• Liliane Bettencourt: quand l'information prend tous les droits

    lilianeB.jpg

    En tant que lecteur, c'est le grand bonheur de la semaine, on ne s'en lasse pas : lire les conversations privées de Liliane Bettencourt, sur le site de Mediapart, ou dans le Point de la semaine, c'est entrer dans un univers balzacien, ou plutôt simenonien, où tout est vrai : c'est dur, méchant, impitoyable pour tous les protagonistes. Du jamais lu nulle part. Et en prime, on y découvre comment Eric Woerth, en tant que ministre du budget, traitait avec les milliardaires : la propriétaire de l'Oréal a-t-elle vraiment du engager sa femme, sur demande du ministre, pour gérer sa fortune ? Madame Woerth  a-t-elle aidé à favoriser l'évasion fiscale que combat officiellement son mari ? Eric Woerth se contente de démentir, c'est un peu léger comme réaction. Tout cela est donc passionnant, répétons le, mais...tout cela est tout de même fort gênant, car provenant d'écoutes illégales, faite par un maitre d'hôtel, qui les a transmis ensuite à la fille de Liliane. On fait confiance à l'avocat de cette dernière, Olivier Metzner, pour avoir trouvé comment les exploiter. Il est spécialiste des plans médias qui font aller l'opinion dans le sens où il l'a décidé, et, la, il veut que nous prenions tous Liliane pour une vieille gateuse. Celle-ci a des absences, c'est vrai, mais elle me semble encore bien lucide sur ses actes.

    On avait parlé ici de ce que signifiait l'affaire Zahia pour la presse française : pour la première fois, dans un grand journal, une prostituée parlait de ses relations avec ses clients connus sans rien cacher. Une méthode largement utilisée par les journaux étrangers pour doper leurs ventes, mais qui ne se faisait pas en France par pudeur et bonne éducation des journalistes ( et par respect des puissants). L'affaire Bettencourt est un pas de plus vers cette transformation à l'anglaise de la presse française : publier les conversations privées d'une vieille dame, cela n'aurait pas été possible il y a encore quelques années, voire quelques mois. Tel qu'il est enseigné dans les écoles, le journalisme consiste à publier ce que nous disent volontairement des gens, informés de notre qualité de journaliste. Notre métier n'est pas de tromper la confiance pour avoir des informations. Et pourtant, c'est sur ces procédés la que les Anglais ont bâti la fortune de leurs journaux, en publiant les conversations téléphoniques de la famille royale ou de leurs ministres. C'est ainsi que les puissants se font mettre à nu, parfois. En Grande Bretagne, les maitres d'hôtels ont toujours un magnétophone à portée de main, et ils n'hésitent pas à aller vendre ensuite ce qu'ils ont enregistré. La guerre des classes prend de multiples formes et le public est bien mieux informé de ce qui se passe dans les allées du pouvoir.

    C'est donc ce qui vient de se passer en France, pour la première fois. Comme on est tout de même encore entre Français, et qu'on a des pudeurs avec l'argent, le maitre d'hôtel de Liliane a fait cela par vengeance, et pas pour l'argent. Il n'empêche : il a produit de l'info choc. De l'info utile aussi. Un pas de plus dans la société du « tout ouvert », où des jeunes gens s'exhibent devant des cameras de télé sans rien cacher et où désormais les journaux sérieux balancent ce qu'aucun milliardaire n'aurait raconté de son plein gré. Ce qui est arrivé à Liliane Bettencourt me semble condamnable moralement...et pourtant justifié. Nous entrons petit à petit dans une nouvelle information, plus dure, sans compromis, où tout sera possible. Mauvaise nouvelle pour notre surmoi épris de pureté, mais excellente nouvelle pour les lecteurs et les ventes des journaux

     

    http://claude-soula.blogs.nouvelobs.com/archive/2010/06/18/liliane-bettencourt-quand-l-information-prend-tous-les-droit.html

     

     

    17 juin 2010 - 16:30
     

    17 juin 2010 (Nouvelle Solidarité) – Son cas ne résistera pas à l’examen des consciences : Nicolas Sarkozy doit partir. Après l’implication du Président dans les malversations financières liées à des contrats d’armement et au financement de la campagne présidentielle de Balladur, Mediapart.fr révèle un nouveau scandale d’Etat. L’Elysée aurait interféré auprès de la justice pour aider la milliardaire Liliane Bettencourt. Ironie du sort, le ministre chargé de la rigoureuse réforme des retraites, Eric Woerth, est aussi impliqué. La connivence entre dirigeants politiques et puissances d’argent alors que le système s’effondre sur les peuples ne peut plus être acceptée.

     

    Entre mai 2009 et 2010, les discussions d’affaires de l’héritière L’Oréal et première fortune de France ont été enregistrées secrètement par son maître d’hôtel. A l’examen de ces conversations entre Liliane Bettencourt et Patrice de Maistre, le patron de la société gérant sa fortune, l’on apprend que l’Elysée aurait violé la séparation constitutionnelle des pouvoirs exécutifs et judiciaires, qu’Eric Woerth et son épouse auraient bénéficié de faveurs et que Nicolas Sarkozy aurait lui-même reçu des contributions financières de la milliardaire. Extraits.

     

    Dévoiement de l’Elysée

     

    Conseiller du Président pour les affaires judiciaires jusqu’en novembre 2009, Patrick Ouart, désormais salarié de LVMH mais qui continuerait à conseiller le chef de l’Etat sur les dossiers les plus sensibles, est au cœur des discussions. Notons que lorsque Nicolas Sarkozy était maire de Neuilly (1983-2002), où se situe l’hôtel particulier de Liliane Bettencourt, il fut un hôte régulier de l’héritière. Il l’a d’ailleurs reçue personnellement à l’Elysée en décembre 2008. Dans une conversation avec elle le 21 juillet 2009, Patrice de Maistre évoque un entretien avec Patrick Ouart « le conseiller juridique, à l’Elysée, que je vois régulièrement pour vous ». « Il m’a dit que le procureur Courroye allait annoncer le 3 septembre, normalement, que la demande de votre fille était irrecevable. Donc classer l’affaire. Mais il ne faut le dire à personne, cette fois-ci. » Effectivement, le 3 septembre dernier, le parquet de Nanterre déclara irrecevable la plainte de la fille Bettencourt. Lors d’une autre conversation du 23 avril 2010, de Maistre dit à Bettencourt : « j’ai vu, euh, l’ancien conseiller de Nicolas Sarkozy pour les affaires juridiques et judiciaires, Patrick Ouart, qui n’est plus à l’Elysée mais qui n’a pas été remplacé et qui travaille chez Bernard Arnault, et qui m’aime beaucoup. Et il a voulu me voir l’autre jour et il m’a dit, M. de Maistre, le président continue de suivre ça de très près… (…) Et en première instance, on ne peut rien faire de plus, mais on peut vous dire qu’en cour d’appel, si vous perdez, on connaît très, très bien le procureur. »

     

    Connivence avec Eric et Florence Woerth

     

    N’oublions pas qu’Eric Woerth, ministre du Budget de 2007 à 2010 et actuel ministre du Travail, est, en tant que Trésorier de l’UMP et grâce à son fief de Chantilly, le principal rabatteur de fonds du parti présidentiel (voir notre article Rigoureusement Woerth) et qu’il fut l’artisan du bouclier fiscal protégeant la fortune des 15 000 plus riches contribuables de France. Jusqu’au mois dernier, son épouse Florence, embauchée en 2007 par Patrice de Maistre, était la principale gérante de la fortune Bettencourt. Dans une conversation du 23 avril 2010, de Maistre dit que c’est Eric Woerth qui a obtenu l’embauche de sa femme : « Je me suis trompé quand je l’ai engagée. (…) J’avoue que quand je l’ai fait, son mari était ministre des finances (du budget, NDLR) , il m’a demandé de le faire. (…) Et donc si vous voulez, aujourd’hui, sans faire de bruit, je pense qu’il faut que j’aille voir son mari et que je lui dise que avec le procès et avec Nestlé, il faut qu’on soit trop manœuvrants et on peut plus avoir sa femme. Et puis on lui, on lui, on lui donnera de l’argent et puis voilà. Parce que c’est trop dangereux. » De Maistre affirme aussi dans une discussion du 29 octobre 2009 qu’Eric Woerth est personnellement intervenu pour aider la fondation de Liliane Bettencourt : « [Eric Woerth] est très sympathique et c’est notre ministre du budget. Et c’est lui qui a permis à l’Institut de récupérer le bâtiment dans lequel on va faire l’auditorium. » Il prétend même que le ministre s’occupe personnellement des affaires fiscales de la milliardaire : « Il est très sympathique et en plus c’est lui qui s’occupe de vos impôts donc je trouve que ce n’était pas idiot. C’est le ministre du budget. Il est très sympathique, c’est un ami. »

     

    Versements d’argent

     

    Toujours selon ces enregistrements dérobés, la ministre de la Recherche Valérie Pecresse ainsi que MM. Woerth et Sarkozy, auraient reçu, en mars, de l’argent de Mme Bettencourt :

     

    – Patrice de Maistre : « Valérie Pécresse, c’est la ministre de la recherche. Elle fait la campagne pour être présidente de Paris. Elle va perdre mais il faut que vous la souteniez et c’est des sommes très mineures, des petites sommes. Elle va perdre mais il faut que l’on montre votre soutien. Le deuxième, c’est le ministre du budget. Il faut aussi l’aider. Et le troisième, c’est Nicolas Sarkozy. »

     

    – Liliane Bettencourt : « Bon alors, il faut donner pour Précresse… »

     

    – PdM : « Mais ce n’est pas cher. »

     

    – LB : « C’est elle qui a demandé cette somme là ? »

     

    – PdM : « Non, c’est le maximum légal. C’est 7.500, ce n’est pas très cher. Vous savez, en ce moment, il faut que l’on ait des amis. Ça, c’est Valérie Pécresse. Ça, c’est Eric Woerth, le ministre du budget. Je pense que c’est bien, c’est pas cher et ils apprécient. »

     

    – LB : « Et Nicolas Sarkozy ? »

     

    – PdM : « C’est fait, c’est dedans. »

     

    Tout cela est entre les mains de la police judiciaire mais quelles qu’en soient les suites légales, le dossier Sarkozy est déjà bien trop lourd. Il faut en tirer les conséquences pour faire face à l’effondrement économique et financier, qui exige la présence de consciences et de caractères au sommet de l’Etat.

     

     

     

     

     

    Affaire Liliane Bettencourt

     

    Suite à des écoutes téléphoniques pirates, il semblerait que pour favoriser (?) la fuite à l'étranger des capitaux de cette milliardaire, certaines personnalités politiques aient été "soutenues" financièrement.

    Les médias parlent (sans s'étendre...), de NS et d'E. Weorth, voire de V. Pécresse...

     

    artemia-college.org


    votre commentaire
  •  

    banquiers-j.jpg

     

     

    Sur le blog sos-crise d'eva,

    l'actualité autrement

    Lisez aussi sur ce blog

    les articles sur la guerre mondiale en préparation,

    ou sur la mafia du crime aux commandes.
    eva R-sistons


    votre commentaire
  • SARKOZY CONVOQUE ET MENACE LE DIRECTEUR DU « MONDE » POUR L’OBLIGER À SE VENDRE À SES AMIS

    Le Canard Enchaîné

    Mercredi 16 Juin 2010
     
    SARKOZY CONVOQUE ET MENACE LE DIRECTEUR DU « MONDE » POUR L’OBLIGER À SE VENDRE À SES AMIS Pendant ce temps là, nos amis faux-culs de RSF hurlent contre le « dictateur » Chavez qui a osé porter plainte contre un journal qui appelait l’armée à faire un coup d’état contre lui… par contre, la mainmise totale de Sarkozy sur les grands médias français, l’asservissement de la presse à ses intérêts électoralistes, cela ne dérange aucun de nos grands « postilloneurs professionnels »…
    [Jean-Luc Porquet - Le Canard Enchaîné - 16/06/2010]
    Dans une démocratie irréprochable, jamais un président n’aurait osé faire ça. Et s’il l’avait fait, de toute part auraient jailli des cris indignés. Un président n’a pas à se mêler des affaires de presse. Il n’a pas à appeler au téléphone le directeur du quotidien dit « de référence », puis à le convoquer à l’ Elysée, pour le menacer sous prétexte de sauver son journal. C’est pourtant la fine manoeuvre à laquelle vient de se livrer Sarkozy avec «Le Monde ».
    Ce journal existe depuis 1944. Il a longtemps été, et il l’est encore en partie, l’honneur de la presse française: il est – « Le Canard » mis à part -le seul dont la rédaction ait voix au chapitre. Par l’intermédiaire de la Société des rédacteurs associée aux sociétés de personnels, ses journalistes possèdent la minorité de blocage. Ils disposent d’un droit de regard sur la gestion de l’entreprise. Et d’un droit de veto sur le choix du directeur.
    Mais « Le Monde» est aujourd’hui au bord du dépôt de bilan. On n’entrera pas ici dans les détails, on ne racontera pas la gestion calamiteuse qui, depuis vingt-cinq ans, ra mené au bord du gouffre, les crises à répétition, la dette qui gonfle, etc. Il suffit de savoir qu’il a perdu 2 millions d’euros par mois en 2009, qu’il a besoin de 10 millions d’euros immédiatement sous peine de cessation de paiement dès juillet. Et qu’il est couvert de dettes, 69rnillions d’ORA (obligations remboursables en actions) et 25 millions empruntés à la BNP. Du coup, il est à vendre, et vite.
    Quatre acheteurs s’étaient mis sur les rangs: l’Italien Benedetti, qui édite« L’Espresso », s’est retiré, L’Espagnol Prisa, qui édite le quotidien de gauche « El Pais », se tâterait encore. Restent, pour l’instant, d’un côté Claude Perdriel avec son groupe « Le Nouvel Observateur»; de l’autre l’homme d’affaires Pierre Sergé, associé avec le banquier Matthieu Pigasse et Xavier Niel, le fondateur de Free. Mais voilà que mercredi 9 juin, en pleine discussion, surgit à la surprise générale un troisième larron, l’opérateur Orange, dont l’Etat est le premier actionnaire et que dirige aujourd’hui Stéphane Richard, ancien directeur de cabinet de Christine Lagarde, un obligé de Sarkozy,
    Et comme c’est bizarre, le jour même, le même Sarkozy convoque à l’Elysée Eric Fottorino, le directeur du «Monde ». Dix jours auparavant. il lui avait déjà passé un coup de fil pour lui expliquer que le trio Bergé-Pigasse-Niel, il n’en veut absolument pas. Ce dernier n’at- il pas le toupet de financer deux sites Intemet antisarkozystes. Mediapart et Bakchich? Comme Xavier Niel a commencé à faire fortune avec le Minitel rose, le très délicat Sarkoly en parle à Fottorino comme de « homme du peep-show ». C’est Bigard qui doit se marrer.
    Ce mercredi-là, à l’Elysée, Sarkozy revient à la charge, déconseillant à Fottorino de vendre « Le Monde» à ce « drôle d’attelage ». Et de se livrer carrément à un chantage: si ce trio l’ emportait, alors l’Etat renoncerait à apparier, via la Caisse des dépôts et consignations, les 20 millions d’euros qu’il s’apprête à lâcher pour participer au sauvetage de l’imprimerie du « Monde» en pleine débâcle. Ça, c’est du brutal. Ça, c’est de « l’Etat irréprochable » : celui que nous a promis Sarkozy.
     
    Dans cet Etat-là, on ne peut rien reprocher au Président. Il se croit tout permis. Il se permet tout. Personne ou presque ne moufte: silence ébouriffant des partis, des philosophes autoproclamés, des postillonneurs professionnels, des lanceurs de grands débats bidons. Sarkozy a déjà à sa botte les directions de TF1, du « Figaro », d’Europe 1, du « JDD », etc. Il a aidé à imposer le milliardaire Bernard Arnault à la tête des « Echos ». Il a fait en sorte, par l’entremise de son fidèle Guéant, que le moribond « France-Soir» atterrisse dans les mains d’un opaque oligarque russe. Il a nommé à la tête de Radio France deux joyeux zigues ennemis des humoristes qui ne rigolent pas dans le sens du poil. Il va bientôt désigner le patron de France Télévisions. Complétez la liste (avec « Le Parisien », peut-être ?) …
    Bref, ça se voit comme le nez au milieu de la figure: Sarkozy prépare à sa manière le terrain pour sa réélection de 2012.

    Pour lui, un bon média est un média aux ordres. Qu’en démocratie la presse soit un contre-pouvoir: impensable! Qu’une rédaction soit indépendante: intolérable ! Que les journalistes du « Monde », qui ont eu le toupet d’évincer en 2007 son bon ami Alain Minc, alors président du conseil de surveillance, décident aujourd’hui de choisir à qui ils vont confier leur journal: bolchevik!

    Et pourtant, ceux-ci le savent, c’est la dernière fois qu’ils peuvent encore exercer cc pouvoir, puisqu’une fois le journal vendu la minorité de blocage leur échappera (ils ne seront plus actionnaires majoritaires).
    Si Sarkozy voulait se les mettre à dos et les pousser à choisir le trio Bergé-Pigasse-Niel, il n’aurait pas agi autrement. S’il veut, en intervenant sur la désignation du repreneur du « Monde », réussir le même coup qu’avec France Inter, où désormais toutes les décisions de Val et Hees apparaissent comme téléguidées par le pouvoir, c’est bien parti. Et s’il rêve d’une rédaction aux ordres, il risque d’être déçu. Car si les entreprises de presse sont fragiles et tombent souvent sous le coup des puissances d’argent (ou du pouvoir politique), nombre de journalistes, eux, ont ceci de curieux : la liberté d’expression, ils n’y sont pas complètement indifférents …
     


     

    Mercredi 16 Juin 2010



    http://libertesinternets.wordpress.com/2010/06/16/sarkozy-convoque-et-menace-le-directeur-du-monde-pour-lobliger-a-se-vendre-a-ses-amis/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+wordpress%2FxTBZ+%28Revue+de+Web+%3A+Libertes+%26+Internet


    votre commentaire
  •  

    enfants_vaccins  enfants_vaccins  enfants_vaccins 

    Alerte ! Dépopulation, stérilisation, vaccins, et... à notre insu ???? 

    Bill gates et son nouveau vaccin qui se transmet par votre sueur !

     

    Le langage politique  est destiné à rendre vraisemblables  les mensonges, respectables  les meurtres, et à donner l'apparence  de la solidité à ce qui n'est que vent.

    George Orwell

    Posted by Équipe Signes des Temps on June 10, 2010

    © NaturalNews

    La Fondation Bill et Melinda Gates commence à se faire connaître pour le financement des technologies destinées à favoriser la stérilisation de masse et les programmes de vaccination dans le monde. L’un de ces programmes récemment financés par la fondation est un programme de stérilisation qui utiliserait de puissantes projections d’ultrasons sur le scrotum d’un homme pour le rendre stérile six mois. Cette technologie devrait plutôt s’appeler “castration temporaire”. Plus d’informations ici.

    Maintenant, la fondation finance un nouveau programme “de vaccin à libération provoquée par la sueur” se basant sur des nanoparticules traversant la peau humaine. Cette technologie est décrite comme une façon de “…fabriquer des nanoparticules pénétrant la peau par les follicules pileux et éclatant au contact de la sueur humaine pour libérer le vaccin.”

    La subvention de recherche est attribuée à Carlos Alberto Guzman, du Centre Helmholtz de Recherche sur les Infections en Allemagne et à Claus-Michael Lehr et Steffi Hansen de l’Institut Helmholtz pour la Recherche Pharmaceutique.

    Ils participent tous deux au programme “Grand Challenges Explorations” que soutient la Fondation Gates, dont le but serait “d’accomplir des percées majeures en matière de santé mondiale.”

    …des percées comme la stérilisation de masse et les vaccins à nanoparticules qui pourraient être secrètement administrés sans que vous en soyez informé, visiblement. 

     

    Ces nanoparticules pourraient être utilisée sous forme de nuage de fines gouttelettes pulvérisées sur toute personne traversant un barrage de sécurité dans un aéroport, par exemple. Ou elles pourraient être diffusées dans les systèmes de ventilation d’un bâtiment de bureaux d’entreprise ou d’une école publique pour vacciner les masses. Vous ne sauriez même pas que vous êtes vacciné.

     

    Cette technologie est potentiellement très dangereuse pour la liberté de votre santé. En l’utilisant, les gouvernements ou compagnies pharmaceutiques (c’est la même chose de nos jours) pourraient créer une crème-pour-la-peau/vaccin qui serait présentée sous forme de “crème solaire”. Mais lorsque vous l’utiliseriez, vous vous vaccinerez vous-même avec des nanoparticules s’enfonçant sous la peau et éclatant en libérant un ADN étranger dans votre corps.

     

    Histoire de la médication discrète des masses

     

    Vous vous demandez pourquoi les gouvernements chercheraient à soigner les gens sans qu’ils le sachent ou sans leur consentement ? Ils le font déjà avec la fluoration de l’eau. Le fluor est un médicament, et les gouvernements régionaux et nationaux partout sur terre utilisent la distribution de l’eau potable pour donner du fluor à la population, qu’elle en ait besoin ou non — et sans aucune prescription ou diagnostic médical.

    Donc si les gouvernements donnent déjà des médicaments discrètement à la population comme le montre l’exemple du fluor dans la distribution de l’eau, ils ont préparé le terrain à une vaccination de masse par des voies similaires, comme la distribution d’air dans les immeubles. Et grâce à Bill Gates, la nanotechnologie nécessaire à cette fin est maintenant financée.

    Est-ce vraiment une “percée majeure en matière de santé mondiale ?”

    Posté par rusty james à 20:58 - Sciences et technologie    

     

    http://rustyjames.canalblog.com/archives/2010/06/13/18272637.html

     

    votre commentaire
  • 4-squelettes.jpg  

    Si ce qu'il dit est vrai,

    alors Alex Jones a

    le plus grand scoop de l'année.

     

    L'Aumônier Lindsay Williams qui connaît tout le personnel BP donne des explications hallucinantes et qui expliquent parfaitement la folie qui s'est emparée de BP et des Gardes Côtes pour empêcher les journalistes d'approcher des zones contaminées. Aujourd'hui, il est même formellement interdit de survoler tout le Golfe du Mexique! Selon cet homme d'église, la pression du puits est telle qu'une seule technologie humaine peut l'arrêter, comme les Russes l'avaient fait sur terre dans les années 50, la bombe nucléaire. Problème, il n'y a pas que du pétrole qui sort, les gaz les plus toxiques et les plus explosifs qui puissent exister: hydrogène sulfide à très haut niveau, et les vents les transportent sur les côtes. Autorisé 5 à 10 ppd par million. Aujourd'hui, c'est à 100.000 ppd par million. Benzine: 0 à 4 ppd par million autorisés, aujourd'hui à 3000 ppd par million. Toutes ces plages sont désormais atteintes et les gens commencent à être malades. Williams dit les mesures faites ces derniers jours sont à des millions au-dessus des quotas autorisés. La Metaline chloride autorisée à 61 p par million, aujourd'hui entre 3000 et 100.000 par million.

    J'ai écouté cette interview par téléphone, et si tout ceci est exact, alors c'est la plus grande catastrophe de l'humanité depuis 9000 ans. Ajoutons que Williams a écrit un livre très bien documenté voici 10 ans, et il connaît son affaire. Bravo à Alex Jones et à Hussard qui l'a traduit.

     

    Allez sur cette page pour les 3 vidéos.

    http://www.dailymotion.com/video/xdnq3n_partie-1-lindsey-williams-explicati_news#from=embed?start=1

    http://www.dailymotion.com/video/xdnt6r_partie-2-lindsey-williams-le-danger_news#from=embed?start=1

     

    Cliquez ici pour la version US.

     

    (Merci à Dominique, eva)

     


    votre commentaire