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L'information déjantée, au Kärcher, et la liberté d'expression dans sa quintessence: "Mieux vaut mourir debout que de vivre à genoux" Dolores Ibárruri Gómez
Syrie : Bachar al-Assad menacerait la France avec une virulence inouïe
Alors que le Washington Post indique dans son édition d’hier que les Etats-Unis aident à coordonner l’arrivée d’armes en Syrie à destination des rebelles qui luttent contre le régime du président Bachar al-Assad, on peut être rassuré. Ce n’est pas dans les médias français, mâtinés par du racisme quand il faut parler de la Syrie qu’on verra ça.
Il est incompréhensible que la Russie n’envoie pas de troupes sur place pour éradiquer ces terroristes. Mardi dernier, lors d’un entretien sur la chaîne russe Rossia-24, le président syrien met en garde les nouvelles autorités françaises. J’ai suivi Soir 3 et la présentatrice du journal dit que le président russe “menace la France.” Un refus de relever la nuance dans le propos de Bachar al-Assad. En réalité, que dit le président syrien ?
Il dit que ce soutien inconditionnel aux terroristes ne pourra que se propager à termes ici aussi en Occident, compte tenu de la proximité avec le Moyen-orient.
Petits tracks backs:
Sur Sarkozy
“La question est de savoir ce que la France a gagné ces dernières années avec ses positions sur la Syrie et la Libye, notamment”
“Puisque nous parlons de la France, vous savez qu’elle a participé à des offensives militaires et qu’elle est responsable de la mort de centaines de milliers de Libyens.”
“J’espère que le nouveau président pensera à l’intérêt de la France. Je suis certain qu’il ne réside pas dans de nouvelles incitations au chaos et à la crise au Proche-Orient et dans le monde arabe”
Sur le terrorisme et son soutien occidental et celui du golfe (Qatar et Arabie saoudite)
“Ce qui se passe au Moyen-Orient, le chaos qu’on y créé – le terrorisme – aura un effet négatif en Europe aussi, parce que ce n’est pas loin de notre région”
“Pour les dirigeants de ces pays, il devient clair que ce n’est pas le ‘printemps’ mais le chaos et, comme je l’ai dit, si vous semez le chaos en Syrie vous pourriez être touché vous-même, ce qu’ils comprennent parfaitement”
Donc, lorsque des journalistes osent piétiner la déontologie qui est celle d’informer uniquement, c’est triste. D’ailleurs, les racistes qui ne comprennent rien nous accusent d’être des défenseurs des dictateurs (voir photo en dessous d’une page Facebook qui justifie le terrorisme). C’est simplement hallucinant de constater que ces gens ne comprennent pas l’enjeu de cette guerre qui cache en fait le contrôle du gaz. Passons.
Lisez le mode d’emploi du délire de ces clowns, ça ressemble étrangement aux pratiques de ceux de l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), que tous les médias reprennent honteusement.
Syrie : Bachar al-Assad menacerait la France avec une virulence inouïe
by Allain Jules
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http://portrait.sebrieu.com/post/2011/01/03/Manuel-Valls-invit%C3%A9-%C3%A0-rejoindre-l-UMP., Sebrieu
Les Médias lancent Manuel Valls
comme une vulgaire lessive
pour nous berner !
Par eva R-sistons
Démocratie ?
Pas du tout !
Non seulement il n'y a pas alternative,
mais simple alternance de 2 partis presque identiques,
comme aux Etats-Unis, en Angleterre, en Allemagne...
Ensuite on nous impose, à force de matraquage,
de "choisir" un homme, de voter pour lui !
Médias, sondeurs, tous s'y mettent,
avec en arrière plan le meneur de jeu, le CRIF :
Nous devions voter Sarkozy, "super Sarko",
nous aurions du voter DSK,
nous devrons voter Valls - ou Copé.
Valls est arrivé dernier pour le PS à la Primaire,
trop à droite. Martine Aubry a raison:
Cet homme n'a rien à faire à Gauche,
elle voulait l'expulser du PS !
Le moins aimé des Electeurs de Gauche pour ses idées de Droite
est maintenant en tête des sondages !
Il est vrai que les Médias le mettent en avant,
on le voit en premier,
on ne voit presque que lui,
il est valorisé, encensé,
et lorsqu'on fait un reportage sur un nouveau Ministre,
c'est lui qu'on choisit !
Il est lancé comme une vulgaire poudre à laver !
Valls est l'homme du Bilderberg,
il est choisi parce qu'il est un homme de droite,
parachuté au PS pour tuer définitivement
tout ce qui lui reste de gauche,
pour l'aligner sur le libéralisme le plus brutal,
l'atlantisme et le sionisme les plus durs.
D'ailleurs, comme DSK il reconnaît que sa priorité est Israël !
C'est une taupe, un infiltré comme Attali, BHL, Cohen au PS,
Cohn-Bendit chez les Verts...
Il n'est pas sincère, il est juste ambitieux !
Pendant la campagne, il suivait Hollande comme son ombre,
et il faisait tout pour s'assurer les faveurs de sa compagne Valérie.
Son unique but est de diriger à son tour la France
en se faisant passer pour un socialiste
alors qu'il a reconnu un jour que
"sa volonté est de réformer la Gauche",
comprenez, faire en sorte qu'elle soit le clone de la Droite !
D'ailleurs, il pense comme l'UMP :
Pour la retraite retardée, pour la TVA "sociale", etc.
Voilà la vérité !
Alerte ! Les médias sont en train de nous imposer
Manuel Valls comme choix contre notre gré et nos besoins !
Déjouons le piège avant d'en être les victimes !
Alertons partout nos concitoyens,
mettons-les en garde,
révélons la vérité !
Manuel Valls est l'homme du Club Bilderberg !
Voyez mon dossier :
Manuel Valls : « Je suis lié de manière éternelle à Israël »
http://oumma.com/Manuel-Valls-Je-suis-lie-de
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Pendant que j'écris, je regarde LCP, " Ca vous regarde "
Un reportage sur la révélation de la campagne :
Manuel Valls !
Le même reportage que celui diffusé par FR2 !
Commentaires :
" Très belle promotion pour Manuel Valls
Regardez, pour ceux qui ne le connaissent pas, son portrait...
Il est pour l'allongement de la cotisation des retraites,
pour la TVA anti-sociale,
il est pour une politique de sécurité musclée,
il place ses partisans dans l'équipe de campagne de F. Hollande,
il se rapproche de sa compagne,
il est omniprésent ! "
Bien joué Bilderberg,
Bien joué le CRIF,
Bien joué les Médias aux ordres !
eva
BFMTV le propulse aussi.
Et un signe qui ne trompe pas,
Valls à l'Intérieur est bien accueilli
par le Syndicat de Police Alliance (très à Droite),
selon Jean-Claude Delage son Secrétaire général.
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François Hollande élu : Ce qui va changer dans le rapport du Président aux médias
Modifié le 15-05-2012
LE PLUS. Dès le début de son mandat, Nicolas Sarkozy avait beaucoup parlé aux médias et avait annoncé qu'il s'adresserait régulièrement aux Français. Cette couverture médiatique intense continuera-t-elle ? Quel client François Hollande sera-t-il pour l'industrie médiatique ? Explications avec "Le Conseiller", spécialiste en communication qui tient à conserver l'anonymat.
Édité par Melissa Bounoua
Les couvertures des quotidiens au lendemain du second tour de l'élection présidentiel (T. COEX/AFP)
Parmi les poncifs serinés ad nauseam depuis le 6 mai, celui d'un Nicolas Sarkozy "vendeur de journaux" figure probablement sur le podium. L'hyperactivité, le goût de la provocation lui ont certes ouvert les pages et offert les "unes" de l'ensemble de la presse française, parce que ces marques de fabrique faisaient vendre.
Je fais le pari que la présidence Hollande va accompagner une évolution profonde de la hiérarchie médiatique, avec un retour probable vers des équilibres anciens. En clair ? Une chance donnée aux médias capables à la fois de montrer et décrypter une communication présidentielle qui ne "sur-soulignera" pas son propos et dont les signes seront soigneusement limités.
François Hollande a démontré dans sa conquête du pouvoir la maîtrise de quelques principes de communication essentiels : la répétition comme preuve de la constance (la rhétorique du changement, l'ambition pour la jeunesse, les bons mots sur le sortant), et la construction d'une image globale par tableaux successifs (présidentialisation à la suite des primaires par des interventions à l'austérité assumée, gestion de la métamorphose du candidat avec le discours du Bourget, retour à une attitude plus libre à l'approche de l'élection).
Sauf reniement spectaculaire de ce qui a fait son succès, sa communication ne sera pas sans conséquence sur le contenu médiatique des années à venir.
1. François Hollande ne sera pas un bon client pour les médias d'information en continu.
Le rapport au temps de François Hollande, fait, comme évoqué ci-dessus, de construction de messages puissants et durables par touches impressionnistes, favorisera la presse d'analyse au détriment des médias en temps réel. Le temps de la dramatisation des sommets internationaux auxquels participait Nicolas Sarkozy est bel et bien révolu.
Les journalistes ne seront plus abreuvés de SMS envoyés par l'entourage du président, faisant fuiter chaque rebondissement de la négociation, pour permettre aux chroniqueurs des chaînes d'information en continu de renouveler leurs commentaires sur l'image fixe de portes closes. Il fallait montrer que le président ne lâchait rien, que les difficultés étaient nombreuses, les nuits courtes et la volonté intacte. Les ressorts de la communication de François Hollande seront inévitablement différents, l'enjeu n'étant pas de manifester une énergie ou une volonté, mais une capacité à modifier l'ordre établi.
2.Une transformation profonde du "off" présidentiel.
En redonnant à la fonction présidentielle la hauteur et la distance perdues au cours des cinq dernières années, le "off" effectué par ses communicants, à la fois pédagogie et décryptage de ce qui ne peut être dit face caméra, sera déterminant. Nicolas Sarkozy se chargeait parfois en personne du "off" en recevant lui-même les journalistes, qui reprenaient ensuite certains propos en les mettant dans la bouche d'un "proche du président".
Jeu dangereux, qui pousse à questionner la sincérité du "off" et le degré de manipulation : la vraie valeur du "off" se mesure à sa préciosité et à sa rareté. L'épisode guyanais en début d'année en a marqué la faillite : un "off" qui doit être corrigé, démenti, précisé, est une sortie de piste.
C'est pourquoi la nomination de Christian Gravel, proche de Manuel Valls, à la tête de la communication élyséenne témoigne de cette volonté de fermeté dans la maîtrise de la parole présidentielle – et fait d'ailleurs écho à mon article du 5 mai : alors que François Hollande a déjà annoncé qu'aucun conseiller ne serait autorisé à s'exprimer dans la presse, parions que cette interdiction s'étendra également sur les confidences informelles qui nourrissent le bruit médiatique.
Tout écart de conduite vaudra au fautif un recadrage ferme et définitif par Christian Gravel. Aussi, la presse devra se désaccoutumer de cette perfusion de "off" qui, à trop forte dose, encourage à la paresse journalistique.
Je fais donc le pari de l'émancipation de certains médias ou du moins de certains journalistes, et d'un retour en grâce d'une presse écrite capable d'offrir à ses lecteurs une information non-soumise à la tyrannie du temps réel. Ce pari que je fais aujourd'hui est tout autant une conviction qu'un acte de foi, l'espoir d'une presse qui jouera davantage son rôle d'analyse en cessant de courir après le "live".
Tout l'écosystème y gagnera : on prend trop souvent les communicants pour des manipulateurs. Ils n'en n'ont pas toujours le pouvoir et ne devraient pas en revendiquer la capacité. Un vrai communicant ne peut correctement exercer son métier que dans le cadre de règles du jeu claires et face à des médias forts.
Communiquer, c'est prendre un risque ; un communicant est là pour gérer ce risque et le tourner en bénéfice. Constat magnifique : on ne peut bien communiquer que dans une presse de qualité.
"Le Conseiller" a tenu une chronique hebdomadaire dans "Le Nouvel Observateur" intitulée "Le journal du sorcier". Le dernier épisode a été publié dans l'édition du 10 mai.
http://leplus.nouvelobs.com/contribution/551701-francois-hollande-elu-ce-qui-va-changer-dans-le-rapport-du-president-aux-medias.html#xtor=EPR-3-[Actu17h]-20120515
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Dernières parutions sur mon blog sos-crise
que vous ne trouverez pas dans les Médias :
- La nouvelle tyrannie: l’Occident a t’il un avenir ? (Paul Craig Roberts)
- Après l'élection, va-t-on spéculer contre la France pour la mettre à genoux ? (vidéo)
- Mikhaïl Saakachvili encourt un procès en Europe - Et tous les autres ?
- Les Armes Électro-Magnétiques (modification du climat, du comportement..)
- Pour une Assemblée Constituante démocratique - Voici en quoi ça consiste
- Vitrolles pour comprendre Hénin-Beaumont (Le Cri du Peuple)
- Voici l’organigramme des véritables maitres du monde
- Cri d'alarme : 2000 prisonniers palestiniens en grève de la faim !
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La zone euro de mal en pis, le désarroi se répand partout : En Grèce, dans les instances européennes, en Espagne, en Italie...
La journée du 14 mai 2012 a marqué une nouvelle et forte dégradation de la situation globale en zone euro
:
EN GRÈCE
Alors que des rumeurs avaient circulé pendant le week-end sur un possible « gouvernement de technocrates » qui aurait permis de ne pas reconvoquer des élections, la Grèce n’est toujours pas parvenue, ce lundi, à se sortir du casse-tête politique, économique et social dans laquelle l’a plongée l’euro.
La probabilité que la toute nouvelle assemblée nationale soit dissoute dans l’espoir de voir émerger une coalition majoritaire s’est donc encore accrue.
Mais ce pourrait être un remède pire que le mal aux yeux des européistes, qui craignent que tout cela ne débouche sur une majorité plus écrasante encore en faveur d’un rejet des plans de destruction du pays concoctés par la Commission européenne, le FMI et les grands établissements bancaires.
DANS LES INSTANCES EUROPÉENNES
Cette perspective de plus en plus chaotique en Grèce a conduit l’inamovible président de « l’eurogroupe », le Luxembourgeois Jean-Claude Juncker, à se livrer à un exercice de « langue de bois » digne de la Haute Époque brejnévienne. D’un coup de menton, cet européiste caricatural a affirmé devant la presse que « les pays membres de la zone euro ont l’intention inébranlable de conserver la Grèce dans l’union monétaire ».
Pour qui connaît les allées du pouvoir européiste, cette déclaration signifie exactement le contraire. Car M. Juncker n’aurait jamais affirmé pareille certitude si le problème, justement, ne se posait pas.
Il l’a d’ailleurs puérilement avoué quelques instants après, en critiquant violemment la « propagande » [sic !] de ceux qui évoquent la possibilité qu’Athènes soit exclu de l’euro. Il a ainsi éructé : « Nous sommes 17 États membres copropriétaires de notre monnaie commune, je n’envisage pas une seconde que la Grèce quitte la zone euro, c’est du non-sens, c’est absurde, c’est de la propagande. »
Notons au passage, pour les amateurs de précision, que M. Juncker parle bien de « monnaie commune » et non pas de « monnaie unique ». Cela confirme ce que j’expose depuis des années dans mes interviews et dans mes conférences. Cela prouve aussi qu’à la différence de certaines de nos « vedettes » de l’élection présidentielle (qui croyaient malin de proposer de transformer l’euro en… une monnaie commune, ce qu’elle est déjà !!), M. Juncker sait au moins comment fonctionne l’euro.
EN ESPAGNE
Un malheur n’arrivant jamais seul, on a appris le même jour que l’Espagne peinait à emprunter les 3 milliards d’euros dont elle avait besoin. Elle est parvenue à lever tout juste 2,903 milliards d’euros à 12 et 18 mois et elle a dû concéder des taux en hausse sensible sur les deux échéances : à 2,985% pour les bons à 12 mois (contre 2,623% le 17 avril) et à 3,302% pour les bons à 18 mois, (contre 3,110% à la même date).
Cette dégradation des conditions d’emprunt signifie que les marchés financiers sont de nouveau inquiets sur l’Espagne, et en particulier sur son secteur bancaire, sur la crise de l’immobilier espagnol, et sur l’impact de tout cela sur la BCE et sur l’euro.
On a en effet appris que la dette des banques espagnoles envers la Banque centrale européenne a atteint en avril un record historique, à 263,5 milliards d’euros. Ce montant témoigne de la difficulté extrême des banques espagnoles à recourir au marché (au lieu de la BCE) pour se financer. Le recours des banques espagnoles à la BCE, qui avait grimpé jusqu’à 131,9 milliards d’euros en juillet 2010, avait depuis régulièrement baissé, descendant jusqu’à 42,2 milliards en avril 2011.
Avec 263,5 milliards d’euros, il a donc été multiplié par 6 en un an !
C’est dire à quel point le climat de défiance des marchés financiers est général vis-à-vis de l’Espagne.Pour tenter d’y porter remède, le gouvernement de M. Rajoy vient d’obliger les banques à provisionner dans leurs comptes encore 30 milliards d’euros supplémentaires en 2012. Les quatre plus grands établissements financiers espagnols (Santander, BBVA, CaixaBank et Bankia en voie de nationalisation partielle), devront à elles seules passer plus d’un tiers de ce montant (11,3 milliards d’euros).
Cette nouvelle exigence s’ajoute aux précédentes mesures introduites en février, qui imposaient déjà 53,8 milliards d’euros de provisions de plus en 2012 aux banques.
C’est dire que le gouvernement espagnol estime qu’il y a au moins 83,8 milliards d’euros de créances immobilières pourries dans le système bancaire du pays… La spéculation immobilière place ainsi notre voisin ibérique de plus en plus près du gouffre.
EN ITALIE
Enfin, cerise sur le gâteau immangeable de l’euro, on a appris ce 14 mai au soir que l’agence de notation Moody’s a décidé d’abaisser immédiatement la note de crédit de long terme de… 26 banques italiennes.
Les abaissements vont d’un à quatre crans, avec un cran pour les deux plus grandes banques du pays UniCredit et Intesa Sanpaolo, toutes deux ramenées à A3.
Plus grandiose encore, la perspective est négative pour toutes les banques concernées. Ce qui signifie que Moody’s envisage d’abaisser encore ces notes, si les problèmes de financement s’aggravent, en cas de récession prolongée ou encore en cas d’abaissement de la note de l’État italien.
Les notes des banques italiennes font maintenant partie des plus basses chez les pays européens avancés.
CONCLUSION
L’enfoncement de la Grèce dans le chaos a fait plonger toutes les bourses mondiales (Paris a perdu -2,3 % et Wall Street près de – 1%) et a fait baisser l’euro par rapport au dollar.
On imagine à peine ce qu’il en serait si c’était ensuite au tour de l’Espagne et de l’Italie de sombrer à leur tour dans « l’euro-chaos ».
Dans ce contexte d’effondrement général, la seule chose qui grimpe, c’est… le nombre des adhérents de l’UPR. Le flux d’adhésions à notre mouvement se poursuit de plus belle ; nous aurons l’occasion de faire le point prochainement pour nos lecteurs.
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Appel au secours du Docteur Didier Moulinier de Bordeaux Caudéran pour la défense d'une médecine alternative dans le domaine de la cancérologie et la liberté du choix thérapeutique dans l'intérêt des malades .Pour l'application de traitements plus individualisés en médecine.
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Publié le17 mai 2012
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