• Par hasard, je suis tombée (via la recherche d'une image sur Google) sur un ancien ( 7.11.2009) article de mon blog R-sistons, le voici (eva)


     

      http://www.communisme-bolchevisme.net/images_urss_albanie_ddr.htm

    Sur le gratte-ciel en haut à droite "Wall Street".

    A gauche, en haut "liberté de la presse" à travers un porte-voix qui produit tous les journaux (les canards) ; en bas "liberté d'opinion" sur un arrière plan de prison...

    À droite, en haut "liberté individuelle" devant un arbre auquel est pendu un noir, des membres armés et cagoulés du Ku-Klu-Klan ; en bas "liberté de réunion et de manifestation" un camion bourré de policiers et de soldats fonce sur une manifestation.



           




     

    Nos médias sont "staliniens" !
    Anticommunisme primaire.
    La guerre froide rallumée
    Par Eva R-sistons


    Nous savions que les médias sont aux ordres de l'oligarchie financière et militaire. Nous savions qu'ils utilisent la redevance, donc nos sous, contre nos intérêts, en faveur de l'ultralibéralisme meurtrier et des guerres néo-coloniales, afin d' enrichir les plus nantis. Mais jamais, même dans l'URSS "stalinienne", de tels moyens n'ont été déployés pour dénoncer le communisme qui a constitué une alternative sociale au capitalisme qui opère un immense transfert du Sud vers le Nord, et des citoyens les plus modestes vers les plus favorisés, quitte à entraîner des tragédies effroyables sur toute la planète.

    Et aujourd'hui, afin de réaliser encore plus de profits, le libéralisme sollicite les citoyens pour renflouer les banques, il s'en prend aux dernières protections sociales, il diminue les salaires (avec un prétexte tout trouvé, la crise), il aggrave les conditions de travail, il ponctionne les classes moyennes, et cynisme suprême, il ose désormais s'attaquer au secteur alimentaire, en spéculant sur les matières premières et en investissant dans les bio-carburants, qui alimenteront les réservoirs d'essence du Nord en aggravant la famine au Sud. 

    Les citoyens sont de plus en plus spoliés, écrasés, piétinés, pressurés, sacrifiés, et ils commencent à réaliser que la Mondialisation présentée comme horizon incontournable pour l'humanité, et soi-disant bénéfique pour tous, est en réalité un piège pour tous ceux qui ne sont pas au sommet de la société.  

    Tous les jours, les peuples subissent les effets négatifs, pervers, destructeurs, d'un capitalisme d'ailleurs de moins en moins réel, d'entreprise, et de plus en plus financier, spéculatif; Et d'instinct, ils se méfient de plus en plus du libéralisme. Bref, ils commencent sérieusement à comprendre qu'ils ont été floués, que le capitalisme ne peut leur valoir que des malheurs, et qu'il faut trouver une solution alternative.  De quel côté se tourner ? La tentation est de plus en plus grande de redécouvrir Marx, le socialisme, et même le communisme tant décrié par l'Occident. Les financiers qui, bien que non élus, se sont arrogés le droit de diriger les affaires du monde, ont flairé le danger. Et c'est ainsi qu'ils se saisissent de l'anniversaire de la chute du Mur de Berlin pour lancer une campagne sans précédent contre le communisme, rival potentiel du capitalisme, qui recouvre des couleurs, et pour cause: De plus en plus de citoyens regrettent l'heureux temps où TOUS avaient un travail, un toit, et les équipements sociaux nécessaires à la bonne marche d'une société et à l'épanouissement d'un individu.  Qui leur laisse la parole ? Qui organise des débats, des confrontations entre tenants des deux systèmes ? Personne. Au contraire ! Nos médias sont colonisés par les partisans du libéralisme le plus débridé, et ils se sont lancés dans une campagne permanente, d'une rare violence et d'une rare mauvaise foi, contre tout ce qui de près ou de loin pourrait donner une image positive du communisme, rétablir la vérité, permettre au citoyen de se faire lui-même une idée. 

    Il faut d'ailleurs noter  que très judicieusement, les livres d'histoire - comme l'industrie du cinéma - ont été pris en mains, écrits, supervisés, pilotés, par des citoyens juifs, libéraux, pro-américains, et hantés par la Shoa (de leur communauté seulement, alors que les Tsiganes ont été plus meurtris qu'eux, ainsi que les personnes handicapées mentales ou les homosexuels). Ainsi, toute l'Histoire est-elle réecrite de façon à dresser nos chères têtes blondes contre les gouvernements populaires, communistes ou apparentés. Il s'agit, comme aujourd'hui dans les Médias à l'occasion de la chute du Mur de Berlin, de discréditer tout ce qui n'est pas l'Occident, le capitalisme, l'Amérique.... au mépris de la vérité, de la neutralité, du pluralisme, de l'honnêteté la plus élémentaire. Et en utilisant comme actuellement les procédés les plus "staliniens" ... tant décriés !
     
    A l'occasion de la Chute du Mur de Berlin, au moment où les journalistes courtisans font l'apologie du monde "libre", nous assistons en réalité, paradoxalement, à une campagne sans précédent de dénigrement du système rival. En utlisant les procédés que l'on reproche au Système communiste ! Rarement les Médias n'auront autant fait preuve de mauvaise foi, de complaisance, de duplicité. Il faut impérativement dénoncer partout l'imposture, alerter les citoyens, rétablir la vérité ! Non, le communisme n'est pas un système pervers, j'ai moi-même été, en URSS, témoin de ses innombrables bienfaits ! (voir mon article
    http://r-sistons.over-blog.com/article-du-mur-de-berlin-au-mur-de-l-argent-le-vrai-communisme-mediamensonges-38715238.html)

    Des citoyens ont pris l'initiative d'écrire au CSA pour demander que Justice soit faite en matière de temps de parole, de droits de l'opposition, de droit de réponse. Car l'identité française, ce sont d'abord les valeurs républicaines de liberté, d'EGALITE, de fraternité.

    Au-dessus de nos têtes, dans les coulisses, une terrible bataille a commencé. Idéologique. Pour nous dire comment penser, pour nous priver de notre liberté d'appréciation.

    Le Système capitaliste ne cesse de se déconsidérer. Il épouse, en les aggravant, les inconvénients du Système soviétique, sans en offrir les innombrables avantages. 

    Il est temps de désamorcer cette bombe à retardement sur nos vies, sur nos libertés, et de rétablir la vérité. 

    Et la vérité, c'est qu'aucun Système n'est aussi dangereux pour les citoyens que le capitalisme, surtout financier comme aujourd'hui.  En pleine désinformation, j'ose le dire: Les commémorations de la Chute du Mur de Berlin devraient au contraire nous ouvrir à d'autres perspectives. Et nous inciter à redécouvrir le système communiste si décrié dans les Médias. Faut-il d'ailleurs rappeler que le christianisme le présente comme le système le plus adapté à la condition humaine ? "Les (premiers) chrétiens n'avaient qu'un seul coeur et qu'une seule âme. Ils mettaient tous leurs biens en commmun, et les répartissaient à chacun selon ses besoins" (Bible, Actes 3). 

    En tous cas, l'intense campagne médiatique de propagande contre le communisme, prouve que le capitalisme est aux abois. Ayant fait la preuve de sa perversité, de sa nocivité, concrètement, il ne peut plus se maintenir que par le mensonge, la désinformation, la manipulation.










    Les Russes ont libéré le monde du nazisme (20 millions de morts), les Américains (300.000 morts en 44) veulent l'imposer aujourd'hui à la planète,  totalitarisme bancaire, raciste, eugénique, militaro-financier.



    Une fois de plus, nous devons nous improviser nous-mêmes journalistes, et informer nos concitoyens. La vérité doit éclater ! De même que ceux qui nous ont sauvé du nazisme ne sont pas Américains mais bien Russes, le communisme ne mérite pas d'être diabolisé. Au contraire, malgré ses défauts, il a représenté une immense espérance et une formidable alternative.  

    Il est temps que l'imposture éclate au grand jour !

    Eva R-sistons aux médiamensonges et à la propagande.  




     








    Harcèlement médiatique anticommuniste :
    Une lettre adressée au CSA  


    La lettre de citoyens excédés au CSA


    Vous lirez, ci-dessous, la lettre adressée par le Comité Internationaliste pour la Solidarité de Classe (CISC)
    à Monsieur  le président du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel 
     


    Objet: protestation contre la campagne anticommuniste sur les médias publics. Demande d’intervention du CISC dans les médias au titre du pluralisme et du droit de réponse.


    Monsieur le Président,

    Une indécente campagne totalitaire(1)et grossièrement manichéenne de diffamation contre l'histoire, les idéaux et les militants du Mouvement communiste international, est actuellement menée à l'occasion du 20ème anniversaire de la rupture de la frontière berlinoise de la RDA. A notre connaissance, le CSA, pourtant charger de faire régner le pluralisme sur les ondes, est resté silencieux devant cette infamie.




    Affiche soviétique
    : La'liberté' de la presse bourgeoise (1931)


    Tous les jours, à chaque heure de la journée, sur toutes les chaînes privées et publiques payées par l'argent de tous les citoyens et de tous les consommateurs, est propagée une présentation caricaturale, foncièrement partiale et dénuée d’objectivité historique, des évènements qui entourèrent  l’érection puis la chute du mur de Berlin.
    Nul souci de montrer que ce mur, dont la signification tragique renvoie aux tensions planétaires des années soixante, fut érigé dans les conditions d'une guerre froide qui pouvait à tout moment dégénérer en conflit nucléaire mondial. Rien à notre connaissance, dans les présentations caricaturales qui ont été proposées jusqu’ici dans les médias, ne permet aux Français de savoir que la division de l'Allemagne résulta du refus des Occidentaux d'accepter la proposition soviétique de mettre en place une Allemagne unifiée, démilitarisée et sérieusement dénazifiée. Rien qui permette de comprendre que le "mur" fut une réponse tardive de la RDA et du camp socialiste à la tentative permanente de l'Occident de déstabiliser l'Allemagne socialiste. Rien qui permette de comprendre que la RDA était alors un pays pauvre, qui finissait de régler ses dettes de guerre à l'URSS, alors que la RFA fut dispensée par l’Ouest de régler ses réparations et que le "miracle allemand" dut beaucoup au plan Marshall et à la remilitarisation de l’Allemagne capitaliste en tant que pays de la « ligne de front » antisoviétique.
    Rien qui permette à la jeunesse d’apprendre que la création de l'OTAN a précédé de loin celle du Pacte de Varsovie, de même que la création unilatérale de la RFA par ses occupants occidentaux, suivie du rattachement illégal de Berlin-Ouest à la RFA capitaliste, a précédé et suscité la création de la RDA sur l'ex-zone d'occupation soviétique. Rien non plus pour indiquer aux usagers du service public que les acquis sociaux, éducatifs, sanitaires, culturels (le pays de Brecht !) et civilisationnels de la RDA (égalité hommes/femmes garantie par l’emploi massif des femmes et par les crèches d’entreprise) étaient très importants : c’est pourquoi la majorité d’« Ossis » qui juge positivement le bilan du socialisme, n’est pas constituée de "nostalgiques" sentimentaux ; comme en Russie, où selon les sondages, 80% des citoyens jugent le « socialisme supérieur au capitalisme », ces Allemands de l’est comparent, expérience faite, ce que leur a apporté le capitalisme (chômage de masse, destruction acharnée de leur mémoire, disparition des solidarités, réunification vécue comme une annexion, chasse aux sorcières et licenciement pour délit d'opinion de milliers d' enseignants et de cadres "Ossis" remplacés par des "Wessis", « retraites de punition » pour les vétérans communistes, etc.) à ce que leur assurait le socialisme en matière de solidarité sociale.

    Et cela ne signifie pas qu’ils ferment les yeux sur les manquements, contradictions, défauts et déformations (E. Honecker a livré ses propres analyses sur ce point dans ses "Moabiter Notizen") dont ce socialisme de première génération fut porteur dans les conditions très
    difficiles que l'Occident lui a constamment faites (course aux armements incessante, concurrence entre deux camps inégaux du point de vue de la puissance économique, pression anticommuniste permanente, pression permanente sur Berlin qui était la « ville-front » où s’affrontaient le plus directement le système capitaliste et le système socialiste).





    N
    ous sommes tout spécialement outrés de la décision des chaînes publiques de transformer le lundi 9 novembre en lundi brun de l'anticommunisme d'Etat obligatoire : ce jour-là, en tout « pluralisme anti-totalitaire», les auditeurs auront le « choix » entre l'anticommunisme et l'anticommunisme, toutes les chaînes offrant le même programme. Jamais dans ces ex-pays socialistes qu'on accuse de totalitarisme on n'est allé si loin dans le conditionnement idéologique. Cette charge totalitairement anticommuniste contre le "communisme totalitaire" serait risible si elle ne cachait une entreprise continentale de criminalisation du communisme, de chasse aux sorcières et de réhabilitation insidieuse du fascisme, qui prend de l'ampleur dans toute l'Europe supranationale et dans nombre d'Etats de l'UE, dont la France.

    On assiste en effet ces derniers temps, sans que les médias en disent rien, à la mise en place de lois scélérates amalgamant le communisme au nazisme, quitte à banaliser le second tout en avilissant le premier. Ce n'est pas seulement une insulte aux Soviétiques (près de 30 millions !), et spécialement de communistes soviétiques, qui donnèrent leur vie pour permettre à l'Armée rouge d'écraser les nazis, de prendre seule Berlin et d’y faire flotter le drapeau rouge, mais c'est une injure aux communistes français qui moururent par milliers pour libérer la France des nazis, et dont de nombreux monuments portent trace de Chateaubriand au Mont-Valérien en passant par la Citadelle d’Arras. C’est aussi une insulte aux victimes du génocide hitlérien qu’il est indigne de banaliser et dont maint survivant doit la vie aux libérateurs de l’Armée rouge. C'est une insulte aussi le Général De Gaulle qui déclara en 1966 : "les Français savent que la Russie soviétique a joué le rôle principal dans leur libération".

    Enfin, c'est une menace pour les libertés car à l'abri de cette campagne de négation de l'histoire, qui permet à Hitler de prendre une revanche posthume sur les "rouges" allemands qui furent ses opposants les plus déterminés, des mesures liberticides sont prises partout, ou sont sur le point d’être prises dans l’Europe de Maastricht, pour réprimer les partis communistes.

    A terme de telles mesures menaceront toute opposition à l'U.E., toute forme de syndicalisme de classe, toute forme de militance anticapitaliste, comme c’est déjà le cas en ex-RDA, en Hongrie, en Tchéquie, dans les pays baltes où les ex-Waffen SS bénéficient de la complaisance scandaleuse des autorités.

    Et quand chez nous on honore Guy Moquet, c’est en cachant aux lycéens qu’il fut réprimé en vertu de lois anticommunistes antérieures à l’Occupation (le décret Sérol), du même genre que celle que voudraient raviver en Europe des dirigeants italiens ouvertement nostalgiques de Mussolini.




    D
    e manière plus générale, comme de très nombreux citoyens,
    nous sommes excédés par ces campagnes médiatiques harcelantes qui durent des semaines et où un seul thème bien-pensant est martelé en violation du droit à la différence, à la pensée libre et au droit de chacun d'entendre des arguments contradictoires pour forger sa propre conviction politique.

    Qui donc décide en haut lieu que pendant des semaines on martèlera sur les ondes, tantôt que le communisme est intrinsèquement pervers, tantôt (après le 11 septembre) que "nous sommes tous américains", tantôt que les Français doivent toutes affaires cessantes se passionner pendant des jours aux présidentielles américaines, etc.
    Qui décide d’embrigader ainsi notre jeunesse ? Trouverait-on en haut lieu que cette jeunesse est encore trop rebelle, trop anticapitaliste et insuffisamment « européenne » comme elle l’a certes montré lors du référendum de mai 2005, des luttes anti-CPE et des européennes…?


    Quand les médias se décideront-ils à laisser les gens penser par eux-mêmes au pays de Descartes ?
    Qu'est-ce qui fait que, par ex., on consacre des milliers d'heures d'émission à sens unique au mur de Berlin alors qu'on évoque à peine, et sans les dénoncer franchement, ces "murs de la honte » bien réels et très actuels qu’ont érigés les puissances dominantes du monde capitaliste- : mur construit par Israël pour ghettoïser le peuple de Palestine, mur érigé pour empêcher la réunification pacifique des deux Corée, barbelés séparant les riches USA des pauvres du Mexique, murs invisibles protégeant « l’Europe-forteresse » des « dangereux immigrés » qui fuient la faim créée chez eux par les spéculateurs du monde capitaliste…

    Pourquoi ce
    « deux poids, deux mesures » permanent, sinon parce que les grands médias ne défendent pas les droits de l’homme, mais le CAPITALISME ?




     

    Dans ces conditions, nous exigeons, en tant que citoyens ayant droit à la libre expression de leurs opinions, que l’opération totalitaire de lundi 9 novembre une journée entière sur le mur de Berlin avec programme unique et à sens unique de toutes les radios de Radio-France !), soit annulée et qu’un débat contradictoire et « à armes égales » soit organisé à une heure de grande écoute sur les médias publics à propos du bilan comparatif du « socialisme réel » et de la restauration capitaliste à l’Est. Et qu’on n’inverse pas les choses en disant que notre modeste organisation, constamment censurée ou caricaturée depuis sa fondation, appelle à la censure : elle appelle au contraire au respect du PLURALISME et à la RUPTURE DE LA CENSURE qui frappe les communistes (exceptés ceux qui font profession d’autoflagellant !).



      


    N
    ous demandons aussi que l'un ou plusieurs d'entre nous soi(en)t invité(s) à une heure de grande écoute lundi 9 novembre pour présenter le "livre noir de l'anticommunisme
    "
    édité par notre comité avec la participation de plusieurs PC : au nom de quoi les auteurs très controversés du « livre noir du communisme » (sic) bénéficieraient-ils d’un quasi-monopole d’expression ? Y aurait-t-il une vérité historique officielle en France ? Et qu'on ne nous dise pas que le harcèlement médiatique anticommuniste est mené sous le contrôle scientifique d’historiens au-dessus de tout soupçon : à notre connaissance, aucun historien NON ANTISOVIETIQUE n'a été récemment accueilli sur les chaînes ; à aucun moment on n'a entendu à une heure de grande écoute d’anciens dirigeants NON REPENTIS de la RDA évoquer leur bilan.

    Qu'est-ce donc que ce procès anticommuniste permanent où la parole n'est jamais accordée qu'à l'accusation,
    sauf à dose homéopathique et en dehors des heures de grande écoute ? 




    N
    ous demandons aussi que
    les médias permettent à ses organisateurs d’annoncer le rassemblement du 7 novembre à Paris à 15 heures, devant le métro Stalingrad, en l'honneur du 92ème anniversaire de la Révolution d'Octobre et avec le soutien du PRCF, de l'URCF, du RCC, de G. Hage, de dirigeants locaux ou nationaux du PCF, et la participation des PC de Grèce, de Cuba, d’Algérie, du PC Brésilien, des défenseurs allemands du Mémorial Ernst Thälmann, le président du KPD assassiné par les nazis, un monument dont le démontage est en cours.


    Cela ne compensera pas pour autant l'énorme déséquilibre médiatique qui est créé pour discréditer le communisme à une époque où le capitalisme fait chaque jour un peu plus, y compris dans notre pays, la preuve de sa nocivité pour les acquis sociaux, l'emploi, les conditions de vie des travailleurs, le pouvoir d’achat populaire, la souveraineté des peuples, les libertés et la paix.

    On connaît le mot célèbre: "quand ils s'en sont pris aux communistes, je n'ai rien dit, je n'étais pas communiste... Quand ils ont arrêté les Juifs, je n’ai pas bougé, je n’étais pas juif  (…) ; quand ils sont venus me chercher, il n'y avait plus personne pour me défendre"...


    Que nul ne dise à nouveau un jour qu'il ne savait pas, surtout parmi ceux qui sont payés pour défendre le pluralisme et la liberté et qui propagent en réalité jusqu’à l’écoeurement la « pensée unique » anticommuniste. 


    (1) Au sens que l’idéologie dominante donne à ce mot.
     

    Veuillez agréer, Monsieur le Président, l'assurance de notre vigilance indignée.

    pour le CISC, Vincent Flament et Georges Gastaud, avec le soutien de Landini Léon - Officier Lég. d'honneur – Méd. de la Résistance - Grand Mutilé de Guerre - décoré par L'URSS - Officier FTP-MOI. Roussel René – Chev. Lég. d'Honneur – Méd. de la Résistance - Croix de Guerre – Resp. cadres FTP Zone Sud - Liquidateur Nat. auprès du ministère des Armées du Front National pour la Libération de la France - des FTPF et FTP-MOI. Tchakarian Arsène – Chev. de la Lég. d'Honneur -  Croix de Guerre – Compagnon de Manouchian aux seins des FTP-MOI de la RP. Pranchère Pierre, a. député, a. FTPF des Maquis de Corrèze ; Hage Georges, a. député du nord ; Hemmen Jean-Pierre,  fils de Jean Hemmen membre du C.C. des J.C., commissaire pol. des Brigades Internationales, commandant FTPF fusillé au Mont Valérien (médaille de la Résistance, médaille de C.V. de la Résistance à titre posthume). 

    http://eldiablo.over-blog.org/article-harcelement-mediatique-anticommuniste-une-lettre-adressee-au-c-s-a--38909345.html




    Pouvoir populaire, ou des financiers ??? 






    http://www.communisme-bolchevisme.net/images_photos_communisme_socialisme.htm


    Médias occidentaux "staliniens" - Lettre au CSA - L'"ami" américain

    http://r-sistons.over-blog.com/article-honteuse-propagande-stalinienne-dans-les-medias-lettre-au-csa-38913494.html


    votre commentaire
  •  

    http://2villepin.free.fr/

     

    .

     

    La déclaration de Dominique de Villepin

    "Comme gaulliste, je ne peux que regretter que l'UMP s'éloigne tous les jours davantage des valeurs du gaullisme.

    Comme gaulliste, je crois aux valeurs du rassemblement ; or je constate malheureusement que c'est davantage un esprit de division qui est mis en avant.

    Comme gaulliste, je crois à l'importance des valeurs de justice sociale, et malheureusement ces valeurs ne sont pas au rendez-vous.

    Comme gaulliste, je crois au service de l'Etat, alors que l'Etat est trop souvent méprisé.

    Et comme gaulliste, je crois à une certaine idée de la France, alors que, nous le voyons, la diplomatie française s'efface trop souvent de la scène mondiale".

    Dominique de Villepin va quitter l'UMP et vise 2012

    L'annonce a été presque trop discrète, faite au détour d'une réponse à un étudiant d'une école de commerce lyonnaise, que Dominique de Villepin visitait mardi. Comme une confidence, l'ancien premier ministre révélait qu'il ne renouvellera pas son adhésion à l'UMP en 2011, évoquant un «décalage croissant entre les idées qui sont défendues par le parti majoritaire et les Français». La presse n'ayant pas repris l'information dans la foulée, il faudra que l'équipe de Dominique de Villepin la répande sur Facebook et Twitter et le site officiel de République solidaire pour que l'engouement médiatique se crée.

    C'est finalement Brigitte Girardin, secrétaire générale de la formation villepiniste, qui a officialisé mercredi matin l'intention de l'ancien premier ministre de quitter l'UMP. Une opération de communication parfaitement maîtrisée, à la veille de la rencontre tant attendue entre Dominique de Villepin et Nicolas Sarkozy à l'Elysée. Pour la première fois depuis deux ans, les deux frères ennemis de la majorité qui se sont déchirés lors de l'affaire Clearstream, vont se rencontrer dans le cadre des consultations sur le G20.

    Pour leurs retrouvailles, les deux hommes sont donc officiellement censés parler de la volatilité des prix des matières premières et de la régulation du système financier… Mais Dominique de Villepin a déjà prévu quelques digressions : «J'irai lui dire les choses que les autres ne lui disent pas», a-t-il expliqué mardi à Lyon. Il demandera notamment au chef de l'Etat de «réconcilier les Français» et d'en finir avec «la logique du bouc émissaire», citant pêle-mêle la politique menée à l'encontre des Roms ou les débats sur la burqa, l'islam ou la laïcité, qui «montrent du doigt» certaines populations.

    Une conversation d'autant plus libre que le président de République solidaire va rompre ses liens avec le parti majoritaire. Longtemps, les cadres de l'UMP ont reproché à l'ancien premier ministre d'avoir crée une formation concurrente et de critiquer sans relâche la majorité, tout en restant adhérent du parti présidentiel. Lorsqu'en novembre, Villepin avait lâché sur Europe 1 que Nicolas Sarkozy représentait «l'un des problèmes de la France», Michèle Alliot-Marie avait estimé que l'ancien premier ministre devrait «se retirer du parti» s'il avait une «certaine dignité».

    Depuis cet épisode, Dominique de Villepin ménage le chef de l'Etat. «Le temps de la critique et du bilan est derrière nous. C'est désormais le temps du projet et de l'alternative qui a commencé», écrivait-il encore la semaine dernière aux adhérents de son parti. Une position risquée, l'ancien premier ministre ayant initialement basé l'essentiel de sa stratégie sur la critique du sarkozysme. En brouillant ainsi son image, le président de République solidaire a pu gagner les faveurs de la majorité - au point qu'une rumeur, démentie, le donne successeur potentiel de MAM au Quai d'Orsay - mais il est surtout devenu inaudible : dans le dernier sondage de l'institut CSA, il tombe à 4% des intentions de vote au premier tour de la présidentielle. Bien loin des 10% escomptés.

    Désormais libéré des contraintes liées à son adhésion au parti majoritaire, il peut se consacrer entièrement à sa campagne en vue de 2012. Selon les Echos, qui citent ses proches, la collecte des 500 signatures nécessaires à sa candidature est déjà lancée. Son programme devrait être prêt au printemps et sa déclaration pourrait intervenir à l'automne.

    Source: Le Figaro


    *****


    Villepin quitte l'UMP ? "Peu étonnant"

    C'est une simple question posée par un étudiant qui a amené Dominique de Villepin à se dévoiler. Mardi, lors d’un déplacement à Lyon, l'ancien Premier ministre est interrogé sur son choix de rester à l’UMP. Il livre alors une réponse sans langue de bois : oui, il va quitter le parti présidentiel. Relayée sur son compte Twitter et sa page Facebook, l'annonce de son départ de la majorité a finalement été confirmée mercredi par Brigitte Girardin, secrétaire général de République solidaire, le parti qu’il a fondé.

    Une annonce qui fait donc l’effet d’une petite bombe alors qu’en juillet dernier, il avait fait le choix de renouveler son adhésion au parti présidentiel. Mais cette fois, Dominique Villepin veut clairement marquer son opposition à la politique de Nicolas Sarkozy et ne renouvellera pas son adhésion en 2011. "Comme gaulliste, je ne peux que regretter que l'UMP s'éloigne chaque jour davantage des valeurs du gaullisme. Comme gaulliste, je crois à des valeurs de justice sociale. Malheureusement, ces valeurs ne sont pas au rendez-vous", a expliqué mercredi le principal intéressé, lors de sa visite au salon de l’Agriculture.

    Un vrai changement de stratégie donc, Dominique de Villepin optant cette fois pour l’isolement. Si ses anciens soutiens ont, eux, préféré la solidarité gouvernementale, à l’instar de Marie-Anne Montchamp, Hervé Mariton ou encore François Goulard, ils ne semblent pas vraiment surpris par le choix de l’ancien Premier ministre : "ce n’est pas étonnant. Je ne regrette pas sa décision mais ce n’est pas la mienne", tranche François Goulard, contacté par Europe1.fr. Il revendique pour autant le fait d’être toujours "villepiniste".

    Hervé Mariton juge quant à lui que "son chemin a une certaine cohérence", même s’il aurait "préféré que Dominique de Villepin apporte sa qualité et ses valeurs à l’UMP". "Je regrette qu’il ne fasse pas valoir son talent, ses idées et sa force au sein du parti", concède à Europe1.fr le député UMP de la Drôme, qui assure pour sa part "être plus indépendant que jamais".

    Cet éloignement de l’UMP marquerait-il un pas de plus vers une candidature en 2012 ? Pour François Goulard, la réponse est évidente : "cet événement est à relier à la perspective de la présidentielle", assure-t-il. "Il y a un espace ‘non UMP’ qui existe. Il y a un vrai électorat au centre", analyse encore le député UMP du Morbihan. Hervé Mariton, lui, botte en touche: "c’est à lui qu’il faut poser la question", balaye-t-il. Mais pour l’heure, le fondateur de République solidaire n’a rien dévoilé de ses intentions en vue de 2012. Il devrait mettre fin au suspense "au plus tôt" à l'automne 2011.

    En quittant sa famille politique à un peu plus d’un an de la présidentielle, Dominique de Villepin se place comme un rival potentiel de Nicolas Sarkozy. Et du côté du gouvernement, on regrette cette stratégie : "je suis un peu triste de la position de Dominique de Villepin", a lancé mercredi François Baroin, lors du compte-rendu du Conseil des ministres. Et d’appeler le nouveau dissident à revenir dans les rangs de la majorité : "le chemin est long, il y a encore quinze mois. Il peut, ce que je pense, retrouver sa place dans un dispositif majoritaire pour favoriser la réélection de Nicolas Sarkozy".

    Même appel du pied de Jean-François Copé : "je regrette profondément qu'il ait décidé de quitter notre famille politique, je respecte son choix mais je le regrette profondément", a-t-il réagi lors d’un point presse. Le secrétaire général de l’UMP insiste à son tour sur la perspective de 2012, pour laquelle il souhaite "avoir une famille rassemblée". En attendant, le patron du parti préfère tempérer les choses. A la question de savoir si République Solidaire était un "mouvement concurrent" de l'UMP, il répond: "N'exagérons rien".

    Source: Europe 1

    *****

    Villepin quitte l'UMP, la voyant en "décalage croissant" avec les Français

    Dominique de Villepin a justifié sa décision de ne pas renouveler son adhésion à l'UMP par le "décalage croissant" qu'il constate entre les idées de ce parti et la réalité vécue des Français, selon une vidéo diffusée mercredi sur le site de son parti, République Solidaire. C'est lors d'un déplacement mardi à Lyon, en réponse à la question d'un étudiant, que l'ex-Premier ministre s'est expliqué sur ce sujet.

    A la question de savoir pourquoi il n'avait pas quitté l'UMP après la création de son propre parti République solidaire (RS) en juin 2010, il répond : "Il faut poser la question au passé (...) Je n'ai pas renouvelé ma carte cette année".

    Et, explique-t-il, "je ne l'ai pas fait parce que j'estime qu'il y a un décalage croissant entre les idées qui sont défendues par l'UMP et les Français et que le premier devoir d'une formation politique, c'est de coller à une réalité".

    Dominique de Villepin était adhérent de l'UMP depuis sa création en 2002.

    "Si j'ai repris ma carte en 2010, c'est parce que je ne voulais pas désespérer, ni faire désespérer tous ceux qui à l'UMP participent des mêmes idéaux et des mêmes convictions qui sont les miennes, tant sur la politique intérieure que sur la politique étrangère", dit-il encore sur cette vidéo.

    "Aujourd'hui je constate que nos regards et nos visions s'éloignent. Je constate que l'idée que nous nous faisons de la République n'est pas la même, en tout cas dans la crise actuelle, que l'idée que nous nous faisons de la voix de la France dans le monde n'est pas la même", poursuit l'ex-Premier ministre de Jacques Chirac. "Alors, je ne veux pas désespérer mais néanmoins je n'ai pas repris ma carte de l'UMP en 2011".

    A propos de RS, la formation qu'il préside, Dominique de Villepin évoque un parti "absolument indépendant de l'UMP".

    "Nous ne touchons pas un centime, ni de l'UMP ni de l'Etat, et c'est une chose unique dans les mouvements politiques français. Donc, on ne peut pas être plus indépendant que nous le sommes. Nous ne vivons qu'avec le soutien de nos adhérents et sympathisants", assure-t-il. "L'idée d'être indépendant, de pouvoir inventer son propre chemin me paraît essentielle".

    Source: AFP


    *****

    Dominique de Villepin officialise son départ de l'UMP

    L'ex-Premier ministre Dominique de Villepin a officialisé mercredi son départ de l'UMP à la veille d'un entretien à l'Elysée avec Nicolas Sarkozy, premier pas potentiel vers une candidature en 2012.

    Bien qu'ayant lancé son propre mouvement politique et mené des attaques très dures contre Nicolas Sarkozy, Dominique de Villepin avait renouvelé l'été dernier son adhésion au parti présidentiel.

    Le fondateur du mouvement "République solidaire" a finalement annoncé mardi sur Facebook qu'il ne renouvellerait pas en 2011 son adhésion à l'UMP, une position qu'il a confirmée de vive voix mercredi au Salon de l'agriculture.

    "Comme gaulliste, je ne peux que regretter que l'UMP s'éloigne chaque jour davantage des valeurs du gaullisme. Comme gaulliste, je crois à des valeurs de justice sociale. Malheureusement, ces valeurs ne sont pas au rendez-vous", a-t-il dit aux journalistes.

    Dominique de Villepin a également fustigé ce qu'il considère comme un affaiblissement de la diplomatie française, cible de vives critiques depuis le début des soulèvements dans le monde arabe.

    "Comme gaulliste, je crois à une certaine idée de la France alors que nous le voyons, la diplomatie française s'efface trop souvent de la scène mondiale. Voilà autant de raisons qui font que j'ai le sentiment que l'UMP s'éloigne des valeurs qui sont les miennes", a-t-il dit.

    Ce proche de Jacques Chirac a déclaré qu'il déciderait "au plus tôt" à l'automne 2011 de se présenter ou non à la présidentielle de 2012 pour laquelle il est crédité mercredi d'un score allant de 3,5% à 5,5% des voix dans un sondage Sofres Logica pour le Nouvel Observateur et i>Télé.

    Plusieurs responsables de la majorité ont déploré que les tentatives de réconciliation entre l'ancien chef du gouvernement et Nicolas Sarkozy, tous deux en guerre ouverte depuis l'affaire des faux fichiers de Clearstream, aient échoué.

    Le porte-parole du gouvernement, François Baroin, a exprimé sa tristesse de voir Dominique de Villepin quitter l'UMP.

    "Il a été Premier ministre, il a été à ce titre es qualité chef de la majorité parlementaire, c'est la même majorité aujourd'hui qui accompagne Nicolas Sarkozy dans la réussite de son mandat", a-t-il dit à la presse.

    "C'est donc avec un peu de tristesse que j'ai ressenti son annonce" a-t-il ajouté, disant espérer que d'ici la présidentielle de 2012, Dominique de Villepin retrouve "sa place dans un dispositif majoritaire pour favoriser la réélection de Nicolas Sarkozy."

    Le secrétaire général de l'UMP, Jean-François Copé, a déclaré regretter "profondément" la décision de Dominique de Villepin de ne pas renouveler son adhésion en 2011, émettant l'espoir qu'elle ne soit que "provisoire".

    Source: Reuters


    *****

    Villepin adresse une fin de non-recevoir à Sarkozy

    La rencontre très attendue ce jeudi entre l'ancien Premier ministre et le chef de l'Etat ne sera pas celle de la réconciliation. Le président de République solidaire a annoncé qu'il quittait l'UMP dans la perspective de se présenter en 2012.

    Beaucoup dans la majorité en rêvaient. Cela aurait pu être la rencontre de la réconciliation, une main tendue à saisir. Il n'en sera rien. L'entrevue jeudi 24 février entre Dominique de Villepin et Nicolas Sarkozy - la première en deux ans -dans le cadre des consultations engagées par le chef de l'Etat avec les anciens Premiers ministres sur le G20 s'annonce houleuse. C'est mardi, lors d'un déplacement à Lyon, que le président de République solidaire a indiqué, en réponse à la question d'un étudiant, qu'il ne renouvellerait pas en 2011 son adhésion à l'UMP. Un signe supplémentaire de son intention de se présenter lors de la prochaine élection présidentielle contre Nicolas Sarkozy. Ce que ce dernier voudrait à tout prix éviter, désireux qu'il est d'obtenir le score le plus élevé possible au premier tour de ce scrutin.

    Interrogé en janvier sur une possible tentative de récupération politique de ce tête-à-tête à l'Elysée, Dominique de Villepin avait déjà été très clair. « Je resterai insensible à toute espèce de danse du ventre. Je ne suis pas négociable. Je ne suis pas quelqu'un qu'on achète », avait-il prévenu. « Comme avec Jacques Chirac, j'irai lui dire les choses que les autres ne lui disent pas », a-t-il renchéri à Lyon. a-t-il donc insisté mardi lors de ce déplacement pour expliquer son départ du parti majoritaire. Histoire de lever toute ambiguïté, l'ancien chef du gouvernement a, aussi, redit qu'il « n'aspirait à aucune forme de responsabilité ministérielle », notamment au Quai d'Orsay, où la rumeur l'avait un temps annoncé. « Mon devoir est de proposer, d'offrir des alternatives », a-t-il insisté.

    Malgré ses critiques violentes et répétées contre Nicolas Sarkozy, Dominique de Villepin n'avait jusqu'alors pas osé couper les ponts avec l'UMP. Un mois après le lancement de son mouvement, le 19 juin 2010, il avait renouvelé son adhésion à l'UMP. Notamment pour ne pas mettre dans l'embarras les députés du parti présidentiel qui le soutenaient et qui s'inquiétaient pour leur investiture avant les législatives de 2012. L'ancien Premier ministre « a pris une décision personnelle qui s'inscrit dans la continuité de sa démarche visant à présenter une alternative en 2012 », insistait ce mercredi Brigitte Girardin, la secrétaire générale du mouvement villepiniste dans le souci de les rassurer. « La double appartenance à République solidaire et à l'UMP ne pose pas de problème. »

    A l'UMP, on s'employait aussi mercredi à dédramatiser le départ de Dominique de Villepin. « Je regrette profondément qu'il ait décidé de quitter notre famille politique », a déclaré Jean-François Copé, le secrétaire général du parti, espérant que cette défection ne serait que « provisoire ». « Le chemin est long, il y a encore quinze mois. Il peut retrouver sa place dans un dispositif majoritaire pour favoriser la réélection de Nicolas Sarkozy », a rajouté le porte-parole du gouvernement, François Baroin. Manquant cruellement de troupes, crédité d'environ 5 % des voix à la présidentielle et peu audible depuis le début de l'année, l'ancien Premier ministre ne représente, de fait, encore qu'une menace virtuelle. Mais qui peut devenir un jour bien réelle.

    Source: Stephane Dupont - Les Echos


    *****

    Villepin va (enfin) rendre sa carte de l'UMP

    Il coupe les ponts pour de bon. Dominique de Villepin, fondateur du mouvement politique «République solidaire», ne renouvellera pas en 2011 son adhésion à l’UMP. Après l’avoir lui même annoncé sur Facebook et Twitter et lors d’un déplacement à Lyon mardi, c’est la secrétaire général de son mouvement politique, Brigitte Girarfin, qui le confirme, ce mercredi à l’AFP.

    L’officialisation de son départ du parti présidentiel, duquel il s’était de fait démarqué depuis la présidentielle de 2007, intervient à la veille d’un entretien, jeudi à l’Elysée, entre Villepin et Nicolas Sarkozy dans le cadre des consultations du G20. C’est la première fois depuis deux ans que les deux meilleurs ennemis de la majorité qui se sont affrontés lors de l’affaire Clearstream vont se rencontrer. Copé «regrette profondément»

    Le secrétaire général de l’UMP, Jean-François Copé, dit, ce matin, regretter «profondément» cette décision «de quitter notre famille politique».

    S’il avait, le 19 juin dernier, lancé «République solidaire» devant plusieurs milliers de sympathisants pour, disait-il, offrir une alternative à la politique de «division» de Nicolas Sarkozy», l’ex-Premier ministre n’avait pas ouvertement rompu avec l’UMP, renouvellant même par courrier, le 30 juillet, son adhésion. «Ce n’est pas à moi de me prononcer sur sa stratégie» mais «visiblement, il ne veut pas rompre avec sa famille politique», avait commenté Xavier Bertrand, alors secrétaire général du parti présidentiel.

    Le président de République solidaire n’a, par la suite, pas cessé de porter de violentes attaques dans ses discours contre la politique de Sarkozy allant même jusqu’à dire qu’il représentait «l’un des problèmes de la France». Michèle Alliot-Marie, à l’époque ministre de la Justice, avait estimé que l’ancien Premier ministre devrait «se retirer du parti» s’il avait une «certaine dignité».

    Source: Libération


    *****

    Dominique de Villepin rompt avec l'UMP

    Ce n'est pas l'information la plus étonnante. En fait, Dominique de Villepin avait bien plus surpris son monde en renouvelant, l'an dernier, son adhésion à l'UMP. L'ancien Premier ministre s'était fait l'opposant numéro un à Nicolas Sarkozy, accusant même l'actuel chef de l'État d'être l'un des « problèmes de la France ». Et puis, l'air de ne pas y toucher, il avait tout de même repris sa carte au sein du Parti majoritaire. Curieux.

    Mais en 2011, les choses seront différentes. C'est en tous cas ce qu'a affirmé mercredi Brigitte Girardin. Selon la secrétaire générale de République solidaire, le mouvement lancé par Dominique de Villepin en juin 2010, l'ancien Premier ministre ne renouvellera pas son adhésion à l'UMP en 2011.

    L'annonce officieuse avait été faite par Dominique de Villepin lui-même mardi, lors d'un déplacement à Lyon. Alors qu'un étudiant interrogeait l'ancien Premier ministre sur son choix de rester à l'UMP malgré la création de République solidaire, l'intéressé lui aurait répondu qu'il ne renouvellerait pas son adhésion. L'information a été rapidement reprise sur Twitter et Facebook.

    Surtout, cette annonce survient à la veille d'une rencontre entre Dominique de Villepin et Nicolas Sarkozy à l'Élysée. Cette entrevue survient dans le cadre de la présidence française des G8 et G20, le chef de l'État ayant souhaité rencontrer, dans cette optique, les anciens présidents et anciens Premiers ministres. C'est la première fois que les deux hommes se reverront après s'être écharpés sur l'affaire Clearstream

    Source: France Soir


    *****

    Dominique de Villepin: "Nos regards et nos visions s'éloignent"

    Interrogé par un étudiant de l'Ecole de Management de Lyon, Dominique de Villepin a franchi le pas. Il a déclaré qu'il "ne renouvellera pas son adhésion à l'UMP" en 2011.

    "Je n'ai pas renouvelé ma carte cette année. et je ne l'ai pas fait parce que j'estime qu'il y a un décalage croissant entre les idées qui sont défendues par l'UMP et les français. (...) et le premier devoir d'une f'ormation politique esr de coller à la réalité.

    Aujourd'hui je constate que nos regards et nos visions (celles de l'UMP NDLR) s'éloignent.

    Je constate que nos idées de la République que nous nous faisons de la République n'est pas la même, que l'idée de la voix de la France de le monde que nous nous faisons n'est pas la même.

    Alors je ne veux pas désesesperer, néanmoins, je n'ai pas repris ma carte de l'UMP en 2011 et je suis au sein d'un mouvement que j'ai crée et qui est parfaitement indépendant."

    Source: Le Post

     

    http://2villepin.free.fr/index.php/2011/02/23/1805-dominique-de-villepin-ne-renouvellera-pas-son-adhesion-a-l-ump-en-2011#c18643

     

     

    .

    .
    .

    votre commentaire
  • Alimentaire : Où va-t-on ?

     

    http://jambudveep.files.wordpress.com/2011/01/image003.jpg

    http://jambudveep.files.wordpress.com/2011/01/800px-v-m-_doroshevich-east_and_war-british_india-_corpses_of_famine_victims.png

    http://jambudveep.wordpress.com

     

    Les rapports se succèdent aux Etats-Unis

    attestant que l'offre alimentaire est en nette diminution.

     

     

    Le 12 janvier 2011 le Département américain de l'Agriculture (USDA-US Agriculture Département) a sensiblement réduit ses estimations de récoltes mondiales des principales cultures. Conséquences déjà visibles : par rapport à juin 2010, les prix du soja ont grimpé de 56% ceux  du maïs de 95% et le blé est en progression de 80%.

     

    Et ce n'est qu'un début ! il n'est pas impossible de voir les cours du blé, compte tenu de la spéculation, grimper de 600%. (Un politicien américain bien renseigné, confie : "en termes de production physique, on aurait les moyens de renverser rapidement la tendance, grâce à une collaboration internationale et au lancement de grands projets d'infrastructure. Toutefois, cette orientation est loin d'être l'intention de l'oligarchie qui manipule les marchés et spécule sur la vie des gens").

     

     

    La famine arrive et le gouvernement américain poursuit sa politique consistant, en 2011, à consacrer près de 40% de la production de maïs à l'ethanol. Pas étonnant que les grandes surfaces alimentaires américaines commencent à ériger des MIRADORS avec des personnels prêts à tirer sur les pauvres qui voudraient se servir sans payer.

     

    Cela fait des années que l'arnaque des biocarburants provoque la mort de millions de pauvres gens, mais cette fois, le monde entier va être concerné par l'effondrement de la production alimentaire.

     


    Nous sommes gouvernés par des voyous,

    des lâches

    et des êtres cupides.


     

    Dans une interview publiée dans "Les Echos" du 13 janvier 2011, Olivier de Schutter (rapporteur spécial de l'ONU pour le droit alimentaire) disait : La volatilité des prix est due à la spéculation sur les marchés dérivés, qui offrait au départ une certaine assurance au producteur et à l'acheteur.


    "Mais depuis 2005-2006 et la libération des marchés dérivés aux Etats-Unis, les investisseurs ont changé de nature. Fonds d'investissement, fonds de pension et autres fonds spéculatifs, qui ont une force de frappe financière considérable, ne sont pas des spécialistes des marchés agricoles. Une sorte d'économie de casino s'est développée avec une logique purement spéculative".


     

    Jean Zigler,

    prédécesseur d'Olivier de Schutter à l'ONU,

    propose que les banquiers responsables de la crise 

    soient jugés devant un tribunal de Nuremberg.

     

     

    Selon Oliver de Schutter, les stocks mondiaux de céréales, toutes catégories confondues, ne seront plus que de 427 millions de tonnes en 2011, contre 489,8 en 2009 ! plus des deux tiers viennent des Etats-Unis et de l'Union européenne.

     

    En quelques mois, les prix des pâtes a grimpé de 30% en euros. "Les marchés sont très serrés", explique Joseph Glauber, économiste en chef de l'USDA, " Nous devons malheureusement nous attendre au pire, cela ne fait aucun doute. Par exemple, pour les Etats-Unis, les stocks de maïs devraient atteindre leur plus bas niveau de ces quinze dernières années avec une baisse de 56% par rapport à l'année dernière".

     

    En réalité, la situation couve depuis 2008 et elle prend une tournure dramatique. Le système de gouvernance des mondialistes est en train de produire ce qui est attendu : (récemment, Pascal LAMY, socialiste ET mondialiste, a confié : "la hausse du prix des aliments provoque une inflation mondiale, sans compter des troubles politiques que nous aurions pu difficilement imaginer").

     

    Le scandale est d'autant plus important que les grands cartels de denrées alimentaires ont encaissé des profits indécents en 2010. Cargill se vantant d'une hausse de 74% de ses gains pour la période juin-septembre, par rapport à 2009.

     

    La perte de la souveraineté alimentaire est un des signes supplémentaire de la fin d'une époque.

     

    Dominique Strass kahn, vient de souligner à Singapour devant un parterre de personnalités médusées : "Alors que les tensions entre les pays s'accroissent, nous pourrions voir une montée du protectionnisme, sur le plan commercial et financier.. et l'instabilité sociale et politique croître entre les nations, et même la guerre."   Ce genre de phrase n'est pas anodin. c'est un message à ceux qui savent lire et entendre.


    *

    http://millesime.over-blog.com/article-alimentaire-ou-va-t-on-67875861.html


    votre commentaire
  •  

     

     

    Les chemtrails:

    Maintenant on en parle à la télé !


     

     

    "Tout arrive"... Et les sujets tabous arrivent parfois aussi à émerger jusque dans les grands médias officiels; même si les chemtrails y sont présentés comme une "croyance conspirationniste", c'est déjà un début, l'on en parle, donc cela peut, à la longue, finir par susciter réflexion et prise de conscience...


    La vidéo ci-dessous montre un journal télévisé américain qui en quête et invite ses téléspectateurs à se prononcer sur la question sur leur site ou Facebook. Bien sûr, c'est en anglais, mais il y a aussi un sous-titrage en français...

     

    Alors avant l'émotion

    d'abord, place à la logique!

     

    http://artdevivresain.over-blog.com/article-les-chemtrails-a-la-tv-67599805.html


    votre commentaire
  •  

     

     

     

     La "Shoah" des Palestiniens

    par eva R-sistons

     

    http://r-sistons-actu.skynetblogs.be/archive/2011/02/18/la-shoah-des-palestiniens.html


     

     

     

    http://djamelitosante.blogspot.com/p/la-verite-sur-le-cancer.html

     

     

    Cancer: soins naturels, alternatifs, traitements interdits car sans profits

     

     

     

     

    .

    Cerclée de jaune la zone des prospections sous-marines en Méditerranée orientale

     

    .

    La nouvelle guerre du gaz Par Comaguer

      Affaire du leviathan, Nouvelle guerre du gaz, Etats hors-la-loi, Israël voyou

     

    http://comaguer.over-blog.com

     

     

    http://www.comite-valmy.org/spip.php?article1184

     

     

     

    .

     

    Afghanistan : l’envers du miroir

    L'Histoire réelle.

    Jihad et Talibans à la sauce CIA

    La "guerre sainte" pour le pétrole et le gaz

    Afghanistan : l’envers du miroir

    .

     

     


    Génocide planétaire en cours : une journaliste dénonce !

    http://marie.roca.over-blog.com/article-33491671.html

     

     

    Alerte, société génocidaire !
    par eva R-sistons

     

     

    .

    ARMES POUR MAINTENIR L’HUMANITÉ
    EN ESCLAVAGE :


    Contrôle Mental   Micro-Chip Implanté
     


     

     

    ARMES POUR LE GÉNOCIDE MONDIAL:

     

     

    Haarp   Pamir  Blue Beam Chemtrails Alimentación Transgénique
    Codex Alimentarius Camps de concentration pour les rebelles au nouvel ordre mondial

     

     

     

    Un long post complet ici

    (cliquer sur le lien) :

     

    Mardi 15 février 2011 2 15 /02 /Fév /2011 16:48

     


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique