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    A voir aussi, autres silences médias :

    (Parlement) Vers un fichage généralisé des “gens honnêtes”, silence Médias

    La vérité sur la Syrie : Des hommes fous en costume gris

    Israël kidnappe les prisonniers récemment libérés !

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    La révolution en cours de l’Islande

    deena stryker



    La révolution en cours de l’Islande
    On se souvient que, au début de la crise financière de 2008, l'Islande fit littéralement faillite. Les raisons ne furent mentionnées qu'en passant, et depuis lors, ce membre peu connu de l'Union Européenne a semblé s’éclipser de l’actualité.
     
    A mesure qu’un pays Européen après l'autre fait face a une quasi-faillite, mettant en péril l'euro, l'Islande devient un phare d'espoir pour avoir choisi les gens avant le profit. voici pourquoi:
     
    Cinq ans d'un régime néo-libéral ont conduit à une privatisation de toutes les banques en Islande, (320.000 habitants, pas d'armée). afin d'attirer les investisseurs étrangers, ces banques offraient des services bancaires en ligne dont les coûts minimes leur ont permis de fournir des taux de rendement relativement élevés.
     
    Ces comptes (bancaires), appelé Icesave, ont attiré de nombreux petits investisseurs anglais et néerlandais. à mesure que les investissements augmentaient, les dettes étrangères des banques augmentaient aussi. en 2003, la dette de l'Islande équivalait à 200 fois son pnb (produit national brut), et en 2007, elle était de 900 pour cent.
     
    La crise financière mondiale de 2008 devint le coup de grâce. les trois principales banques islandaises firent faillite et furent nationalisées, tandis que la couronne (monnaie de l'Islande) perdit beaucoup de sa valeur par rapport à l'euro. a la fin de cette année-là, le pays a se déclara en faillite.
     
     
    Les citoyens récupèrent leurs droits
     
    Contrairement aux attentes mondiales, la crise a conduit la population à prendre le pouvoir de son pays, à travers un processus de démocratie participative directe. Ceci a finalement conduit à une nouvelle constitution, mais seulement après une persévérance féroce.
     
    Geir Haarde, le premier ministre d'une coalition gouvernementale sociale-démocrate, négocia un prêt de plus de deux millions de dollars, auquel les pays nordiques ajoutèrent deux millions et demi de dollars supplémentaires. mais la communauté financière étrangère fit pression pour que l’Islande impose des mesures drastiques.
     
    Des protestations et des Émeutes s’ensuivirent, obligeant finalement le gouvernement a être remplacé par une coalition de gauche nouvellement formée.
     
    La coalition plia finalement face aux exigences provenant de l'extérieur et selon lesquelles l'Islande devait payer un total de trois millions et demi d'euros. cela aurait exigé de chaque islandais de payer 130 $ par mois pendant quinze ans, a 5,5% d'intérêt, afin de rembourser une dette contractée par des parties privées vis-a-vis d’autres parties privées. ce fut la goutte d’eau qui fit déborder le vase.


    Ce qui s'est passé ensuite fut extraordinaire. la croyance selon laquelle les citoyens devaient payer pour les erreurs d'un monopole financier, qu'une nation entière devait être taxée afin de rembourser les dettes privées, fut brisée.
    Les relations animées entre les citoyens et leurs politiciens, habilitèrent les dirigeants de l'Islande à agir aux cotés de leurs électeurs. le chef de l'état, Olafur Ragnar Grimsson, refusa de ratifier la loi qui rendait les islandais responsables des dettes bancaires, et soutint les appels pour un referendum.
     
    La communauté internationale furieuse
     
    Le monde ne fit qu'accroître la pression. la Grande-bretagne et la Hollande mirent en garde contre des représailles terribles qui isoleraient le pays, incluant l’arrêt de l'aide du FMI  et le la gel des comptes bancaires islandais étrangers.
     
    Durant le referendum du mois de mars 2010, 93% de la population votèrent contre le remboursement de la dette. le FMI gela immédiatement son prêt. mais l'Islande n’allait pas se laisser intimider. comme Grimsson le dit: « on nous a dit que si nous refusions les conditions de la communauté internationale, nous deviendrions le Cuba du nord. Mais si nous les avions acceptées, nous serions devenus l'Haïti du nord ».
     
    Avec le soutien des citoyens furieux, le gouvernement lança des enquêtes civiles et pénales contre les personnes responsables de la crise financière. en conséquence, l'ancien ministre des finances purgea une peine de prison de deux ans, alors qu'Interpol émit des mandats d'arrêt internationaux contre les banquiers impliques dans le krach.
     
    Les islandais se mirent également d’accord sur certaines mesures de réduction budgétaire comme le démantèlement de leurs infrastructures militaires - l'Islandic Defense Agency (agence islandaise de la défense, ou IDA), cessa d'exister en janvier 2011.
     
    La nouvelle constitution de l’Islande

    Afin de libérer le pays du pouvoir exagéré de la finance internationale et de l'argent virtuel, le peuple de l'Islande décida de rédiger une nouvelle constitution

    Ils élirent 25 citoyens parmi 522 adultes n'appartenant à aucun parti politique, mais recommandés par au moins trente personnes.Les réunions des électeurs furent diffusées en ligne, et les citoyens purent envoyer leurs commentaires et suggestions, étant les témoins de ce document à mesure qu'il prenait forme. la constitution qui émergea de ce processus de démocratie participative fut soumise au parlement pour approbation cet automne.
     
    On a dit au peuple grec que la privatisation de leur secteur public est le seul moyen de garder le pays à flot. les peuples de l'Italie, de l'Espagne et du Portugal sont confrontés à des pressions similaires. eux, ainsi que le reste d'entre nous, pourrions apprendre beaucoup de l'Islande, en refusant de se plier a des intérêts etrangers et en declarant haut et fort que les gens peuvent reprendre et reprendront leur pouvoir.
     
    Davantage d'informations:
    www.stjornlagarad.is/english
     
    Traduit de
     
    Iceland’s On-going Revolution
    http://www.positivenewsus.org/editions/fal11/fal1105.html
    http://www.alterinfo.net/La-revolution-en-cours-de-l-Islande_a70545.html


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  • Les Nouveaux Chiens de garde et les aboiements de Laurent Joffrin



    Henri Maler
    Mercredi 1 Février 2012



    Les Nouveaux Chiens de garde et les aboiements de Laurent Joffrin
    « Laurent Joffrin : “Les nouveaux chiens de garde ? Une opération politique”  »  : tel est le titre de l’entretien que Laurent Joffrin a accordé à Renaud Revel, pour Lexpess.fr, le 16 janvier 2012. Parlant du film, en effet, Laurent Joffrin affirme  : « on voit bien qu’il participe d’une opération politique menée par un petit groupe venu de l’extrême gauche. » Que voit-il exactement ?
    Depuis près de trente ans au moins, depuis la diffusion de la mémorable émission « Vive la crise », le 22 février 1984, Laurent Joffrin modernise et refonde la gauche [1 ] : c’est son droit, c’est même son job ! C’est, du même coup, l’une de ses principales occupations de… journaliste. Alors, vous pensez bien qu’en matière d’opération politique, c’est un connaisseur ! Et il a failli deviner que la question des médias est une question démocratique, et donc une question politique... mais pas au point de comprendre que l’est, particulièrement, la question du rôle des patrons de presse, des éminences du journalisme de commentaire et des experts en expertises. Un petit monde dont Joffrin fait partie et dont il tente de se faire le porte-voix.
    Joffrin lui-même est un expert : un expert, non seulement en refondation permanente de la gauche, mais aussi en critique de la critique des médias. Il a même écrit un livre. Mais si ! Son titre ? Média paranoïa. Son contenu ? Nous en avons extrait la substance sous le titre « Laurent Joffrin, polémiste et psychiatre : Sancho Panza contre les moulins à vent ». Média paranoïa est un chef-d’œuvre méconnu. L’entretien avec Renaud Revel est une réédition abrégée de ce chef-d’œuvre, pour celles et ceux qui n’ont pas perdu leur temps à le lire. Que trouve–t-on dans cet abrégé ? Que « tout cela n’a aucun fondement ». Quoi donc ?
    Méprisables méprises
    « Cela » désigne, pour reprendre les termes du sujet de dissertation proposé par Revel, « les compromissions et la collusion d’une série de journalistes et de patrons de presse, dont vous-même, avec les élites politiques ou économiques ». Ce qui, somme toute, ne concerne qu’un tiers du film. Passons.
    La preuve que « cela » n’existe pas ? Apprenti prestidigitateur, Joffrin transforme la « collusion » en « assimilation » et, contrairement au film, entretient la confusion entre l’escouade des médiacrates et l’ensemble des journalistes : « Faut-il assimiler les journalistes et les patrons de presse aux dirigeants qu’ils interviewent ou qu’ils fréquentent ? C’est absurde ! » De qui parle-t-il et que font-ils ? « Ce n’est pas parce que des journalistes côtoient, rencontrent, fréquentent, dans le cadre de leur travail quotidien, des industriels ou des dirigeants politiques, qu’ils sont pour autant inféodés à ces derniers. » Qu’importe si ce journalisme de fréquentation inscrit ses bénéficiaires dans un cercle étroit où se cultivent des différences qui ne touchent pas à l’essentiel ! Qu’importe si ce journalisme de fréquentation prétend se confondre avec le journalisme d’information ! Qu’importe si se trouvent ainsi amalgamés les préposés aux commentaires et des journalistes politiques qui, quoi que l’on pense de leur travail, sont spécialisés dans le « suivi » d’institutions et de formations politiques particulières : Joffrin, refondateur de la gauche, parle pour tous !
    La « série de journalistes » devient peu à peu « les » journalistes, et ce n’est pas fini. Car Laurent court après son idée comme un chiot après un os qu’il aurait lui-même lancé. Il finit par englober toutes les rédactions, pour les protéger d’une critique qui vise les hauts dignitaires dont il fait partie. « Il est idiot de penser qu’ une profession est aux ordres quand elle ne fait que son travail. » Ce qui est idiot, c’est tout simplement de nous prendre pour des idiots. Mais ce qui est idiot n’en finit jamais de l’être : « Que de clichés et d’amalgames... C’est méconnaître les fondamentaux de ce métier. Et c’est surtout mépriser des rédactions entières […]  » De sa « réfutation » de la critique sans mépris du petit monde de quelques dignitaires, Joffrin, qui ne veut rien en savoir, est passé à celle du prétendu mépris des « rédactions entières » : ce qui est méprisable, c’est d’imputer ce mépris à un film qui est consacré exclusivement aux chiens de garde de l’ordre médiatique et social existant… qui prétendent du même coup au rôle de chiens de garde de « la profession ».
    Méprisables mépris
    Mais qu’ont-elles fait, ces « rédactions entières » dont Joffrin se proclame le défenseur ? Elles « ont acquis au fil des décennies leur autonomie et leur indépendance ». Leur indépendance face à des patrons de presse qui ont privé les sociétés de rédacteurs (au Monde et à Libération, par exemple) de tout pouvoir sur leur entreprise ? Leur indépendance face à des responsables de la programmation audiovisuelle dont les journalistes dépendent indirectement ? Leur indépendance face à des chefferies éditoriales qui vident les conférences de rédaction de tout pouvoir sur l’orientation globale de l’information, comme on peut le vérifier à TF1 et à France 2 ? On se demande bien alors pourquoi, par exemple, les syndicats de journalistes exigent que les rédactions soient dotées d’un statut juridique.
    Méprisable mépris de Joffrin pour des rédactions qui résistent encore pour maintenir une très relative indépendance et pour les syndicats de journalistes qui, jour après jour, s’efforcent d’obtenir de nouveaux droits. Méprisables mépris de Joffrin, non seulement pour les réalisateurs du film, mais surtout pour les dizaines de milliers de spectateurs qui l’ont vu et auxquels il s’adresse en ces termes : « Vous aurez toujours des gens pour fantasmer. Pour vous expliquer que le monde des médias est une planète opaque, avec sa boîte noire et ses complots sous-jacents. Et que les patrons de presse constituent une oligarchie à la botte des puissants. Bref, que tout est pipé, que tout n’est que complot. » Il ne manquait plus que la méprisable accusation de complotisme : Joffrin, à court d’idées, ne pouvait pas la manquer !…
    … Avant de s’offusquer, en guise de conclusion : « Tout cela est insultant pour la profession de journalistes et ne mérite pas que l’on s’appesantisse, car c’est là le signe d’une méconnaissance totale de ce métier et de ses rouages. Ont-ils mis une fois le pied dans une rédaction, les auteurs de ce brûlot, qui font le procès de celles et ceux qui travaillent chaque jour à la fabrication de l’information ? » Ce qui est méprisable, c’est le mépris que Joffrin affiche pour les auteurs et les réalisateurs, qui à l’exception de l’un d’entre eux sont ou ont été journalistes.
    Ce qui est insultant pour la profession, c’est de s’abriter derrière le simulacre de sa défense contre un procès imaginaire pour ne rien répondre aux critiques bien réelles contre ses hauts dignitaires. Insultant pour la profession et pour les spectateurs.
    Henri Maler
    Nota bene Les vitupérations de notre expert en opérations politiques permettent une petite vérification quasi-expérimentale de l’étroitesse du cercle. Renaud Revel, de L’Express, n’a pas apprécié le film et l’a dit haut et fort [2 ]. Et que croyez-vous qu’il fit ? Il invita Laurent Joffrin à partager le même point de vue. En l’interrogeant pour Lexpress.fr. Éric Mettout, rédacteur en chef de Lexpress.fr, n’a pas non plus apprécié le film. Et il l’a dit haut et fort. Et que croyez-vous qu’il fit ? Il écrivit qu’il était totalement d’accord avec le point de vue de Laurent Joffrin [3 ]. Une prochaine fois, Le Nouvel Observateur, invitera Christophe Barbier, directeur de la rédaction de L’Express… Les rumeurs de fusion entre les deux hebdomadaires sont totalement infondées.

     

     

    http://www.alterinfo.net/Les-Nouveaux-Chiens-de-garde-et-les-aboiements-de-Laurent-Joffrin_a70581.html

     

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    La fronde hongroise de Viktor Orban

    Léon Camus
     



    La fronde hongroise de Viktor Orban
    Un procès uniquement à charge instruit par une presse servile !

    À Budapest l’actuel Premier ministre Viktor Orban - revenu aux affaires en mai 2010 après avoir dirigé le pays une première fois de 1998 à 2002 - est accusé par des procureurs médiatiques affligés pour l’éternité de strabisme divergent, d’un insupportable autoritarisme : « Orban, s’empare peu à peu de tous les leviers du pouvoir et façonne une Constitution à sa botte. Une ‘démocrature’ prend forme au sein de l’Europe » nous assène en guise d’entrée en matière l’envoyé spécial de l’Express [11 janv. 2012]… Nous administrant aussitôt une preuve imparable de l’impopularité du Chavez européen 1  : une manifestation anti-Orban, le 2 janvier à Budapest - pour s’opposer à la nouvelle Constitution entrée en vigueur la veille 1er janvier - aurait rassemblé « plus de 70 000 personnes, chiffre considérable, dans ce petit pays de 10 millions d’habitants, où les rassemblements politiques sont rares » 2 .
    Pas si rares que cela puisque le samedi 21 janvier ce sont, d’après les médias la-voix-de-son-maître quelque 100 000 Hongrois venus des coins les plus reculés du pays qui ont convergé vers la capitale hongroise pour exprimer leur soutien à leurs dirigeants. La Hongrie comptant environ dix millions d’habitants, ce chiffre représentait en conséquence 1% de la population totale, ce qui équivaudrait en France à 650 000 manifestants… en réalité d’après d’autres estimations moins restrictives, il se serait plutôt agi de 400 000 personnes, soit 4% de la Hongrie et en Hexagonie, environ 2 millions !
    Deuxième grief formulé par l’envoyé très spécieux de l’Express, Orban aurait façonné « une Constitution à sa botte… afin de donner une apparence de légalité à la ‘démocrature’ hongroise : 200 lois et près de dix modifications constitutionnelles votées en l’espace d’un an » ! Certes, mais Orban n’a certainement pas été élu pour se tourner les pouces et apparemment – voir supra – ses électeurs n’en sont pas mécontents. Telle est la loi de la démocratie, la légitimité appartient à la majorité des suffrages exprimés 3 une loi cependant applicable chez nous seulement lorsque le « peuple » se prononce conformément aux attentes des idéocrates, en accord avec les « valeurs » et du sens supposé et imposé de l’histoire.

    L’argumentaire de liquidation : le catalogue des délits

    L’Express toujours : « la nouvelle Constitution, de style baroque. Promulguée dans les derniers jours de décembre et entrée en vigueur le 1er janvier, elle grave dans le marbre le caractère nationaliste et droitier de l’État hongrois. Ainsi l’appellation “République de Hongrie“ disparaît au profit de “Hongrie“ tout court. Une référence explicite à Dieu (“Dieu bénisse les Hongrois“) figure au préambule. Le forint, la monnaie nationale, est sanctuarisé. Le taux d’imposition sur les revenus est fixé à 16%. La personne du Premier ministre est déclarée “intouchable“. L’embryon humain est considéré comme un être humain dès le premier jour de la grossesse [atroce]. Et le mariage est explicitement décrit comme une union entre un homme et une femme afin d’empêcher tout débat sur le mariage gay, [pire qu’atroce !]. De plus, la Constitution rend rétroactivement responsables les actuels dirigeants du Parti socialiste (ex communistes) des “crimes commis sous le régime communiste jusqu’en 1989“. Et elle instaure une réforme de la banque centrale, qui a perdu, de fait, son indépendance. En contradiction radicale avec les règles communautaires de l’Union européenne ».
    Un véritable compendium d’horreurs. Sans oublier la liberté de la presse qui serait remise en question tout comme le subventionnement aux sectes et associations religieuses. Orban et sa politique concentrent à eux seuls toutes les hideurs du crapaud (pardon à ce bel animal à la voix flûtée) et les nuisances de la peste (brune). Tout ce qu’il ne faut pas penser, dire et faire et bien le Fidesz - pourtant banalement situé au centre-droit sur le spectre politique - le fait, le dit et le pense. Parce qu’en Hongrie, la droite radicale existe bel et bien et occupe un place suffisamment importante pour ne pas être mentionnée autrement qu’anecdotiquement dans la libre presse de l’ancien Monde libre [l’Europe de l’ouest.] On l’a bien compris Orban et son parti membre du Parti populaire européen et ne peut être immédiatement labellisé extrême droite “fascistoïde“ à l’instar du Parti Jobbik 4 . Précisons que le PPE, groupe conservateur du Parlement européen inclut l’UMP de M. Sarkozy, lequel doit faire le grand écart entre sa fidélité aux « valeurs » européennes et sa nécessaire “alliance“ de fait avec avec Orban, lui-même vice-président du PPE.

    Le crime des crimes

    Mais laissons ici, pour l’heure, le catalogue de griefs non rédimables pour mieux nous concentrer sur les questions de divergences fondamentales par rapport aux critères de Maëstricht, celles qui créent aujourd’hui un violent contentieux entre le Portugais commissionnaire Barroso, la Secrétaire d’État américaine Clinton, la Chancelière allemande Merkel, le futur éventuel présidentiable français Juppé 5 d’une part, et Viktor Orban de l’autre.

    À commencer par le retour de la Banque centrale sous la tutelle de l’État. Car où va-t-on si les financiers perdent leur indépendance vis-à-vis des politiques auxquels leurs décisions seraient soumises ? Plus encore que l’avortement, le mariage homo, Dieu et l’Identité nationale, la transgression du tabou des tabous est d’abord la dénonciation de la dictature du fric. Aucun crime autre que celui de lèse phynances 6 n’est plus terrible ni plus punissable : Orban s’est attaqué au saint des saint, autrement dit à l’État-profond, le pouvoir indicible, celui dont on ne parle pas mais dont l’omnipotence dicte leur destin aux peuples et aux nations sur des bases et selon des critères purement métapolitiques au service exclusif des cryptarchies régnantes 7 .

    Après la séparation de l’Église et de l’État, de la justice autonome par rapport aux pouvoirs législatif et exécutif, l’administration et l’émission monétaire échappent à l’État 8 , ces fonctions étant désormais transférées à un organisme supranational, en l’occurrence la Banque centrale européenne. Or, comme, les États se voient contraints d’emprunter sur les marchés extérieurs en vertu du Traité de Maëstricht 9 leur souveraineté monétaire se trouve de facto réduite a quia. Il appert donc que l’UE évolue tendanciellement vers un modèle à l’américaine où la Réserve fédérale n’a de « fédérale » que le nom n’étant en réalité qu’un consortium de banques privées. Qu’Orban ait voulu revenir en arrière et casser cette évolution vers une fragmentation ou une segmentation toujours plus poussée de l’État et de ses fonctions régaliennes en une multiplicité d’entités institutionnelles séparées – c’est-à-dire autonome voire indépendante – est proprement impardonnable.

    Reste que la « déréglementation », la suppression insidieuse de l’État et de ses fonctions par l’abrogation de la loi, ne supprime pas – sauf dans la mythologie libéraliste, dans les phantasmes et le verbiages des économistes, des universitaires, des médiacrates et des idéologues de tous poils – l’arbitrage et la surveillance qui réapparaissent immanquablement sous la forme d’organismes prenant en charge la « régulation » d’un secteur d’activité donné ou de l’une ou l’autre des fonctions vitales du corps social. Ici la gestion monétaire, et il s’agit dans tous les cas de déshabiller Pierre pour habiller Paul : « moins d’État » signifie toujours plus de transferts de pouvoirs vers de nouvelles féodalités, certes décentralisées voire délocalisées, diffuses peut-être mais agissantes, au seul profit d’un système dominé par les oligarchies détentrices de tous les leviers financiers, politiques, militaires et industriels.
    Or qu’à voulu faire le vilain M. Orban, rendre à l’État central ce qui lui appartient, l’administration de sa monnaie et qui plus est, celle de sa Justice. Crimes inexpiables à l’heure de la déconstruction de l’État et de son dépérissement [prévus et programmés tant par le Marxisme que par l’ultra-libéralisme friedmannien et l’École de Chicago] au profit de nébuleuses bureaucratiques façon Bruxelles elles-mêmes et d’entités du type des dictatoriales Agences de notation, relais multiples et truchements tentaculaires du divin Marché et des Club terriblement élitistes des tireurs de ficelles, toujours les mêmes !

    Menaces, rétorsion et sanctions

    Sous couvert de discipline budgétaire collective, la Commission Barroso a lancé le 18 janvier sa première salve – car il s’agit de faire un exemple ! - en demandant de lourdes sanctions financières contre la Hongrie en vue de sanctionner un dérapage budgétaire « insoutenable ». Le déficit public magyar atteindrait en effet 6% du PIB en 2011 au lieu des 3% annoncés par le gouvernement de Viktor Orban. La veille, le 17, Bruxelles avait en outre adressé au Premier ministre hongrois une triple lettre comminatoire de mise en demeure lui enjoignant de réviser trois textes législatifs litigieux « d’ici un mois ». Lois qui, aux yeux avertis des juristes de Bruxelles, violent l’esprit ou la lettre des Textes européens fondateurs. En cause, l’indépendance de la Banque centrale, celle des juges hongrois et pour finir l’autonomie de l’Autorité de protection des données.

    Menacé ainsi des pires sanctions financière par la Commission de Bruxelles, M. Orban a dû venir à Canossa s’expliquer à Strasbourg où il s’est fait copieusement invectiver par le « délinquant sexuel » Cohn Bendit 10 , lequel a donné une fois de plus une image fort reluisante – et quelque peu débraillée - des nouveaux maîtres de l’Europe ! Car, quoique la Hongrie ne soit pas membre de l’Euroland, son endettement est tel qu’elle ne saurait se passer pour éviter la banqueroute des subsides de la BCE et du FMI. En substance une ligne de crédit de 10 à 20 mds d’€ pour passer le gué hivernal.

    Au demeurant, si à l’étranger et en Europe de l’Ouest la cote politique de Viktor Orban n’est pas au plus haut - à l’instar de la monnaie nationale, le Forint – la situation dans son pays est tout à fait différente avons-nous vu… Aussi est-il à prévoir que les menaces du triste sire Barroso seront davantage un coup d’épée dans l’eau qu’une mortelle estocade ! Notons que la « comparution » de Viktor Orban devant le Parlement européen a été de sa propre initiative. Une première, puisqu’aucun chef d’État n’était auparavant venu en quelque sorte « défier » l’Institution en son propre palais…
    Pourtant le Premier ministre hongrois n’aura pas d’autre choix que de composer avec les puissances extérieures - Bruxelles, Londres et Manhattan - à propos d’un inenvisageable retour de la Banque centrale hongroise dans le giron étatique. À prendre cependant en considération le fait que la marge de manœuvre de la Commission n’est pas aussi confortable qu’il y paraît de prime abord : sanctionner Budapest certes, mais en évitant de précipiter le pays dans l’abîme au moment où la Grèce et l’Eurozone partent elles-mêmes en vrille. Chacun se souviendra du fiasco de la politique de sanction adoptée en 2000 à l’encontre de l’Autriche lorsque le parti « xénophobe » de Jörg Haider fit son entrée au gouvernement. Là encore intervinrent des décisions communautaires contreproductives parce que dictées non par la raison et l’intérêt collectif mais eu égard à une dogmatique et un sectarisme idéologique révélateurs des véritables finalités de la construction dite « européenne », à savoir la destruction programmée et irréversible de peuples de l’Europe.

    C’est en travers d’un tel projet - hélas déjà bien avancé - que Viktor Orban s’est placé aujourd’hui, et c’est bien là que le bât blesse ! Le réveil des peuples d’Europe n’était pas à l’ordre du jour quand un micro État et ses dix millions d’âmes, auparavant puissant avant d’être démantelé par le Traité du Trianon du 4 juin 1920, ayant connu l’épouvantable « République socialiste » de Bela Kun 11 et la « République populaire de Hongrie » pendant laquelle la révolte des masses, en 1956, fut écrasée sous les chenilles des chars soviétiques, entend à présent reconquérir une authentique indépendance… et avec elle son identité et se nommer selon son cœur « Hongrie » en rupture avec un passé de servage et de souffrance vers lequel le « Politburo » des Commissaires politiques européens voudraient maintenant la ramener pieds et poings liés.

    Notes

    (1 ) Un « Hugo Chavez de droite » selon l’eurodéputé Cohn-Bendit en référence au non-aligné président vénézuélien, haut en couleur, celui qui dit ses quatre vérités à l’Amérique néoconservatrice et prédatrice. Deux hommes politiques logés à la même enseigne si l’on en croit le président des É-U s’exprimant le 19 Décembre 2011 dans le quotidien « El Universal » : « Le gouvernement d’Hugo Chavez restreint les droits universels du peuple vénézuélien, menace les valeurs démocratiques et met en péril la sécurité de la région ». Chavez lui répondait le même jour à l’occasion du Conseil des ministres en le traitant d’irresponsable et surtout d’imposteur, qualification assénée trois fois avec une remarquable force de conviction.
    (2 ) Unanimité de la presse : ainsi Le Progrès titrait-il le 4 janvier « Hongrie : Viktor Orban sent le vent tourner : Vertement critiqué à l’étranger, le Premier ministre hongrois Viktor Orban sent aussi la colère monter dans son pays, où il est accusé de se comporter comme un ‘dictateur’ par des manifestants de plus en plus nombreux ». Le ton était donné en totale contradiction avec la réalité des faits les plus patents.
    (3 ) 54% en faveur du Fidesz, l’Union civique hongroise, parti présidentiel
    (4 ) Jobbik Magyarországért Mozgalom, « L’Alliance des Jeunes de Droite-Mouvement pour une meilleure Hongrie » compte 47 députés nationaux et 22 européens. Le Jobbik plaide en faveur de l’identité nationale pour le retour aux valeurs chrétiennes, de la famille et de l’autorité, autrefois illustrées par le régent du royaume de Hongrie, l’amiral Miklós Horthy entre 1920 à 1944. Jobbik milite contre le libéralisme politique, le communisme et le mondialisme apatride et cosmopolite.
    (5 ) Monsieur je-me-mêle-de-tout, paladin de la Démocratie indirecte voire subversive comme en Syrie, considérait le 3 janvier sur I-télé que la Hongrie et sa nouvelle Constitution font « problème aujourd’hui ! …Il appartient à la Commission européenne de vérifier que ces nouveaux textes constitutionnels respectent ce qui fait le bien commun de tous les pays de l’Union européenne, c’est-à-dire l’État de droit et le respect des grandes valeurs démocratiques... Nous appelons la Commission européenne à prendre les initiatives nécessaires pour que ces principes fondamentaux soient respectés partout, y compris en Hongrie  ». Message reçu 5/5 puisque la menace de sanctions européennes a été immédiatement brandie à Bruxelles.
    (6 ) Alfred Jarry « Ubu roi » 1896 - Concernant la Banque centrale hongroise : l’influence du gouvernement s’y trouve renforcée ; son président ne sera plus libre de désigner ses trois adjoints ceux-ci étant nommés par le Premier ministre. Le gouvernement hongrois – qui commence bien mal – est parvenu à rapatrier dans les caisses de l’État 11 mds d’€ jusque là détenus par des Fonds de pension étrangers, tout en imposant une taxe exceptionnelle aux banques et aux grandes entreprises étrangères. Par ailleurs une loi autorise les Hongrois ayant souscrit des crédits en Francs suisses, Euros ou Yens, à travers des produits financiers complexes émis par des banques étrangères, à effectuer leur remboursement en Forints hongrois. Les particuliers auront ainsi la faculté de rembourser leurs dettes à un taux de change fixe préférentiel. Les demandeurs de fonds pourront également bénéficier de crédits en Forints pour financer leurs transactions, ceci reviennant à reconvertir ces crédits en monnaie hongroise, imposant aux établissements bancaires de couvrir la différence… Cf. Maurice Gendre « Bombarder Budapest ? » 19 janv. 2012
    (7 ) Le sénat français en adoptant ce 23 janvier 2012 la Loi pénalisant la négation de tous les génocides, et en particulier du génocide arménien de 1915, n’obéit pas, en flattant les suffrages arméniens, à la seule arithmétique électorale, ni même au-delà en visant le vote des communautés israélites. Il s’agit en vérité d’ériger un mur défensif autour du « crime contre la pensée unique et totalitaire » institué par la loi Gayssot-Fabius… archétype des dispositifs juridiques, présents et avenir, de contention de la liberté de penser blanc ou noir. Un motif idéologique – la protection des grands mythes fondateurs du monde actuel, à commencer par ceux de la démocratie et de l’autonomie de consentement dans l’adhésion aux nouvelles religions contemporaines – plus puissant que tous les intérêts économiques et moraux immédiatement en jeu dans les choix prioritaires à effectuer… au regard par exemple d’une Turquie, partenaire commercial et industriel de première importance. Ce qui en période de crise aiguë, donne la mesure du mépris de nos dirigeants vis-à-vis de l’urgence d’un sauvetage économique, humain et sociétal, lequel devrait en principe s’imposer toutes affaires cessantes. Le même raisonnement s’applique au dossier iranien entretenu au prétexte d’un programme nucléaire prétendument menaçant pour la paix du monde. Nul ne croit bien entendu à ces billevesées, mais l’embargo pétrolier européen qui vient d’être adopté ce 23 janv. 2012 – lequel pourrait entraîner par mesure de rétorsion la fermeture du Détroit d’Ormuz et partant, créer les conditions d’une conflagration régionale - condamne un peu plus la Grèce au marasme en raison de sa dépendance à hauteur de 30% du pétrole persan [pour la satisfaction de ses besoins énergétiques et 20% pour l’UE en général et en particulier l’Italie et l’Espagne, deux pays durement touchés par la crise budgétaires]. Là encore se sont des raisons métapolitiques faisant litière des intérêts, aussi impérieux qu’immédiats de l’Europe réelle, qui l’emportent sur toutes autres considérations. Retenons que la soif de puissance hégémonique et la concurrence biologique sont des paramètres surdéterminants des tensions internationales actuelles, situées bien au-delà de simples guerres pour les monopoles énergétiques ou le $ comme monnaie exclusive des transactions pétro-gazières.
    (8 ) Une indépendance théorisée, à la suite de John Locke, par Montesquieu dans L’Esprit des lois (1748) à une époque où la justice ne se mêlait pas autant de politique et n’entendait pas se placer en contrepouvoir institutionnel systématique, ou en courroie de transmission idéologique, ou pire comme instrument politique au service de tel ou tel parti.
    (9 ) En France, avec la Loi n°73-7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France, texte surnommée « Loi Pompidou-Giscard » ou « Loi Rothschild », l’État s’automutile en s’interdisant grosso modo de l’autofinancement par l’emprunt intérieur ou la création monétaire : l’État délègue ou abandonne ainsi son droit régalien de création monétaire au système bancaire privé. La loi “Pompidou-Rothschild“ a été abrogée à la date symbolique du 4 août 1993 ; elle est entrée en application le 1er janvier 1994 lors de la transcription dans nos codes du Traité de Maëstricht.
    (10 ) « Hongrie : défilé monstre pro-Orban » Figaro le 21 janv. 2012, commentaires : « Orban n’a pas de leçons à recevoir d’un délinquant sexuel ! » à propos de M. Cohn-Bendit « né en France de parents juifs allemands dix mois après le débarquement de Normandie ».
    (11 ) Sur la « République de Bela Kun » lire Jérôme et Jean Tharaud « Quand Israël est roi » Plon 1921. Téléchargeable - Université de Toronto : http://www.archive.org/details/quan...

    http://www.geopolintel.fr

     

     

    http://www.alterinfo.net/La-fronde-hongroise-de-Viktor-Orban_a70582.html


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    ALERTE !! DANGER ! 

    Terrifiante opération sous faux drapeau bientôt ?

    A dénoncer, à déjouer,

    à relayer par tous pour éviter le pire,

    la guerre contre l'Iran programmée

    par les Hébreux et les Anglo-Saxons,

    la guerre mondiale voulue par les Euro-Atlantistes

    pour continuer à imposer leur domination sur le monde

    qui, avec les pays émergents,  s'émancipe de plus en plus !

    Désamorçons l'imposture à venir en informant ! (eva)

     

     

     

     

     

    Alerte,opération Israël contre navire US imputée à Iran pour déclencher guerre ? (vidéo 2 mn à relayer)

     

    http://www.dailymotion.com/video/xn2rgz_max-keiser-sur-le-scandale-mf-global-s-t_news
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    Voir aussi l'article sur mon blog no-war :

    http://ekladata.com/1Xv0iPxpyl9TEtOV1auyV-y-F5Q.gif

    http://ekladata.com/1Xv0iPxpyl9TEtOV1auyV-y-F5Q.gif

     

     

    Du golfe du Tonkin au golfe Persique, de l'USS Maddox à l'USS Enterprise, prélude à une nouvelle agression américaine

    inv
    Si vous avez oublié votre Histoire du Lycée, je vous invite à aller réviser les incidents dits du « Golfe du Tonkin ». Le 2 et 4 aout 1964, les USA ont prétendu avoir subi une attaque à la torpille contre le navire USS Maddox.


    En 1995, le General Vo Nguyen Giap, très bon ami de la France depuis Dien Bien Phu (1954), a déclaré que ses forces n’ont jamais attaqué les Américains. Plus tard, en 2005, la NSA déclassifie des documents dont un rapport interne datant de 2001 et selon lequel l’attaque du 4 aout n’a jamais eu lieu.


    Ces attaques ont servi comme prétexte à la guerre du Vietnam causant 2 millions de morts chez les locaux et 50’000 morts US. Le cycle prétexte / guerre se perpétue de génération en génération. Les politiques et le complexe militaro-industriel s’enrichissent et les jeunes qui veulent « défendre leur patrie » partent au casse-pipe, massacrant au passage des populations civiles.


    Aujourd’hui, les USA veulent la peau de l’Iran. Ce n’est ni le premier, ni le dernier pays qui subit leurs attaques. Dans 50 ans, à moins qu’ils aient fait faillite, ils seront encore en train de fabriquer des raisons pour attaquer d'autres pays.


    Connaissant donc la méthode habituelle, on ne peut que s’inquiéter de l’envoi du vieux porte-avion Etasunien "USS Enterprise" dans le golf Persique (1). Ce porte avion a été commandé en 1957 et a été commissionné en 1961. Arrivant à la fin de sa vie, son démantèlement est prévu pour l’année prochaine. Ce navire est propulsé par des turbines à vapeur prenant leur énergie dans 8 réacteurs nucléaires qui coutent très cher à démanteler.


    L’idée d’aller l’agiter sous le nez des Iraniens n’est pas totalement bête. Ces derniers pourraient se fâcher, s’en approcher et soudainement il explosera et coulera chez les Arabes. On est ultra proches du 11 septembre là. Donc la presse annonce que les Iraniens ont coulé l’USS Entreprise. On connait déjà la triste suite.

    Réjouissons nous de la guerre qui vient. Du chaos sortira la révolution...

    http://fr.ria.ru/world/20120126/193156615.html
    http://www.toutsaufsarkozy.com/cc/article02/EFkZylZZAVJnmbwqUP.shtml
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    Voir aussi :
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    Golfe Persique : les grands préparatifs se poursuivent…

    Tandis que les eurocrates cherchent à rassurer sur un avenir serein (de leur point de vue), Trader Noé nous dit voir tout le contraire et nos sources bancaires parlent le même langage. La dégradation est persistante et s’accélère sur le calendrier que nous avons indiqué dans la lettre LIESI.


     

    Un autre élément confirme ce scénario : l’empressement des Etats-Unis à renforcer leurs forces dans le Golfe Persique en vue d’une attaque de l’Iran. C’est ainsi que le sous-marin nucléaire américain Annapolis, accompagné du destroyer USS Momsen, viennent de franchir le canal de Suez et de gagner la mer Rouge. Si le point de destination des deux navires n’est pas annoncé, leur entrée en mer Rouge coïncide avec l’apogée des tensions entre Washington et Téhéran. Rappelons que Marine américaine a déjà réuni dans le Golfe persique un nombre important de navires, dont les porte-avions Carl Vinson et Abraham Lincoln. Un autre porte-avions, l’USS Enterprise est attendu dans la région au mois de mars 2012.

     

    Voir aussi sur mon blog No-War :

     

    Sarkoléon lance la campagne d’Iran

    http://www.tribords.com/images/277m.jpg
    http://www.tribords.com/images/277m.jpg
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     .

     

    http://no-war.over-blog.com/article-israel-des-preparations-majeures-en-cours-98304076.html

     

    http://no-war.over-blog.com/article-guerre-contre-l-iran-role-usa-france-repercussions-caucase-bombes-devastatrices-98301341.html

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    Impérialisme économique: L’Union Européenne plus larbin que jamais de l’empire s’accorde sur l’embargo du pétrole iranien….

    Les USA pourraient rejouer le scénario yougoslave en Iran 

     

    Nécessaire mobilisation internationale contre la guerre qui rôde

     

     

    Avant les Elections, les psychopathes qui dirigent les grandes nations ont tous intérêt à faire une sale guerre (au risque qu'elle devienne planétaire) car en temps de conflit, il y a une sorte d'union sacrée qui perpétue leur pouvoir (Obama, Cameron, Sarkozy, Merckel etc)  même au prix du sang des Nations. Débarrassons la terre de ces Malfaisants avant que l'irréparable ne soit commis ! Jugeons-les ! Note d'eva R-sistons

     

    Effectivement, et de tous temps, la guerre a été une issue à une crise intérieure, économique ou politique. Ce processus a été largement utilisé par les USA et d’autres.

    On se rappelle qu’ils sont les grands bénéficiaires de la deuxième guerre mondiale qui a ravagé la moitié de la planète. Leurs usines ont tourné à plein, pendant qu’ils vendaient d’énormes quantité d’armement aux alliés. Une première fois (?) les USA ont appris à fonctionner avec l’endettement des autres pays. Ils ont continué de la sorte.

    Après l’invasion Irakienne, dont le but n’est toujours pas clair, on nous prépare intensément à une nouvelle guerre contre l’Iran, voire la Syrie en les diabolisant et manipulant l’information. Une nouvelle fois, les usines vont tourner à plein, les ouvriers avoir du travail, et les actionnaires des multinationales gagner des milliards.

    Et l’effondrement économique, comme la remise en cause du "système en place" passera au second plan.

    Il est grand temps d’ouvrir les yeux sur les crimes à répétition de "l’Empire" pour lequel des millions de vies sacrifiées n’ont aucun intérêt...

     

    Commentaire ici :

    http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/declin-us-et-guerre-mondiale-109051

     

     

    Sur Artemisia College, je trouve à l'instant la reprise du texte plus haut, mais le site ajoute ce que je place en bleu :

     

    L'idée est de prévenir un tel sénario, en... prévenant, en alertant... (citoyens, presse, députés...). Nous avons le mois de février pour faire échouer ce plan potentiel...
     
     
    Les USA envoient un très vieux porte avions vers l’Iran…

    « Si vous avez oublié votre Histoire du Lycée, je vous invite à aller réviser les incidents dits du « Golf du Tonkin ». Le 2 et 4 août 1964, les USA ont prétendu avoir subi une attaque à la torpille contre le navire USS Maddox. (..) (voir texte plus haut)
    La même question se pose pour Pearl Harbor, le Tonkin, le 11 septembre…
    Dans la situation préoccupante du golfe d’Ormuz, il y a l’Iran mais, Israël , la Chine, la Russie cela fait un cocktail pour le moins détonnant en terme de megatonnes nucléaires.
    Il faut souhaiter que notre psychopathe ne soit plus au pouvoir en mai et qu’aucune aggravation ne puisse créer des affrontements, car sinon on va passer en mode guerre avec application article 16 de la constitution donnant les pleins pouvoirs au président afin d’occulter les élections en France. .

     

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    TOMSK (Sibérie), 25 janvier - RIA Novosti

    Les Etats-Unis cherchent à dominer le monde et utilisent pour cela la contestation de la légitimité des procédures politiques en vigueur dans d'autres pays, a déclaré mercredi le premier ministre russe et candidat à la présidentielle de mars Vladimir Poutine.

    "Ils (Américains) veulent tout contrôler (…) J'ai parfois l'impression que les Etats-Unis n'ont pas besoin d'alliés, mais de vassaux, et qu'ils préfèrent la domination à un partenariat d'égal à égal", a-t-il déclaré lors d'une rencontre avec les étudiants de l'Université polytechnique de Tomsk (Sibérie occidentale).

    Et d'ajouter que coopérer sur un pied d'égalité signifiait définir en commun les menaces et élaborer en commun un système de gestion de ces menaces.

    "Ils s'y refusent catégoriquement", a rappelé M.Poutine, en citant l'exemple du bouclier antimissile que les Américains s'apprêtent à déployer en Europe.

    Le chef du gouvernement a aussi évoqué un autre moyen d'influence américain, celui de "remettre tout en doute, prétendant la non-conformité à des standards quelconques".

    "Et ce sont eux-mêmes qui élaborent ces fameux standards", a conclu M.Poutine.

     

    Lien : http://fr.rian.ru/world/20120125/193145989.html

     

    Vladimir Poutine
    18:54 25/01/2012

     

    La Russie devient le garant de la paix dans la région.

    La partie d’échec contre l’empire continue. Comme nous l’avions dit il y a plusieurs mois, il semblerait que la Russie ait sacrifié politiquement la Libye à la vindicte impériale, sachant que cela ferait “jurisprudence” sur le cas de la Syrie. Le Modus Operandi étant identique, il est clair que Lavrov boit du petit lait en disant “j’ai déjà vu çà”… La Russie a maintenant l’exemple pathétique des crimes de l’Organisation Terroriste de l’Atlantique Nord à mettre en exergue pour disqualifier un scenario identique sur la Syrie, qui représente un enjeu géostratégique bien plus important pour la Russie, que l’était la Libye du fantasque Kadhafi.

    Bien évidemment, dans leur empressement et leur arrogance les criminels impérialistes occidentaux sont tombés dans le panneau. La Russie tient une position diplomatique avec la Chine très forte, qui s’appuie sur les échecs et les crimes de l’OTAN en Libye.

     

    Pour Lavrov, c’est l’aboutissement d’une carrière… Savoir que la clownesque Clinton fulmine au téléphone pour lui parler, croyant que le sommer de venir discutailler séance tenante allait faire ramper le russe au téléphone… Hilarant Hillary !… Rien que cela vaut toute la chienlit de la politique.

    Si les criminels occidentaux passent en force ou outre le conseil de sécurité (ce qui est possible), alors le jeu sera à nu: plus de façade pseudo-légale d’une ONU à la botte de l’empire. Les Russes l’ont joué fine sur le coup de la Libye, ils ramassent les dividendes maintenant. L’empire dans son arrogance sans borne est tellement prévisible, que la partie devient monotone…

    Et Poutine n’est pas encore revenu président… çà promet !

    A suivre donc…

    – Résistance 71

    Dans l’arène de l’ONU: Le clash des titans à propos de la Syrie

    RT http://rt.com/news/un-resolution-syria-russia-131/

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    ~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

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    Les diplomates occidentaux et arabes vont pousser une résolution conjointe à l’Onu appelant le président syrien Al Assad à quitter le pouvoir. La Russie et la Chine ont rejeté ce qu’elles voient comme un changement de régime forcé et disent qu’elles vont bloquer le mouvement  et advienne que pourra.

    La diplomatie occidentale fait une nouvelle tentative d’utiliser l’ONU comme un outil de sa politique étrangère, écrivant et proposant une nouvelle résolution ambigüe sur la Syrie, qui établit la feuille de route pour évincer le président Bachar Al Assad. La résolution ne prend pas en compte les positions des pays comme la Russie et la Chine, qui ont présentés un front uni s’opposant au changement de régime à Damas.

    Moscou dit que la nouvelle résolution contient une menace “d’adopter plus de mesures si la Syrie n’obéit pas aux termes de la résolution”, ce qui ouvre immanquablement la voie à une intervention étrangère du style de la Libye dans le pays miné par les conflits.

    D’après certains rapports, les tensions sont si intenses que la porte-parole de la ministre des affaire étrangères américaines a accusé le ministre russe des affaires étrangères, Sergei Lavrov, qui est actuellement en visite en Australie, de ne pas avoir été disponible par téléphone lorsqu’Hillary Clinton a cherché à le joindre pour discuter de la situation.

    Sergei Lavrov a dit aux journalistes qu’ilétait simplement impossible pour lui de prendre des communications téléphoniques au milieu de négociations avec ses collègues australiens, mais a promis de disctuter de la Syrie avec Hillary Clinton à la première opportunité.

    Il a dit que les Américains ont insisté de programmer le coup de téléphone durant une période où il parlait à Sydney, ce qui ne pouvait pas être changé dans le calendrier. Commentant sur l’impossibilté de Washington à réarranger la communication téléphonique, le ministre russe a spéculé que “cela pourrait-être expliqué par leurs manières.”

    Sergei Lavrov a dit que le conseil de sécurité ne soutiendra jamais un tour de force contre la Syrie.

    “Si l’opposition syrienne refuse de s’assoir à la table des négociations avec le régime, quelle est l’alternative ? Bombarder le régime ? J’ai déjà vu cela avant”, a dit Lavrov, “Je peux garantir que le conseil de sécurité n’approuvera jamais cela”.

    Clinton doit rejoindre ses contre-parties française et britannique au QG de l’ONU Mardi pour ajouter une puissance de feu supplémentaire pour la poussée de l’occident à faire voter cette résolution.

    Échec et mat! ;)

     

    Syrie: la résolution marocaine bloquée par la Russie

    http://fr.ria.ru/world/20120128/193179085.html  

     

    Les vassaux comme dirait Poutine

    http://chiron.over-blog.org/article-les-usa-ont-besoin-de-vassaux-pas-d-allies-poutine-97885679.html

    Lien : http://leveil2011.syl20jonathan.net/?p=9362#comment-37101

     

    Echec à l’empire en Syrie: la Russie (et la Chine) secoue l’arrogance impérialiste occidentale à l’ONU…

     

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    Quelques réflexions d'eva R-sistons :


     

    Rafale-Dassault vendus : 12 milliards ! Ce qui marche, dans notre sale société, aujourd'hui, c'est l'industrie militaire qui tue les peuples pour enrichir les misérables à la tête des multinationales de l'armement, de mort ! Les dirigeants devraient se retrouver devant un Tribunal pour crimes contre l'humanité, mais non, on leur déroule des tapis rouges et on commémore leurs crimes monstrueux en aposant des plaques de rues à leur nom !

     

    Pourquoi l'Etat hébreu n'attaque-t-il plus massivement Gaza ? Pour se faire oublier et continuer, discrètement, à ravager la région, bref pour continuer la politique du fait accompli de manière à rendre irréversible la situation : Etat palestinien gruyère donc impossible à mettre en place, tout cela avec la complicité des Anglo-Saxons et de leurs vassaux européens.

     

    Notre monde est dangereux à cause des psychopathes qui le dirigent, la seule solution pour éviter le pire est d'exiger leur traduction devant un Tribunal des Nations. Où sont les juges intègres comme le Juge Garzon en Espagne pour faire le travail que les peuples attendent tous ?

     

    Eva R-sistons

     

    Lisez ceci :

     

    http://www.decitre.fr/gi/25/9782916721125FS.gif

     

    http://www.decitre.fr/gi/25/9782916721125FS.gif

     

     

     

    La ponérologie politique ou la science du Mal appliquée à des fins ...

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    Ponérologie Politique

    La science du Mal


    La ponérologie politique ou la science de la genèse du Mal

    appliquée à des fins politiques


    L'article ici :

     

     http://femmesdelafrancophonie.org/2008/03/la-ponrologie-p.html

     

     

    (Extrait) Jamais nous ne sommes trouvés en position aussi précaire, aussi proche de la destruction totale.(Note d'eva : Le Nouvel Ordre Mondial en marche)


    Laura Knight-Jadczyk et Henry See pensaient que la situation terrible à laquelle cette planète et ses habitant-es sont confrontés pouvait avoir un lien avec la question de la psychopathie. Les phénomènes abordés dans La ponérologie politique — en rapport avec les groupes et la façon dont ceux-ci sont corrompus par des déviants pathologiques qui s’y infiltrent sous l’aspect de la normalité — leur étaient très familiers. Ils savaient qu’il se passait quelque chose d’étrange, mais ils ne savaient pas encore le nommer ou le catégoriser. Ils avaient trouvé certaines dénominations et catégorisations dans des textes sur la psychopathologie, mais qui n’abordaient pas la dimension sociale, jusqu'à ce qu'ils aient accès à l’ouvrage d'Andrzej Lobaczewski. Dans La ponérologie politique – La science de la genèse du mal, appliqué à des fins politiques (Political Ponerology), Lobaczewski présente le sujet d’une manière radicalement différente des autres textes sur la psychopathie, en suggérant que l’influence des psychopathes et autres déviant-es n’est pas qu’une simple influence parmi tant d’autres affectant la société, mais que, si les circonstances sont favorables, elle détermine la manière dont nous vivons, ce que nous pensons, et la façon dont nous jugeons ce qui se passe autour de nous.


    Quand on comprend la véritable nature de cette influence : qu’elle est sans conscience, sans émotion, égoïste, froide et calculatrice, dénuée de tous standards moraux ou éthiques, on est horrifié, mais en même temps, tout commence à s’éclairer soudainement. Notre société perd de plus en plus son âme parce que les personnes qui la dirigent et qui donnent l’exemple sont sans âme — ils n’ont littéralement aucune conscience. Quand vous en venez à comprendre que les rênes du pouvoir politique et économique sont entre les mains de personnes sans conscience qui ne possèdent pas de faculté d’empathie, cela permet de regarder ce que nous appelons le "Mal" d’une façon totalement nouvelle. Le "Mal" n’est plus seulement une question morale; il peut alors être analysé et compris scientifiquement.

     

     http://femmesdelafrancophonie.org/2008/03/la-ponrologie-p.html

     

     

     

    La stratégie du choc :

     

     

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    Et aussi sur Soir3 (France3, 31.1.2012)

     

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    Voir :

     

    Circus politicus

    de Christophe Deloire, C Dubois

     

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    Résumé du livre

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    Circus politicus révèle les dessous d'un véritable 'putsch démocratique ', une tentative de neutralisation du suffrage universel par une superclasse qui oriente la décision publique. Il montre comment le Pouvoir a capitulé devant les puissances financières. Il dévoile les stratégies de double discours et d'hypocrisie française entre Paris et Bruxelles. Histoires, anecdotes, preuves, documents… tout dans ce livre tend à démontrer que les Indignés ont raison de réclamer une 'vraie démocratie '! Entrons dans ce Circus politicus où le peuple est jugé dangereux et la démocratie archaïque. Nous voici dans les réunions ultra secrètes des Conseils européens où tout se joue, dans les coulisses, dans de mystérieux clubs d'influence où les banquiers américains expliquent la vie à nos politiques, dans les officines et les bureaux d'agents secrets… La France est sous la tutelle d'un pouvoir aveugle. La souveraineté, nationale ou européenne, n'est plus qu'une image pieuse entretenue par des 'idiots utiles '. Une enquête inédite, iconoclaste qui fait surgir une réalité qu'il vaudrait mieux affronter plutôt que de la nier.

     


    Note d'eva R-sistons:

     

    France 3, au Soir3 du 31 janvier 2012, a interviewé l'un des auteurs de Circus Politicus, Christophe Deloire. Joie ! Enfin, cela bouge ! Même dans les Médias ! Le monde dessiné par les dirigeants psychopathes est trop sale, trop dangereux.. Cela ne peut plus durer ! Même les Médias aux ordres finissent par laisser transparaître la terrible réalité ! Lisez ce livre, il est explosif, et ce que j'ai entendu ce soir, sur France3, est tonique, parce que vrai ! On a parlé de réseaux, de Club mystérieux - Bilderberg - , de Trilatérale, de la dictature de Bruxelles, de pouvoir de l'ombre ! Oui, mes ami(e)s, on a osé aborder la vérité, enfin ! 

     

    Ami(e)s Lecteurs et Lectrices, ça bouge enfin !

    Reprenons espoir ! 

     

     

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    http://memoires-notes.over-blog.com/article-l-espoir-est-une-bougie-dans-l-obscurite-63639184.html

     

    Publié la nuit dernière,

    sur mon blog R-sistons,

     

     

    et depuis, ce soir, je trouve cela :

     

     

    New post on Résistance Inventerre

     

    Circus politicus : le putch démocratique

    by werdna01

    Evene.fr - Livres - 1er Février 2012 Genre : Actualité - Parution : 1 Février 2012 chez Albin Michel Prix editeur : 21€00  -  Isbn : 9782226238597 Christophe Deloire,directeur du Centre de formation des journalistes, et Christophe Dubois grand reporter de l’émission 7 à 8 viennent après une enquête de fond de sortir un livre étonnant, [...]

    Lire la suite

    Circus politicus : le putch démocratique

     

    Genre : Actualité - Parution : 1 Février 2012 chez Albin Michel
    Prix editeur : 21€00  -  Isbn : 9782226238597
    Christophe Deloire,directeur du Centre de formation des journalistes, et Christophe Dubois grand reporter de l’émission 7 à 8 viennent après une enquête de fond de sortir un livre étonnant, iconoclaste dans ce monde de connivence entre politique industrie lobbys et médias. Ce livre doit être fort peu au goût de ces oligarchies il expose une réalité terrible celle d’une Europe fasciste “ce mot est un euphémisme face au fonctionnement de l’ue où des commissaires non élus travaillant parfois pour des banques dont la fameuse goldman prennent les décisions sans être les representants du peuple” ,un monde dirigé par des clubs privés, la finance a mis son plan à exécution, il y a eu un putsch de la part de gens qui ont décidé d’être au-dessus du système démocratique.

     

     
    Médiapart - 1er février 2012 – Lorelei Avalon
    Tout commence par l’histoire d’un certain David Rockfeller dont l’objectif était de mettre la finance au pouvoir de s’approprier le pouvoir monétaire et financier, et de mettre en place une crise au niveau mondial pour faire accepter aux peuples le nouvel ordre mondial.
    Dans un dernier discours prophétique datant du 17 Janvier 1961, le président Dwight Eisenhower avait averti les Américains que le lobby militaro-industriel pourrait faire planer un jour une menace sur la liberté et la démocratie.
    Le dernier président des états unis libre avait raison de chercher à avertir les peuples, nous vivons une ère où la stratégie de choc, les manipulations mentales, l’usage du fichage des citoyens, les armes silencieuses ainsi de suite vont mettre en place un monde qui l’air de rien est le monde dont rêve des hommes non élus par les peuples et qui gouvernent le monde dans tous les domaines.
    Ce livre qui est un véritable chef d’œuvre d’investigation et nous expose une terrible réalité monstrueuse la destruction de la démocratie sur un ton tranquille l’air de rien, des clubs de Rome et autres commissions, voir des groupes comme Bilderberg fondé par en 1954 à l’Hôtel Bilderberg à Osterbeek à l’invitation du Prince Bernhard des Pays-Bas, co-fondateur du Groupe avec David Rockefeller dirigent le monde en le destrusant morceau par morceau pour le bien être d’une hyper minorité completement psychotique dont l’un est bien entendu Kissinger.
    Ces groupes ont littéralement neutralisé la démocratie pour imposer leurs visions du monde. Et c’est là que nous constatons que la propagande des médias, la majorité des journalistes  connaissent l’existence de ces groupes et le hold up de la démocratie qui a eu lieu et aucun d’eux jusqu’à présent n’a fait d’investigation traitant de « complotistes », ceux qui tentèrent d’alerter le monde de la présence d’un plan dont le but est clairement la décapitation du système démocratique à travers la mise en place du désordre économique, cela amenant à vous faire croire que vous n’avez que le choix d’être pauvre surveillé, zombifiés à travers l’usage de diverses drogues vendus par les big pharmas etc…
    MMBlackOrganisations4.gifVoir l’image de l’orgnigramme en grand sur ce blog et sur ce site on peut y trouver toutes les organisations qui dirigent le monde, des gens non élus comme les commissaires européens dont certains travaillèrent pour la fameuse banque Goldmann and Sachs.
    On peut encore nier la réalité, croire que la démocratie ne mérite pas que l’on se batte pour elle, accepter d’être des soumis à un plan plus que machiavélique, on peut se dire que les indignés ont tort et qu’il faut accepter ce que les autorités affirment et plier les genoux devant leurs propagandes dont l’ampleur est si grande que peu d’entre s’en rendent comptent, et pourtant leurs guerres, leurs crises financières sont leurs décisions, pourtant ils font des recherches sur la manipulation mentale des peuples depuis les années 50, pourtant ils paupérisent l’éducation, le savoir, et mettent en place tout ce qui favorise un état léthargique.
    Si nous acceptons cette propagande consistant à sabrer les emplois,  et la stratégie de choc, nous sommes juste mort nous deviendrons leurs jouets et ils ont à leurs bottes toutes les institutions, d’ailleurs si internet est pour eux la bête à tuer c’est justement quelque chose qu’ils ne contrôlent pas entièrement mais ils feront tout absolument tout pour avoir le 8eme continent sous leurs coupes aussi…
    En bonus on peut voir que même les employés de la Goldman était au courant de l’arrivée imminente d’une crise financière, ils savaient et nos politiques sont totalement soumis aux diktats de groupes qui ne devraient même pas exister et pourtant ils sont là et ils ont le contrôle total de l’économie, et bien plus… il suffit de voir ce qu’est l’institut tavistock en realité…et vous verrez que ce qu’ils veulent faire de l’humanité est à l’image de l’idéologie nazie.
    http://www.dailymotion.com/embed/video/x9l3j5
    http://www.dailymotion.com/embed/video/xmcef9_goldman-sachs-les-nouveaux-maitres-du-monde_news
    Au passage on ne peut que remercier les deux journalistes qui sont l’honneur de leurs professions, car je me souviens avoir entendu sur une chaîne publique dont je tairais le nom par charité, des journalistes nierent l’existence du groupe bilderberg et autres commissions, on peut remercier ces deux journalistes…pour avoir eu le courage de faire ce travail d’investigation et surtout d’avoir eu ce fameux courage citoyen d’avertir de ce que ses groupes nous préparent, en espérant que les gens liront ce livre et comprendront que la réalité dépasse la fiction et que les complots existent bel et bien, et là nous avons affaire à une conspiration à l’échelle de la terre…et si on osait se pencher sur cette affaire on comprendrait que nous avons affaire à des hitlers en puissance et que leurs pouvoirs sont réelles et destructeurs.

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