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    Emmanuel Hoog Nouveau Directeur De L'AFP

    Encore un membre de la tribu Sarközy à un poste clef.

    Cooptés à tous les postes-clef.

    Il a été collaborateur de Jack Lang et de Laurent Fabius.

    Il est membre du "Comité de Surveillance" d'Arte

    où l'on retrouve BHL comme président.

     

    Hoog a publié aux éditions du Seuil Mémoire Année Zéro,

    compilation dans laquelle  « il oppose la  mémoire comme devoir,

    après la tragédie absolue de la Shoah,

    fondatrice de notre Europe (sic)

     et les sociétés
    techniques du « tout-mémoire » dans lesquelles

    le droit à l’oubli
    s’impose comme un absolu démocratique» (...)

     

    http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=12256


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  • Danger Média: influence, manipulation ...aliénation?
     
    inv
    Danger Média: influence, manipulation ...aliénation?
    inv
     
    Le récent débat sur l’immigration, et l’identité nationale, fut révélateur de l’aliénation populaire dont souffrent  les français à leur dépens et de l’emprise qu’exerce les médias. Car seul existe dans l’esprit du public ce qui existe dans les médias.


    En mettant en avant des évènements et en en occultant d’autres, ils nous présentent une réalité partielle, quand ils ne créent pas carrément dans le public une vision déformée de la réalité. Poussés par la recherche de l’audience la plus large et suivies par une partie de la presse, ils se permettent dangereusement d’accorder une place de choix dans leurs informations aux actes xénophobes, racistes, et chaque jour nous pouvons remarquer la vision étroite, et étroitement nationale, pour ne pas dire nationaliste, qu’ils ont de la politique.


    Leurs outils, radio, tv, journaux, se changent ainsi en d’ extraordinaires instruments d’oppression symbolique. Mais Comment en est-on arrivé là ?


    Les conditions: Le fait que les sujets soient imposés, et les conditions de communication sont les premières raisons de la difficulté de traiter une information correctement. La limitation du temps impose aussi au discours de nombreuses contraintes .


    Un contrôle politique :
     
    Le fait que l’état finance ou donne des subventions au monde audiovisuel à titre de « culture », est la face immergée de l’ iceberg, et là n’est pas notre problème. La face cachée, c’est l’influence du gouvernement sur le programme télévisuel qu’on nous propose entre autres. Est-ce une illusion ? Bien qu’il soit fait en sorte de cacher toute preuve de cette proximité, force est de constater qu’indéniablement, une autorité « élysée-ène » est exercée sur les émissions passées par les médias, sur les thèmes abordés, sur la façon de les aborder, et sur le traitement de l’information . La proximité de Nicolas Sarcozy avec les présidents de firmes que nous citerons plus loin, nous confirme notre sentiment : manipulation, censure , préférences pour telle ou telle personnalité, droit à la parole pour certains, privation d’antenne pour d’autres. Les exemples bien concrets sont multiples.


    Une grande précarité d’emploi dans les professions de la télévision, et de la radio, fait que la propension à la conformité est ainsi plus grande. Ce qui a pour résultat que les gens se conforment par une forme consciente ou inconsciente d’auto-censure, sans qu’il soit besoin de faire des rappels à l’ordre. Les journalistes en sont les premières victimes et se plient par crainte de perdre leur emploi, voir par peur de représailles et menaces. (Certains « qui dérangent » en font régulièrement les frais). Ainsi l’ on comprend que les gens qui participent au fonctionnement que nous détaillons, sont finalement manipulés autant que manipulateurs...


    La concurrence pour les parts de marché et la publicité:
     
    A cause de recherche continuelle d’annonceurs publicitaires, la tentation est grande pour les médias de ne considérer un sujet qu’à la lumière de sa capacité à faire de l’audience, car on le sait plus l’audience est élevée, plus les annonceurs payent cher pour une insertion. Si les informations sont banales et peu susceptibles d’attirer du monde (après tout, un chat perdu sur les toits on s’en fiche un peu), on leur fait dégager de l’émotion en mettant en scène l’inquiétude de la mamie propriétaire de la bête etc...


    Les affaires ! Ce qui passe à la tv, est déterminé par les gens qui la possèdent, par les annonceurs qui payent la publicité, par l’état qui donne des subventions, et surtout par les firmes, (par exemple TF1 est la propriété de Bouygues, ou Direct 8 de Bolloré) .
    En publiant des informations et en en occultant d’autres, connexes, les médias contribuent à créer un climat serein, qui favorise les affaires; et si par la force des choses, le climat n’est pas tout à fait serein, les médias s’emploient afin qu’il soit au moins rassurant au point de ne pas trop gêner les affaires.  C’est du pur calcul économique !


    Le mécanisme


    En deçà se cachent des mécanismes anonymes, invisibles, occultes, au travers duquel s’exercent des censures de toutes ordres, qui font de la télévision et des informations qu’elle véhicule  un formidable instrument de maintien de l’ordre public !


    Les prestidigitateurs, dont quelques uns sont cités plus haut : "firmes, grands patrons, états" ont un principe élémentaire: Attirer l’attention sur autre chose que ce qu’ils font !


    La télé prend du temps, du temps qui pourrait être employé à dire autre chose. On choisit des thèmes qui intéressent donc tout le monde, des thèmes polémiques (identité, immigration, musulman/ islamisme, banlieue) mais qui dans le fond … eh bien … ne touchent à rien d’important …


    Et si l’on emploie des minutes si précieuses, pour dire des choses si futiles c’est que … ces choses si futiles sont en fait très importantes, dans la mesure ou elles cachent des choses précieuses…. Vous suivez ?


    En mettant l’accent sur des faits divers, ou des polémiques, en remplissant notre temps avec… du vide, on écarte les informations pertinentes, celle qui peut être feraient taire justement ces polémiques... Et cacher en montrant autre chose, ou en montrant ce qu’il faut montrer mais en le rendant insignifiant, c’est construire l’information de telle manière qu'elle ne correspond plus du tout à la réalité, c’est à dire d’un point de vue émotionnel.


    Le fait que des dizaines de nouvelles chaînes de télévision ont vu le jour ces dernières années n’a pas favorisé l’éclosion d’une information plurielle. Que l’on regarde Tf1, fr2, Bfm ou i-télé, les informations se suivent et se ressemblent. Dans le contenu, bien sûr, mais aussi dans une certaine scénarisation croissante des sujets. Tel un film de cinéma, l’information est censée dégager de l’émotion afin de provoquer l’adhésion d’un plus grand nombre de téléspectateurs. L’évènement est donc mis en scène en exagérant l’importance, la gravité, le tragique, le dramatique.. sans oublier des mots qui créent le fantasme. Flaubert disait : « il faut peindre bien le médiocre », rendre extraordinaire l’ordinaire et spectaculaire, la banalité .


    Ainsi, par ce mécanisme, les médias ont une sorte de monopole de fait sur la formation des cerveaux d’une partie très importante de la population.


    Les idées reçues


    Les médias arrivent à penser à des conditions où personne ne pense plus, parce qu’ils pensent en fait par idées reçues . Etant donné que ces idées sont plus ou moins présentes dans l’imaginaire collectif,  il ne reste qu’à …. les attiser .


    Et vu que le souci du médium en terme de communication audiovisuelle  est la réception, c’est à dire que celui qui écoute, et regarde, ait le code pour décoder, avec des idées reçues, le problème ne se pose pas. Rien de mieux qu’un journal télévisé qui vient confirmer ce que tout le monde pense tout bas, donc parfaitement ajusté aux structures mentales.


    Conclusion


    La télévision est devenue en quelques décennies un véritable directeur de conscience, qui me dit ce qu’il faut penser, ce qu’ils appellent « les problèmes de société », qui je dois aimer ou détester, ce que je dois acheter et consommer, comment je dois m’habiller - et ouvrir les yeux sur cette réalité est essentiel, celle-ci nous encourage à regarder l’information d’un oeil nouveau .


    Finalement, la formule: « je ne crois que ce que je vois » n’a jamais été aussi appropriée que dans ce cas présent .
     
    Laura Asma 
     

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  • grippe-aviaire-j.jpg
     
    Certaines tactiques de suppression de la vérité
    Pour éviter les débats scientifiques


    Il y en a plusieurs autres, mais en voici quelques unes. Quand on connait ces tactiques, on n'est plus surpris des réponses des provaccins purs et durs, les arrogants. Ils ne sont pas très originaux dans leur manière de répondre.

    - Ignorer complètement les preuves ou arguments : comme se faire silencieux au sujet du rapport de Thomas Jefferson, du groupe Cochrane, au sujet de la vaccination contre la grippe saisonnière

    - Demander des solutions complètes.: « Avez-vous lu toute la littérature sur le sujet ? » ou « si tu veux enquêter au sujet de X parce que tu crois qu’il a tué Y, alors dis-moi donc quels sont ses motifs, comment il a fait, etc »

    - Focuser sur la personne, et non sur les preuves ou arguments. Tenter de discréditer les personnes en leur disant par exemple:  ‘vous n’êtes pas un expert en microbiologie pour parler ainsi’ ou ‘ce sont des gens de la biologie totale qui sont contre le vaccin h1n1, ce sont des complotistes et des charlatans’

    - Ridiculiser : ridiculiser internet comme si c’était une mauvaise source d’information, ridiculiser les gens qui s’opposent au vaccin h1n1 en les associant à des sectaires, illuminés, conspirationnistes.

    - Hit and Run : Je cite un exemple, Jean Barbeau microbiologiste qui m’a écrit sans plus d’explications : ‘Merci de m'envoyer toute cette littérature incomplète et citée hors contexte’.

    - Invoquer les autorités : ‘vous n’êtes pas un expert. L’OMS est une source crédible, entourée des meilleurs experts du monde entier, pas vous’
     
    Nathalie Roussy
    Nathalie Roussy

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  • enfant-calcine-tronc.jpg 

    Mis à Jour le : 15 janvier 2009  13:08
    Gaza : un médecin urgentiste français raconte l’horreur

    15 janvier 2009

    Le docteur Régis Garrigue, urgentiste au CHU de Lille en mission humanitaire à Gaza, raconte l’horreur de la situation dans des hôpitaux submergés de blessés graves, et dans lesquels tout manque pour soulager la douleur des victimes. « C’est une horreur, » dit-il, « il faut que les israéliens arrêtent d’appuyer sur le bouton des avions de chasse pour tuer des gens. » Audio, transcription et reportage photo.

     

    Témoignage du docteur Régis Garrigue recueilli par Charlotte Menegaux pour le Figaro, 14 janvier 2009

     

    [...] se prendre deux bombes à côté de l’hôpital, je viens de faire un vol plané. Ca va... j’ai un peu mal au crâne, mais...Dans les pièces où on est il n’y a plus de carreaux. On est dans un hôpital. Les hôpitaux ne sont même plus des refuges. [Ce sont] des conditions de guerre, avec des équipes palestiniennes qui sont exceptionnelles de courage, de bravoure. Ce sont eux les vrais sauveteurs. Nous avons des ambulanciers qui partent sous les bombes chercher des gens.

     

    Il n’y a rien ! C’est la misère, c’est une catastrophe. Il n’y a pas à manger, pour nous non plus d’ailleurs. Il n’y a pas de matériel médical, très peu de matériel chirurgical, orthopédique, alors qu’il y a énormément de fractures, d’amputations.

     

    Sur l’hôpital central il n’y a plus de pansements, à Shifa il n’y a plus de quoi faire les pansements pour les enfants pour les plaies. Il n’y a plus aucun médicament, quasiment, contre la douleur. Rien...

     

     

    VIDEO

     

    Quand on est médecin et qu’on doit faire un pansement à une petite fille avec la moitié de la jambe arrachée et qu’il n’y a pas de morphine, c’est terrifiant.

     

    Il y a deux niveaux. Il y a un niveau d’horreur qui est celui de l’arrivée des urgences. Aujourd’hui on a vu des bébés de trois mois morts, des mecs qui arrivaient sans tête, avec ce cortège de drames. Ce sont des familles entières qui sont décimées, c’est toujours deux, trois personnes en ce moment.. [inaudible] .

     

    Et puis il y a ce qui se passe dans les étages, après, quand les gens ont été opérés, ils sont livrés à eux-mêmes. C’est quatre infirmiers pour trente malades qui nécessitent chacun une à deux heures de soins de pansements, sans antibiotiques, dans une putréfaction terrible...

    On est en train de les laisser mourir. Ceux qui ne seront pas morts... que l’armée israélienne n’aura pas tués directement, ils vont les tuer à petit feu par.... Ça a encore pété... il vont les tuer à petit feu par l’infection et en les laissant [inaudible].

     

    Donc voilà, c’est une horreur. Il faut que les israéliens arrêtent d’appuyer sur le bouton des avions de chasse pour tuer des gens.

     

    On a vu avec notre ami chirurgien, on a vu encore des jeunes gens amputés des jambes, pourquoi faire ? Ce ne sont pas des combattants.

    Les enfants de trois mois, ceux qu’on a vus, ce ne sont vraiment pas des combattants.

     

    On est, je dirais, bloqué dans Gaza. On travaille, on essaye de voir ce que l’on peut faire. On essaye de faire venir d’autres équipes, mais c’est très très dangereux, La violence, pas des combats, la violence de l’attaque israélienne fait que c’est quasiment impossible de travailler en tant qu’humanitaire. On peut le faire, on y arrive. C’est très très difficile.

     

    http://contreinfo.info/article.php3?id_article=2496

     

     

    A relayer !!!!


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  • Nullité de la presse française

     

     


    Les français sont vantards et cocardiers au point de croire en cette fiction de leur suprématie dans le domaine des droits de l'homme et dans la qualité de leur presse.
    Chaque jour, la semaine dernière, je lisais El Pais en admirant ce qu'était un journal: Largement 5 fois plus d'informations que dans le Monde et bien davantage d'articles de fonds, de débats et de tribunes.
    Même un journal moins prestigieux, El Périodico, avait plus de densité que n'importe quel quotidien de notre incomparable grande nation.
    Il faut dire que ce journal, vendredi, évoquait les "rumeurs" concernant notre famille royale sur 3/4 de pages, sans ragots et en rappelant l'historique de l'affaire. (A ce propos, retenons ce qu'en dit désormais notre Président: "Tout ceci est très exagéré". Dont acte. Mais l'exagération n'étant qu'un grossissement de la réalité, le voici qui avoue ce qu'il voulait faire taire, non?)
    Mais revenons à notre presse dite "sérieuse".
    Dans un dossier sur les retraites, le Monde du 13 avril publie une enquête reposant sur des personnages présentés comme réels et illustrant quelques catégories: le cadre, l'ouvrier, la cadre, l'employée, le fonctionnaire.
    Arrêtons nous sur ce dernier exemple qui démontre la désinformation à l'oeuvre dans cet article. Car on a beau s'interroger dans le même journal sur l'éthique des "infiltrés"à la télévision ou se pincer le nez sur les "dérapages" ou"la vie privée" à grand renfort de moralisme pour censurer ce qui doit l'être, le Monde est souvent à l'avant-garde de la manipulation et du mensonge.
    Ce fonctionnaire est donc présenté comme "Professeur des Ecoles" de 50 ans avec un salaire brut de ...3475 Euros!
    Il faudrait donc que ce fonctionnaire soit rémunéré dans les ultimes échelons de la hors classe... ce qui serait, au mieux, rarissime mais plus vraisemblablement impossible. Le cas le plus courant pour quelqu'un dans cette situation serait un salaire brut de 2811 Euros. Soit 2200 Euros net et pas de treizième mois. (J'entendais un Présentateur dire récemment dans un journal télévisé à propos de la Grèce:"Que dirions-nous si l'on supprimait en France le treizième et le quatorzième mois des fonctionnaires?" Chiche!)
    La même journaliste parle de 8% de primes... Ah, bon! Dans ce cas, il s'agirait d'un Directeur d'école mais pas un mot dans l'article! On nous dit, pour bien souligner le privilège du fonctionnaire: "Son espérance de vie à la naissance est de 81 ans"Comme si le travail de l'instituteur était le même aujourd'hui qu'il y a 50 ans!
    Bref tout ceci est absurde, malhonnête et indigne : la journaliste invente un fonctionnaire qui n'existe pas ou bien seulement dans une "cellule propagande" de l'Education Nationale qui distribue ces fictions aux journaux qui les publient sans sourciller.
    Alors de grâce, plutôt que de vous acharner sur des blogs qui sont réalisés par des gens qui écrivent pour un peu plus de vérité mais jamais pour l'argent ou un autre maître, commencez, Messieurs et Mesdames les Journalistes , à apprendre votre métier.
    Mais il est vrai qu'en bons caniches, vous avez votre niche fiscale. Pas vrai?

    Publié par HERMES à l'adresse 14:08

     

    http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=12226#12226


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