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    LES REBELLES ACHÈTENT LES JOURNALISTES

     

    Maintenant que vous savez que les prétendus "révoltés" de Benghazi ont plein de fric, demandez-vous d’où il provient. De la CIA ou du Mossad ?

    Maintenant que vous savez que les journalistes "indépendants" et autres "envoyés spéciaux" peuvent être achetés par des liasses de billets, vous savez par la même occasion que vous ne pouvez plus leur faire confiance.

    Mais, cette histoire d’achat de journalistes à Benghazi m’en rappelle une autre, qui s’est passée à Guernica en 1937.

    À Guernica, l’on n’acheta pas les journalistes, on les menaça :

    http://mai68.org/spip/spip.php?article2369

    « Le 29 avril, vers midi, les Franquistes entrent dans Guernica et font visiter, sous bonne escorte, les ruines de la ville aux correspondants de presse étrangers. Les articles de ceux-ci sont soumis à censure. Sous la menace des mitraillettes, tous envoient dans leurs pays respectifs des articles expliquant comment et pourquoi les anarchistes ont brûlé Guernica ! »

    La dictature franquiste se fonda sur le mensonge de Guernica.

    Dans l'est de la Libye, à Benghazi, c’est la même technique, à part qu’au lieu de menacer les journalistes, on les achète.

    Vous pourrez constater que c’est la même Caroline Mier qui fit quelque temps après une horrible propagande anti-Kadhafi dont il est facile de prouver qu’elle est mensongère :

    http://mai68.org/spip/spip.php?article2352

            Merci pour votre attention,
            Meilleures salutations,
            do

    Libye - 26 février 2011 - Analyse et destruction de la propagande télévisuelle (vidéos) :

    http://mai68.org/spip/spip.php?article2371

    Une guerre de l’Occident pour recoloniser la Libye :

    http://mai68.org/spip/spip.php?article2329

    Comment déguiser une opération militaire en opération humanitaire :

     

    http://mai68.org/spip/spip.php?article2364

     

     

    En Libye, les rebelles achètent les journalistes (vidéo-preuve 21’’)

     

    Cliquer sur l’image pour voir cette vidéo de 21 secondes.

    Enregistré sur BFM le 26 février 2011 à 22h05.

     http://mai68.org/spip/spip.php?article2367

     

    Maintenant que vous savez que les prétendus "révoltés" de Benghazi ont plein de fric, demandez-vous d’où il vient. De la CIA ou du Mossad ?

    Maintenant que vous savez que les journalistes "indépendants" et autres "envoyés spéciaux" peuvent être achetés par des liasses de billets, vous savez par la même occasion que vous ne pouvez plus leur faire confiance.

    Mais, cette histoire d’achat de journalistes à Benghazi m’en rappelle une autre, qui s’est passée à Guernica en 1937.

    À Guernica, l’on n’acheta pas les journalistes, on les menaça :

     

    http://mai68.org/spip/spip.php?article2369

    « Le 29 avril, vers midi, les Franquistes entrent dans Guernica et font visiter, sous bonne escorte, les ruines de la ville aux correspondants de presse étrangers. Les articles de ceux-ci sont soumis à censure. Sous la menace des mitraillettes, tous envoient dans leurs pays respectifs des articles expliquant comment et pourquoi les anarchistes ont brûlé Guernica ! »


    La dictature franquiste se fonda sur le mensonge de Guernica.

    À Benghazi, c’est la même technique, à part qu’au lieu de menacer les journalistes, on les achète.

    Vous pourrez constater que c’est la même Caroline Mier qui fit quelque temps après une horrible propagande anti-Kadhafi dont il est facile de prouver qu’elle est mensongère :

    http://mai68.org/spip/spip.php?article2352

     

    Pour voir la vidéo, cliquer ci-dessous :
     

    Libye - 26 février 2011 - Analyse et destruction de la propagande télévisuelle (vidéos)

    jeudi 3 mars 2011, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 3 mars 2011).

    Voici trois enregistrements vidéos, à trois heures différentes, de la même journaliste sur la même chaîne de télévision "informative" : ces trois séquences diffèrent !

    Il faut le constater et en tirer les conclusions, en regardant ce qui est retiré, et conservé.


    Interview de Caroline Mier sur BFM à 18h35 :

     

    Cliquer sur l’image pour voir cette vidéo de 1’40’’.

    Enregistré sur BFM le 26 février 2011 à 18h35.


     

    Voici maintenant la même journaliste, toujours sur la même chaîne de télé, mais enregistrée à 22h05 :


    Cliquer sur l’image pour voir cette vidéo de 1’41’’.

    Enregistré sur BFM le 26 février 2011 à 22h05.


    Vous pouvez constater que cette fois il y a un passage de plus, celui où Caroline Mier nous explique qu’on a cherché à l’acheter. Elle nous raconte ça avec un grand sourire !

    Pourquoi une telle chose aussi importante n’est-elle pas dite dans la première version ?

    Cette info avait-elle été jugée inutile, voire nuisible pour la propagande ?

    Ou peut-être cet événement ne s’était-il pas encore produit ?

    Je pencherai en fait pour cette dernière hypothèse ; car, en revisionnant la vidéo où elle dit cela, elle a l’air assez naïve, et ne semble pas vraiment se rendre compte de la signification et de l’importance de ce qu’elle raconte. Peut-être est-elle obligée de nous dévoiler ce fait pour en prendre elle-même conscience.

     

    Revoici maintenant Caroline Mier le 27 février 2011 à 02h37. Après que tout ce qui était important ait eu le temps d’être analysé et censuré :

     

     

    Cliquer sur l’image pour voir cette vidéo d’une minute.

    Enregistré sur BFM le 27 février 2011 à 02h37.

     


    Vous aurez constaté que la censure a eu tout le temps de faire son effet, à cette heure tardive de la nuit. Non seulement l’on a supprimé le fait qu’à Benghazi, on achète les journalistes, mais on a estimé aussi qu’il avait été malheureux de signaler auparavant cette voiture lourdement armée et occupée par des gens cagoulés. Sans doute s’agissait-il de mercenaires ou d’agents très spéciaux au service de l’impérialisme américano-sioniste et était-ce trop facilement devinable avec un peu de présence d’esprit. Ainsi, cette info a-t-elle été elle aussi supprimée !

    La vérité est dans l’instant

    3 Vidéos ici,
    vous pourrez voir la différence
    entre l'information et son traitement
    en désinformation :


    __________________________________________________________________________________________

    Comment déguiser une opération militaire en opération humanitaire

    mercredi 2 mars 2011, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 2 mars 2011).

    19 mai 2007

     

    INFAME KOUCHNER !

    mai68.org/ag/1154.htm
    cronstadt.org/ag/1154.htm
    kalachnikov.org/ag/1154.htm

            Salut à toutes et à tous,


        À l'époque où Beyrouth, la capitale du Liban, était tenue par diverses milices en guerre les unes contre les autres, donc avant la première guerre du Golfe (puisque pour acheter la neutralité de la Syrie pendant cette guerre, l'occident lui livra le contrôle total de Beyrouth et promit un futur État palestinien), l'ambassade de fRANCE (petit "f" et grand "RANCE") était au cœur du quartier contrôlé par la milice du général Aoun.


        Un jour, les infos nous "apprennent" qu'il y a beaucoup de morts à Beyrouth à cause de la guerre perpétuelle à laquelle se livrent les diverses milices. "On" va envoyer 15 bateaux à Beyrouth pour ramener tous ces blessés en fRANCE, sans tenir compte de leur camp, et : « on va les soigner, on va faire de l'humanitaire, c'est Kouchner qui va s'en occuper. »


        Quelques jours plus tard, fRANCE-info nous apprend que les quinze bateaux sont revenus à peu près vides, mais qu'ils étaient partis pleins : pleins d'armes que Kouchner livra au général Aoun. Le lendemain, on apprenait que le directeur de fRANCE-info s'était fait virer pour avoir osé dire la vérité. Et fRANCE-info fit grève contre la censure pendant plusieurs jours. Mais fRANCE-info apprit à fermer sa gueule, et, depuis cet épisode, fRANCE-info est beaucoup moins intéressant.


        On put tout de même apprendre, quelques mois plus tard, qu'un bazooka ayant servi à attaquer en fRANCE un fourgon blindé bancaire faisait partie, à l'origine, du lot livré par Kouchner au général Aoun.


            Merci pour votre attention,
            Meilleures salutations,
            do
            http://mai68.org


    Post-scriptum :
    ¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯
    1°) Au final, on a pu constater l'été dernier que le général Aoun était bien moins infréquentable que le sioniste Kouchner puisque, tout de même, Aoun et sa milice chrétienne se sont alliés au Hezbollah de Hassan Nasrallah pour défendre ensemble leur pays, le Liban, contre une énième invasion israélienne :

    http://mai68.org/ag/1047.htm


    2°) L'investiture de Kouchner au poste de ministre des affaires étrangères est certes due en partie à son absence totale de scrupule à mener des opérations militaires en les camouflant derrière de prétendues opérations "humanitaires", mais elle est surtout due à son sionisme et au fait qu'il avait publiquement pris parti pour la guerre américaine contre l'Irak. C'est un signe que je ne me trompais pas quand je parlais de la future politique étrangère du sarkonazi :

    http://mai68.org/ag/1134.htm



    COMMENTAIRE de Véro :

    Je confirme!!!!!!!

    Selon Le Canard Enchaîné du 16 mai c'est le pdt du Crif qui décide du futur ministre des affaires étrangères de la France !

     

    Voici l'article :

    L’ennemi d’Israël

    Dès que les dirigeants du Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France) ont appris ce projet du nouveau chef de l’Etat, Roger Cukierman, président sortant du Crif, a appelé au téléphone Claude Guéant pour une violente mise en garde.

    « On a eu une réunion au Crif, aujourd’hui, et la rumeur d’une nomination de Védrine aux affaires étrangères a circulé. Cela a provoqué la panique parce que, pour nous, Védrine est pire que les anti-israéliens habituels du Quai d’Orsay. »

    Un peu plus tard, Cukierman a joint directement Sarkozy et lui a dit que la communauté juive prendrait la nomination de Védrine comme un « casus belli ».

    Il faut le comprendre : Cukierman et ses amis avaient fait campagne pour Sarko en expliquant que la victoire de Ségolène provoquerait le retour de Védrine au Quai !

    bises à bientôt!!!

    ___________________
    ¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯
    COMMENTAIRE de sousmarinvert :

     

    Kouchner est un menteur invétéré :

    Mensonges en Bosnie :

    http://www.michelcollon.info/Oui-Bernard-Kouchner-mentait.html?lang=fr

     

    Mensonges bien rémunérés par Total en birmanie :

    http://www.freewarriors.org/editorial31.htm

     

    http://mai68.org/spip/spip.php?article2364

     

     

     

     

     



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  • Buch et ben laden

    j'ai pris d'un site le 3:22/20007 - http://album.aufeminin.com/album/see_276361/Buch-et-ben-laden.html

     

     

    Mode d’emploi pour créer une alerte terroriste maximale en Allemagne (et sans doute ailleurs)

     

    L’actualité du moment, ce n’est pas le terrorisme, al Qaïda & Cie. Il est plus que probable que ce ne serait pas le bon moment pour Ben Laden de sortir de son tombeau pour nous pondre un de ces enregistrements menaçants dont il a le secret et que les services d’intoxication américano-sionistes s’empresseraient d’authentifier.
    Les choses sérieuses ont en effet commencé dans le monde arabe avec l’engagement d’un processus de démocratisation qui sera sans doute lent et peut-être chaotique mais irréversible.
    C’est le début du rendez-vous des civilisations dont parlaient Emmanuel Todd et Youssef Courbage et je vous fiche mon billet que l’entité sioniste ne sera pas présente à ce rendez-vous: trop hostile du point de vue arabe et finalement trop encombrante pour ses tuteurs occidentaux.
    Mais bon, même si c’est quelque chose de marginal dans le contexte actuel, mon attention a été attirée par un petit article du Spiegel allemand. On s’en souvient, en octobre dernier, des attentats à la photocopieuse menaçant le trafic aérien avaient été déjoués. Une des cibles des terroristes était d’ailleurs une synagogue de Chicago accueillant des fidèles homosexuels.
    Toute cette affaire était cousue de fil blanc bien entendu mais a été l’occasion de renforcer les dispositifs sécuritaires dans les aéroports avec notamment la multiplication des scanners corporels.
    En novembre 2010, l’Allemagne connaissait une alerte terroriste de niveau très élevé en raison d’informations en provenance de deux sources « crédibles » dont l’une promettait des attaques de type Mumbai en Allemagne.
    Le première de ces sources n’étaient autres que les autorités des Etats Unis. La deuxième, crédible justement par le fait qu’elle se manifestait en concomitance avec l’information américaine, était une source interne à al Qaïda.
    En conséquence, le gouvernement allemand avait fortement renforcé la présence policière dans les gares et les aéroports et fermé le dôme du Reichstag aux touristes venus visiter Berlin.
    Or, le Spiegel nous dit aujourd’hui que la police allemande doute maintenant de la crédibilité de cette source interne à al Qaïda avec laquelle elle a d’ailleurs perdu le contact.
    Personnellement, je pense que la police allemande n’a jamais cru à la crédibilité de cette source qu’elle a refusé de récompenser conformément à ses demandes en échange d’informations. En effet, comment refuser de payer un informateur si on pense que ce qu’il a à dire peut éviter un effroyable massacre?
    Les circonstances mêmes dans lesquelles les autorités allemandes ont perdu le contact avec cet individu témoignent d’un intérêt plutôt distant puisque ce monsieur était capable de se rendre dans une agence de voyages sans être filé par les services secrets . Et si j’ai bien lu, on comprend à la fin de l’article que cet individu se trouvait à l’étranger et disposait d’un passeport allemand (car on ne peut pas vérifier auprès des services consulaires allemands autre chose que l’authenticité d’un passeport allemand).
    Voilà qui nous rappelle quelque chose!

    L’Allemagne doute de la crédibilité de l’informateur sur la menace terroriste

    Der Spiegel (Allemagne) 21 février 2011 traduit de l’anglais par Djazaïri
    Les autorités allemandes doutent de plus en plus de la crédibilité d’un informateur dont les avertissements sur des attentats terroristes imminents ont été en partie responsables d’une alerte massive de sécurité en novembre. Elles ont perdu le contact avec ce membre présumé d’al Qaïda suite çà un petit problème qui a impliqué une ambassade d’Allemagne.
    Le gouvernement allemand doute de plus en plus de la crédibilité d’un informateur dont le témoignage a en partie été responsable d’une alerte de sécurité massive décidée en novembre dernier.
    Selon des informations obtenues par le Spiegel, les spécialistes Allemands de l’anti terrorisme ont maintenant perdu le contact avec ce membre d’al Qaïda. Ce dernier avait approché la police criminelle fédérale (BKA) en novembre dernier et l’avait avertie d’attaques du « style Mumbai » qui étaient supposées être imminentes en Allemagne.
    Compte tenu du fait que les autorités US avaient aussi alerté sur d’éventuels attentats, le ministre de l’intérieur Thomas de Maizière avait relevé le niveau d’alerte et ordonné le renforcement des mesures de sécurité. Le dôme du Reichstag, le parlement, une des principales attractions touristiques berlinoises avait été fermé aux visiteurs et des policiers lourdement armés avaient été déployés dans les aéroports et les gares.
    Dans plusieurs conversations téléphoniques ultérieures, l’informateur était apparemment resté flou sur la nature de la menace. Il demandait des garanties de sécurité pour lui et sa famille ainsi qu’une grosse somme d’argent pour des informations supplémentaires. Les autorités allemandes n’étaient pas disposées à satisfaire à ces exigences.
    Depuis lors, le contact avec cet homme a été perdu à cause d’une bourde des autorités. Il y a quelques jours, il a attiré l’attention du personnel d’une compagnie aérienne quand il a acheté un billet d’avion. La compagnie aérienne s’était adressé à l’ambassade d’Allemagne locale pour savoir si le passeport du voyageur était authentique. Mais comme c’était le weekend et qu’aucun diplomate n’était joignable; elle n’a pas eu de réponse immédiate. Après ça, l’homme d’al Qaïda avait disparu.
    Certaines des mesures de sécurité introduites en raison de l’alerte de novembre ont déjà été allégées.



    Mercredi 23 Février 2011


    http://mounadil.wordpress.com/ http://mounadil.wordpress.com/

     

    http://www.alterinfo.net/Mode-d-emploi-pour-creer-une-alerte-terroriste-maximale-en-Allemagne-et-sans-doute-ailleurs_a55577.html


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  • Informations et manipulations


    La manipulation mentale évoque de sinistres choses. Il y a des siècles, les églises furent les premières à façonner nos pensées. Les souverains se sont servis des religions pour modeler nos esprits et nous imposer l’obéissance. Avant, il y avait l’Église qui distillait la bonne parole des puissants et maintenant il y a les médias, et quand on sait que près de 90% des médias appartiennent à seulement 3 hommes, proches du pouvoir … et amis de notre cher président : N.Sarkozy !


    Pendant la grande messe du 20 H les informations importantes sont noyées dans une masse de faits divers qui détournent l’attention du téléspectateur. Malgré cela beaucoup de sujets n’ont pas été traités, dommage ! Mais en matière de médias, rien n’est innocent, le silence moins que tout.


    Ce n’est pas parce que l’on ne parle pas de misère sociale que ça n’existe pas.


    Et ce n’est pas parce qu’ils l’ont « dit à la télé » que c’est forcément vrai !


    Les médias agissent à la manière d’une drogue, et accroissent la vulnérabilité des individus aux idéologies fabriquées à leur intention. Les images déconnectent l’individu du monde réel pour un monde virtuel. Ils façonnent nos esprits et la diffusion de séries américaines nous fait adopter progressivement la culture et les valeurs américaines. Et si le modèle anglo-saxon bat de l’aile, alors, les médias font l’apologie du modèle scandinave. Il ne faut pas laisser le temps au téléspectateur de se poser trop de questions, il ne faut surtout pas qu’il se dise : « et si finalement notre système n’était pas si mal que ça ? ».


    Préparer nos cerveaux au discours de l’idéologie dominante : voilà le rôle des médias !


    Une nouvelle technique de manipulation est apparue depuis quelques années : les sondages. Les instituts de sondage sont, pour la plupart, détenus par les patrons de presse qui sont très proches du pouvoir. L’IFOP est la propriété de L. Parisot. La présidente du MEDEF contrôle donc un organe de fabrication de l’opinion publique. Elle peut donc influencer les citoyens avec des pseudos sondages.


    Au bout de plusieurs années de dénigrement de la fonction publique, à la télé, à la radio, dans les journaux, par des pseudos reportages ou des réflexions d’animateurs et journalistes à la botte du pouvoir, le scénario est en place pour le dépeçage de l’état. Et le citoyen qui vient de perdre quelque chose d’essentiel pour lui, applaudit des deux mains à ce qu’il croit juste : la propagande a joué son rôle ! Il en est de même pour les retraites, la dette, les salaires, la santé, ou le travail du dimanche, l’individu manipulé est persuadé que les décisions prises sont justes et obligatoires. La propagande agit et lui enlève tout sens critique.


    Avant chaque élection, pour essayer de nous faire oublier l’essentiel, les médias, tous comme un seul homme nous parlent d'insécurité, d’immigration ou d’identité nationale. Une multitude de faits rendus plus horribles les uns que les autres sont commentés, analysés, répétés. Personne ne se soucie de leur véracité.


    Actuellement l’écologie est à la mode et si tous les médias nous parlent régulièrement d’écologie, ce n’est pas parce que nous sommes devenus subitement écolos. C’est simplement pour nous préparer à certaines réformes, certaines taxes qu’il va falloir justifier : le travail de manipulation a déjà commencé !


    Celui qui maîtrise les techniques de l’information peut manipuler l’opinion publique. Celui qui tient les rênes de l’information et des médias dirige en fait la société. Personne ne devrait posséder plus d’un moyen d’information : c’est une des conditions de la liberté !


    Article original publié sur http://2ccr.unblog.fr/


    Conscience Citoyenne Responsable


    AGORAVOX

    Très bon commentaire ici de pensesy:

     

    http://noxmail.us/Syl20Jonathan/?p=18041&cpage=1#comment-28777

    « Allumer la télé est un mouvement réflexe chez beaucoup de gens et les conditions de vie imposées par la société favorisent largement ce réflexe. C’est le serpent qui se mord la queue, c’est bien réfléchi par ceux à qui cela profite ; « du pain et des jeux », on n’en sort pas…

    Éteindre sa télé est un mouvement qui a été anticipé par une réflexion. Encore faut il avoir été correctement éduqué pour développer sa propre pensée

     

    Et maintenant on nous fait croire que nous voulons DSK, alors que c'est le candidat imposé par l'Oligarchie pour sauver le Système (et ses privilégiés),  et même l'enraciner ! (note d'eva)


     

    a-medias-menteurs.jpg


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  • Je viens de publier cela sur mon blog destiné aux Seniors :

    Vous pouvez en faire un tract, ce que vous voulez... eva

    (en citant juste la source)

     

     

    desinformation.jpg

     

    http://molex.unblog.fr/2010/10/17/

     

    Comment on se moque de vous,

    par eva R-sistons

     

     

    "Douce France" de Carla Bruni,

    "La France me manque" de DSK,

    complaisamment relayés par une presse

    ou une télé aux ordres, serviles.

    Impostures !

     

     

    Les Grands de ce monde ne vont pas vous avouer qu'ils ne tiennent compte ni de vos intérêts, ni de vos désirs, ni de vos besoins. Qu'ils ne pensent qu'à profiter de vous.

     

    Ils ne vont pas vous dire ce qu'ils font réellement pour continuer à garder le pouvoir contre VOS intérêts : Par exemple, mettre en scène de faux prétextes pour vous faire accepter les guerres qui tueront vos enfants et leur rapporteront gros (armes de destruction massive en Irak, conflits ethniques en Yougoslavie...), provoquer des crises financières pour que vous engraissiez les grosses banques, susciter de fausses pandémies pour inoculer des substances nocives dans les vaccins (programme de dépopulation déguisé en objectifs sanitaires) ou encore de faux attentats via la CIA afin de vous dresser contre les Arabes ou contre les Musulmans et ensuite, vous faire accepter les guerres, les chocs de civilisations qui permettront de piller les ressources convoitées. 

     

    Les Puissants de ce monde ne vous diront pas qu'ils ont conçu le 11 septembre pour vous faire peur, et ensuite vous faire accepter toutes les mesures de contrôle (à l'aéroport par exemple), toutes les lois contre vos libertés ou encore les guerres juteuses pour eux.

     

    Ils se garderont de vous dévoiler que les attentats terroristes sont créés de toutes pièces par la CIA et qu'Al Quaïda ne représente que 2000 membres ne pouvant rien contre l'Occident surarmé.

     

    Et de la même façon, après vous avoir dit que les Communistes allaient vous prendre votre maison afin que vous ne votiez pas pour ceux qui défendaient les intérêts des plus défavorisés, voici maintenant qu'ils suscitent en vous la peur de l'étranger, de l'Arabe, du Musulman, en brandissant la menace de quelques barbus ou de 200 femmes voilées !

     

    Votre colère contre les Ennemis du peuple (eux, c'et-à-dire ceux qui, tout en Haut, conçoivent une Europe ou une économie au service des Grandes Banques ou des Grands Industriels,  la destruction des emplois de la fonction publique, dans l'agriculture ou l'industrie, et les délocalisations là où la main-d'oeuvre est bon marché, ou encore la fin des services publics ou de proximité, la fin des protections sociales, d'une S.S. remboursant réellement les frais, etc) doit être détournée.  

     

    Il ne faut surtout pas que vous identifiez  les auteurs de vos ennuis, sinon vous pourriez voter contre eux, ou vous révolter...

     

    Non, on vous propose des boucs-émissaires : Hier le communiste, aujourd'hui l'Arabe. En espérant que vous votiez pour le Pouvoir, en pensant qu'il assurera votre sécurité, votre protection...

     

    Sarkozy est déconsidéré ? Or, le Pouvoir doit rester dans les mêmes mains. Car Sarkozy ou DSK, c'est blanc bonnet ou bonnet blanc.

     

    Strauss-Kahn, au FMI,  est celui qui orchestre l'austérité pour les peuples, la fin des protections sociales, des services publics, des emplois stables et correctement rétribués, etc, pour enrichir les Grandes banques et les PDG du CAC 40.

     

    Bref, vous devez "bien" voter, pour Sarkozy ou pour son "clone"  DSK.


     

    2012S

     

    http://large.canalblog.com/tag/DSK

    Voici une nouvelle campagne:

    Cette fois, pour vous faire croire

    que Sarkozy et DSK

    aiment la France, votre pays.


     

    Sarkozy et Carla Bruni, avant d'être là où ils sont aujourd'hui, confiaient volontiers qu'ils ne se sentaient pas Français. Lui d'origine hongroise, elle italienne.

     

    Quant à DSK, au micro d'une radio juive il a dit ceci: "Le matin, quand je me lève, je me demande comment je peux servir Israël, mon pays". Et c'est cet homme qui voudrait, maintenant, servir la France ?

     

    Alors, pour mieux vous manipuler, vous faire croire qu'ils aiment la France, les Médias vont répercuter certaines choses.

     

    Carla Bruni, brusquement, sort un "Douce France". Sans aimer notre pays ! Et DSK, champion de la communication, vieux renard, clame partout : "La France, au FMI, me manque". Faux ! Sa patrie est d'abord Israël, ensuite... celle de l'argent. Donc apatride ! 

     

    Citoyens, on se moque de vous !

     

    Tout est communication !  Imposture ! Mensonge !

     

    Ne vous laissez pas avoir par de fausses postures ou de fausses déclarations ! On vous ment, on abuse de vous, et de même que les Grands de ce monde se fichent pas mal de vous, les Médias sont vos ennemis, et mentent en permanence : Désinformation, mensonges, propagande... Ne leur faites pas confiance ! Informez-vous sur Internet !

     

    Votre eva

     

    Comment on vous manipule (via les Médias aux ordres du pouvoir)

     

    .

    e


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  • grenouille

    A méditer et à diffuser!!!

    http://lafeerhaisy.canalblog.com/archives/2008/07/14/9921224.html

     

     

    Voici la grenouille

    et l' autruche

    dans la société actuelle.


    Il y a quelques années, André Glücksmann prônait la désobéissance civile au sujet du scandale du sang contaminé, qui « n’aurait peut-être jamais existé si, quand il était encore temps, quelqu’un avait civilement désobéi. »


    Il est certain que le sang contaminé n’est qu’un exemple parmi bien d’autres : le nuage de Tchernobyl, le distilbène, l’amiante, l’encéphalopathie spongiforme bovine, l’hormone de croissance, les hormones dans la nourriture des animaux, les produits chimiques dans l’agriculture, les centaines de médicaments retirés parce qu’ils avaient tué, alors qu’ils avaient été mis sur le marché après de « longues études sur leur innocuité absolue ». Aucun des véritables responsables de ces délits n’a été sanctionné, excepté, parfois, quelques rares boucs émissaires.


    La liste les tueurs potentiels toujours en liberté s’allonge tous les jours mais la plupart des consommateurs de médicaments chimiques l’ignorent la plupart du temps, comme le dernier « petit » scandale de l’Avandia®, qui a été occulté ou presque par les médias alors qu’il pourrait être responsable de plus de 4 000 attaques cardiovasculaires et de 9 000 défaillances cardiaques annuellement aux États-Unis. Selon l'EMA, l'Avandia® ne devrait plus être vendu en Europe d'ici « quelques mois ». Pourquoi ces délais ?


    En janvier 2010, l'Afssaps a enfin supprimé le Sibutral®, utilisé pour le traitement de l'obésité car il réduit l'appétit, mais génère de nombreux effets secondaires graves comme l’hypertension artérielle et même des décès en raison de l'absence d'un suivi cardiovasculaire. Ces effets indésirables étaient connus depuis longtemps, parfois dès la mise sur le marché, ou prévisibles à cause de sa parenté chimique avec d’autres médicaments aux effets indésirables graves avérés. L'Italie a retiré le Sibutral® de ses pharmacies il y a 8 ans.


    Ces « petits » scandales n’ont pas autant mobilisé les médias que celui du Vioxx®, qui était utilisé par environ deux millions de patients dans le monde, il était retiré du marché, car on estimait alors qu’il était responsable d’environ 28 000 attaques cardiaques et décès depuis sa mise en vente en 1999. A présent, nous savons que le nombre d’accidents cardiaques, attaques ou décès, pourrait s’élever à près de 140 000, rien qu’aux États-Unis. Les décès concerneraient 30 à 40 % d’entre eux. Or, nous ne devons pas oublier que ce poison a été choisi en 2003 comme « médicament de l’année » par plus de 6 000 généralistes dans le cadre du Medec qui récompense le médicament le plus « performant » de l’année sur le plan de la santé.


    Tout cela pourrait être imputé à des erreurs involontaires, donc pardonnables, si on n’avait pas appris que le laboratoire avait donné à ses visiteurs médicaux des renseignements mensongers. Les résultats d’un procès qui a eu lieu en 2000 ont bien prouvé la collusion de Merck et de la FDA qui connaissaient l’existence des attaques cardiaques, alors que le laboratoire poursuivait la publicité pour son produit le soir à la télévision. Mais en France, où les laboratoires ont continué à le vendre et les médecins à le prescrire, l'Afssaps a déclaré : « Le risque de complication cardiovasculaire reste cependant faible et n'apparaît qu'à long terme. » Jusqu’à combien de morts le risque reste-t-il « faible » ? Nous sommes habitués à ce genre de protection depuis le désastre de Tchernobyl.


    En outre, les effets secondaires des médicaments sont souvent décelés avec de gros retards, et la liste initiale de ces effets étant rarement exhaustive, elle peut être remise en cause à tout moment, même des dizaines d’années plus tard. Ainsi, en mai 2006, un rapport édifiant signalait que le Distilbène dont le scandale est oublié depuis longtemps serait aussi à l’origine d’une véritable série de suicides. La justice a alors demandé une expertise scientifique, car « aucune recherche approfondie n’avait été lancée sur ce sujet ». Que faisait l’Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé) à l’époque ?


    Actuellement, c’est le Médiator® qui est sur la sellette, mais il n’est que la partie visible de l’iceberg car l’omerta, cette loi du silence imposée par une mafia, concerne également la vaccination contre l’hépatite B dont on refuse d’admettre les milliers de victimes, celle contre le papillomavirus, qui a pris comme cobayes des milliers de jeunes filles, ou l’autisme généré par certains vaccins mais qui n’intéresse guère nos députés. Sans compter la « grippette » porcine qui représente un scandale international mais n’a pas fini de faire parler d’elle car les accidents vaccinaux (et non grippaux) se manifesteront peu à peu et pendant longtemps.


    Qui est ou sera responsable des accidents ? Personne évidemment. Parfois, certains fabricants sont mis en examen, mais ils s’en tirent toujours à leur grand avantage et, surtout, aucun des responsables de la santé publique qui laissent faire sans jamais intervenir n’a été inquiété, ni les ministres de la Santé, ni les organismes chargés d’évaluer les risques sanitaires présentés par les médicaments, alors qu’ils sont tous grandement complices de la désinformation et des mensonges propagés par les fabricants et les medias.

     

    Il ne nous reste plus qu’à espérer que le grand public va enfin cesser d’écouter les nombreux experts, juge et partie, qui sont à la solde d’une industrie aussi aveugle que criminelle et sortira de son autisme avant que de nouvelles catastrophes ne se manifestent, comme c’est devenu une habitude dans notre pays et même dans le monde.

     

    Tous ces scandales ont de nombreux points communs et une même origine : l’appât du gain au détriment de la santé.

     

    Cependant, après chaque scandale, d’éminents « spécialistes » nantis de l’absolution générale nous expliquent avec des trémolos dans la voix que les décisions incriminées étaient justifiées par les « données actuelles de la science », d’autant qu’à présent, à la notion de « responsable mais pas coupable » s’est ajoutée celle de « coupable mais pas condamnable ». Au fil des ans, dans tous les pays, les catastrophes sanitaires connaissent les mêmes phases de déroulement. L’industrie nous abreuve d’informations venant de scientifiques corrompus qui produisent des contre-expertises truquées et, alors que les rapports de maladies et de décès se multiplient, nos gouvernants persistent à se référer aux expertises sécurisantes, à nier toute relation entre le produit et ses effets délétères, et interdisent aux scientifiques contestataires de s’exprimer en public, n’hésitant pas à discréditer leurs travaux.


    De toute manière, tant que les rares responsables condamnés ne le seront qu’à des amendes, si importantes soient-elles, ils récidiveront car le risque est loin d’égaler le bénéfice. Le seul moyen de les empêcher de nuire est de les emprisonner avec des condamnés de droit commun, comme toute personne ayant commis un crime.


    Dans son Carnet d’un biologiste, Jean Rostand constatait : « Je croyais qu’un savant était un homme qui cherche la vérité, alors que c’est souvent un homme qui vise une place ». Il est certain que tout scientifique consciencieux se pose des questions d’éthique à chaque moment, mais le consensus scientifique privilégie plutôt les recherches qui ne le perturbent pas trop, alors que le propre de la science devrait être de pouvoir sans cesse remettre en question des idées reçues. De la sorte, si notre société est loin d’être informée, les scientifiques eux-mêmes ne le sont pas de manière systématique. D’abord parce qu’ils ignorent souvent ce qui ne relève pas de leur strict domaine d’investigation, ensuite parce qu’ils n’ont pas toujours, dans ce même domaine, une vision univoque de la réalité.


    Si une grande partie des scientifiques et des professionnels de santé a perdu toute conscience c’est parce que notre époque est celle de la compétition et de la surconsommation dans laquelle le profit règne à tous les niveaux, et qu’ils se sentent à l’abri de toute critique grâce au lavage de cerveau infligé à la population générale.


    Il ne faut donc pas compter sur eux pour faire changer les choses, seuls les consommateurs peuvent agir. Or, dans son ouvrage Le Meilleur des mondes, écrit en 1932, Aldous Huxley prédisait l'avènement d'une dictature scientifique dont les sujets en viendraient à abandonner l'idée même de révolution. Visionnaire de génie, il décrivait une dictature parfaite qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s'évader et un système de dépendance où les esclaves, anesthésiés par la consommation et les divertissements, ne se poseraient aucune question et « aimeraient leur servitude ».


    En 1961, lors d’une conférence donnée à Santa Barbara, en Californie, au sujet du contrôle du comportement humain, Aldous Huxley confirmait ses propos et anticipait : «Il existera, dans la prochaine génération, une méthode pharmacologique pour que les gens chérissent leur servitude et génèrent, pour ainsi dire sans plaintes, une sorte de camp de concentration pour des sociétés entières, alors que les peuples verront leur liberté confisquée, mais s’en réjouiront plutôt, car ils seront dépouillés de tout désir de révolte par la propagande et le lavage de cerveau prodigué par des méthodes pharmaceutiques. Et cela sera la révolution finale. »


    Ne sommes-nous pas, aujourd’hui, dans ce « meilleur des mondes », où les informations frisent la propagande et le lavage de cerveau, où nos « gouvernants » s’érigent en maîtres à penser et ne supportent guère la contestation, et où le « bon peuple » est ravi de ne plus avoir à réfléchir puisque d’autres, évidemment « plus savants », le font pour lui.
    Les citoyens ignorent encore que les grandes écoles et les Académies nous enseignent le savoir, mais pas la connaissance qui est un don rare et inné et encore moins le simple bon sens, qui semble disparaître peu à peu au cours du parcours universitaire pour laisser la place au même enseignement stéréotypé dans toutes les disciplines.


    La religion et la politique sont considérées comme les deux principaux foyers d’endoctrinement, mais on peut leur ajouter la médecine moderne, qui n’est plus ni un art ni une science, comme elle le fut longtemps, mais une véritable religion car la confiance accordée de nos jours au corps médical relève plus du domaine de la foi et parfois même du fanatisme. On ne réfléchit plus, on « croit ». On écoute les diktats des « experts », la plupart du temps autoproclames, sans faire la moindre réserve quant à leur validité, oubliant souvent combien ceux-ci ont pu être démentis et ont même été au centre de certains scandales au cours des dernières années.


    De surcroît, tous les pouvoirs utilisent la peur pour mieux dominer, et ceux qui font profession de « savoir » pratiquent savamment cette stratégie parfaitement efficace qui permet d’obtenir la dépendance des citoyens.

     

    Comme le disait Machiavel : « Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de leurs âmes ».

     

     

    autruche


    Cet instrument de manipulation, qui permet d’abolir tout sens critique et d’exploiter la crédulité des populations en les maintenant dans l’ignorance des faits essentiels de l’existence, a toujours été utilisé, mais à présent il opère sur une plus grande échelle grâce aux multiples moyens de diffusion. Les religions nous ont appris à croire aux dogmes sans chercher à les comprendre. Nous persistons à appliquer cette règle bien établie en écoutant les injonctions de despotes, non plus religieux certes, mais tout aussi tyranniques. Et le dogmatisme médical actuel pourrait être comparé aux pratiques de l’Inquisition qui brûlait tout ce qui dépassait son entendement ou pouvait mettre en péril l’hégémonie de l’Église catholique.


    Le meilleur exemple et le plus récent est celui de la « pandémie » d’hystérie générée par la peur, savamment orchestrée, du modeste virus H1N1. Fort heureusement, nombreux sont ceux qui ont refusé d’être entraînés par cette folie collective, mais certains n’ont pas eu cette indépendance d’esprit que chacun d’entre nous devrait posséder et qui fait tellement défaut au commun des mortels.


    Alors que la majorité des populations mondiales a résisté aux menaces gouvernementales et médiatiques, des centaines de milliers de gens se sont tout de même précipités sur les centres de vaccinations, tendant le bras vers l’aiguille vénérée comme s’il s’agissait du Saint-Sacrement, sans se poser aucune question sur la sainteté du rite, se fiant seulement aux grands prêtres de la religion des vaccins qui voulaient les protéger des atteintes du diable, en l’occurrence le virus de la grippe. Les rites et les dogmes perdurent, seuls les dieux que l’on adore et le diable que l’on redoute ont changé de visage.


    Évidemment personne n’a dit que le diable était fabriqué de toute pièce par des pontifes à la solde de l’industrie qui nous menaçaient depuis plusieurs années d’une « pandémie » grippale, sans bien savoir laquelle.


    Il est surprenant de voir que dans notre pays où Voltaire et Diderot ont théoriquement détrôné la superstition et le fanatisme, la sagesse n’est guère de mise et les lavages de cerveaux qui vont bon train chez nous causent des dégâts irréparables.


    Comme l’avait remarqué le Dr Gustave Le Bon dans son ouvrage Les opinions et les croyances : « L’immense majorité des hommes ne possède guère que des opinions collectives. Les plus indépendants eux-mêmes professent généralement celles des groupes sociaux auxquels ils appartiennent. » À ses yeux, l'homme descend de plusieurs degrés sur l'échelle de la civilisation et devient un barbare dès qu'il fait partie d'une foule organisée. Il se laisse impressionner par des mots, des images qui n’auraient aucun impact sur chacun des individus isolés, mais en foule, il commet des actes contraires à ses intérêts les plus évidents et à ses habitudes les plus connues. Combien d’entre nous ont vraiment des opinions personnelles sur ces sujets et, dans ces cas, combien osent les exprimer ?


    Et le Dr Le Bon ajoutait : « L'individu en foule est un grain de sable au milieu d'autres grains de sable que le vent soulève à son gré. » Nous sommes comme ces grains de sable soulevés au gré des courants d’« informations » qui tourbillonnent autour de nous et balaient nos idées personnelles.


    Or dans De la désobéissance et autres essais, paru en 1982, le psychanalyste humaniste Erich Fromm nous prévenait : « L’homme qui ne peut qu’obéir est un esclave [...]. L’obéissance pourrait très bien être la cause de la fin de l’histoire humaine ». Nombreux sont ceux qui pensent de cette manière et s’inquiètent de l’obéissance passive de nos contemporains bien-pensants. Mais pour être libre, il faut être informé, et la véritable information ne circule, à vrai dire, que dans certains magazines à tirage limité, et sur Internet où elle est noyée dans un fourre-tout parfois inextricable. Aussi, devons-nous apprendre à devenir responsable, à ne pas céder à la crainte du jugement des autres, à la peur habilement distillée par des pouvoirs qui refusent de prévoir comment et pourquoi leurs brillantes inventions actuelles deviendront les calamités de demain, car la simple logique leur échappe. Quant aux technocrates, à l’instar des cartels de l’industrie, ils ne raisonnent qu’à court terme et refusent de prendre en compte les effets pernicieux engendrés par leurs décisions actuelles, mais qui n’apparaîtront qu’à long terme. Tous ces profiteurs semblent oublier leurs descendants qui risquent de payer très cher cette inconséquence et ce manque de conscience.


    Pourtant, comme le disait Sénèque au IVe siècle avant J.C. : « La sagesse ne demande pas beaucoup d’instruction », et il faut espérer que le bon sens n’a pas totalement déserté la planète, bien que, parfois, il soit légitime de se poser la question.


    Heureusement une partie de la population commence à prendre conscience que tous ceux qui détiennent un pouvoir en profitent impunément et que la plupart des hommes politiques sont, de gré ou de force, les otages des compagnies industrielles qui pourraient influencer leurs carrières.


    Toutefois, la majorité, non seulement des Français mais aussi des populations mondiales, est ravie de ne pas être informée et ne cherche surtout pas à l’être. Cela lui poserait de nombreux problèmes, l’obligerait à réfléchir alors qu’elle n’en a pas la moindre envie, et installerait chez elle des états d’âme, des peurs, des culpabilités et, surtout, risquerait de provoquer la remise en question de tout un système de vie et de pensée.


    Comme l’explique Noam Chomsky, philosophe radical de réputation internationale et professeur pendant plus de cinquante ans au MIT (Massachussets Institute of Technology) : « Les médias ne représentent qu'une toute petite partie de la vaste machine de propagande. Il existe un système d'endoctrinement et de contrôle beaucoup plus vaste, dont les médias ne sont qu'un rouage : l'école, l'intelligentsia, toute une panoplie d'institutions qui cherchent à influencer et à contrôler les opinions et les comportements, et dans une large mesure à maintenir les gens dans l'ignorance. »


    Pour sa part, Georges Bernanos avait, lui aussi, prévu ce qui nous attend si nous acceptons l’esclavage qu’on cherche à nous imposer. « Je pense depuis longtemps que si un jour les méthodes de destruction de plus en plus efficaces finissent par rayer notre espèce de la planète, ce ne sera pas la cruauté qui sera la cause de notre extinction, et moins encore, bien entendu, l’indignation qu’éveille la cruauté, ni même les représailles et la vengeance qu’elle s’attire, mais la docilité, l’absence de responsabilité de l’homme moderne, son acceptation vile et servile du moindre décret public.

     

    Les horreurs auxquelles nous avons assisté, les horreurs encore plus abominables auxquelles nous allons maintenant assister, ne signalent pas que les rebelles, les insubordonnés, les réfractaires sont de plus en plus nombreux dans le monde, mais plutôt qu’il y a de plus en plus d’hommes obéissants et dociles ». Bernanos avait un don de prophéties car, à cette époque, la situation était loin d’être aussi préoccupante que de nos jours.


    Devant la puissance financière des fabricants de médicaments, pesticides, herbicides, OGM et autres poisons, et la persistance méprisante de leur mainmise sur l’économie et la politique de santé, nous risquons d’être contraints à développer la désobéissance qui est une arme que n’apprécient ni les laboratoires ni les gouvernements qui les cautionnent. Dans notre lutte contre Goliath, le refus d’obéir aux ordres peut être la seule arme efficace.


    Toutefois, comme l’avait aussi constaté Gandhi, il est plus facile de croire ce qu’on nous affirme officiellement, de source « sûre », que de s’aventurer dans l’indépendance intellectuelle. En fait, le conformisme et l’inertie ont de tout temps été les plus sérieux obstacles à l’évolution de l’humanité.


    Ils sont nombreux à prôner une certaine désobéissance civique si elle peut contribuer à sauver la Terre et ses habitants. Déjà, au milieu du XIXe siècle, David Henry Thoreau, enseignant, philosophe, poète américain et écologiste avant l’heure prônait la résistance individuelle à un gouvernement qu’il jugeait injuste, qui tolérait l’esclavagisme et menait une guerre de conquête au Mexique, contre tous les droits individuels et contre toute morale. Il est considéré comme à l'origine du concept contemporain de non-violence. Dans son essai La Désobéissance civile Thoreau affirmait ses positions politiques et idéologiques et proposait une philosophie de résistance non violente qui influença des figures politiques, spirituelles ou littéraires telles que Léon Tolstoï, Gandhi et Martin Luther King.


    Olivier Clerc, écrivain et philosophe, s’est servi de la «métaphore de la grenouille » pour démontrer la situation actuelle. « Imaginez une marmite remplie d'eau froide dans laquelle nage tranquillement une grenouille. Le feu est allumé sous la marmite, l'eau chauffe doucement. Elle est bientôt tiède. La grenouille trouve cela plutôt agréable et continue à nager. La température continue à grimper. L'eau est maintenant chaude. C'est un peu plus que n'apprécie la grenouille, ça la fatigue un peu, mais elle ne s'affole pas pour autant. L’eau est cette fois vraiment chaude. La grenouille commence à trouver cela désagréable, mais elle s'est affaiblie, alors elle supporte et ne fait rien. La température continue à monter jusqu'au moment où la grenouille va tout simplement finir par cuire et mourir. Si la même grenouille avait été plongée directement dans l'eau à 50°, elle aurait immédiatement donné le coup de patte adéquat qui l'aurait éjectée aussitôt de la marmite. Cette expérience montre que, lorsqu'un changement s'effectue d'une manière suffisamment lente, il échappe à la conscience et ne suscite la plupart du temps aucune réaction, aucune opposition, aucune révolte ».

     

    Olivier Clerc compare l’humanité actuelle à cette grenouille. Il est exact que les prédateurs ne manquent pas, mais les victimes sont consentantes, soit par ignorance, soit par négligence. Et il pose la question : « Sommes-nous déjà à moitié cuits ? », puis il conseille : « Alors si vous n'êtes pas, comme la grenouille, déjà à moitié cuits, donnez le coup de patte salutaire avant qu'il ne soit trop tard. » Seule une petite minorité de personnes dont la conscience est bien éveillée est capable de donner le coup de patte salutaire. D’autres, bien que partisans de ce changement d’un monde qui n’est plus supportable, pratiquent la politique de l’autruche car ils estiment qu’il est déjà trop tard, que de toute façon, ils sont trop peu nombreux pour avoir un impact quelconque, et qu’il faudrait une majorité de gens impliqués dans ce processus pour faire pencher la balance.

    Ils ignorent sans doute que toutes les révolutions sont nées de petits groupes de citoyens déterminés, ce qui est logique, puisque selon la physique quantique nous sommes tous reliés.


    Nous n’avons ainsi plus beaucoup de choix : ou bien nous pratiquons la désobéissance civile ou bien nous rejoignons les esclaves qui chérissent leurs bourreaux, annoncés par Aldous Huxley.

     

    Sylvie Simon

     

     

     

    L'esclave libéré

    L'esclave libéré

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