lui) plutôt que des Français bien de chez nous, comme Royal, Aubry, Duflot ou Fillon !

     

    C'est un détournement de la télévision à des fins de pure propagande servant en définitive les intérêts d'israël.

     

    Au 20 h de ce mardi, Pujadas a tenté de décrédibiliser Fillon, de le ridiculiser, de le faire passer pour une girouette, ou un indécis ne sachant pas s'il doit se présenter ou pas lors de l'élection du dirigeant de l'UMP. Ce n'est pas du journalisme, c'est de la vomissure sur notre dos, au détriment de la France, et avec l'argent des contribuables ! Cet homme n'a rien à faire sur nos écrans, il est l'ennemi de la Vérité, de l'Information, des intérêts de notre pays et des Français puisqu'il est juste là pour promouvoir les intérêts de l'Oligarchie, de la Droite la plus atlantiste et sioniste, du libéralisme militaro-financier, de l'Europe des banksters, et d'une façon générale, des intérêts de Tel-Aviv (Je le répète, DERNIER exemple, mardi 19.12 en tentant de déstabiliser Fillon - donc au profit du candidat du CRIF, J.F. Copé, qui est au service d'israël comme DSK, Valls, Fabius, Delanoë-Hidalgo, ou même Hollande menant la guerre CONTRE la Syrie avec des Salafistes terroristes pour ensuite "offrir" le pays aux adeptes du Talmud !).

     

    Alerte ! Sayanim aux commandes de la désinformation

     

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    Et c'est aussi le même Pujadas qui a consacré toute une émission Des Paroles et des Actes à Manuel Valls pour lui permettre de se justifier, de se mettre en valeur, et de préparer l'opinion à l'accepter, lui foncièrement réactionnaire et ultra-autoritaire, à représenter la France de gauche à la prochaine présidentielle et une fois élu, à tuer définitivement au PS tout ce qui reste de gauche, de social, de progressiste.         

     

    POLITIQUE – Il est, et de loin, le plus populaire des membres du gouvernement de Jean-Marc Ayrault. Pour la troisième émission de la saison, le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, était l'invité de "Des paroles et des actes", jeudi 6 décembre sur France 2.

    Apprécié aussi bien par les sympathisants de gauche (72% d'opinions positives selon le dernier baromètre Ifop) que par une large majorité des sympathisants de l'UMP (64%), Manuel Valls voit son nom régulièrement cité pour remplacer, en cas de besoin, Jean-Marc Ayrault à la tête du gouvernement.

    http://www.francetvinfo.fr/manuel-valls-est-l-invite-de-des-paroles-et-des-actes-sur-france-2_181723.html

     

    Regardez comment le sayanim Pujadas présente le sayanim Valls: Comme "le plus populaire et le plus apprécié" (Rappel: Primaires socialistes, c'est lui qui a eu le moins de voix !), avec comme le souligne Ségolène Royal, "des sondages bidons", sur mesure pour conditionner l'opinion à accepter les hommes choisis par le CRIF, et en l'annonçant déjà comme possible "futur remplaçant d'Ayrault" ! Il est vrai que les rusés et habiles agents d'israël se sont arrangés pour rapprocher Valls du premier cercle du pouvoir, via l'épouse de cet Espagnol (opportunément naturalisé Français) devenue l'amie personnelle de la petite copine de Hollande, Valérie Trierweiler.

     

    Pujadas reçoit la Laisse d'or du journaliste le plus servile

    Lire l'article ici : http://www.comite-valmy.org/spip.php?article754

    ou voir plus bas


     

    Ce n'est plus du journalisme, c'est de la propagande, c'est de la prostitution, et c'est une insulte à la profession comme une menace pour nos intérêts.

     

    Nous ne pouvons pas continuer à laisser des sayanims nous manipuler et nous dire ce que nous devons penser, ou choisir !

     

    Eva R-sistons

     


     

    La Fabrique de l\'opinion publique. La politique économique des médias américains - Edward-S Herman, Noam Chomsky..

     

    Communiqué

    David Pujadas reçoit sa laisse d’or

    jeudi 15 juillet 2010, par Comité Valmy



     

    Le 30 juin 2010 vers 21 h 30, alors que le présentateur du journal télévisé de France 2 David Pujadas quittait les bureaux de France Télévisions, une délégation l’attend sur le trottoir pour lui remettre le trophée le plus convoité du Parti de la presse et de l’argent (PPA) : la Laisse d’or.


    L’objet, composé d’un collier en métal robuste et d’une lanière en cuir véritable, avait été acheté le jour même dans une quincaillerie parisienne et enduit d’une fine mais alléchante couche de peinture dorée. Une boîte de cirage, une brosse et un plumeau multicolore doté, selon son fabricant, du pouvoir d’« attirer la poussière » complétaient la panoplie.

    En décernant ce kit au présentateur du « 20 heures » de France 2, les organisateurs entendaient récompenser le « journaliste le plus servile », comme ils l’ont expliqué au Plan B, qui passait par là. Selon eux, Pujadas mérite la Laisse d’or pour son amour des euros (12 000 euros de salaire mensuel), sa haine des syndicalistes [1] et son dévouement pour les puissants, réaffirmé récemment dans le film culte de Denis Jeambar, Huit journalistes en colère (Arte, 9.2.10), qui le montrait fustigeant la surmédiatisation des humbles : « Le journalisme des bons sentiments, c’est aussi une bien-pensance. C’est l’idée que, par définition, le faible a toujours raison contre le fort, le salarié contre l’entreprise, l’administré contre l’État, le pays pauvre contre le pays riche, la liberté individuelle contre la morale collective. En fait, c’est une sorte de dérive mal digérée de la défense de la veuve et de l’orphelin. »


    La cérémonie fut brève mais solennelle. Au moment où le journaliste « en colère »s’apprête à enfourcher son scooter, le comité des fêtes surgit d’un arrêt de bus pour l’acclamer, le couvrir de confettis et lui enrouler sa laisse autour du cou (qu’il a fort bas). Le récipiendaire ne cache pas son émotion, laquelle redouble lorsque ses hôtes entreprennent de dorer intégralement son scooter en le vaporisant de peinture aérosol. « Vive le laquais du Siècle ! Vive le roi des laquais ! », exulte la foule en liesse, cependant que la monture du présentateur se métamorphose en carrosse royal (voir photo).


    Sans doute intimidé par cette profusion d’hommages, et soucieux manifestement d’y convier les vigiles, David Pujadas prend alors ses jambes à son cou pour s’engouffrer dans l’immeuble de France Télévisions, où le sas de sécurité le retient une bonne trentaine de secondes, le temps pour l’assistance de se disperser dans la bonne humeur. On le verra ensuite donner l’ordre aux vigiles de recouvrir la selle plaquée or de son carrosse d’une bâche en plastique. Après quoi il grimpera dessus et quittera fièrement les lieux dans une explosion de dorures et de vrombissements.


    David Pujadas n’a pas souhaité donner plus de retentissement à son embouffonnage. Mais que le public se rassure : les images de la scène figureront dans le prochain film de Pierre Carles…


    LE PLAN B, samedi 3 juillet 2010

    Notes

    [1] Exprimée notamment lors de son interview en direct de Xavier Mathieu, le porte-parole CGT des grévistes de l’usine Continental de Clairoix, le 21 avril 2009. Lire à ce propos « Des journaux télévisés face aux “violences” des salariés » sur le site d’Acrimed, http://www.acrimed.org/article3132.html.

     

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    Lundi 17 décembre 2012

    Les peuples vaincront les impérialisme et l'oppressionLa dangerosité de l’État d’Israël apparaît comme une évidence. Les exactions commises soit directement par lui, soit par des alliés ou des mercenaires nous le rappellent quotidiennement. La presse du régime, dans une vaste entreprise de diversion, ne cesse de mettre en avant le programme nucléaire iranien, sans dire que Téhéran a toujours manifesté son intention de ne pas détenir l’arme atomique… mais sans dire non plus que l’État sioniste détient, lui, quelque quatre-vingts têtes nucléaires (rapport 2009 du SIPRI) et que sa capacité de production de matières fissiles ne cesse d’être développée.

     

    En l’état actuel des connaissances militaires, on estime à 2.000 km la portée des missiles (classiques) que détient la République islamique, alors que celle des missiles d’Israël est estimée à 4.500 km. Toute l’Europe (excepté l’Islande), l’Afrique jusqu’à l’Angola et le Mozambique, et une grande partie de la Russie, de la Chine et des pays de l’Extrême-Orient se trouvent ainsi directement à portée des missiles de Tsahal. Paris, Londres, Rome, Berlin, Moscou, Delhi et même Bangkok pourraient ainsi être potentiellement détruits. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle de nombreux États (et pas forcément ceux dont la presse occidentale fait ses choux gras) entament des recherches sur l’atome. Avoir l’arme atomique ne signifie pas bien évidemment l’utiliser, mais donne par rapport à celui qui en est privé un indéniable instrument de chantage. Pour le moment, seuls le continent américain et l’Australie semblent être hors de portée des missiles atomiques. Mais on peut légitimement se demander jusqu’à quand les États-Unis vont tolérer que leur allié sioniste, connu de surcroît comme étant très capricieux vis-à-vis de Washington, accroisse encore et encore la puissance et le rayon d’action de ses armes nucléaires. Inutile en revanche d’atteindre une quelconque réaction de la part des bourgeoisies européennes : elles sont bien trop lâches pour le faire.

     

    Les liens qui unissent les États-Unis à l’État d’Israël sont étroits. Il est vrai que la présence dans le monde bancaire et la finance d’un grand nombre de juifs très puissants assure à Israël de nombreux avantages, bien que la haute finance n’ait traditionnellement pas de patrie.

     

    Israël est un pays trop petit pour être économiquement viable. Il doit donc étendre son territoire au détriment des autres, d’où son impérialisme particulièrement virulent. Il a besoin, en outre, d’un continuel apport extérieur. Des problèmes ne tarderaient pas à surgir par exemple si les États-Unis étaient contraints, du fait de la crise, de réduire le montant des aides.

     

    Israël n’est pas vraiment le cœur du système capitaliste. C’est un laboratoire où on expérimente des solutions politiques et militaires extrêmes, où on fait le sale travail que les États-Unis et les autres puissances occidentales préfèrent déléguer. L’État hébreu a aussi le « devoir » d’expérimenter de nouvelles armes sur le dos des Palestiniens ou des Libanais, sans que d’ailleurs l’indignation et le discrédit ne s’abattent sur les fabricants de mort. Les États-Unis, mais aussi la France, la Grande-Bretagne et l’Italie ne manquent décidément pas d’air.   

     

    Dans le passé, Israël avait pour mission d’empêcher l’unification des pays arabes qui pouvait se réaliser autour de l’Égypte de Nasser et de rendre impossible la consolidation des régimes laïcs et nationalistes, favorisant concomitamment la montée des courants confessionnels et portant à leur paroxysme les conflits religieux. L’État juif remplaça opportunément les puissances colonialistes anglaise et française sur le déclin.

     

    Ces « fonctions » sont très importantes pour la bourgeoisie mondialiste,  mais ne suffisent pas à faire d’Israël le cœur du capitalisme. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si les plus importantes places financières se trouvent à Wall Street et à la City et pas à Tel-Aviv.

     

    L’adversaire numéro un du mouvement ouvrier reste l’impérialisme étasunien, parce qu’il est depuis des décennies en mesure d’intervenir militairement et quasiment n’importe où (mais pour combien de temps encore ?) pour mâter tout mouvement révolutionnaire qui ne courberait pas l’échine devant lui. Cette tâche contre-révolutionnaire par excellence était auparavant accomplie au temps de Marx par la Russie tsariste, au temps de Lénine par l’Angleterre et durant les soixante dernières années par les États-Unis.

     

    L’impérialisme est un phénomène commun à tous les pays capitalistes qui ont atteint un certain niveau de « maturité financière », et concerne principalement ceux qui réussissent à maintenir une façade démocratique, en premier lieu les États-Unis. C’est d’ailleurs en vertu des valeurs démocratiques que l’impérialisme, étatsunien ou occidental, justifie ses interventions à travers le monde. Nos efforts doivent converger dans la lutte contre ce monstre ; elle ne pourra être réalisée qu’en mobilisant les masses et en s’appuyant sur elles.

     

    Cela ne signifie pas qu’on doive sous-estimer l’impérialisme israélien. Et c’est en mettant d’ailleurs en évidence la nature impérialiste de l’État d’Israël et en mettant à mal ses mythes fondateurs qui consistent à substituer au Dieu d’Israël ce même État qu’on démasquera le sionisme. Quand Moshe Dayan écrit le 10 août 1967 dans le Jerusalem Post : « si l’on possède la Bible, si on se considère comme le peuple de la Bible, on devrait également posséder les terres bibliques, celles des Juges et des Patriarches, de Jérusalem, d’Hébron, de Jéricho et d’autres lieux encore », il estime que son pays n’existe que comme l’accomplissement d’une promesse faite par Dieu Lui-même. Il serait donc logiquement ridicule de demander des comptes à Israël sur sa légitimité. C’est là le cœur de la théorie sioniste.

     

    Là où l’impérialisme étasunien met en avant la déesse démocratie pour asservir, opprimer et anéantir les peuples, l’État hébreu brandit le drapeau du Dieu d’Israël pour voler les terres palestiniennes, pratiquer une politique inique de colonisation et assassiner en toute impunité. Différents dans leur essence, l’impérialisme et le sionisme sont pourtant égaux dans l’ignominie.  Les peuples du monde n’ont besoin ni de l’un, ni de l’autre. L’impérialisme et le sionisme n’ont aucune raison d’être.

     

    Capitaine Martin

     

     

     

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    Enfants martyrs non de Syrie, mais de Palestine ou d'Irak etc

    que les Médias n'évoquent jamais, tout occupés qu'ils sont

    à conditionner les Français, à les pousser à la guerre contre la Syrie

    au profit de l'Oligarchie anglo-saxonne, israélienne, européenne. Eva

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    http://www.algerie-news.net/Photos_palestine/Enf_enterre.jpg

     

     

     

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    Introduction à cette parution

    spécialement destinée aux journaleux

    eva R-sistons

     

    A mes Lecteurs, à mes Lectrices :


    Excusez-moi, je publie 2 fois de suite sur CE blog le MEME texte

    mais sous un titre différent, pour les moteurs de recherche,

    texte magnifique que je lance avec mépris à la figure

    de tous les journaleux de l'Occident,

    laquais vils, innommables, collabos des criminels va-t-en guerre

    et donc co-responsables des crimes de l'Occident,

    car ils propagent partout le mensonge, la désinformation,

    au nom de l'Information.

     

    Nos Médias sont une abomination !

    Occupés, comme la France, par les suppôts communautaristes du CRIF,

    au détriment de la neutralité, de la diversité, de l'honnêteté,

    de l'Information et donc de la liberté et de la démocratie

    - et nous valant, quelle honte, d'être

    lanterne rouge de l'information en europe !

     

    Ils osent parler en permanence

    de massacres, de villes martyrs, d'enfants syriens tués,

    en accusant le Régime Syrien,

    en se réclamant de la démocratie,

    mais c'est abject !

    Une imposture, une haute trahison de leur mission d'information !


    Ils sont co-responsables des crimes de l'Occident

    en les couvrant, en les relayant, en les excusant !

     

    Tous parlent comme l'infâme BHL, cette carricature de philosophe,

    tous mentent, falsifient, conditionnent, et poussent à la guerre !

     

    Je pourrai les nommer TOUS,

    car tous distillent le venin de la propagande mensongère,

    tous relaient la Pensée Unique criminelle !


    Mais je dédie cet article, d'abord, à ceux que j'observe en priorité :

    France24, Arte, FR2, Nouvelobs,

    ou C dans l'Air, émission de faux débats

    entre seulement des partisans des criminels

    fauteurs de guerres de l'Occident

    à la botte des Anglo-Saxons et des Hébreux !


    Je dédie donc cet article criant de vérité, d'émotion,

    à la pègre journaleuse au service des Assassins des peuples !

    Journaleux qui piétinent la déontologie, leurs lecteurs, leurs auditeurs,

    leurs télespectateurs, par goût du pouvoir et de l'argent !

     

    Ces journaleux ne méritent qu'une chose : Notre mépris.

    Leur place est devant un Tribunal.

    Un Tribunal des peuples (abusés)...

     

    eva R-sistons

     

     

    Eva : Quelle émotion ! J'en tremble...
    Un des plus beaux textes que j'ai jamais lus,
    A relayer partout !
    Voici la vérité, empreinte de dignité,
    sur la Syrie et ce qu'elle endure, le martyr, de la part
    des Occidentaux menteurs, prédateurs, assassins,
    et des corrompus du pétrole, notamment du Qatar.
    Le Qatar est une pourriture, un chancre pestilentiel...
    comme le néo-sionisme raciste (Talmud), financier et militaire ! (eva)
    .
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    Le terrorisme au nom de la "démocratie"
    Nadia Khost dénonce le cynisme de l’Occident


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    L’intellectuelle Nadia Khost, figure très respectée et estimée en Syrie, est l’auteur de ce texte dense, brillant, porté par le souffle de son indignation vis-à-vis de ceux qui s’emploient aujourd’hui à détruire son pays et son indépendance.- Silvia Cattori


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    Se préparant à envahir l’Irak, Bush envoyait au monde ce message menaçant : «  Soit vous êtes avec nous, soit vous êtes contre nous ! ». Cette même dictature brutale utilise aujourd’hui ce même langage sous prétexte de promouvoir la « démocratie ».


    N’est-ce pas ce que signifie le « dégoût » exprimé par la représentante des États-Unis, au sujet des vétos russe et chinois ? Il n’est même pas permis à de grandes nations comme la Chine et la Russie d’avoir une vision différente de celle des États-Unis ! Quant au président français, Nicolas Sarkozy, il ne reconnaît que la seule décision occidentale légitimant l’ingérence en Syrie !


    Conformément à cette vision de la «  démocratie », le projet occidental a déterminé les caractéristiques de l’État Syrien qu’il veut fabriquer :


    1) Il n’a pas exigé des élections qui révéleraient l’État que les citoyens Syriens acceptent et celui qu’ils refusent. Cela, malgré le fait que la nouvelle loi sur les élections a garanti le droit des représentants des candidats de surveiller les urnes du début des élections, jusqu’à l’ouverture des urnes.


    2) Il ne s’est pas soucié des millions de Syriens qui ont manifesté en Syrie en criant « non à l’ingérence ! ».


    Ceux qui ont suivi les manifestations savent que c’est la réponse des Syriens au projet de l’Occident et du Golfe, et aux bandes armées. Ils remarqueront également que les femmes au foyer ont participé avec ardeur à ces manifestations.


    Les dirigeants occidentaux ont ignoré les choix et les volontés du peuple syrien ; ils ont fermé les yeux sur les gangs armés, même après que les observateurs de la Ligue arabe aient consigné leurs crimes.


    Une première manifestation de « démocratie » donnée par le Conseil de salut national d’Istanbul [1] a consisté à frapper à coups de bâtons la délégation d’artistes et d’intellectuels et la délégation des opposants syriens de l’intérieur, à l’entrée du siège de la Ligue Arabe au Caire, parce que ces deux délégations refusaient l’ingérence extérieure dans les affaires internes de la Syrie.


    Et à la suite du débat sur le dossier syrien au Conseil de sécurité de l’ONU, les partisans de ce Conseil d’Istanbul ont attaqué les ambassades syriennes (quels médias en parlent ? note d'eva) au Caire, au Koweït, à Athènes, à Amman, à Berlin, à Londres. Ils ont saccagé ou pillé les locaux ; ils ont frappé le personnel qui s’y trouvait.


    Quelle belle expression de «  démocratie » !

    D’où viennent ces « démocrates » soudainement apparus ?

     

    La rue syrienne n’a pas entendu leur voix avant mars 2011 !


    Alors que nous, les Syriens de l’intérieur, nous avions critiqué la politique qui a conduit à l’économie de marché, et les responsables de cette politique. Nous avions souligné la continuité entre la politique et l’économie, et la relation entre la position politique nationale et les droits de l’Homme. Nous avions mis en garde quant aux conséquences dangereuses de la privatisation. Et nous avions affirmé que le salut de la nation passe par la garantie du secteur public.


    Nous, les Syriens de l’intérieur, avions également rappelé l’œuvre de Khaled ALAZEM, l’économiste de la bourgeoisie patriotique qui, dans les années 50, avait participé à la mise en place d’un système public puissant, avec l’aide de l’Union Soviétique. Et nous avions dénoncé publiquement la tutelle exercée par certains hauts fonctionnaires, notamment les maires, et combattu l’expropriation des maisons privées.


    Et à cette époque, après avoir participé à des congrès, à des réunions, ou après avoir écrit des articles, nous rentrions chez nous en toute sécurité, même après minuit. Nous allions au théâtre, à des conférences culturelles. Nous nous déplacions entre Damas, Alep et Lattakié. Nous allions chercher l’eau pure de la source Boukein, et cueillir les coings et les pommes de Zabadani. [2]


    Tandis qu’aujourd’hui, grâce aux méfaits du projet de « démocratie » occidental et Qatari, le citoyen syrien ne peut plus se rendre en voiture à Alep, car les brigands armés les mitraillent et qu’ils risquent de subir le sort des ouvriers du textile dont le car a été soufflé à l’explosif à Idleb. Ou le sort de l’ambulancier tué à Rastan. Ou le sort du médecin kidnappé à Hama. N’importe quel citoyen syrien peut être tué, pendant que ses tueurs « démocrates » le filment et reçoivent, du Qatar ou de l’Arabie Saoudite, le salaire des images atroces qu’ils livrent à Aljazeera ou Al Arabiya [Leurs commentaires disant que ce sont les forces de Bachar el-Assad qui les ont tués. -NdT].


    La Syrie n’a jamais connu un tel mépris de l’être humain !

    Et l’Occident et ses laquais du Golfe prétendent débarrasser

    son peuple d’une dictature ?


    Pourquoi donc ne connaissions-nous pas la peur avant mars 2011 ?


    Nous nous promenions sans peur. Nous allions de Damas à Lattakié, sur la route de Bloudan [la même route qui conduit à Zabadani – Ndt] embouteillée par les sorties du week-end. Nous allions nous promener à la Ghouta [les vergers autour de Damas – Ndt] durant la floraison des pêchers et subissions parfois les embouteillages sur la route de Lattakié à Damas.


    Pourquoi cette « démocratie » est-elle venue semer la peur avec ses tirs, ses explosifs, nous interdisant de voyager, de sortir en excursion en fin de semaine ? Pourquoi répand-t-elle la terreur sur la route aux environs de Talkalakh, en ces lieux où des gangs de tueurs et de trafiquants d’armes peuvent à tout moment attaquer les voyageurs ?


    Pourquoi les hôtels de la côte et les routes verdoyantes sont-ils maintenant désertés ? [dans le nord de la Syrie - Ndt] Pourquoi n’avons-nous plus de soirées pour agrémenter nos nuits ? Même dans le quartier paisible de Mezzé, [banlieue résidentielle de Damas – Ntd], une voiture piégée a été déminée hier.


    Qui peut oser s’opposer aux bandes armées là où elles déploient leur menaçante influence ? Combien de commerçants dans la banlieue de Damas n’ont-ils pas été tués parce qu’ils ont refusé de fermer leur commerce de manière à simuler une grève générale spontanée contre le régime ?


    Nous découvrons, sur les écrans télévisés, qui sont ces opposants qui, en Syrie, mettent à exécution par les armes le projet « démocratique » programmé par les pays du Golfe et l’Occident.


    Voici par exemple le cas d’un Libanais qui vivait de la contrebande de marchandises vers la Syrie et qui a perdu son « travail » suite à la crise au Liban. Un autre libanais lui a alors proposé un trafic d’armes et de drogue vers la Syrie. Trois transports lui ont rapporté la somme de 20 000 livres syriennes !


    Il y a de quoi méditer sur la situation de détresse, de pauvreté et d’ignorance qui conduit un homme à accepter de devenir une machine à tuer, pleine de haine. Consacrées au financement de projets constructifs, les sommes versées à des bandes armées par les pays du Golfe auraient pu arracher à la misère cette classe sociale déchue.


    Aucun doute possible : ces gangs ne sont pas une « armée libre » qui se sacrifie pour sa patrie. Ce sont des criminels ; des mercenaires.

     

    A-t-on jamais vu une «  armée libre » se réjouir en démembrant ses frères et sœurs, ou en les jetant dans le fleuve Oronte, têtes coupées sanguinolentes ?


    A-t-on jamais vu dans l’Histoire humaine une « armée libre » faire exploser des trains, détruire des gazoducs, des oléoducs, des réseaux d’électricité, brûler les immeubles, les biens publics, piller des camions transportant du sucre, du riz ou du mazout, au détriment de son peuple ?

     

    A-t-on jamais vu une « armée libre » assassiner les techniciens, médecins, scientifiques, et professeurs d’Universités ;

     

    enlever leurs frères et sœurs pour ensuite demander à leurs pauvres parents une rançon en contrepartie de leur libération ?


    A-t-on jamais vu dans l’Histoire humaine, des princes et des tyrans financer une « armée libre » patriotique ?

     

    Est-il pensable qu’une armée arabe patriotique puisse être équipée d’armes fabriquées par l’État d’Israël qui occupe le Golan syrien ?

     

    Est-il acceptable que des chaînes télévisées étrangères se consacrent à filmer et présenter des criminels d’une prétendue « armée libre » sous un angle élogieux !?


    Radwan Zyiadé, membre du Conseil de salut national, a demandé que le dossier Syrien soit étudié sous l’article 7 [de la Charte des Nations Unies –Ndt], qui autorise une intervention militaire étrangère contre la Syrie. Y a-t-il jamais eu des mouvements de libération dans le monde qui ont vu leurs dirigeants réclamer une intervention militaire contre leur propre pays ?

     

    Tout au contraire, les mouvements de libération ont été créés pour empêcher l’ingérence !


    Donc, le différend entre la Syrie, les dirigeants occidentaux et leurs acolytes syriens, ne porte pas sur la démocratie. Ces États, qui soutiennent les régimes tyranniques du Golfe, qui ont envahi la Lybie, qui ont commis des crimes à Abou Ghraïb, qui ont tué plus d’un million d’Irakiens, et qui garantissent l’impunité des criminels de guerre israéliens, ne défendent pas la démocratie.


    Le célèbre journaliste Mohamed Hasanein Haikal nous dit :

    «  Ce que vit le monde Arabe actuellement n’est pas un printemps,

    c’est un nouveau Sykes Picot pour le diviser

    et se partager ses richesses et ses positions stratégiques. »


    Je puis en témoigner. Je fais partie des onze membres, d’horizons différents, qui ont rédigé la nouvelle loi sur les médias ; le premier résultat obtenu sur le chemin des réformes. Nous nous sommes inspirés des lois établies en Occident pour garantir le respect de la liberté de l’information qui, découvrons-nous, ne sont pas respectées par les médias occidentaux qui cachent à leurs peuples la vérité sur les événements en Syrie. Nous avons entendu des représentants des Nations Unies, et des médias égyptiens et libanais. Nos réunions étaient très animées, les différents avis s’affrontant. Nous avons su nous mettre d’accord sur la loi qui garantit le droit à l’information, l’interdiction d’emprisonnement. Et qui exige la transparence et la déclaration du financement des médias et l’interdiction d’autorisation à n’importe quel média qui serait fondé sur des bases confessionnelles ou ethniques. Et nous nous sommes mis d’accord pour que la relation avec les chaînes, les journaux et les radios ne dépende plus du Ministère de l’information, mais d’un «  Conseil national de l’information à créer ».


    Ce conseil a vu le jour le 20 novembre 2011. Il est composé de personnalités variées ayant une expérience dans les médias, et qui partagent l’objectif de protéger la liberté d’expression sous le toit de la patrie. Ce conseil a organisé des rencontres avec diverses personnalités médiatiques, qui ont fait part de leur expérience et de leur critique pointue de la réalité médiatique et politique, et qui ont exprimé leurs points de vue et leurs propositions. Le Conseil a pris note de tout cela pour en tenir compte dans la rédaction de la politique relative aux médias.


    Dans le bâtiment où nous nous rencontrions, se réunissait aussi la commission chargée de la rédaction de la nouvelle Constitution, composée de personnalités venues de la société civile, des partis politiques ainsi que de techniciens et de spécialistes. Des articles que l’ont croyait intouchables ont été complètement modifiés. Le texte de la nouvelle Constitution sera publié et soumis à référendum.


    Pendant ces mois orageux, a été rendue publique la Loi sur les partis qui interdit qu’ils soient créés sur des bases religieuses, confessionnelles ou ethniques, et qui exige la transparence de leur financement. Quatre nouveaux partis ont été constitués. La loi sur les élections a déjà été publiée. Ces lois sont les bases d’une nouvelle vie politique. Pouvons-nous l’ignorer ?


    Nous ne pouvons pas ignorer non plus un événement d’une grande importance : la rencontre consultative qui a réuni 200 personnalités syriennes, représentant les divers courants politiques et idéologiques, présidée par le vice-président de la République. J’y ai participé en tant qu’écrivain indépendant. Nous avons entendu des interventions que, je pense, aucune institution politique arabe dirigeante ne supporterait. Certaines ne réclamaient pas seulement la suppression de la constitution du paragraphe relatif à la gouvernance du pays par le parti Baath, mais demandaient la suppression du parti lui-même, en feignant d’ignorer ce que ce parti a apporté en matière de santé publique, d’éducation nationale et d’aide économique dont jouit le peuple syrien, sans oublier sa politique étrangère d’indépendance nationale et patriotique… en feignant aussi d’ignorer les bandes armées qui sévissent actuellement sur notre territoire !


    N’importe quel politicien objectif ne peut ignorer que le parti Baath est la colonne vertébrale de la vie politique syrienne aujourd’hui, et que sa suppression ou sa dissolution entraînerait un chaos semblable à celui qu’a connu l’Union soviétique après sa chute. Ceci ne nie pas la nécessité nationale de l’épurer des opportunistes et des corrompus. Et ceci s’applique aussi aux autres partis.


    Et c’est ainsi que se sont déroulées, durant les derniers mois, des réunions pour étudier les événements en Syrie, dont une réunion rassemblant environ 400 anciens diplômés de Russie et des États de l’ex-Union soviétique, dont beaucoup se sont exprimés avec extrémisme et dureté. J’ai parlé du libéralisme économique qui a créé une couche sociale pauvre que l’ingérence étrangère a instrumentalisée. J’ai critiqué les partis politiques qui se sont éloignés du peuple, le laissant aux mains des imams des mosquées. J’ai demandé la mise en jugement du ministère du tourisme, de l’ancien gouverneur de Homs, et la mise à l’écart du président de l’Union des écrivains. Malgré tout cela, nous sommes rentrés chez nous en toute sécurité.

     


    J’ajoute que je suis intervenue dans les congrès des écrivains, critiquant la manière de diriger le pays, les membres de cette direction, et la corruption. Nous étions de nombreux écrivains à aller dans le même sens lors du dernier Congrès des écrivains, avant les événements. Dix sept écrivains ont critiqué sans réserve les institutions politiques.


    En outre, nous avons combattu l’expropriation de la rue du Roi Fayçal par la municipalité qui voulait tout démolir. Nous avons arrêté le projet. Nous avons arrêté la destruction d’un ancien quartier arabe que les Français connaissent et étudient, au cœur de la ville moderne de Damas.


    Nous combattons les promoteurs, la corruption des mairies, et l’infiltration sioniste par des prix attribués à l’élite culturelle de Damas.


    La lutte apparaît ainsi complexe, pas seulement reliée aux divers courants politiques, mais également aux intérêts de divers groupes, ou aux visées de certains. C’est pourquoi nous insistons sur la nécessité de faire prévaloir la compétence et la loyauté à la patrie, et non pas la loyauté au parti. Les autres partis aussi – et pas seulement le parti Baath – mettent en avant la loyauté au parti.


    Nous répétons le dicton : le droit ne meurt pas tant qu’on le revendique. Je crois que la démocratie se construit pierre par pierre, et ne s’importe pas.


    Qu’amène aujourd’hui le projet « démocratique » de l’Occident et des pays du Golfe ? Il ne fait que rajouter à nos soucis ses bandes armées et sa guerre médiatique ! Il n’écoute pas les millions de Syriens qui crient : « non à l’ingérence ». Sa démocratie commence là : « avec nous ou contre nous. »


    Parce que nous refusons cette ingérence et que nous croyons que tous les courants doivent participer à la vie publique pour la corriger, et améliorer la vie en Syrie.


    L’opposition extérieure, exactement comme les bandes armées, accuse ceux qui ne sont pas d’accord avec eux, d’être à la solde du régime. Quoi que pensent ces prétendus «  démocrates » des Syriens qui refusent l’ingérence étrangère et arabe, nous disons en toute franchise que les Conseils qui sont créés dans le giron de l’occupant occidental, avec l’argent qatari, sont coupés du peuple syrien.


    Je n’arrive presque pas à croire qu’un intellectuel comme le chef du Conseil national d’Istanbul, ne sache pas que « couloir humanitaire » signifie intervention militaire !

     

    Qu’il ne sache pas que le Conseil de Sécurité a décrété l’embargo contre l’Irak, mais n’a pas libéré le Liban, et n’a pas utilisé l’article 7 pour empêcher l’État d’Israël de massacrer le peuple palestinien ! Qu’il ne sache pas que les «  négociations » n’ont pas amené les Palestiniens à libérer un pouce de leurs terres, et n’aboutiront jamais à la libération du Golan !


    Que ces prétendus «  démocrates » nous permettent de refuser un tel comportement.


    Nous répétons, avec le peuple syrien : ce qui ce passe en Syrie n’est pas une révolution mais crimes, chaos, et destruction d’un pays qui connaissait la sécurité.

     

    Le changement en Syrie est refusé s’il est imposé par une ingérence extérieure, et accepté s’il est obtenu par la voix des urnes.


    L’attaque contre les ambassades syriennes n’est pas une action politique ; c’est l’œuvre de voyous et de malfrats.


    Je répète ce que j’ai dit dans un débat télévisé : les constitutions sont modifiées pour correspondre aux évolutions des peuples, mais doivent l’être avec respect car elles font partie de la mémoire des peuples. Le changement en Syrie ne se fondera pas sur le mépris du passé et les courbettes aux dirigeants politiques extérieurs.


    En tous cas, ce n’est pas l’amour de la démocratie qui fait se précipiter les princes du pétrole et les dirigeants occidentaux de l’occupation pour organiser les bandes armées, encenser la façade syrienne émigrée, et acheter les décisions de la Ligue arabe.


    Cette démocratie n’est qu’un papier d’emballage trompeur, enveloppant un projet de réorganisation de la carte de la région par la force ; et qui vise à arracher la pierre syrienne du mur de la résistance arabe. Ces propositions sanglantes cachent la stratégie occidentale sioniste et protègent les crimes des bandes armées.


    La séance du Conseil de sécurité sur le dossier syrien nous a montré les représentants de la trahison suprême, face à la dignité syrienne en la personne de Bachar Al Jaafari, de sa culture, son honnêteté et sa douleur.


    La vraie discorde porte sur notre droit de souveraineté nationale, et notre refus de l’occupation israélienne. Un droit lié à nos traditions nationales et à notre Histoire syrienne ; que nous avons hérité de Choukri Al Asali, député de Damas au parlement turc en 1911, qui a démasqué l’infiltration sioniste en Palestine. Ceci fut l’une des raisons pour lesquelles il a été exécuté ainsi qu’une élite d’intellectuels et d’hommes politiques de la bourgeoisie syrienne.


    La Palestine est dans le cœur des Syriens


    Depuis le Congrès Syrien de 1920 qui a déclaré l’indépendance de la Syrie et le refus du pays sioniste - en passant par la révolution syrienne qui a donné à la Palestine Al Kassam, qui y a organisé la résistance, et fut tué en 1935, et l’insurrection simultanée syrienne et palestinienne contre l’occupation en 1936 - des Syriens se sont dévoués pour protéger la Palestine, dont Said El AAS, le penseur révolutionnaire, qui y est tombé en martyr.


    La Palestine est dans le cœur des Syriens ; il n’y a pas de Syriens de la génération de l’Indépendance qui n’aient pas participé à la défense de la Palestine et il est difficile de compter les martyrs syriens en Palestine.


    M. DEBJEN qui était à l’orphelinat islamique de Homs, que mon beau père a fondé, m’a raconté qu’avec deux de ses amis, il s’est engagé pour lutter contre l’occupant sioniste en 1948 ; ils étaient très jeunes, le troisième n’est pas revenu.


    En 1949, le dictateur Hosni al Zaïm a déclaré qu’il nouerait des contacts avec l’État d’Israël ; le prince Adel Arslan, ministre des affaires étrangères, lui a aussitôt répondu : je ne reconnaîtrai pas cet Etat et je ne rencontrerai pas son ministre des affaires étrangères et je ne permettrai à aucun fonctionnaire de mon ministère de le rencontrer. Ce sont les contacts d’Hosni al Zaïm avec Israël qui ont conduit à son assassinat.


    La mémoire de chaque Syrien est pleine de noms et d’images inoubliables de la lutte arabo-israélienne. En raison de ce passé sanglant, les Syriens sont convaincus qu’Israël, en plus d’être un État raciste, est une base militaire d’occupation qui protège le projet de domination occidental dans la région, comme l’ont prouvé ses attaques agressives et expansionnistes. En tant que Syriens notre résistance à l’expansionnisme est dans notre âme ; et notre vie même est tressée autour de cette lutte. C’est ainsi que notre destin personnel est lié au destin de la Syrie, qu’on veut arracher à la résistance arabe.


    Dans son discours du 4 février, l’ambassadeur de Syrie à l’ONU, M Bachar JAAFARI, a cité deux vers du poète Nizar KABBANI rappelant des certitudes profondément ancrées dans l’âme syrienne. Car Nizar KABBANI, n’est pas seulement l’enfant adulé de la bourgeoisie damascène, connu pour ses poèmes d’amour ; il a porté comme chaque Syrien, les valeurs du panarabisme ; il a écrit : «  la poésie est lâche si elle n’est pas portée par la colère ». Sa colère s’adressait à ceux qui se sont précipités pour signer des accords avec Israël et aux hommes corrompus du pétrole. C’est pourquoi ses funérailles ont donné lieu à un grand hommage populaire. Un avion privé syrien envoyé par le président avait transporté sa dépouille de Londres à Damas. Les Syriens se sont emparés du cercueil et l’ont porté sur leurs épaules dans un cortège populaire que Damas n’avait plus vu depuis les funérailles de Fakhri Al Baroudi, l’homme de l’indépendance, le compositeur des hymnes que les peuples arabes se sont transmis.


    Les gens l’ont porté jusqu’à la mosquée des Omeyyades, le plus important monument construit par les Omeyyades à Damas ; ils ont prié et l’ont porté à nouveau sur leurs épaules jusqu’au cimetière, traversant Damas du nord au sud, à pieds, car KABBANI a mêlé sa loyauté à sa ville, à la loyauté au panarabisme. Il a incarné l’âme syrienne par sa douleur pour la Palestine, par son refus du sionisme, par son mépris des dirigeants pétroliers et par sa fierté de la civilisation syrienne.


    Bachar JAAFARI a exprimé cette essence profonde lorsqu’il a cité ces deux vers du poème de Nizar : «  ô Damas, trésor de mes rêves et de mes escapades, me plaindrai-je à toi de l’arabisme ou des arabes ? » Si les représentants du Qatar et de la ligue Arabe étaient cultivés, ils auraient su que la suite du poème leur rappelle qu’en trahissant la Syrie ils trahissent aussi la Palestine.


    KABBANI dit dans ce poème : « Ils ont abreuvé la Palestine de rêves colorés, ils l’ont nourrie de paroles vaines et de discours, ils ont vécu en marge des événements et n’ont pas bougé pour la terre volée et l’honneur violé. Ils ont laissé Jérusalem nue à même la boue, livrant ses seins à tout venant ».


    Qui sont-ils ceux là qui gaspillent l’argent et ne secourent pas la Palestine ? KABBANI les a énumérés : Ceux qui se sont baignés dans des mers de pétrole, ceux qui ont bu le sang des hommes libres ! Et leurs représentants au Conseil de sécurité siégeaient en face de JAAFARI : le Qatari et sa suite, le président de la Ligue arabe dont le fils travaille au Qatar !


    Il est donc impossible d’imaginer un État syrien coupé de son Histoire et de sa mémoire ! Impossible car le peuple porte sa mémoire dans son âme ; ce ne sont pas des pages de livres d’histoire. Il y a là un fossé entre des millions de Syriens fiers de leur Histoire, et une poignée d’intellectuels inconnus avant que les médias occidentaux ne leur battent les tambours, et ne les poussent en avant comme des « représentants légaux » de la Syrie, le Qatar ayant financé leurs réunions, leurs hôtels et leurs déplacements.


    L’utilisation de l’ancien drapeau dans leur réunions, imitant les Libyens à qui le Qatar a apporté des milliers de drapeaux royaux, n’est pas passé inaperçu aux yeux des Syriens.


    Par contre, ceux qui l’ont brandi n’ont pas remarqué que c’est le drapeau de la résistance contre l’occupation française ; le drapeau de la souveraineté nationale ; le drapeau des Syriens qui ont combattu le sionisme et Israël ; notre drapeau que le président Chukri Al Kouatli a mis de côté en cédant son siège à NASSER, au nom de l’Unité Arabe.


    La rencontre et le dialogue sont-ils possibles entre ces deux camps ? La condition du dialogue est la position envers l’Etat d’Israël et le sionisme, et vis-à-vis de l’ingérence extérieure. En Syrie, il y a des opposants honnêtes, non corrompus par l’argent du Qatar ou de l’Arabie Saoudite, n’ayant touché aucun pot de vin occidental, n’ayant pas bradé la souveraineté nationale, et ayant une position claire vis-à-vis d’Israël et du sionisme.


    Ceux-là affichent leur rejet de la corruption politique et financière. Ils exigent une transparence qui, peut être, ne peut exister. Ils peuvent avoir des points de vue irréalistes, mais ils se distinguent par leur maturité politique et leur courage. Le Dr Faez FAWWAZ et Salim KHEIRBEK ont passé plus de dix ans en prison. Malgré cela, ils ne sont pas tombés dans la haine qui pousse à la vengeance, jusqu’à la destruction du pays.


    De pareils opposants sont les garants de la démocratie et de la droiture ; de la souveraineté et de la protection de la société contre le fléau de la corruption. Pour ne pas répéter des erreurs comme celles qui ont conduit à ce qu’un homme corrompu, comme l’ex- gouverneur de Homs, puisse trahir son pays et fermer les yeux sur la construction d’un réseau de communication souterrain, participant ainsi à la préparation de la rébellion.


    La position envers Israël, le sionisme, et l’ingérence extérieure, est pour les Syriens la condition pour le dialogue national ; c’est pourquoi le politicien Qadri JAMIL [figure de l’opposition de l’intérieur - Ndt] a annoncé : « Nous ne participerons pas à un dialogue où le Conseil d’Istanbul serait présent ». C’est ainsi que les Syriens rejettent ceux qui rencontrent la télévision israélienne, ceux qui font appel au sioniste Bernard-Henri Lévy, pour qu’il fasse en Syrie ce qu’il a commis en Lybie ; ceux qui se sentent honorés de rencontrer (Hilary, note d'eva) Clinton, Sarkozy et Juppé.


    Ceci n’est pas qu’une question politique, c’est une question de conscience et de morale, et les Syriens en sont fiers.


    Enfin, c’est le droit des Syriens, après avoir regardé la séance du Conseil de sécurité sur le dossier syrien, de se sentir fiers d’être plus humains, et plus cultivés, et plus démocrates que ces menteurs représentant les forces d’occupation occidentales qui ont versé le sang des Libyens, des Irakiens, des Libanais. Il est de leur droit de mépriser ces politiciens menteurs qui, hier, affirmaient que l’Irak possédait des armes de destruction massive, et qui affirment aujourd’hui que l’armée syrienne tue les civils alors que des dizaines de soldats syriens sont tués chaque jour.


    Lorsque l’on compare Bachar al-ASSAD aux chefs d’États occidentaux qui, par le mensonge, dissimulent les buts de leur guerre contre les peuples, la différence est énorme. Ces derniers se moquent de la «  démocratie occidentale » : SARKOZY n’a pas supporté la révolte des jeunes des banlieues et les a pourchassé, et la « démocratie » d’OBAMA n’a pas toléré les Indignés pacifiques contre la voracité capitaliste. Ce sont ces « démocrates » qui demandent aux Syriens de supporter les crimes de bandes armées !


    En suivant la séance du Conseil de Sécurité, les Syriens ont vu des hommes de grande stature face à des nains. Ils ont vu des personnalités occidentales -qui n’ont probablement pas lu le « Faust » de GOETHE cité par Bachar JAAFARI- qui mentaient, sans honte aucune, devant lui.

     

    Et les représentants russe et chinois qui eux ont appuyé la Syrie par leur veto, signifiant à l’Occident colonialiste qu’il n’avait plus les mains libres pour imposer sa démocratie sanglante.


    Dr Nadia KHOST


    6 février 2012.

    Traduit de l’arabe par Rim (le 9 février 2012) pour le site silviacattori.net.

    [1] Le Conseil de salut national a été élu par l’opposition syrienne le samedi 16 juillet 2011 à Istanbul

    [2] Boukein et Zabadani sont des lieux de villégiature proches de Damas, dans les montagnes sur la route du Liban ; la vallée de Zabadani est réputée pour ses vergers.



    Nadia_Khost_logo_2.jpg Dr Nadia Khost, écrivaine syrienne — auteur de nombreux ouvrages, d’essais, et de nouvelles portant sur l’histoire, l’architecture, la conservation et la protection du patrimoine de la Civilisation Arabe — vit à Damas.

     

     

     

      Martyrs de l'Occident en Palestine ou en Irak

     

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  • Boycottons  les  Médias  menteurs,

    appuis  des  dissidents  aux  Etats  souverains,

    fauteurs  de  troubles  et  de  guerres !


     

    Encore ce soir, Arte ose dire contre toute vérité, que Bachar-el-Assad ne pense qu'à "massacrer les civils" ! Ceux qui "égorgent", ce ne sont pas les Syriens fidèles au Pouvoir, mais les Syriens vendus à l'Etranger (Américain, Anglais, Israélien, Français...) et les Libyens du CNT - plus que jamais, et pour autant les Médias pourris comme Arte et France24 font silence sur leurs exactions quotidiennes, comme d'ailleurs en Côte d'Ivoire avec les tenants de l'usurpateur Ouattara, l'homme du FMI installé à la tête du pays via la France de Sarkozy !

    Quelle mauvaise foi ! Un ramassis de menteurs ! Ces chaînes sont seulement là pour appuyer les dissidents des Etats souverains, afin qu'ils tombent dans l'escarcelle des multinationales ! Et là, maintenant, elles commencent à évoquer les dissidents russes et cubains, pour contribuer à déstabiliser ces Etats, et pour nous conditionner ! C'est une haute trahison, c'est criminel ! Les journalistes n'informent plus, ils deviennent de vulgaires agents de déstabilisation ! Eva R-sistons, après les Infos d'Arte du 29 janvier 2012 ! 

     

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    Arte et France24 sont des instruments de l'Empire,

    de simples relais  de l'Oligarchie militaire et financière,

    à la solde des intérêts anglo-saxons et israéliens.

    ils sont donc les ennemis de nos intérêts

    par eva R-sistons

     

     

    Il suffit que l'on regarde attentivement les informations de ces Médias pour comprendre qu'ils roulent pour l'Empire. Tout est fait pour discrediter les Etats souverains, indépendants, non-alignés sur les diktats de l'Occident, qu'il s'agisse du Vénézuela ou de Cuba ou encore de la Russie, de la Chine, de l'Iran, de la Syrie, du Liban, de la Biéolorussie, du Zimbawe etc, comme avant eux, l'Irak, la Côte d'Ivoire,  la Libye déstabilisés, bombardés, ruinés, dépecés... 

     

    Les Américains sont représentés comme des défenseurs de la démocratie, alors que leur pays plonge peu à peu dans la dictature (interdiction des potagers, citoyens arrêtés et torturés sans procès etc) et qu'ils attaquent des pays souverains en les déstabilisant, en les bombardant, en les ruinant, en les pillant; la Couronne d'Angleterre est dépeinte sous les traits les plus favorables, alors qu'elle orchestre les politiques les plus criminelles dans le monde, comme son homologue américain; Sarkozy est représenté comme super-Sarko ou comme sauveur de la Libye, alors qu'il en est le fossoyeur; l'Etat voyou israélien est présenté comme menacé, alors qu'il met en péril non seulement les Etats alentour mais l'ensemble de l'humanité par ses projets mortifères risquant d'entraîner une conflagration nucléaire; l'Europe n'est jamais  montrée sous son vrai visage, instrument de soumission et de dépossession de ses citoyens au profit des prédateurs du Cartel bancaire;  jamais un débat de fond sur les vrais problèmes n'est organisé, et surtout pas avec des partisans de l'Iran, du Hamas, du Hezbollah, de la Syrie souveraine, de Poutine, etc... Donc tout est truqué.

     

    Arte et France24 sont des Chaînes dirigées par de fervents sionistes soutiens d'Israël et plus généralement, par des ultra-libéraux, des mondialistes partisans de la domination des Anglo-Saxons sur le monde, avec tout ce que cela implique : Mort des Etats-Nations, destruction des libertés, privatisation des services publics, dislocations des protections sociales, appauvrissement de tous les peuples, saccage de la nature par le grand Capital, nucléarisation de la planète, guerres impériales monstrueuses ruinant les pays non alignés au Club de Bilderberg, etc etc. Les Russes - menés par Poutine, un authentique patriote aimant son pays - ou les Chinois sont sans cesse discrédités, comme l'Iran millénaire, les résistants palestiniens, le démocrate socialiste Chavez, etc...

     

    Pour tout dire, dirigés par des sionistes notoires comme la femme de Kouchner, ces Médias aux ordres nous inondent d'interviews partiaux (comme celui d'Ouattara, l'homme du FMI qui grâce à la France, a supplanté par la force le dirigeant élu Gbagbo, pour offrir le pays à l'Occident, appauvrir les populations, les diviser, et piller les ressources), de fausses informations, de mensonges de propagande, etc. C'est très grave ! Car c'est un détournement de l'information, une confiscation des chaînes publiques au service d'intérêts qui sont opposés à ceux des peuples;  Dit autrement, Arte et France24 sont nos ennemis.

     

    Exemple de conditionnement : France 24 va insister sur la mort d'un enfant en Syrie (en réalité tué par des snippers aux ordres des déstabilisateurs de l'Occident), mais jamais sur les innombrables gamins assassinés par l'OTAN en Irak ou en Libye, ou sur les petits Palestiniens qui osent braver les chars à mains nues;  Il va braquer la caméra, comme son compère Arte, sur un Observateur de la Ligue arabe en Syrie critique envers la Mission, et scandaleusement (comme Arte et les autres chaînes de désinformation), il va censurer les résultats du Rapport de ces Observateurs :

     

    La présidence de la Ligue Arabe cherche à étouffer le rapport de ses experts

     

    Orchestrés par des néo-sionistes au service des intérêts d'Israël (passant par les anglo-saxons), ils poussent à la guerre (c'est criminel), ils poussent au choc de civilisations, ils incitent à la haine raciale - contre les Arabes et contre les Musulmans -, et afin d'arriver à leurs fins (la domination de la coalition des Anglais, des Israéliens et des Européens - vassaux - sur le monde), ils mentent en permanence, ils falsifient l'information comme pour la Syrie, où seuls les anti-Bachar-el-Assad, très peu nombreux et manipulés de l'extérieur, ont droit à la parole, et les séquences sont elles-mêmes sujettes à caution : Comme pour celle, symbolique, de la guerre en Irak, où l'on voyait des habitants déboulonner la statue de Sadam Hussein, en réalité il s'agissait de figurants payés par l'Armée américaine. Et c'est ainsi que des plans sont tournés, aujourd'hui encore, avec des figurants, et même dans les studios du Qatar, pays arabe qui trahit les intérêts de son peuple pour servir ceux des américains ! Et la réalité est complètement falsifiée : Les morts sont en effet plus des soldats fidèles au régime syrien ou des civils (notamment des enfants) tués par des snippers payés par les Services de Renseigements américains ou israéliens, que des civils par l'Armée régulière défendant la Syrie (dégâts collatéraux), ou des "volontaires" de la prétendue Armée libre (armée en réalité financée par l'Occident pour déstabiliser la Syrie, donc au service des projets israéliens de "Grand Israël" concoctés avec les Américains soucieux de piller les ressources des pays qui en ont, et qui refusent de se soumettre, c'est-à-dire de brader leurs richesses au profit des multinationales prédatrices et mortifères comme celles du nucléaire, par exemple, ou de la Chimie, du Pétrole...) !

     

    Ainsi, tout est imposture, pas seulement désinformation volontaire, mais mensonges, et pire encore, propagande contre les intérêts des peuples, notamment en poussant constamment à la guerre et aux Révolutions de couleurs privant les Etats de leur souveraineté et les peuples de leurs ressources, puisque celles-ci sont confisquées par les multinationales étrangères !

     

    http://plumedebarbare.files.wordpress.com/2011/05/islamophobie-en-france-pourquoi-elle-est-notre-ennemie.jpg

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    En servant des intérêts criminels, le Veau d'or, les guerres de dépopulation ruinant les Etats, en faisant circuler de fausses informations, en falsifiant la vérité, en conditionnant les électeurs comme les citoyens, ils contribuent à faire de nos médias les pires d'Europe, et ce qui est encore plus grave, en diabolisant une catégorie d'individus, en l'occurrence les Arabes ou les Musulmans, ils incitent à la haine raciale et au choc de civilisations !

     

    Les Observateurs, sur France24, prétendent laisser la parole aux citoyens, mais en réalité ils se servent de l'émission pour promouvoir les Révolutions orange provoquées par la CIA et les autres Services Secrets.

     

    Arte et France24, en manipulant constamment l'information, en conditionnant sans cesse les citoyens, en incitant à accepter les guerres criminelles et même à les soutenir, constituent un vrai danger pour la France et ses habitants. Leurs dirigeants devraient non seulement ne pas détenir la carte de presse, pour des raisons déontologiques, mais ils devraient être traduits devant un Tribunal pour haute trahison et pour incitation au choc de civilisations et aux guerres qui finiront par conduire à l'embrasement planétaire final, nucléaire.

     

    Quant à nous, nous avons l'impératif devoir de cesser de regarder ces chaînes infâmes au service des pires prédateurs et criminels de la planète, et nous devons mettre en garde nos concitoyens. Avant qu'il ne soit trop tard !  Si ces Chaînes, comme leurs homologues France2, TF1 etc, continuent à sévir, à prostituer l'information, nous devons être prêts à faire le siège de leurs Rédactions pour imposer, enfin, une information digne de ce nom : Neutre, impartiale, honnête, plurielle. Evidemment !

     

    Eva R-sistons, journaliste non alignée sur l'Information officielle, mensongère et même criminelle

     

    Ouattara est en France, pour "booster" l'homme qui l'a marié à Neuilly au moment où il ne décolle pas dans les sondages. Les événements de Côte d'Ivoire sont une honteuse tache pour la France. Et pourtant, les médias collabos des Pouvoirs en place, surtout va-t-en guerres, s'évertuent à faire passer les  crimes de notre pays pour des faits d'armes. Et à présenter l'homme du FMI qui par la force, a supplanté l'Elu Gbagbo, comme un dirigeant au service de son pays, alors qu'il est juste là pour offrir les richesses ivoiriennes au Cartel bancaire et aux multinationales. A vomir !

     

     

    Désinformpation sur FR2, même style qu'Arte ou France24 !

    Comment une télé sioniste manipule l'opinion...

     

    n

     

    arte

     

    http://laregledujeu.org/2010/10/07/3020/arte-cest-leurope/

     

     


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