• .

    Connivence ? DSK s'invite chez son amie Claire Chazal

    pour faire l'apologie de l'impunité

     
    par Claude Ribbe



     
     
    Strauss Kahn définitivement hors de cause dans le volet pénal de l’affaire Nafissatou Diallo ? Rien moins que sûr. Si celui dont le parti socialiste et Anne Sinclair, à coups de millions injectés dans les circuits de communication, ont fait un «brillant expert», a réussi à échapper à la justice pénale américaine, c’est bien la justice française qui pourrait être amenée à reprendre le dossier.
     
    L’article 113-6 du code pénal français prévoit en effet que les crimes commis par un Français à l’étranger peuvent être jugés par la justice française. Cet article serait inapplicable si la justice américaine, par une décision devenue définitive, avait reconnu l’accusé français non coupable.
     
    Tel n’est pas le cas. Si le juge Obus a mis un terme aux poursuites pénales, c’est au seul motif que la crédibilité de la plaignante était à ses yeux insuffisante pour garantir une condamnation à l’unanimité des jurés, comme l’exige la procédure pénale américaine.
     
    Cette décision ouvre bel et bien la voie à l’engagement de poursuites en France sur le fondement de l’article 113-6 du code pénal. Ainsi Nafissatou Diallo est-elle parfaitement fondée à déposer plainte auprès du procureur de la République (qui ne peut, dans le cas d’espèce, engager seul les poursuites) et rien ne permet de penser, au vu des éléments réunis par l’accusation – notamment un dossier médical accablant pour DSK – que l’affaire serait cette fois enterrée.
     
    Dès lors, on peut raisonnablement penser que les avocats de Nafissatou Diallo, indépendamment du procès civil par eux engagé devant le tribunal du Bronx, réunissent en ce moment un maximum de pièces et de témoignages pour s’engager dans la voie pénale ouverte par l’article 113-6. En clair, à tout moment, une nouvelle plainte pour viol, susceptible de renvoyer DSK devant la cour d’Assises, peut être déposée.
     
    Dans ces conditions, quand on sait que Strauss-Kahn est par ailleurs poursuivi pour viol par Tristane Banon et que, même si, dans cette seconde affaire, le procureur décidait de classer sans suite – ce qui n’est nullement certain - Tristane Banon pourrait néanmoins engager sur le champ les poursuites par une plainte avec constitution de partie civile qui aboutirait mécaniquement à une instruction dont le résultat ne serait pas connu avant plusieurs mois, il est certainement malvenu – et en tout état de cause prématuré - de dire que l’ancien directeur général du FMI est « blanchi », comme le font néanmoins certains journalistes répétant en boucle les formules qui leur sont soufflées par les communicants d’un homme accusé de viol.
     
    On peut aller plus loin...
     

    votre commentaire
  • 15 septembre 2011
    Le Monde diplomatique
    En kiosques et sur notre boutique en ligne

    Manière de voir n°119 / Octobre-novembre 2011

    Crise bancaire : le casse du siècle

    Numéro coordonné par Renaud Lambert et Pierre Rimbert

    Avec trois décennies de recul, l'assujettissement des économies au pouvoir des banquiers paraît limpide. Il procède d'une triple automutilation des Etats, qui au final héritent d'une même équation : moins de recettes, plus de besoins, une dépendance accrue vis-à-vis des créanciers.

    La suite de l'éditorial : Bâtisseurs de ruines

    Lexique

    I. Alchimistes du guichet

    Derrière les façades centenaires des institutions de Wall Street, de Londres, de Paris ou de Hongkong, un nouvel ordre bancaire s'est mis en place imperceptiblement au milieu des années 1970. Les fondements du commerce de l'argent codifiés après le krach de 1929 pour les besoins du capitalisme industriel se sont effrités, puis ont explosé, sous la poussée d'une force brute nommée finance. En moins d'une décennie, les frontières nationales et les chaînes législatives qui reléguaient les établissements de crédit au troisième rang économique derrière les Etats et les grandes entreprises ont tour à tour été brisées. Le marché planétaire appelait un système bancaire global.

    Ce nouvel ordre dispose d'outils, d'agents, d'institutions et de régulations spécifiques. Dans les bureaux haut perchés, le jeune loup au costume clinquant a évincé l'homme gris et son sous-main de cuir ; des instruments d'une sophistication inédite, des tactiques florentines, des profits himalayens ont supplanté le ronron du prêt à intérêt garantissant une marge de 3 % ; l'informatique et les mathématiques ont aboli l'espace et le temps des transactions.

    L'Art d'ignorer les pauvres

    de John Kenneth Galbraith.
    Le premier titre de la collection Prendre parti, une coédition du Monde diplomatique et des Liens qui libèrent.

    Disponible sur la boutique en ligne
    et en librairies

    En Europe, la politique monétaire, rouage central du gouvernement économique, fut soustraite au monde politique et placée sous le contrôle d'une Banque centrale « indépendante », c'est-à-dire proche des milieux d'affaires. Après quatre ans de tempête financière, un regard sur les ruines de l'économie mondiale inspire une question qui peut sembler triviale : au fait, à quoi devaient servir les banques ?

    Une galerie de voyous respectables
    Nicolas Guilhot

    D'où viennent les produits dérivés ?
    Ibrahim Warde

    Néoconquistadors
    Pedro Ramiro

    HSBC, histoire d'eau et d'opium
    Jean-Louis Conne

    Les banquiers centraux, pompiers pyromanes
    Frédéric Lebaron

    Protéger le « mur de l'argent »
    Serge Halimi

    L'absurde statut de la Banque centrale
    John Grahl

    Pour quelques milliards de plus
    Paul Lagneau-Ymonet et Angelo Riva

    Leçons d'histoire financière
    P. L.-Y. et A. R.

    Infortunes des normes internationales
    Dominique Plihon

    II. Une emprise tentaculaire

    Que la faillite, en septembre 2008, d'une seule entreprise, Lehman Brothers, ait pu conduire le monde au bord du gouffre indique assez la centralité des banques dans la vie économique. Que celles-ci aient ensuite forcé les Etats à échanger leurs dettes « pourries » contre de l'argent frais (c'est-à-dire contre le travail) du contribuable suggère cette fois l'ampleur du problème : le rouage a domestiqué la machine, le moyen s'est métamorphosé en fin.

    A cela rien d'étonnant. Au gré de leur expansion, les banques ont projeté dans tous les domaines de l'activité humaine leur logique (celle du crédit et du profit), leurs intérêts (les anciens de Goldman Sachs hantent les coulisses de Washington), leurs pratiques (celles du jeu spéculatif) et leurs produits (ô les dettes douteuses titrisées et dispersées aux quatre vents !). Qui veut remonter aux racines d'une crise immobilière en Espagne, d'une opération de blanchiment en faveur d'un dictateur chilien, de l'endettement de pauvres au Bangladesh tombe à coup sûr sur une banque ; l'enquêteur qui cherche à démêler les pratiques opaques d'une chambre de compensation luxembourgeoise tombe en revanche sur un os...

    Les présidents américains passent, Goldman Sachs demeure
    I. W.

    Un réseau serré d'amitiés haut placées
    I. W.

    La Riggs, blanchisseuse de dictateurs
    Alain Astaud

    « Mon cher général Pinochet... »
    A. A.

    La machine sacrée
    Yves Jeanneret et Emmanuël Souchier

    Complicités dans le trafic de drogue
    Christian de Brie

    Pauvres, votre argent les intéresse
    Jean-Loup Motchane

    A Madrid, des vies « sous hypothèque »
    Raúl Guillén

    « Ma victoire dans l'affaire Clearstream »
    Denis Robert

    III. L'ère du parasitisme

    Economie de spéculation contre économie de production : c'est l'Annapurna contre les causses du Larzac. D'un côté, la valeur des produits dérivés fabriqués par les banques vole vers les cimes ; de l'autre, la richesse mondiale trace sa courbe débonnaire, plafonnée à un niveau dix fois moindre (voir Production et spéculation). Problème : les titres spéculatifs les plus alambiqués reposent en dernier ressort sur des actifs bien réels, comme la tique sur le dos de sa proie. Quand crève la bulle du capital fictif, ce ne sont pas les parasites mais les peuples qui écopent.

    Le tour de passe-passe n'a pas échappé aux Islandais, mis en demeure de rembourser une ardoise vertigineuse laissée par les banquiers. Consultés par référendum, ils ont par deux fois dit « non ». On imagine sans peine le résultat d'un tel scrutin organisé en Grèce, en Irlande, en Espagne, au Portugal, en Italie, bref dans tous les pays où la collectivisation de la dette bancaire privée se traduit par l'austérité publique.

    Si les populations ainsi rançonnées se défient des acrobaties financières, le petit milieu des économistes, courtiers et analystes semble n'avoir rien appris. Serait-ce parce qu'il n'a rien encouru ? Après la faillite des caisses d'épargne américaines à la fin des années 1980, des centaines de responsables avaient fini derrière les barreaux. Cette fois, les aigrefins qui pilotent les institutions faillies ont exposé leurs turpitudes devant des commission parlementaires. Puis ils ont repris leurs affaires.

    Les Islandais votent contre les banquiers
    Silla Sigurgeirsdóttir et Robert Wade

    Primes et châtiments des traders
    I. W.

    Tout travail mérite-t-il salaire ?
    P. R.

    Lumière dans la salle des coffres
    Juliette Renaud et Juliette Rousseau

    L'exemplaire faillite des caisses d'épargne américaines.
    Jacques Decornoy

    Comme si rien ne s'était passé..
    I. W.

    Les marionnettes politiques et leurs bienfaiteurs
    S. H.

    Pour un système socialisé du crédit
    Frédéric Lordon

    Ce numéro est accompagné de photographies tirées de l'ouvrage « Détroit, vestiges du rêve américain », d'Yves Marchand et de Romain Meffre (éditions Steidl, Göttingen, Allemagne).

    Cinéma

    « Cleveland contre Wall Street ».

    De la corbeille à la barre

    « Espanistan ». De la brique à la trique

    « Inside Job ». De la chaire au tiroir-caisse

    Littérature

    Charles Dickens, « Temps difficiles »

    William Shakespeare, « Le Marchand de Venise »

    Woody Guthrie, « The Jolly Banker »

    Goethe, « Faust »

    Cartographie

    Cécile Marin (conseiller scientifique, Dominique Plihon)

    Le circuit de la création monétaire

    Les banques dans la machinerie financière

    Régulation et collusions

    Chronologie

    Un moteur à explosion

    Chaos

    Documentation

    Olivier Pironet

    Essais

    Sur la Toile






    « Crise bancaire : le casse du siècle », Manière de voir n°119, en kiosques
    et sur notre boutique en ligne.

    Retrouvez toute la collection de Manière de voir :

    http://www.monde-diplomatique.fr/mav/

    Les anciens numéros sont en vente sur notre boutique en ligne :

    http://www.monde-diplomatique.fr/boutique/manieredevoir/



    Nous contacter :

    - Pour toute requête concernant votre abonnement au journal : abo@monde-diplomatique.fr

    - À propos des commandes passées sur notre boutique en ligne : boutique@monde-diplomatique.fr


    votre commentaire
  • http://1.bp.blogspot.com/_euLtfTNojL0/THgwXkiosYI/AAAAAAAAAqw/Q9_uATwWoE8/s800/phd030909s.gif

    http://1.bp.blogspot.com/_euLtfTNojL0/THgwXkiosYI/AAAAAAAAAqw/Q9_uATwWoE8/s800/phd030909s.gif

    .

    La chaîne de Ponzi des banques s'effondre

    .
    En écho à mon article d'hier, le système bancaire fonctionne comme une dangereuse organisation criminelle aux méthodes guerrières. Les dirigeants(parrains) de ce système d'escroquerie en bande organisée internationale utilisent un système frauduleux de vente pyramidale en chaîne de Ponzi réprimé en France depuis 1953 et dans la plupart des pays industrialisés. Il est grand temps de mettre en application l'article L122-6 du Code de la Consommation et d'envoyer en prison pour plusieurs siècles les organisateurs de la faillite des États.

     

    Pour vous donner une idée de l’environnement professionnel des salariés d'une agence bancaire, suivez cette vidéo édifiante sur leurs méthodes markéting guerrières qui poussent les employés au résultat à tout prix et au suicide :

     

     

    En droite ligne avec ce reportage, la Société Générale a trouvé son Kirviel 2011 au travers d'UBS qui cherche à cacher ses pertes en jetant la faute sur un de leurs traders (à lire ici).



    TF1 News nous informe que "la crise est devenue systémique" et nous allons bientôt être à cours de crédit pour les particuliers (rien que çà !).  avec "risque de cercle vicieux (notez le mot "vicieux") entre la dette souveraine, le financement des banques et la croissance négative", qui pourra provoquer un gel du crédit". 
    Dans la définition de ce système frauduleux selon Wikipedia, "les escrocs peuvent mettre en place un système à très long terme, qui mettra beaucoup de temps à apparaître vicieux". Oups ! (à lire ici)
     
    La machine s'emballe et cela fait plusieurs fois que je vous recommande de retirer vos liquidités !

    Les banques SONT A COURS DE CASH et l'actualité ne manque pas d'informations à ce sujet :

    - Le Nouvel Observateur "La liquidité, talon d'Achille des banques françaises"

    - CBanque : "Les banques européennes vont réduire de manière "extrêmement sévère" leurs activités aux Etats-Unis du fait des nouvelles conditions d'accès aux liquidités en dollars"

    - La Tribune : "personne n'est en mesure de résoudre les problèmes de dettes publiques, désormais trop énormes pour être absorbées autrement que par un appauvrissement généralisé"

    - ZoneBourse : La BCE signale "un manque de liquidités libellées en dollar dans la région sur fond d'aggravation de la crise des dettes souveraines"

    N'attendez-pas de voir votre agence bancaire fermée avec un panneau collé sur l'entrée : "Agence exceptionnellement fermée pour une durée indéterminée".

    Heureusement, quelques personnes pleines de bons sens commencent à se réveiller (et vous ??) :

    * Un petit porteur gagne un procès contre la Banque Populaire sur 20minutes.fr

    * Les Grecs retirent leur cash sur Reuters et se réjouissent de le prochaine aide caritative de l'Europe pour financer une méga-fête arrosée sur LeFigaro !

    * Un narbonnais bloque la porte de son agence bancaire BNP avec sa moto pour retirer ses 18000 € sur son compte sur lindependant.fr (Hallucinant !). La banque ne lui a donné que... 1500 €...

    * Encore à Narbonne, une cliente escroquée de 135'000 € porte plainte contre Groupama Banque pour détournement de fonds. Résultat : 1 an de prison ferme ! (sur MidiLibre)

    Il est grand temps que ce mode de fonctionnement hautement toxique s'autodétruise afin de reconstruire des bases saines et de mettre l'argent au service de l'Homme, et non l'inverse !

    Allez, allez, encore un petit effort, nous y sommes presque...

     

     
     
     

    Pyramide de Ponzi

     

    La Pyramide de Ponzi, est la première arnaque célèbre utilisant le système de la pyramide pour flouer les investisseurs. Elle a été mise en place par Charles Ponzi à Boston en 1920.

     

    Le système est simple, Ponzi proposait à ses investisseurs des rendements mirobolants de 50% en 45 jours. Comme il est impossible de réellement produire ces rendements, Ponzi utilisait les fonds des nouveaux investisseurs pour servir le taux d'interêt promis aux anciens investisseurs.

     

    Le système fonctionne tant que la pyramide grandit et qu'il y a suffisamment de nouveaux investisseurs pour financer les anciens investisseurs.

     

    A défaut la Pyramide s'ecroule, le système explose, et tous les derniers investisseurs perdent la totalité de ce qu'ils ont investi.

     

    C'est ce système qui a été utilisé par Bernard Madoff, à l'origine du scandale du fonds Madoff, qui a fait perdre près de 50 milliards de dollars à ses investisseurs quand le système a éxplosé en décembre 2008.

     

    http://www.jobintree.com/dictionnaire/definition-pyramide-ponzi-913.html

     

     

     

    Pyramide de Ponzi

    Chaîne de Ponzi 

    La pyramide de Ponzi ou la chaîne de Ponzi est une fraude financière basée sur la promesse de gros profits aux investisseurs. Le principe est de payer les intérêts des premiers investisseurs avec l'argent des nouveaux investisseurs. Le système frauduleux est découvert dès qu'il n'y a plus de nouveaux investisseurs. Les derniers investisseurs perdent tout.

    Charles Ponzi (1882-1949) immigre aux États-Unis en 1903. Il passe quelque temps en prison pour de petites fraudes. Installé à Boston en 1921, il devient millionnaire en six mois en imaginant un système de vente pyramidale.

    Ponzi fonde la « Securities Exchange Company ». Il attire les investisseurs en leur expliquant que les profits proviennent de l'achat et la vente de coupons-réponse internationaux *. Dans les faits, Ponzi a acheté très peu de coupons.

    Les premiers investisseurs sont effectivement bien rémunérés. Cette bonne nouvelle attire, à la chaîne, des milliers d'épargnants. Le recrutement de nouveaux investisseurs s'essouffle après quelques mois. L'escroquerie est finalement découverte et Ponzi est arrêté.

    Ce moyen frauduleux a été raffiné depuis. Au lieu d'annoncer un rendement de 50 % en 45 jours, telle la chaîne de Ponzi, on promet un rendement moindre, mais tout de même supérieur au marché (10 % - 20 %). De cette façon, la pyramide réussit à fonctionner beaucoup plus longtemps.

    Des pyramides d'une telle envergure ont été reprises un peu partout dans le monde. Plus près de nous, parmi les pays où des pyramides impliquant d'énormes sommes d'argent ont été démasquées, mentionnons la Roumanie (1994), l'Albanie (1997), la Colombie (2008), l'affaire Madoff aux États-Unis (2008) et l'affaire Kazutsugi Nami au Japon (2009).


    * Coupon-réponse international

    Au début du siècle, une entente internationale permettait d'acheter à peu de frais un coupon-réponse dans son pays pour l'envoyer à un correspondant localisé dans un pays étranger. Le correspondant présentait ce coupon à la poste qui l'échangeait contre un timbre.

    Un timbre américain valait trois fois plus cher que le coupon acheté en Italie.

    L.D.

    21 février 2009

    http://www.pause.pquebec.com/sujet/pyramide-de-ponzi.htm


    1 commentaire
  •  

    Pour les 10 ans de l'attaque sur les tours du World Trade Center à NY. RTL a invité Michel Collon, Isabelle Durand (Ecolo), Pieter De Crem (Ministre de la Défense) et d'autres experts favorables aux invasions de l'Irak, l'Afghanistan et la Libye.

    CONFERENCES : Ostende, Bruxelles, France...
    Michel Collon participera à un débat sur les révoltes arabes le 24 septembre à ManiFiesta, vers Ostende, avec Tariq Ramadan et H. Hamami, puis à Bruxelles sur la Libye le 29/09 (en néerlandais). Plus d'info dans l'Agenda.
    Une tournée est prévue en France d'octobre à décembre. Lieux et dates à venir dans la rubrique Agenda ou sur Facebook.

    VIDEO : Un autre « 11 septembre » est-il possible ? Débat Michel Collon / Ministre de la Guerre
    Extraits de l'émission diffusée sur RTL TVI

    TEMOIGNAGES :
    « L'Occident soutient, arme et excuse des gens qui sont des terroristes et des racistes » - Michel Collon
    Michel Collon répond aux questions de Chérif Abdedaïm pour La Nouvelle République (Algérie)

    « J'ai vu la transition vers la peur à Tripoli »
    Extraite par le CICR de l'hôtel Rixos où elle était restée bloquée, Lizzie Phelan livre ses premières impressions

    Les Libyens nous demandent : "Qu'avons-nous fait de mal ?" - INTAL
    De retour de Libye, où elle s'est rendue en juillet avec Michel Collon, Ilse Grieten a répondu aux questions d'Intal.

    APPEL :
    Stop aux crimes de l'OTAN ! - Coordination pour la Paix en Libye Africaine
    Réaffirmation à Paris des craintes maintes fois formulées

    Appel Urgent : abus des rebelles non relaté ! - Anonyme
    J'écris pour vous avertir de certaines choses constatées à propos de la découverte sinistre et traumatisante faite à l'hôpital de Tripoli.

    ATTENTION MEDIAS !
    Les médias français avouent qu'ils désinforment sur la Libye
    Le Nouvel Observateur révèle le pot aux roses : depuis des mois, les journalistes avaient été remplacés par le service de propagande de l'OTAN.

    L'OTAN sauve l'euro en Libye - Xander Meyer
    Lisez comment - une fois de plus - vous avez été horriblement bernés par la politique et la presse.

    LES AUTRES PAYS MENACÉS :

    Un Etat palestinien, mais lequel ? - Dominique Vidal
    Après un 60 ans de grignotage... Un ou deux Etats ? Quelles frontières ? Quel avenir pour Gaza ?

    Etat de siège. Les sanctions économiques des Etats-Unis contre Cuba - Salim Lamrani
    Quel impact sur les services de santé cubains ? Pourquoi les sanctions ont-elles été renforcées après la chute de l'URSS ? La société US soutient-elle le blocus ?

    Le Venezuela, 13 ans après... - Annick Maziers
    Ses amis vénézuéliens n'aiment pas Chavez, mais...


    votre commentaire
  • http://www.phytomania.com/fondindex4comp.jpg

    http://www.phytomania.com/fondindex4comp.jpg

     

    Madame, Monsieur

    Suite à notre information il y a deux semaines sur les persécutions actuelles contre les médecines naturelles, la grande question, qui nous a été posée par des milliers de sympathisants, fut : POURQUOI ???

    Pourquoi les autorités ne veulent-elles pas que chacun puisse choisir sa médecine ?

    Qui cela gène-t-il ?

    La réponse facile, c'est que le gouvernement obéit aux industries pharmaceutiques, qui ont intérêt à nous rendre malades, et à nous obliger à prendre leurs médicaments chimiques.

    Mais à l'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle, nous avons toujours pensé que cela n'explique pas tout.

    C'est pourquoi il nous a paru intéressant de porter à la connaissance du plus grand nombre le texte suivant signé Jean-Marc Dupuis, que beaucoup ont déjà lu.

    Je vous souhaite une excellente lecture !

    Augustin de Livois
    Directeur


     

    Pourquoi tant d'hostilité contre les médecines naturelles ?

     

    Les médecines naturelles sont un domaine plus surveillé par les autorités que bien des activités criminelles.

    La vente de compléments alimentaires naturels (plantes, vitamines, acides gras, acides aminés, minéraux, etc.), par exemple, est réglementée de façon beaucoup plus stricte que la vente de tabac, d'alcool, d'armes, ou encore de films incitant à la violence.

    Le cas de la vitamine D

    Pour illustrer la rigidité de la situation, nous allons parler d'un produit naturel dont aucun scientifique sérieux ne peut contester les bienfaits : la vitamine D.

    La vitamine D est produite dans votre peau sous l'effet du soleil, et plus précisément sous l’action des rayons ultraviolets. Dans les pays du Nord de l’Europe, 75 % de la population souffre d’une carence en vitamine D pendant l’hiver. Cette carence est d'autant plus répandue que les foies de morue et de flétan et les poissons gras (sardines, hareng, maquereau, thon etc.) qui sont les principales sources alimentaires de vitamine D, sont de moins en moins consommés.

    Or, manquer de vitamine D a des effets graves. Cette vitamine joue un rôle essentiel dans la régulation du métabolisme phosphocalcique (indispensable au bon fonctionnement musculaire, intestinal, neurologique et à la minéralisation des os) ; elle est aussi fortement impliquée dans la synthèse de l’insuline par le pancréas. Enfin, elle exerce des fonctions physiologiques de type hormonal sécostéroïde en exerçant de multiples effets sur l’expression des gènes.

    En effet, la vitamine D influence plus de 3000 gènes dans le corps dont, par exemple, les gènes qui contrôlent la lutte contre les infections, et qui produisent plus de 200 peptides anti-microbiens.

    Et ce n'est pas tout !

    Les études scientifiques ont établi un lien incontestable entre le taux de vitamine D et l'état de santé :

    • Selon une méta-analyse de 18 études en double aveugle randomisées, un taux élevé de vitamine D dans le sang réduit le taux de mortalité toutes causes confondues [1]. Une étude en double-aveugle, ou double insu, est une étude où des personnes suivent un traitement ou un placebo (faux médicament), sans que ni leur médecin, ni elles-mêmes, ne sachent si elles reçoivent le traitement ou le placebo.
    • Une étude récente a montré que le nombre de décès au Canada pourrait être réduit de 37 000 annuellement, soit 16 % des décès du pays, si la population avait un taux de vitamine D plus éléve [2].
    • Une étude réalisée en commun par les universités de Graz (Autriche) et Heidelberg (Allemagne) est arrivée à des conclusions similaires, en février 2009 : 3200 hommes et femmes de 62 ans en moyenne ont été observés sur une période de sept années. 740 sont décédés entre temps. Parmi les personnes décédées, elles étaient deux fois plus nombreuses à avoir un taux de vitamine D réduit, qu'un taux de vitamine D élevé.
    • Grâce à ses effets bénéfiques sur le système immunitaire, la vitamine D pourrait avoir un puissant effet de protection contre le cancer. Les chercheurs sur le cancer de l'hôpital Mount-Sinai de Toronto (Canada) ont comparé les habitudes alimentaires de 760 femmes ayant le cancer du sein à un groupe de 1135 personnes en bonne santé. Ils ont constaté que les personnes ayant un bon taux de vitamine D avaient 24 % de risques en moins de tomber malade. Des résultats similaires ont été observés pour le cancer de la prostate et du colon.
    • Les chercheurs de l'Institut du Coeur de Kansas City (USA) ont également démontré un effet protecteur de la vitamine D sur le coeur et les artères. En décembre 2008, ils ont évalué les données concernant plus de 10 000 personnes test, sur une durée de dix-sept ans. Il s'est révélé qu'un taux réduit de vitamine D dans le sang doublait le risque d'infarctus. Une cause possible de cet effet protecteur est la capacité de la vitamine D à diminuer la pression sanguine.

    Face à tous ces bienfaits (et il y en a d'autres), la vitamine D présente aussi des dangers pour la santé. Mais ces dangers sont limités : il est impossible de souffrir de surdose de vitamine D par sa seule alimentation. Et il faut prendre quotidiennement des doses supérieures à 20 fois les apports journaliers recommandés (AJR), autrement dit avaler une douzaine de pilules ou d'ampoules de vitamine D par jour, pour observer des effets indésirables.

    Vous pourriez donc penser qu'une complémentation modérée de vitamine D, dans les populations déficitaires, serait favorisée par les pouvoirs publics ; que le ministère de la Santé informerait le public ; et que les fabricants de ces compléments seraient autorisés à signaler les bienfaits à attendre de cette vitamine, par exemple en diffusant les résultats des études scientifiques citées ci-dessus.

    Eh bien pas du tout. La vente de vitamine D à des doses suffisantes pour avoir un effet bénéfique réel est strictement interdite sans ordonnance d'un médecin. Ce qui explique que seule une infime proportion de la population, particulièrement bien informée et motivée, bénéficie des nouvelles découvertes sur la vitamine D.

    Non seulement les fabricants de compléments alimentaires ne sont pas encouragés à informer le public de ses bienfaits, mais il leur est même interdit de le faire, et même de vendre des doses de 5 microgrammes de vitamine D (Apport Journalier Recommandé officiel).

    De plus, s'ils vendent de la vitamine D en citant sur la notice une seule des études citées plus haut, ou s'ils laissent entendre dans la présentation du produit qu'elle peut avoir un bienfait pour la santé, quel qu'il soit, ils sont passibles des poursuites prévues à l'article L5122 du Code de la Santé Publique.

    Interdiction des allégations thérapeutiques

    Il est interdit aux fabricants de compléments alimentaires de mentionner sur leurs produits les effets  escomptés sur la santé, les maladies, en termes de prévention comme de guérison.

    Si on suit la réglementation actuelle jusqu'au bout, il est interdit à une marque d'eau minérale d'indiquer sur l'étiquette que l'eau « aide à prévenir la déshydratation ». Ce n'est pas un canular, mais l'expérience réelle que viennent de réaliser deux chercheurs allemands, dont la demande a été refusée par l'agence européenne du médicament.

    La conséquence est que les patients en sont réduits à courir des risques insensés en recherchant sur Internet des indications sur les compléments alimentaires qu'ils achètent. Risques insensés non parce que les produits qu'ils prennent pourraient leur causer des inconvénients, mais parce qu'ils ont de grands risques de passer à côté d'un produit qui pourrait les aider. Et pourtant, cette interdiction d'information est imposée au nom de « la protection de la santé publique ».

    En prenant ainsi la défense des fabricants de compléments alimentaires, je sais que je m'expose à être critiqué comme un « suppôt de l'industrie » et des « vendeurs de pilules ». Mais mon activité professionnelle ne consiste pas à vendre de tels produits : elle consiste à produire et publier de l'information sur la santé naturelle. J'aurais tout à perdre, en terme de crédibilité, à prendre le parti de tel ou tel secteur de l'industrie. Et précisément, ainsi que je le dis toujours, votre meilleure source de vitamine D est entièrement gratuite puisque c'est... le soleil !!

    Comment en est-on arrivé là ?

    L'hostilité des pouvoirs publics vis-à-vis des médecines naturelles date de la Seconde Guerre Mondiale, lorsque fut créé l'Ordre des Médecins en 1940, et que fut supprimé le diplôme d'herboriste en 1941.

    Il s'agissait de faire entrer le pays dans la médecine « scientifique moderne ».

    Il faut se replacer dans le contexte de l'époque pour comprendre cette démarche.

    En toute bonne foi, des médecins, des chercheurs et des responsables politiques ont créé un système de santé centralisant tout le pouvoir et les ressources financières pour, selon leur vision, découvrir, et imposer, la meilleure solution, le meilleur protocole de traitement pour chaque maladie.

    Cette démarche leur paraissait d'autant plus légitime que beaucoup étaient persuadés que ce n'était qu'une question de temps avant qu'on trouve un vaccin, ou des médicaments quelconques, qui viendraient à bout de toutes les maladies.

    Le Ministère de la Santé en France développa une technostructure complexe faite d'un enchevêtrement d'agences, de comités, de « hautes autorités », d'ordres et de commissions, qui prirent sur eux de prendre les grandes décisions concernant la santé de la population. Les médecins, dans leur optique, devaient être traités comme de simples courroies de transmission soumises à leurs ordres et à leurs règlements. Les patients, eux, ne devaient plus avoir leur mot à dire puisqu'ils n'avaient pas la compétence technique pour comprendre ce qui était le meilleur pour eux.

    L'Ordre des Médecins commença à imposer des protocoles de traitements standardisés, et à exclure les médecins qui refusaient de s'y soumettre. Une fois exclu de l'Ordre, un médecin n'a plus l'autorisation d'exercer la médecine. C'est donc une sanction extrêmement grave pour lui. Non seulement il perd son métier, mais il subit une opprobre telle que rares sont les médecins qui osent s'exposer à de telles sanctions – et personne ne peut leur en vouloir.

    La médecine française a donc été mise au pas, et forcée d'entrer dans un seul moule. Un nombre incalculable d'herboristes et de guérisseurs, héritiers de traditions ancestrales d'une richesse pourtant fabuleuse, se retrouvèrent du jour au lendemain passibles de poursuites pour « exercice illégal de la médecine », ou « exercice illégal de la pharmacie » sous prétexte qu'ils n'avaient pas, et ne pouvaient pas, adhérer à l'Ordre des Médecins ou des Pharmaciens. Il en fut de même dans les monastères où certains religieux se transmettaient encore des savoir-faire médicinaux datant de la nuit des temps.

    On imagine le scandale que causerait une telle décision, prise aujourd'hui par le gouvernement du Brésil par exemple, qui imposerait du jour au lendemain sur toute l'Amazonie que seuls les médecins dûment diplômés des facultés d'Etat des villes côtières occidentalisées aient le droit de prodiguer des soins, ou de donner des plantes aux malades.

    Nul doute que des mouvements énormes de protestation seraient organisés à l'ONU, à l'UNESCO, et par les ONG du monde entier au nom du « respect des cultures », pour protester contre une tentative aussi barbare de faire table rase du passé. C'est pourtant exactement l'oppression qui a été imposée, et qui continue d'être imposée, en France sur les malades et les médecins bien qu'en Occident, le savoir en occident se soit aujourd'hui très largement perdu.

    Un couvercle de plomb

    Protocoles de traitements de la moindre maladie, autorisations de mise sur le marché des médicaments, taux de remboursement, prix des consultations, critères de sélection des médecins, nombre de diplômes de médecins délivrés (le fameux numerus clausus), répartition territoriale des hôpitaux et cliniques, campagnes de vaccination, tout fut donc désormais décidé par le seul Ministère de la Santé, et la technostructure qui en dépend. Aujourd'hui encore, c'est lui, et lui seul, qui décide ce qu'il faut faire et penser dans tous les domaines de la médecine et de la santé : ce que votre médecin a le droit de vous prescrire, les traitements que vous avez le droit d'entreprendre.

    Cette situation est potentiellement génératrice de souffrance pour les patients, qui peuvent avoir l'impression de n'être qu'un rouage du système de santé. Mais elle est également d'une grande violence pour les médecins, qui peuvent avoir le sentiment que les conditions ne sont plus réunies pour qu'ils puissent remplir leur mission auprès des malades.

    L'extrême sévérité et rigidité du système de santé à l'encontre des médecins « déviants » n'a toutefois pas permis de protéger le public contre les charlatans, qui semblent même être plus nombreux que jamais, ainsi qu'en témoigne le rapport, certes critiquable par bien des aspects, de la Miviludes (Mission de vigilance contre les sectes) paru le 10 juin 2011 au sujet des dérives sectaires dans le monde des thérapies parallèles.

    Tout se passe comme si le couvercle de plomb qu'on a voulu imposer sur la santé, avait en réalité servi de serre protectrice pour que se développe, en France, une myriade de pratiques thérapeutiques douteuses. Ces dérives sont d'autant plus dangereuses que le patient en quête de solutions naturelles n'a plus aucun moyen de distinguer les thérapeutes sérieux des autres, tous étant soumis à la même suspicion, voire aux mêmes interdictions, dès lors qu'ils ne suivent pas les protocoles officiels.

    Il est alors aisé pour un authentique escroc de crier à la persécution, ou aux atteinte à la liberté individuelle, alors qu'il met réellement en danger la vie de ses victimes.

    La plus totale confusion, donc, règne.

    La révolution Internet

    C'est dans ce contexte qu'Internet est venu changer la donne.

    Pour son information sur la santé, le public éclairé se tourne de moins en moins, aujourd'hui, vers le Ministère de la Santé, dont il sait qu'il obtiendra surtout des discours aseptisés et au fond, de peu d'utilité pratique.

    En revanche, une profusion fabuleuse d'information est aujourd'hui accessible grâce à la presse indépendante et surtout sur Internet. Le site Doctissimo draine chaque jour à lui seul plus de 3 millions de visiteurs, ce qui en fait un des tout premiers sites francophones en terme de fréquentation. Une myriade d'autres sites existent pour les personnes en quête de réponses à leurs problèmes de santé, qui publient des informations gratuites ou payantes, de qualité extrêmement variable évidemment. Les publications Santé Port Royal (Pratique de Santé, Principes de Santé, Plante & Santé...) par exemple, diffusent beaucoup d'informations intéressantes.

    Pour les personnes concernées par le cancer, et qui souhaitent un complément naturel aux traitements conventionnels, la référence francophone est bien sûr www.guerir.org, le site du Dr David Servan-Schreiber, malheureusement décédé le 24 juillet dernier.

    Pour les problèmes de cholestérol et les maladies cardiovasculaires, celui du Dr Michel de Lorgeril. Pour la nutrition, le site de Thierry Souccar www.lanutrition.fr.

    En Allemagne, dans les pays scandinave, aux Etats-Unis, des centaines de lettres d'information sur la santé naturelle circulent, les plus populaires étant celle du Dr Joseph Mercola (www.mercola.com), suivie par plus d'1,5 millions de personnes quotidiennement, celle du Dr Weil, ou encore celle Dr Whitaker. Au Canada, l'encyclopédie en ligne www.passeportsante.net, un site à but non lucratif financé par la fondation Lucie et André Chagnon, s'est imposée comme une des principales références sc ientifiques sur les médecines naturelles ces dernières années.

    C'est à partir de ces sources, et bien d'autres, que je publie moi-même Santé & Nutrition, une lettre gratuite à laquelle chacun peut s'abonner librement (lien ici), aujourd'hui suivie par près de 100 000 personnes.

    Il ne s'agit que de quelques noms, forcément choisis de façon arbitraire. Je présente donc d'avance mes excuses à toutes les personnes et institutions de grande valeur, qui contribuent de façon essentielle à l'information du public, et qui pourraient légitimement s'étonner de n'être pas citées ici. Mais le but de cet article n'était pas d'en faire une liste exhaustive.

    Face à cette explosion d'information, qui apporte un courant d'air frais extraordinaire à la médecine, il est permis d'espérer que le « système de santé » officiel se trouve bientôt obligé de se ré-inventer.

    Puissions-nous, chacun là où nous nous trouvons, œuvrer comme nous le pouvons pour que la médecine se recentre sur un seul objectif : la bonne santé... naturellement.

    L'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle remercie Jean-Marc Dupuis pour son aimable autorisation de reproduire ce texte.

    Références :

    [1] Altern Med Rev 2008 ; 13(1) : 6-20.

    [2] Grant W., Schwalfenbert, G.K., Genuis, S.J., Whiting S.J., « An estimate of the economic burden and premature deaths due to vitamin D deficiency in Canada », Molecular Nutrition and Food Research, volume 54, Issue 8, p. 1172-1181, août 2010.

    ------------------------------------------

    Newsletter de l'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle - 253A Chaussée de Wavre - 1050 BRUXELLES
    www.institut-protection-sante-naturelle.eu


    votre commentaire