http://blogs.ac-amiens.fr/etablissements/0601189S_upi_jules_michelet/index.php?post/2010/05/25/Mon-texte-sur-le-film-Nosferatu
Le sénateur républicain en vue Lindsey Graham a annoncé après les élections de mi-mandat l’intensification des menaces américaines contre l’Iran en appelant publiquement à une guerre totale qui « neutraliserait » Téhéran, laissant le pays dans l’incapacité de résister.
Graham a fait cette déclaration samedi lors d’une conférence sur la sécurité internationale à Halifax, Canada. « L'endiguement n’est plus à l’ordre du jour, » a-t-il déclaré par rapport au programme nucléaire de l’Iran.
Washington et ses alliés ont accusé Téhéran de développer son programme nucléaire dans le but de construire une arme. Le gouvernement iranien a nié de façon constante cette accusation en insistant pour dire que son programme est uniquement d’usage pacifique et civil.
En employant ce genre de rhétorique de guerre totale qui était le discours dans les années 1930 en Allemagne le sénateur républicain de Caroline du Sud a juré qu’une attaque serait effectuée « non seulement pour neutraliser son programme nucléaire mais pour couler sa marine, détruire son armée de l’air et porter un coup décisif à la garde révolutionnaire. En d’autres termes, neutraliser ce régime. Détruire sa capacité à riposter. »
Graham a ajouté que si en dépit de la défaite des Démocrates lors des élections de la semaine passée, le président Barack Obama « décide d’être dur avec l’Iran au-delà des sanctions, je pense qu’il va sentir beaucoup de soutien de la part des Républicains car nous ne pouvons pas laisser l’Iran développer une arme nucléaire. »
Le sénateur Mark Udall (Démocrate du Colorado), qui s’était joint à Graham en intervenant devant un forum lors de la conférence à Halifax, a préconisé le maintien des sanctions contre le régime en ajoutant toutefois que « toutes les options étaient sur la table, » un euphémisme faisant référence à une agression armée des Etats-Unis.
En prenant la parole lors de la même conférence, le ministre israélien de la Défense, Ehoud Barak, a décrit l’Iran comme « une menace majeure pour toute conception d’ordre mondial. » Il a reproché à Téhéran d’être « déterminé à atteindre une capacité nucléaire militaire, » qui a-t-il dit « serait la fin de tout régime de non-prolifération concevable. »
Israël, qui a défié les efforts de non-prolifération de l’ONU et qui est la seule puissance à détenir l’arme nucléaire dans la région, a à plusieurs reprises menacé l’Iran d’attaques militaires. Le mois dernier, le ministre israélien des Finance, Yuval Steinitz, a prôné un blocus maritime – ce qui est un acte de guerre – si Téhéran ne se pliait pas aux exigences de Washington.
Ces dernières menaces sont exprimées une semaine à peine avant la prochaine série de négociations entre l’Iran et le P5+1 qui comprend les membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies – la Grande-Bretagne, la France, la Russie et les Etats-Unis – plus l’Allemagne. Les pourparlers devraient avoir lieu à Vienne.
Le triomphe des Républicains aux élections de mi-mandat infléchira encore davantage à droite la politique étrangère américaine en intensifiant la menace de guerre contre l’Iran. Ileana Ros-Lehtinen (Républicaine de Floride) présidera en janvier le Comité des Affaires étrangères du Parlement. Elle rejette une diplomatie avec l’Iran en préconisant le type d’embargo économique qu’elle a soutenu de façon véhémente contre Cuba.
Ros-Lehtinen est également une fervente partisane des Moudjahidine-e-Khalq (MEK) qui ont affirmé avoir perpétré des attaques terroristes en Iran et qui ont été désignés par le Département d’Etat américain comme « organisation terroriste étrangère. »
Près d’un tiers des Républicains de la Chambre des Représentants a soutenu en juillet dernier la résolution accordant un soutien explicite à Israël pour qu'il procède à des frappes militaires contre l’Iran.
Le gouvernement Obama et les démocrates du congrès ont déjà durci les menaces contre l’Iran. Après avoir fait passer de force une nouvelle série de sanctions anti iraniennes au Conseil de sécurité des Nations unies, le gouvernement a promulgué en juillet dernier une loi prévoyant une nouvelle série de sanctions unilatérales américaines visant à paralyser l’économie iranienne en accroissant la misère de la population dans le pays de façon à déstabiliser le gouvernement.
Ces sanctions pénalisent les banques et les entreprises étrangères qui investissent ou qui négocient avec l’Iran en restreignant leur accès aux marchés américains et en leur supprimant la possibilité d’accéder aux contrats du gouvernement américain. Ces sanctions ciblent tout particulièrement le secteur clé de l'énergie en Iran.
Selon un article de David Sanger paru la semaine passée dans le New York Times, même si l’Iran devait participer la semaine prochaine aux négociations à Vienne, Washington n’engagerait pas de négociations sérieuses. Son principal objectif motivant sa participation est de voir « si une nouvelle série exceptionnellement vastes de sanctions économiques modifierait le calcul nucléaire de l’Iran. »
L’article explique que la nouvelle proposition américaine est « même encore plus coûteuse qu'un marché que le dirigeant suprême du pays, l’ayatollah Ali Khamenei, avait refusé l’année dernière. » Elle nécessiterait que l’Iran stoppe la production d’énergie nucléaire et abandonne plus de deux-tiers d’uranium en plus qu’il n’est stipulé dans l’accord conclu à titre d’essai lors des pourparlers d’il y a un an.
L’article du Times dit que Washington croit que jusque-là on « n’a pas obtenu grand-chose » pour ce qui est des sanctions « ce qui a déclenché une discussion à la Maison Blanche quant à la question de savoir s’il serait utile ou contre-productif s’il [Obama] parlait plus ouvertement des options militaires.
Dennis Ross, le conseiller spécial d’Obama sur les Affaires du Proche-Orient, a eu un discours identique lors d’une allocution prononcée le 25 octobre à l’occasion d’une conférence du Comité américain des affaires publiques d’Israël, le principal groupe de pression américain pro Israël.
Après s’être vanté que les sanctions américaines avaient provoqué une importante crise économique, de l’inflation et du chômage en Iran, Ross a soulevé la menace implicite d’une guerre : « Finalement nous espérons que la forte pression à laquelle l’Iran est confrontée aujourd’hui l’obligera à adopter une autre attitude. La porte de la diplomatie reste ouverte et nous recherchons bien sûr une solution pacifique à notre conflit avec l’Iran. Mais si l’Iran devait poursuivre son attitude défiante en dépit de son isolement grandissant et des dommages causés à son économie, ses dirigeants devraient écouter attentivement le président Obama qui a souvent dit, « nous sommes déterminé à empêcher que l’Iran obtienne l'arme nucléaire. »
L’appel, peut-être le plus glaçant, à une escalade de la menace militaire contre l’Iran se trouve dans une rubrique intitulée « La relance par la guerre? », écrite la veille des élections de mi-mandat par le chroniqueur du Washington Post, David Broder, le soi-disant « doyen des chroniqueurs politiques de Washington. »
Se plaignant de ce que l’aggravation de la crise économique est en train de créer une « situation décourageante » pour espérer qu'Obama remporte un deuxième mandat en 2012, Broder, un partisan servile du président démocrate, a imaginé deux scénarios à l’aide desquels ce défi pourrait être surmonté. Le premier est l’espoir vain que la crise économique sera surmontée par une relance économique. Broder conclut que « le marché ira où il doit aller » et qu’un tel résultat n’était pas fiable.
Il suggère une autre solution fondée sur l’histoire tumultueuse du 20ème siècle.
« Rappelez-vous FDR [Franklin Delano Roosevelt] et la grande dépression, » écrit-il. « Qu’est-ce qui a finalement résolu cette crise économique ? La Seconde guerre mondiale. »
« Et c’est là qu'Obama pourrait réussir. Recueillant un fort soutien des Républicains au Congrès s'il défie les ambitions de l’Iran de devenir une puissance nucléaire, il peut passer une grande partie de 2011 et 2012 à orchestrer une épreuve de force avec les mollahs. Ceci l’aidera politiquement parce que le parti d’opposition l’encouragera dans ce sens. Et, à mesure que la tension va monter et que nous accélérerons les préparatifs de guerre, l’économie s’améliorera. »
Et voilà où l’on en est: une modeste proposition pour relancer l’économie et gagner la campagne pour un second mandat, au prix de la mort de centaine de milliers sinon de millions de personnes.
Ce qui sous-tend de telles propositions sanguinaires ne sont pas seulement les cyniques calculs politiques de l’un ou de l’autre des deux partis américains droitiers pro-impérialistes mais plutôt le déclin historique du capitalisme américain et la plus profonde crise du système capitaliste mondial depuis la Grande dépression des années 1930.
Ces deux partis souscrivent au militarisme. Ceci reflète le consensus, au sein de l’élite dirigeante, que le capitalisme américain est en mesure de compenser son déclin économique par le recours à la force militaire pour établir l’hégémonie américaine dans les régions riches en énergie et géo-stratégiquement cruciales du Moyen-Orient et d’Asie centrale.
Les paroles de Broder et des Républicains ainsi que les actions du gouvernement Obama soulignent la menace d’une nouvelle guerre qui sera bien plus sanglante et qui impliquera le danger d’une conflagration mondiale.
http://www.alterinfo.net/Les-Etats-Unis-intensifient-les-menaces-de-guerre-contre-l-Iran_a51887.html
http://blogs.ac-amiens.fr/etablissements/0601189S_upi_jules_michelet/index.php?post/2010/05/25/Mon-texte-sur-le-film-Nosferatu
novembre 21st, 2010
Agressivité non maîtrisée, mensonges à répétition, inconséquence fiscale et préparation du terrain pour les lobbies de l’assurance et du BTP
: on pourrait résumer ainsi l’interview télévisée de Nicolas Sarkozy du 16
novembre dernier. Décryptage…
Agressivité non maîtrisée
Tous les spécialistes de la communication vous le diront
: lorsque l’on s’exprime, l’essentiel du message adressé à ses interlocuteurs est transmis à travers les gestes, le positionnement du corps et le ton de la voix. En la matière, l’attitude de Sarkozy lors de cette interview était particulièrement révélatrice
: tendu et cassant, visage fermé, visiblement concentré pour se maîtriser, tout démentait chez lui des propos volontairement décontractés, notamment lorsqu’il évoque le choix de François Fillon comme Premier ministre.
Si, durant les vingt premières minutes de l’interview, Nicolas Sarkozy a réussi à peu près à se maîtriser, tout dérape lorsque les trois journalistes chargés de l’interviewer – pourtant pas une bande de gauchistes – évoquent le fait qu’il n’y a plus de ministres «
d’ouverture
» au gouvernement.
À partir de là, le «
vrai
» Sarkozy se révèle
: incapable d’une véritable argumentation (nous y reviendrons plus loin), l’essentiel de son discours consiste à caricaturer les propos de son intervieweur, à l’intimider ou à lui prêter des idées ou des propos qu’il n’a pas tenus
:
• à Claire Chazal
: «
J’espère que vous ne découvrez pas la complexité des rapports sociaux depuis que je suis Président de la République
», «
Vous avez déjà oublié la réforme des régimes spéciaux de retraite…
», «
Oui ou non, Madame Chazal, la Commission a-t-elle dit “Ce qu’a fait la France est légal”
? Oui ou non
? Je n’ai pas entendu votre réponse
» (à propos des expulsions de Roms)
;
• à David Pujadas
: «
Vous m’expliquerez comment supprimer 30
% des ministres et augmenter le quota de chacun
», «
Vous créez vous-même, les médias, une situation de stigmatisation sur l’attaque d’une gendarmerie où il y avait eu deux carreaux de cassés et où ça a été médiatiquement exploité, déformé
» (sic), «
Vous imaginez que c’est moi qui organise le vol de l’ordinateur portable d’un de vos confrères
?
», «
Vous croyez que les problèmes ne sont pas assez lourds qu’il faille avoir uniquement en pensée des petits intérêts personnels
?
», «
Monsieur Pujadas, est-ce qu’on veut améliorer les choses ou est-ce qu’on veut les compliquer
?
», «
Nul n’est indispensable, Monsieur Pujadas, dans votre métier comme dans le mien
» (en le montrant du doigt)
;
• à Michel Denisot, après avoir affirmé que Mitterrand est le seul Président ayant fait espionner des journalistes
: « Oui ou non, Monsieur Denisot
?
»
;
• à tous
: «
Craignez, pardon de vous le dire (à) tous les trois, que le jour où dans un pays comme la France… vous ne vous étonnerez pas ce jour-là
», «
Si vous croyez que c’est court un an et demi, pour le chef de l’État, c’est que vous n’avez pas encore été chef de l’État
» (là, c’est carrément le comble du ridicule)…
Au fond, Sarkozy ne peut vivre que dans le conflit permanent. Il est totalement incapable d’un raisonnement autre que «
J’ai raison, tu as tort, tu es un con et je vais te mettre minable
». C’est le comportement d’un caïd de banlieue, pas d’un chef d’État.
Mensonges à répétition
De l’affirmation gratuite carrément absurde («
Les lycéens d’aujourd’hui, il y en a un sur deux qui vivra cent ans
») au mensonge pur et simple («
Je ne pense pas avoir dit quoi que ce soit sur lui (Dominique de Villepin) depuis que je suis Président de la République
») dont la preuve du contraire est rapportée dans l’extrait de l’interview ci-dessous, tout y est passé
:
• «
Le taux d’exécution des décisions de justice de reconduite à la frontière n’a jamais été aussi important
». On attend les preuves avec impatience…
• «
Quand j’ai fait la réforme (des retraites), on ne pouvait plus payer les retraites
!
». Ridicule, évidemment, c’est aussi stupide que d’affirmer que la France ne peut plus payer ses fonctionnaires…
• «
Tous les pays sans exception qui ont allongé la durée de vie au travail (sic) ont en même temps augmenté l’insertion des jeunes dans le monde du travail
». Affirmation totalement erronée, qui ne repose sur aucune statistique…
• «
Les socialistes allemands ont supprimé il y a quelques années l’impôt sur la fortune
». Faux
: cet impôt n’est plus perçu depuis 1997 (alors qu’Helmut Kohl, chrétien-démocrate, était chancelier) compte tenu de sa non-conformité à une décision de la Cour constitutionnelle allemande.
• «
La France a plus d’impôts que les autres pays d’Europe
». Faux, et encore plus mensonger lorsque Sarkozy affirme que le taux de prélèvement en France est supérieur à celui de la Suède ou du Danemark… pays qu’il cite cependant en exemples cinq minutes plus tard…
Quel que soit le sujet, l’argumentaire est bâti sur la caricature ou le mensonge, assénés avec la morgue de «
celui qui sait
» et qui ne supporte ni contradiction ni confrontation aux faits. Car ici c’est bien de cela qu’il s’agit
: par exemple, on peut être ou non partisan d’un impôt sur la fortune mais avancer comme argument pour le supprimer que les socialistes allemands ont pris une initiative de ce type est totalement mensonger et discrédite l’auteur de tels propos, a fortiori lorsqu’il prétend revêtir les habits d’un chef d’État.
Inconséquence fiscale
Elle apparaît au grand jour avec l’annonce concomitante de la suppression de l’impôt sur la fortune et du bouclier fiscal. C’est 2,3
milliards de recettes que Sarkozy raye d’un trait de plume du budget de l’État, aggravant ainsi un déficit qui flirte avec les 150
milliards
! C’est un véritable sabotage des ressources de l’État que Sarkozy organise alors que le même Sarkozy souhaite inscrire l’équilibre budgétaire dans la Constitution
! Difficile de trouver plus schizophrène…
Prévoir de remplacer l’ISF par un nouvel impôt sur les revenus du patrimoine dont n’a été défini ni le cadre ni l’assiette n’est évidemment qu’un leurre destiné à camoufler un cadeau fait aux 1
% de Français les plus fortunés
: le nombre de personnes touchées par ce nouvel impôt sera plus élevé que le nombre de contribuables assujettis à l’ISF, d’où aggravation du coefficient de Gini (voir notre billet Connaissez-vous Gini
?) et de l’injustice fiscale.
Le Noël des lobbies
Deux remarques de Sarkozy, lourdes de conséquences et de sous-entendus quand on connaît les intérêts en jeu dans ce type de business
:
• à propos de la dépendance et de la «
concertation de six mois
» qui va s’engager sur ce thème
: «
Faut-il obliger les gens à s’assurer
?
». Vous doutez de la réponse
? Pas les compagnies d’assurance… Nous vous proposons de relire notre billet 2050
: l’odyssée du servage pour mieux apprécier le sens à peine caché d’une telle remarque
;
• à propos de la nécessité «
d’alléger le fatras administratif
» qui prévaudrait dans le domaine du droit de l’urbanisme, de la construction et du logement… Bouygues, Eiffage ou Vinci souhaiteraient certainement avoir les mains un peu plus libres dans ce domaine, et, sous couvert de «
dépoussiérer
» divers textes juridiques, pourraient ainsi avancer leurs pions et faire prévaloir leurs intérêts.
En conclusion, rien de bien neuf sous le soleil de Sarkozy. Chassez le naturel et il revient au galop
: du mensonge et de l’intimidation comme mode de gouvernement jusqu’aux avantages que le Prince accorde à la bande du Fouquet’s, tout y était dans cette interview. On comprend mieux que beaucoup de Français, quelle que soit leur appartenance politique, aient honte pour leur pays de voir cet homme à la tête de l’État et le représenter, de surcroît, à la présidence du G20.
Lundi
© La Lettre du Lundi 2010
http://lalettredulundi.fr/2010/11/21/interview-with-the-vampire/
http://dutron.wordpress.com/2010/07/04/avec-blanc-et-joyandet-deux-fusibles-ont-fondu-chez-sarkozy/
Le 21/11/2010
Nous y voilà à l'ultime étape menant au nouvel ordre mondial greffée ( comme je l'ai indiqué en date du 30/06/2010 lorsque je m'adressai alors aux officiers) sous la présidence française au G20 (11/2010 à 11/2011).
Cette ultime étape sera très très lourde de conséquences et ce n'est évidemment pas un hasard si une semaine avant la présidence française effective au G20, la Fed a préparé le terrain aux hostilités (situation de banqueroute universelle - intervention militaire en Iran, catalyseur du 3 è conflit international - guerre civile européenne) en prenant une décision historique, inédite, aux conséquences désastreuses qui se traduira par de l'hyperinflation, une flambée des tarifs des matières premières, un krach obligataire), celle consistant en le rachat pour pas moins de 600 milliards de dollars en bons du Trésor américain.
L'élite de la franc-maçonnerie place la France en 1 ère ligne pour mener l'ultime étape menant au nouvel ordre mondial et à une gouvernance mondiale dictatoriale, fait preuve de coordination et de synchronisation : les présidents (durant la période liée à la présidence française au G20) des instances supranationales clés que sont le Fmi, la Bce et l'Omc sont tous français et membres du groupe de Bilderberg, cherchez l'erreur !
La stratégie d'isolement de l'état d'Israël et accessoirement de la France par-rapport aux Etats-unis a été parfaitement illustrée lors de menaces émanant d'al qaïda ces 27 et 29 octobre 2010 (une nouvelle configuration 9/11) pour la 1 ère fois exclusivement adressées à l'attention de la France et d'Israël et que d'un autre côté (contrairement au 09/11/2009) le 1 er ministre israélien Benyamin Netanyahu n'a pas directement rencontré le président américain barack Obama lors de sa visite du 7 au 11/11/2010 aux Etas-unis.
LE MESSAGE AUDIO CORRESPONDANT (partie 1) : http://www.blog-video.tv/video-10631360ec-Archive-tele-du-21-11-2010-09-59-48.html
LE MESSAGE AUDIO CORRESPONDANT (partie 2) : http://www.blog-video.tv/video-10631cc7b9-Archive-tele-du-21-11-2010-10-14-46.html
Dans les conclusions de la réunion du 29 octobre du Conseil européen – constitué des chefs d’Etat et de gouvernement, du président du Conseil européen et du président de la Commission européenne – il est précisé à propos du contenu d’une telle modification qu’il s’agit de « renforcer la surveillance de la politique économique (des Etats membres) » et « d’instaurer un mécanisme permanent destiné à sauvegarder la stabilité du marché financier dans toute la zone euro ». Même la proposition de la chancelière allemande Merkel et du président français Sarkozy qui prévoit de priver, pendant une période assez longue, les pays qui ne respectent pas dans leur budget les critères de déficit* du droit de vote dans tous les organismes européens en ce qui concerne les questions de l’Union monétaire figure – en dépit des protestations des autres gouvernements exprimées avant la réunion et de nombreux articles de presse parus après la réunion – dans le document final du Conseil au titre de « mandat écrit » adressé au président du Conseil.
En décembre 2010, lors d’une nouvelle réunion, le Conseil européen prendra les décisions définitives.
Modification effectuée dans le dos des peuples
Alors que la majorité des articles de presse se concentrent sur la question de savoir qui a imposé sa volonté à Bruxelles et ont recours à toutes sortes de clichés, on n’évoque pas le problème constitutionnel et le caractère explosif des décisions qui sont sur le point d’être prises. La question ne sera pas débattue largement car le président du Conseil van Rompuy a annoncé qu’on adopterait «une procédure simplifiée de modification du Traité qui ne nécessite pas de référendums» ! (Deutschlandfunk, 29 octobre)
Les modifications prévues doivent être effectuées relativement vite afin qu’elles puissent être ratifiées «au plus tard au milieu de 2013» sans consultation des citoyens à l’expiration du soutien accordé à la Grèce et des mesures de sauvegarde de l’euro. (Conclusions du Conseil européen du 29 octobre).
La «procédure de modification simplifiée» est réglementée à l’article 48-6 du Traité de Lisbonne, une nouveauté dont on a trop peu débattu compte tenu de son caractère explosif. Karl Albrecht Schachtschneider, dans sa plainte contre le Traité de Lisbonne, avait mis le doigt sur ce point névralgique. L’article 48-6 permet des modifications hors procédure habituelle, c’est-à-dire sans référendums, lesquels sont obligatoires – par exemple en Irlande lors de chaque modification – et demandés dans tous les pays membres.
Encore davantage de mise au pas et de centralisation
Les modifications prévues du Traité ne sont pourtant pas un détail mais une nouvelle étape vers un Etat fédéral donc une transgression des conditions mises par l’Allemagne à son adhésion à l’UE. Dans un commentaire paru le 30 octobre dernier dans la «Neue Zürcher Zeitung», on peut lire: « Le communiqué du Conseil européen […] nous montre que la politique de l’UE vise à l’harmonisation [on pourrait dire également: mise au pas] et à la centralisation. » Et plus encore: le projet de priver du droit de vote est inconnu dans les Etats fédéraux : il rappelle les méthodes utilisées en dictature.
La «surveillance de la politique économique» ne signifierait pas seulement un contrôle des budgets nationaux et par conséquent une ingérence dans les droits prioritaires, historiquement et philosophiquement fondés, du peuple souverain ou de ses représentants dans les parlements. Elle prive les pays encore davantage que jusqu’ici du droit de gérer souverainement leur économie.
Finalement, dans une interview accordée le 29 octobre au «Deutschlandfunk», le président du groupe parlementaire de la CDU-CSU a expliqué ce que le Conseil veut dire lorsqu’il parle d’un «mécanisme permanent de sauvegarde du marché financier dans toute la zone euro». On envisage de modifier l’article 122 du Traité sur le fonctionnement de l’Union européenne. Celui-ci prévoyait jusqu’ici une «aide» financière des Etats membres de l’UE uniquement en cas de catastrophe naturelle et d’autres événements exceptionnels. Il s’agirait maintenant de permettre un transfert financier comme dans le cas de la Grèce et de la sauvegarde de l’euro.
C’est là reconnaître que ce que les gouvernements européens ont fait au printemps dernier à ce sujet n’avait pas de base légale.
Quel avenir pour l’UE?
La voie suivie jusqu’ici mène à une impasse celle de la mise au pas et de la centralisation. La poursuivre constituerait une atteinte à la liberté, au droit et à la démocratie. On peut s’attendre à ce qu’elle n’apporte pas de solution aux problèmes de l’Europe et des Etats européens. La tentative d’éviter les questions fondamentales de l‘UE est vouée à l’échec. Aucune propagande, aussi habile soit-elle, ne pourra empêcher cela, car, finalement toute politique se heurte aux réalités.
Parmi ces réalités, il y a le fait que le modèle néolibéral, qui est à la base des traités de l’UE, a échoué. L’économisme s’est avéré être une mauvaise théorie, une idéologie propagée dans l’intérêt d’une oligarchie. Il ne tient pas compte des hommes, de leur dignité, et de leurs aspirations à la liberté, à l’égalité et à la justice. Parmi ces réalités, il y a également le fait que la classe politique de l’UE et des Etats membres perd de plus en plus de sa crédibilité. Un nombre grandissant de personnes reconnaissent que leurs sociétés sont entraînées dans une mauvaise direction. Parmi ces réalités, il y a encore le fait que les citoyens cherchent partout en Europe à déterminer eux-mêmes leur destin politique.
Une autre voie fondée sur la volonté citoyenne
Y a-t-il une solution? Sans doute uniquement si l’on part d’une volonté sérieuse des citoyens. Il s’agirait notamment de développer une autre Europe fondée sur le droit et l’éthique. Il existe des repères dans l’Histoire, par exemple l’idée d’une «Europe des patries» (Charles de Gaulle) – sans hypertrophie bureaucratique liberticide. Une Europe où les Etats et les peuples puissent décider de nouveau librement quels traités ils veulent conclure. L’UE actuelle est un produit de l’après-guerre. A l’époque, Les Etats-Unis, puissance victorieuse, ont voulu que les peuples de l’Europe se plient à la volonté de Washington et de New York et à cette fin, il fallait les mettre sous tutelle.
Les changements qui se produisent dans le monde ouvrent de nouvelles voies. Ce serait une aubaine pour l’Europe que de devenir indépendante. Elle le doit si elle veut survivre.
Karl Müller, pour Horizons et Débats
* Le déficit annuel ne doit pas dépasser 3% du PIB et la totalité de la dette publique ne doit pas excéder 60% du PIB, conditions que presque aucun Etat de la zone euro ne remplit.
http://www.mecanopolis.org/?p=20483
lundi 15 novembre 2010, par Comité Valmy
La bataille de Trafalgar
A l’aube du 2 novembre 2010, les Français apprennent que des traités et des accords ont été nuitamment signés entre l’Angleterre et la France, ces textes visant à mettre en commun la défense et la sécurité des deux nations au motif affiché de réaliser des économies sur les budgets de la défense.
La presse britannique réagit aussitôt en s’interrogeant sur les pertes de souveraineté qui peuvent résulter de ces traités et accords. Côté français, les médias se contentent d’annoncer la nouvelle sans même s’enquérir du détail des textes, ne considérant que l’aspect financier, en se réjouissant simplement des possibilités d’économies, seul argument mis en avant par l’Élysée. La presse et le gouvernement sautent sur l’occasion avec soulagement : ce sujet permet d’occuper les unes des journaux et de faire oublier cette réforme des retraites à laquelle « la France s’était engagée » auprès des instances européennes, selon les termes du Président de la République.
S’agit-il, encore un fois, d’étourdir les Français en colère avec un flot ininterrompu de nouvelles plus abracadabrantes les unes que les autres ? N’est-ce pas aussi le moyen de minimiser une colossale perte de souveraineté, glissée entre un conflit social historique, de nouvelles menaces du chef d’Al’ Qaïda opportunément ressuscité, la venue du numéro un chinois Hu Jintao et les pipolesques intrigues du remaniement ?
Attendu qu’il s’agit, ni plus ni moins, de faire collaborer les trois armes des deux armées en tous domaines, de mettre en commun les essais, les conceptions et fabrications d’armes nouvelles, de mettre également en commun l’arme nucléaire avec de bien floues et dérisoires réserves de maintien d’indépendance, de s’engager sur un période de 50 ans, il semble raisonnable d’y regarder de plus près, point par point.
C’est l’objet de cette série d’articles, celui-ci traitant de la forme et du contenu - connu - des textes.
des traités secrets
S’il est officiellement déclaré que David Cameron et Nicolas Sarkozy ont signé deux traités et leurs ministres de la défense des lettres d’intentions, ces textes ne sont pas rendus publics. Seule une « Déclaration sur la coopération de défense et de sécurité » révèle des éléments de leurs contenus. Il est pour le moins troublant que des traités si importants puissent être signés, que leur existence fasse la une des journaux sans que ni la presse, ni les parlementaires, ne se préoccupent d’en connaître l’exact contenu. Personne ne relève l’inquiétant côté secret de l’opération, d’autant plus que la déclaration publique devrait sérieusement y inciter.
- Une déclaration délirante
La « Déclaration sur la coopération de défense et de sécurité » mélange allègrement des éléments programmatiques extrêmement concrets et précis avec des considérations géopolitiques délirantes visant non seulement à s’autoriser n’importe quelle agression, mais aussi, dans une logique de solidarité paranoïaque, à s’y obliger. Par exemple, l’engagement jusqu’au boutiste suivant : « nos intérêts vitaux peuvent aussi être menacés à tout moment. Nous n’envisageons aucune situation où les intérêts vitaux de l’une de nos deux Nations pourraient être menacés sans que ceux de l’autre le soient aussi. » côtoie de multiples accords suffisamment précis pour que la totale imbrication des armées et industries de défense soulève de très graves interrogations, qui dépasse le seul domaine militaire. Les déclarations censées assurer de la préservation des souverainetés et indépendance y apparaissent comme de pures clauses de styles anesthésiantes, voire comme de cyniques et provocatrices plaisanteries.
En résumé, il s’agit :
1) de conclure un traité de coopération en matière de défense et de sécurité,
2) de la gestion des arsenaux nucléaires,
3) d’un nouveau cadre d’échanges sur des questions opérationnelles,
4) de coopération industrielle et d’armement,
5) d’une force expéditionnaire commune interarmées,
6) d’une force aéronavale d’attaque intégrée franco-britannique, avec mise en commun des moyens, notamment des porte-avions,
7) de plans de soutien et de formation pour les avions de transport A400M,
8) des équipements et technologies pour la prochaine génération de sous-marins nucléaires,
9) des équipements et systèmes anti-mines,
10) des futures communications militaires par satellite,
11) du programme britannique FSTA pour répondre aux besoins de la France en matière de ravitaillement en vol,
12) de la prochaine génération de drones de surveillance moyenne altitude et longue endurance,
13) de la prochaine génération de drones de combat,
14) du plan stratégique décennal concernant le secteur britannique et français des missiles,
15) de recherche et de technologie (budget annuel de 50 millions d’euros minimum) notamment :
les recherches essentielles pour les communications par satellite,
les drones,
les systèmes navals,
les missiles,
les nouveaux domaines industriels essentiels,
les capteurs,
les technologies de guerre électronique,
16) de la cyber sécurité,
17) de la lutte contre le terrorisme,
18) d’un nouveau concept stratégique qui affirme l’engagement constant de l’OTAN à assurer la défense collective des territoires, à répondre aux menaces pour la sécurité des Alliés et leurs intérêts,
19) de la défense antimissiles des territoires, reposant sur le développement du système antimissiles de théâtre ALTBMD, cohérente avec le niveau de la menace émanant du Moyen-Orient,
20) d’encourager tous les membres de l’Union européenne à développer leurs capacités militaires, civiles et civilo-militaires afin d’être plus efficaces en matière de sécurité et de gestion des crises,
21) d’encourager une coopération plus étroite et la complémentarité entre l’UE et l’OTAN en Somalie, en Géorgie, en Bosnie et au Kosovo,
22) d’appeler tous les pays à adopter des mesures énergiques pour contrecarrer l’action des pays proliférants tels que l’Iran et la Corée du Nord, 23) d’appeler tous les pays à suivre l’exemple de l’UE en appliquant des sanctions strictes et ciblées vis à vis de l’Iran,
24) de renforcer la contribution aux actions de formation conduites par l’OTAN en faveur des forces afghanes, d’appeler les autorités afghanes à améliorer la gouvernance et à lutter contre le trafic de drogue, de soutenir les efforts du Gouvernement afghan pour tendre la main à ceux qui renoncent au terrorisme, rompent toute relation avec Al Qaïda et acceptent le cadre constitutionnel afghan,
25) d’appeler les autorités civiles et militaires pakistanaises à redoubler d’efforts pour combattre et éliminer les réseaux terroristes et les sanctuaires talibans.
Dans une seule opération, sans que les peuples, ni leurs représentants ne soient ni consultés, ni même informés, il s’agit d’imbriquer totalement les armées de façon à ce qu’il ne puisse subsister de secrets l’une pour l’autre, dans les domaines les plus stratégiques, de rendre les armées techniquement inter-dépendantes jusqu’à les rendre inopérantes en cas de rupture du traité (exemple : le ravitaillement en vol des avions français par le ravitailleur britannique) de créer des forces d’attaques dont la pertinence implique un parfait partage des objectifs. (Il conviendra donc de s’assurer que les deux états signataires ont réellement les mêmes objectifs et les mêmes intérêts stratégiques, ce qui fera l’objet d’un autre article).
Aujourd’hui, en attendant que le contenu précis des traités soit enfin public, la seule déclaration commune donne la mesure du nouveau carcan qui vient de s’abattre sur notre pays, désormais enchaîné aux intérêts britanniques dans le monde, désormais dépourvu de tous secrets militaires réels, désormais permettant à une armée étrangère des investigations secrètes sur ses citoyens, comme le révèle les accords sur la cyber-sécurité et la lutte contre le terrorisme.
La Cyber-sécurité
Il est annoncé qu’un cadre régissant la coopération dans le domaine de la cyber-sécurité et permettant de renforcer la résilience des deux systèmes nationaux et communs a été agréé. Ce cadre – tenu lui aussi au secret – met en place une coopération des deux armées dans un domaine touchant au liberté publique sur Internet, toute approche militaire de la cyber-sécurité conduit inévitablement à des actions intrusives dans les données et les ordinateurs des personnes privées. Comment concilier les droits et le respect des libertés publiques en autorisant la coopération de deux armées en ce domaine, d’autant qu’un état, la France, a signé la Charte des droits fondamentaux, mais pas la Grande-Bretagne ? Doit-on accepter, qu’au motif de lutter contre la cybercriminalité, que n’importe quel service de l’armée britannique espionne les échanges et les ordinateurs des citoyens français, tandis que le plus grand secret couvre ces pratiques ?
La lutte contre le terrorisme
Voici, in extenso, le point 21 de la déclaration commune :
21. Lutte contre le terrorisme
Nous sommes déterminés à lutter contre toutes les formes de terrorisme, à l’intérieur et à l’extérieur de nos pays. Nous demeurons vigilants face aux menaces qui pèsent actuellement sur eux. Nous prévoyons de renforcer notre excellente coopération dans les domaines suivants : détection précoce des activités terroristes et du recrutement des terroristes ; partage des informations sur les modifications de l’évaluation du niveau de la menace terroriste ; prévention des menaces terroristes dans les domaines nucléaire, radiologique, biologique, chimique et explosif, notamment avec le programme Cyclamen de contrôle du trafic transitant par le Tunnel sous la Manche ; protection de nos populations et des infrastructures critiques ; sûreté de l’aviation commerciale ; soutien au développement de capacités de nos partenaires non européens dans leur lutte contre le terrorisme.
Quelles sont les limites à la coopération en matière de « détection précoce des activités terroristes et du recrutement des terroristes » ? A quelles intrusions dans la vie des citoyens français les services de sa très gracieuse Majesté vont-ils être autorisés, sous prétexte de détecter précocement des activités ou du recrutement de terroristes ? Il est clair que sous ces prétextes, tout est permis.
De la même inspiration que le Patriot Act américain, cette collaboration militaire est foncièrement liberticide et ostensiblement dirigée contre les peuples. Ici, pas de traumatisme de l’ampleur du 11 septembre, mais un mécanisme plus subtil, la confusion de deux armées en lutte contre deux ennemis communs, l’un imaginaire ou fabriqué, le terrorisme dans le choc des civilisations, l’autre, l’ennemi de l’intérieur, les peuples, dont la juste colère contre ses gouvernants faillis risqueraient d’en faire des peuples révolutionnaires, rebaptisés « terroristes » par ceux qui manient si bien la terreur, précisément. (ce qui n’est pas nouveau : "L’hérétique n’est point celui qui brûle dans la flamme, mais celui qui allume le bûcher." William Shakespeare)
A suivre...
Commentaire d'Adriana Evangelizt :
Alors lisez attentivement l'article ci-dessous de Jean-Yves Crevel, ça vaut son pesant d'or. Aucun media n'en a parlé, bien entendu, ils baîllent aux corneilles. Il en sera bientôt comme lorsque Hitler a accédé au pouvoir. D'ailleurs si vous lisez les journaux de l'époque, vous verrez qu'il y avait manifestations sur manifestations en France, comme aujourd'hui, et que le gouvernement était totalement dépassé par les évènements. Seulement, cette fois, ce n'est pas tout-à-fait le même schéma. Car c'est le Chef d'Etat Sarkozy qui vend la France à l'ennemi. Elle est déjà vendue au Sionisme mais doublement avec la nouvelle alliance France-Angleterre dont les Maîtres d'Oeuvres sont les mêmes qu'aux Etats-Unis. Désormais, notre République n'en est plus une, elle appartient à Elizabeth II, au M16, c'est-à-dire au Mossad. Nous exagérons à peine.
Nous savions, avant même que Sarkozy ne soit élu, que sa Mission était de ruiner notre pays et les Français, c'est chose faite. Nous savions que ses alliances contre-nature -avec d'autres pays, qui ne conviennent nullement à nos trois piliers Liberté, Egalité, Fraternité- allaient nous amener à vivre sous occupation, c'est chose faite. Nous savions que lorsqu'il quitterait la scène en 2012 (??? peut-être avant ??? selon le calendrier terrestre) la France ne serait plus Française que de nom, c'est chose faite. Et ce pour 50 ANS. Qui dit mieux ? Désormais la France partage tout avec le Royaume-Uni, y compris l'arme nucléaire. Nous n'aurons plus aucun secret dans nos services, plus aucune sécurité nationale, plus rien. Nous ne nous appartenons plus. Et personne ne dit rien ? Personne ne dit Sarkozy outrepasse ses fonctions et prend ses aises sans prévenir les citoyens ? Comme si tout était normal ? Croyez-le, bientôt nous allons changer de nationalité sans nous en apercevoir, au train où vont les choses. Mais le plus dramatique, c'est que tout le monde laisse faire.
Ce qui est en train de se passer est très grave pour nous. Très grave. L'Ennemi est à l'intérieur, chez nous, il n'est pas à l'extérieur. Et grâce à Sarkozy, il est confortablement installé et pourra nous porter le coup fatal quand bon lui semblera. Voilà le triste constat qu'il faut faire.
http://nom666.over-blog.com/article-apres-l-ue-l-otan-l-armee-sarko-britannique-1---la-france-bradee-par-appartements-61493500.html
On est en train de préparer une video avec tous les mensonges de Sarkozy, toutes les choses qu'il a promises et pas tenues, bref, toutes ses trahisons. Regardez le bien là dans la video en train de nous jouer son mijoré. Regardez-le. Rien qu'en le voyant, on voit qu'il ment. Sarkozy fait partie de ce genre d'individus qui, pour gagner les élections et appâter les chalands naïfs, peut aller jusqu'à vendre son âme. Promettre et Trahir ne lui a jamais coûté. Ca fait partie de sa nature. "La fin justifie les moyens" ou "qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse". Il porte sur lui ce qu'il est. Pour se conduire de la sorte, profiter autant d'un Peuple et le trahir comme il le fait, faut-il qu'il ait bien peu d'Honneur et bien peu de Conscience. Oui, décidément... la France méritait bien mieux que cela.
http://nom666.over-blog.com/article-video-les-reniements-de-sarkozy-sur-la-retraite-61501763.html