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    France24, ça suffit !

    par eva R-sistons

     

    France24, la chaîne de la désinformation par excellence,

    pire encore, de propagande... de guerre !

     

     

    Ca suffit !

     

    La France, via Christine Ockrent

    moins au service de l'Information

    que des intérêts d'Israël et donc de l'Empire militaro-financier,

    la France a tenu à mettre en place

    une Chaîne d'Informations internationales.

    Dans quel but ? Servir l'Information en langue française,

    ou servir les intérêts économiques et militaires

    des Anglo-Saxons et des Israéliens,

    accessoirement euro-atlantistes ?

     

    En tous cas, France24 n'informe jamais.

    En temps de guerres

    (et les conflits sont permanents avec les fauteurs de guerres US,

    et avec en France Nicolas Sarkozy

    le représentant de la CIA dans notre pays),

    France24 se contente de pousser aux conflits,

    à la déstabilisation des Etats souverains

    non-alignés à l'Empire !

     

    Ce n'est pas la mission d'un Média !

    C'est une honte, c'est un scandale !

    C'est une haute trahison du journalisme et des Français  !

     

    Tous les jours,

    l'obsession de France24

    est la Syrie.

    Les massacres, c'est Bachar-el-Assad.

    Les civils tués, c'est lui.

    Les enfants tués, c'est lui.

    Les bombardements, c'est lui.

    Les snippers, c'est lui.

    Au mépris de la vérité,

    au mépris des faits !

    Car il s'agit, comme du temps des sinistres Contras,

    de groupes para-militaires inféodés aux Occidentaux

    pour déstabiliser le pays,

    faire croire qu'il est attaqué par les fidèles de Bachar-el-Assad

    (très nombreux)

    et conditionner l'opinion internationale

    afin de lui faire accepter les guerres impérialistes,

    les guerres de contrôle des pays et de prédations !

    Même le Rapport des Observateurs de la Ligue arabe

    est passé sous silence, car il gêne les va-t-en guerre !

     

    Le rapport de Mission d'observation de la Ligue arabe en Syrie: Texte intégral

     

     

    Fuyez France24 comme Arte d'ailleurs

    ou les grandes chaînes d'"Infos",

    vous ne serez pas informés,

    vous serez manipulés,

    vous serez poussés à la guerre,

    et à votre corps défendant, contre vos intérêts,

    vous finirez par accepter les guerres qui profiteront

    aux Industriels de mort, à la Haute Finance anglo-saxonne

    et aux tenants du Grand Israël !

     

    Et vous, journaleux de France24,

    comment osez-vous accepter d'être

    de simples pions des assassins des peuples ?

     

    Citoyens, boycottez ces Médias infâmes,

    organisez des manifestations devant les Rédactions

    de ces suppôts de l'Oligarchie militaro-financière !

     

    eva R-sistons

    ,

     

     

     

    Propagande de guerre, rappel :

     

    Cette expérience, nous l’avons résumée dans les « cinq principes de la propagande de guerre », exposée dans notre livre Israël, parlons-en ! À chaque guerre, les médias veulent nous persuader que nos gouvernements font bien et pour ça, ils appliquent ces cinq principes : 1. Occulter les intérêts économiques. 2. Inverser la victime et l’agresseur. 3. Cacher l’Histoire. 4. Diaboliser. 5. Monopoliser l’info.
    Ces cinq principes ont été appliqués à nouveau contre la Libye, on s’en est rendu compte dans les pages précédentes. Pour finir, attirons l’attention sur le quatrième : la diabolisation de l’adversaire. Les va-t-en-guerre doivent toujours persuader l’opinion qu’ils n’agissent pas pour obtenir des avantages économiques ou stratégiques, mais bien pour éliminer une grave menace. Dans chaque guerre, depuis des décennies, le dirigeant adverse a toujours été présenté comme cruel, immoral et dangereux, avec les pires récits d’atrocités. Par après, beaucoup de ces récits - et parfois tous - se sont dégonflés, mais peu importe, ils avaient rempli leur rôle : manipuler l’émotion du public pour l’empêcher d’analyser les intérêts réellement en jeu. Impossible de revenir en arrière.

    Extraits de cet article ici,
    visitez cet excellent blog :

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  • Mardi 7 février 2012
    Se312770_250229411699179_100001363671692_613111_952180859_n.jpgnt: Tuesday, February 07, 2012. Subject: http://www.silviacattori.net/article2787.htmlHoms, une ville plongée dans l'horreur organisée par des groupes armés et non par Damas
    Le Syrien qui témoigne ici vit à Homs, dans le quartier où a été tué Gilles Jacquier en même temps que huit sympathisants syriens du gouvernement Assad. Les obus tombaient tout autour de son immeuble au moment où nous parlions. Tétanisé par la peur et l’angoisse de la mort qui rôdait, il parlait à voix basse, difficilement.

    Nous croyons ce que ce cadre, père de deux enfants, nous a dit avec sobriété. Nous croyons en sa sincérité. Ce qu’il affirme contredit ce qu’affirment les autorités politiques -impliquées dans le conflit- et nos médias, qui persistent à nier la réalité ; à attribuer les destructions et les assassinats aux forces armées syriennes et à affirmer à tort qu’elles torturent des enfants, violent des jeunes filles, tuent intentionnellement des civils.

    En opposant leur véto à la résolution proposée par l’Occident et ses alliés arabes des pays du Golfe, la Chine et la Russie viennent de montrer qu’elles ne sont pas dupes de cette colossale désinformation. Mais, depuis que le Conseil de sécurité de l’ONU s’est réuni, ces bandes armées ont redoublé de sauvagerie se sentant de toute évidence fortes du soutien que leur apporte la prétendue « communauté internationale ».

    Silvia Cattori : Dans un article du 4 février, le journaliste de l’AFP, Khaled Soubeih [1], affirme que, selon des militants, « dans la nuit, les forces du régime ont bombardé au mortier et au char plusieurs quartiers rebelles comme Baba Amro, Bab Dreib, Bab Sebaa, Bayada, Wadi Araba, et surtout Khaldiyé. » Le Conseil national syrien (CNS) fait, lui, état d’au moins 260 morts et de centaines de blessés. Est-ce bien votre point de vue sur ce qui s’est passé dans la nuit du vendredi 3 au samedi 4 février 2012 ?

    Réponse : Ils tirent de tous côtés…ils veulent juste tuer…Leurs tirs ont tué 20 militaires qui se trouvaient dans notre quartier (Hadara)… Ce sont eux qui tirent et nous bombardent. Vous entendez ? Ils lancent des bombes sur notre quartier en ce moment [11h40 du dimanche 5 février] Ils tirent et tuent pour tuer aussi bien des alaouites que des sunnites dont ils contrôlent les quartiers.

    Silvia Cattori : Quand vous dites « ils », « eux » qui désignez-vous ?

    Réponse : Je parle des opposants armés contre Bachar.

    Silvia Cattori : On a vu des images montrant des opposants devant des dizaines de corps recouverts de linceuls blancs que l’on a dit avoir été tués dans le quartier de Khaldiyé. Alors, selon vous, ce sont les corps de civils et de militaires exécutés par des groupes armés ?

    Réponse : Oui. Ce sont eux qui les ont tués. Parmi ces corps, des gens de notre quartier ont reconnu des personnes qui avaient été kidnappées [2], certaines depuis longtemps. Ils ont enlevé beaucoup de gens. Les enlèvements ont commencé en avril.

    Silvia Cattori : A-t-on reconnu parmi ces corps une personne enlevée que vous connaissiez ? Le ministre des Affaires étrangères françaises, Alain Juppé, a parlé de 100 enfants tués à Homs l’autre jour…

    Réponse : Des parents de mon quartier ont reconnu, parmi ces cadavres, une vingtaine d’hommes qui avaient été kidnappés. Ils portaient des traces de torture. Ils n’ont pu voir tous les corps. Ils n’ont vu ni femmes ni enfants, parmi les cadavres. Ils ont vu les corps d’hommes, de disparus, de parents, présentant pour certains des traces de torture apparemment antérieures à la mort ; ils ont assuré que ces hommes avaient été enlevés auparavant, qu’ils paraissaient avoir été exécutés et non pas tués par des obus.

    Silvia Cattori : Savez-vous combien de personnes ont été enlevées par ces groupes armés depuis avril ?

    Réponse : On ne sait pas exactement…mais beaucoup d’hommes ont disparu. L’un d’eux est mon cousin. Ils l’ont kidnappé il y a 15 jours. On n’a plus eu aucune nouvelle. Il y a des familles ici qui ont eu des fils, des pères ou des oncles kidnappés. On estime à quelques 400 le nombre de personnes enlevées, disparues.

    Je connais un autre cas récent. Celui du frère d’une amie. Il est parti en voiture le 24 janvier et on ne l’a plus revu. Sa famille a eu des nouvelles de lui par téléphone il y a 4 jours disant que ses ravisseurs demandent une rançon. La famille est en train de trouver une somme importante … Il arrive que, une fois trouvé, l’argent se perde en route, car le médiateur se fait tuer…

    Silvia Cattori : Mais, ici, on dit que l’armée viole, torture les enfants...On dira en vous lisant que c’est peut-être l’armée qui kidnappe les gens ?

    Réponse : Tout cela ne reflète pas ce que nous voyons depuis notre côté. Ce sont les opposants armés qui assiègent, qui kidnappent, qui tuent et torturent les enfants dont l’on voit ensuite la photo sur Aljazeera. Ils attribuent leurs crimes à l’armée syrienne. Les destructions, les morts, les blessés que nous avons, ce sont les opposants armés qui en sont responsables.

    Silvia Cattori : Toujours est-il que ce chiffre de 260 civils [3] « dont une centaine d’enfants et de femmes », qui auraient péri sous les obus de l’armée d’Assad dans le faubourg de khalidiya, à Homs, la nuit du vendredi 3 février, ont mis le monde en émoi ; ce qui n’arrange pas les choses. Or, parmi les corps exposés à Khaldiyé on ne voit ni femmes ni enfants. On voit des jeunes hommes dont les corps portent des traces de tortures. Ils ne paraissent pas avoir été tués sous les décombres, suite à des bombardements. Tout cela confirme ce que vous nous avez dit. Que les tueries sont davantage le fait de groupes armés. Il est important de mettre cela au clair ; car si ce que vous dites - que les corps exposés sont ceux de gens qu’ils ont préalablement enlevés et exécutés - cela incrimine ceux qui, comme Obama et Sarkozy, couvrent les atrocités de ces opposants car ils veulent obtenir le renversement d’Assad coûte que coûte. Y a-t-il des photos des immeubles qu’ils auraient bombardés ?

    Réponse : Oui. Ils ont bombardé Hadara, notre quartier (là où ils ont tué Gilles Jacquier - Nda) vendredi nuit. Les tirs partaient depuis Baba Amro, Bab Dreib, Bab Sebaa, Bayada, Khaldiyé …dans tous les sens. Ce n’étaient pas des tirs qui partaient de l’endroit où se trouvaient des forces armées gouvernementales qui sont ici dans notre quartier pour nous protéger. C’est un petit quartier le nôtre.

    Silvia Cattori : Alors, ce qu’ont rapporté des Syriens par téléphone au journaliste de l’AFP n’est pas vrai ?

    Réponse : Non, ce n’est pas vrai. Ils sont lourdement armés. Ils ont pris le contrôle de Baba Amro, Bab Dreib, Bab Sebaa, Bayada, Khaldiyé... Ils détruisent, tuent, blessent les gens. Ils bombardent en ce moment…Ce sont eux (les groupes islamistes armés) qui font exploser des bâtiments, qui menacent les gens pas seulement dans notre quartier, partout. Il y a des tirs en ce moment dans plusieurs endroits. Les habitants appellent l’armée à l’aide.

    Silvia Cattori : Avez-vous peur en ce moment ?

    Réponse : Oui, on est effrayés. C’est très dangereux pour nous.

    Silvia Cattori :On peine à comprendre comment ces groupes peuvent « contrôler » la population de quartiers entiers de la ville de Homs ?

    Réponse : Ils sont entrés dans les quartiers ; ils s’y sont installés par la terreur ; ils maintiennent les habitants sous la menace ; ils les obligent à collaborer pour les protéger ; ils les obligent à fermer leurs échoppes, les écoles.

    Silvia Cattori : Qu’est-ce qui est le plus difficile pour vous qui êtes exposés à leurs tirs ?

    Réponse : On ne peut pas sortir, on ne peut pas voir d’autres gens, on vit dans la crainte permanente qu’une bombe nous touche, nous tue. Nous ne vivons pas en sécurité…Je ne peux pas aller à mon travail ; il y a sans cesse des bombardements dehors ; ils nous tuent dès que l’on sort ; la maison de mon voisin a été détruite…

    Silvia Cattori : Depuis quand la situation est-elle devenue à ce point intenable ?

    Réponse : Depuis deux jours cela est allé de pire en pire. Mais les choses se sont aggravées depuis sept jours.

    Silvia Cattori : Avez-vous l’impression que l’administration d’el-Assad ne fait pas ce qu’il faut pour vous protéger ?

    Réponse : Ils font de leur mieux dans un contexte très difficile.

    Silvia Cattori : Les journalistes des médias traditionnels parlent de manifestants pacifiques, d’une révolution qui promet la démocratie…

    Réponse : Non, il n’y a pas de manifestations pacifiques de leur côté. Toutes leurs manifestations sont violentes, sont des incitations à la violence.

    Silvia Cattori : Ce que vous dites atteste que ce que les politiques et les médias qualifient chez nous de « militants pro-démocratie » sont en réalité des groupes armés qui terrorisent la population. C’est tout de même une douloureuse équation. Que ressentez-vous quand vous entendez MM. Alain Juppé et Gérard Araud, l’ambassadeur de France à l’ONU, donner raison à ces opposants armés qui vous tuent, vous kidnappent et tuent les soldats qui, avec la meilleure volonté, n’arrivent pas à vous protéger ?

    Réponse : Ce que je ressens ? De la tristesse. Je suis très triste pour mon pays, mon peuple…je ne cesse de me demander pourquoi ils mentent…Nous sommes ici face à l’inconnu…Je remercie la Russie et la Chine pour avoir opposé leur veto au Conseil de sécurité. Car si eux aussi laissent faire ce que veulent d’autres pays, ce qui est arrivé en Libye arrivera ici en pire…

    J’aimerais dire aux journalistes et aux responsables politiques que par leurs mensonges, par leur biais en faveur des opposants armés qui nous terrorisent, ils détruisent l’esprit, et surtout l’âme de notre jeunesse.

    Silvia Cattori : Nous vous remercions d’avoir accepté de nous répondre. Nous allons faire de notre mieux pour faire connaître votre témoignage.

    *****
    Atterrée par ce que nous venions d’entendre, nous avons posé le téléphone tout en sachant que nos politiciens et nos médias ne voudront pas l’entendre [4]. (5 février 2012 )

    Post scriptum

    Ce matin, 6 février, alors que nous nous apprêtions à publier ce témoignage, en entendant dire sur France Culture que l’armée syrienne pilonnait sans discontinuer depuis samedi les opposants, et l’invité du matin, Salam Kawabiki, opposant syrien résidant à Paris, se plaindre que « malheureusement les médias du régime (sont) relayés par des sites d’extrême droite français... » [5], nous avons dressé l’oreille. Salam Kawabiki parlait de plus de 400 morts du côté des opposants dans la nuit de vendredi. Opposants qu’il présente comme étant totalement pacifiques, manifestant en chantant, comme les membres d’une révolution qui a «  développé un humour syrien ».

    Nous ne l’avons pas cru. Tout ce qu’il disait transpirait la propagande, ne cadrait aucunement avec ce que, depuis des mois, nos contacts à Homs, terrorisés par les opposants armés, disent et répètent. Nous les avons rappelés pour leur demander qui les pilonnait aujourd’hui. Il nous ont dit : « Aujourd’hui les groupes armés ont attaqué le centre de communication ; ils ont fait exploser des immeubles dans le quartier d’al-Nazihin et le quartier al-Inchaat ; ils ont menacé de faire sauter d’autres immeubles dans d’autres quartiers ; sur les toitures des pneus brûlent [6] ; les habitants appellent l’aide de l’armée ».

    Silvia Cattori

    Pour des raisons de protection nous n’indiquons pas le nom de nos correspondants.

    Cet entretien n’aurait pas pu être réalisé sans le précieux soutien de Rim, une jeune Syrienne.

     


     

    [1] « Syrie : choc et horreur dans la ville dévastée de Homs », par Khaled Soubeih, (AFP) 4 février 2012.

    [2] Mgr Jean-Clément Jeanbart dit lui aussi que « des gens sont tués en plein jour, kidnappés par des gangsters, qui demandent des rançons élevées » Voir :
    http://www.silviacattori.net/article2780.html

    [3] Le correspondant de la BBC en Arabe qui se trouvait à Homs du côté des rebelles estime lui à 50 le nombre des tués (et non pas 260), tout en précisant que, dans le chaos actuel, il est difficile de compter.

    [4] Voir : « Les Syriens sont une majorité à soutenir le président Assad, mais ce n’est pas des médias occidentaux que vous pourriez l’apprendre », par Jonathan Steele, The Guardian, 17 janvier 2012.

    [5] Il y a de nombreux sites d’information en France, de sensibilités politiques diverses, qui publient des auteurs sérieux et sans biais, (traduisent également des auteurs étrangers comme MAHDI DARIUS NAZEMROAYA, BILL VAN AUKEN, PEPE ESCOBAR, JEREMY SALT, JONATHAN STEELE, etc), infiniment plus crédibles, au sujet de ce qui se passe au Moyen et au Proche Orient, que les journalistes Christophe Ayad ou Georges Malbrunot, publiés par Le Monde et Le Figaro

    [6] Il y a deux jours, sur Facebook, de prétendus « révolutionnaires démocrates épris de liberté » ont appelé à mettre le feu a des pneus sur les toitures

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    .Voir aussi :

    Témoignage d'une Syrienne dont le frère a été tué à Homs par des "opposants"

     

    Sur ce blog,

    La coopération sino-allemande pleine d'espérance

    connaît des perspectives d'avenir prometteuses.

    La coopération sino-allemande pleine d'espérance connaît des perspectives d'avenir prometteuses La Chancelière allemande Angela Merkel a entamé depuis le 2 février sa visite officielle en Chine et…


    Pour lire la suite cliquez ici


     

     

    §§§§§

     

     

    International, voir aussi :

     

     

    Les pays de l’ALBA dénoncent à leur tour l’ingérence des « Contras » en Syrie

     

    La Révolution arabe pour arriver à ça ?

    Syrie ou l'ancrage de la Tunisie dans le camp Occidental/wahhabite


    Le bilan des pertes civiles, en Afghanistan, s’alourditI

     

     

    Il veut forcer la main, là aussi, comme pour le Traité de Lisbonne ?

    Il veut séduire et corrompre Medvedev, plus malléable ?

    Sarkozy veut évoquer la Syrie avec Medvedev

     

    Syrie: l'opposition forme une nouvelle structure militaire

     

    Réconciliation Palestinienne : Le Qatar Agit Pour Protéger Israël

     

    Discours sur le colonialisme - Un livre immortel

      .

    Les pays de l’ALBA dénoncent à leur tour l’ingérence des « Contras » en Syrie


    Dans un communiqué publié en marge du XIème sommet de l’organisation, les 9 États membres de l’ALBA (Alliance Bolivarienne pour les peuples de notre Amérique) ont rejeté ce dimanche la « politique systématique d’ingérence et de déstabilisation » qui cherche à « imposer par la force un changement de régime au peuple Syrien ».



    Reseau Voltaire
    Mardi 7 Février 2012



    Les pays de l’ALBA dénoncent à leur tour l’ingérence des « Contras » en Syrie
    La résolution des membre de l’ALBA condamne « les actes de violence armée que des groupes paramilitaires appuyés par des puissances étrangères on lancé contre le peuple syrien ».

    Les chefs des États membres de l’organisation d’intégration latino-américaine ont manifesté leur soutient à la « politique de réforme nationale initiée par le Gouvernement du président Bashar al-Assad, qui cherche à trouver une solution politique à la crise actuelle », « dans le respect de la souveraineté du peuple syrien et de l’intégrité territoriale de la Syrie ».

    Les États atlantistes et du Golfe, ainsi que leurs relais de communication, accusent le gouvernement syrien de réprimer dans le sang une contestation pacifique. Au contraire, le gouvernement syrien affirme que ces mêmes pays occidentaux soutiennent des groupes armés qui mènent des opérations de sabotage dans le pays, ayant entrainé la mort de plusieurs milliers de citoyens, civils et militaires.

    Les observateurs de la Ligue arabe ont invalidé les accusations de leurs propres gouvernements et ont partiellement validé le point de vue syrien.

    Bien que le cynisme qu’implique la mise en œuvre d’une stratégie de déstabilisation puisse laisser les Européens incrédules, il n’en est pas de même pour les latino-américains. Là-bas l’épisode des « Contras » est encore dans toutes les mémoires, et le parallèle avec la situation syrienne est immédiat.

    Ces groupes armés (en espagnol : « Contre-Révolutionnaires ») avaient été soutenus et entrainés d’abord par la dictature Argentine, en tant que sous-traitant, puis directement par les administrations Carter et Reagan pour renverser le gouvernement socialiste du Nicaragua durant les années 80. Ils opéraient des raids contre l’économie et la population du Nicaragua à partir de bases arrières situées au Honduras.

    Le bilan de cette fausse guerre civile organisée par les États-Unis contre un État et un peuple souverains est estimé à 57 000 victimes, dont 29 000 morts.

    Les ministres des Affaires étrangères de l’OTAN et du CCG, eux, multiplient les déclarations à l’encontre de la Syrie, à leurs yeux « plus isolée que jamais ».

    Résolution du XIème sommet de l’ALBA-TCP sur la République Arabe Syrienne

    Les chefs d’États et de gouvernements de l’Alliance Bolivarienne pour les Peuples de Notre Amérique (ALBA) réitèrent leur condamnation de la politique systématique d’ingérence et de déstabilisation contre notre sœur la République Arabe Syrienne, qui a pour but d’imposer par la force un changement de régime au peuple Syrien.

    Les pays membres de l’ALBA condamnent les actes de violence armée que des groupes paramilitaires appuyés par des puissances étrangères ont lancés contre le peuple syrien, et formulent le vœu que la société syrienne retrouve le calme et la paix.

    Les pays de l’ALBA réitèrent leur appui à la politique de réforme nationale initiée par le Gouvernement du président Bashar Al Assad, qui cherche à trouver une solution politique à la crise actuelle, dans le respect de la souveraineté du peuple syrien et de l’intégrité territoriale de ce pays arabe frère.

    http://www.voltairenet.org/Resolution-du-XIeme-sommet-de-l

    http://www.voltairenet.org/Les-pays-de-l-ALBA-denoncent-a http://www.voltairenet.org/Les-pays-de-l-ALBA-denoncent-a

     

    http://www.alterinfo.net/Les-pays-de-l-ALBA-denoncent-a-leur-tour-l-ingerence-des-Contras-en-Syrie_a70878.html

     

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  • http://www.lepoint.fr/images/2012/01/23/huffington-post-france-sinclair-485916-jpg_331304.JPG

    http://www.lepoint.fr/images/2012/01/23/huffington-post-france-sinclair-485916-jpg_331304.JPG

     

     

     

    Nouveau Média identique aux autres,

    pire encore ? Voici le Huffington Post

    par eva R-sistons

     

     

     

    Un nouveau Média, Huffington Post version française,

     remplace hélas le Post permettant à tous de s'exprimer !

    Désormais, c'est la Pensée Unique qui s'installe,

    en association avec le groupe Le Monde

    qui n'est plus le journal neutre d'avant,

    d'information tout simplement,

    mais inféodé à l'Occident ultra-libéral et va-t-en guerre.

     

    Et ce nouveau Média est orchestré

    par le clone de Christine Ockrent à France24,

    en l'occurrence la femme

    du désormais tristement célèbre DSK,

    Anne Sinclair, connue pour son attachement inconditionnel

    - comme son époux ou comme C. Ockrent - à l'Etat hébreu

    (Etat qui impulse une politique particulière),

    et donc inévitablement... communautariste, partiale.

    Vous vous attendez à de la neutralité, à de l'info, vous,

    venant d'un Média à la consonance anglo-saxonne,

    et à la dévotion des Hébreux ?

    Non, tout sera partisan,

    au service de l'idéologie dominante,

    ultra-libérale, et impérialiste.

    Au service de la domination usraélienne sur le monde,

    tout simplement !

     

    Alors, rien de nouveau sous le soleil occidental.

    Sinon qu'un Média ouvert, Le Post, est remplacé

    par un média au seul service de la Pensée Unique dominante !

    Un de plus !

    Alors, vous n'en avez pas marre

    de lire toujours les mêmes choses ?


     

    Morceaux choisis (titres) de ce 7 février 2012,

    vous reconnaîtrez la propagande habituelle

    contre la Syrie, la Russie..

    ou contre le Vénézuela de Chavez !

     

    - "REPRESSION en Syrie: Les dernières infos"

    - "Ca CHAUFFE en Russie" (contre Poutine)

    - "Pourquoi le protectionnisme européen est un LEURRE"

    - "Le pouvoir chaviste confronté à l'épreuve des urnes"

    Chavez, le bien-aimé Président du peuple vénézuelien,

    est présenté ainsi :

    "Après plus de treize ans de pouvoir quasi-absolu d'Hugo Chavez et de son parti, le PSUV, réparer les DOMMAGES (aux intérêts des multinationales américaines, note d'eva)  du chavisme ne sera pas une tâche aisée pour le gouvernement qui prendra le relais, tôt ou tard, du leader vénézuélien"

     

    J'arrête, tout est dit.

    Ce Post là est au service des intérêts anglo-saxons et israéliens

    qui mettent le monde en coupe réglée. C'est tout.

    Fallait-il s'attendre à autre chose de la part

    de la femme du Directeur du FMI

    qui chaque matin se lève en se demandant comment servir Israël

    (confession sur Tribune Juive),

    et qui est un fervent supporter de l'ultra-libéralisme

    militaro-financier qui dévaste la planète ?

     

    Conclusion : Fuyez ce nouveau support

    comme tous les Médias officiels, dominants,

    au service de l'Oligarchie euro-atlantiste !

     

    Eva R-sistons

     

     

     

    « À défaut d’avoir recours à la force pour contrôler les populations, on peut parfaitement les contrôler par l’opinion » Harold Laswell, spécialiste des médias.

    "La presse libre n'existe pas. Aucun de vous n'oserait donner son avis personnel ouvertement. Nous sommes les pantins qui sautent et qui dansent quand ils tirent sur les fils. Notre savoir faire, nos capacités et notre vie même leur appartiennent. Nous sommes les laquais des puissances financières derrière nous. Nous ne sommes rien d'autre que des intellectuels prostitués. Le travail du journaliste est la destruction de la verite, le mensonge patent, la perversion des faits et la manipulation de l'opinion au service des Puissances de l Argent. Nous sommes les outils obéissants des Puissants et des Riches qui tirent les ficelles dans les coulisses". John Swaiton, l'éditeur du New York Times, lors de son discours d'adieu.

     

     

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  • Les médias passent sous silence les morts dont les Etats-Unis sont responsables

    Un million de morts en Irak (Socialist Worker)

    Danny LUCIA

    Plus d’un million d’Irakiens sont morts dans la guerre américaine.

    Cette phrase est un test décisif. La réaction immédiate de certaines personnes est de dire "Ce n’est pas possible" parce que les Etats-Unis ne pourraient pas faire une chose pareille. Ou parce que des crimes d’une telle envergure ne se produisent plus. Ou parce qu’ils se produisent mais seulement dans des endroits épouvantables que les Etats-Unis n’ont pas encore libérés.

    Un million de morts c’est un chiffre qui vous fait dire "Grand-papa, pourquoi n’as-tu rien fait pour empêcher ça ?". C’est un chiffre qui place indéniablement les Etats-Unis au rang des méchants de l’histoire. Ceux qui ne peuvent pas ou ne veulent pas accepter cela ne peuvent pas non plus admettre qu’un million d’Irakiens soit mort. Leur cerveau rejette cette éventualité comme s’il s’agissait d’un virus étranger.

    Noam Chomsky a écrit un jour que "le signe d’une culture vraiment totalitaire est que des vérités importantes ont tout simplement perdu tout sens pour les gens et sont assimilées à des provocations du niveau de ’Va te faire foutre !’ et ne peuvent générer en réponse qu’une torrent parfaitement prévisible d’injures."

    C’est en effet à peu près la manière dont les médias ont réagi au chiffre de un million quand il a été annoncé en 2007 par la firme de sondages britannique, Opinion Research Business (ORB) (En fait la firme estimait que 1 220 580 Irakiens étaient morts, ce qui confirmait en la mettant à jour une étude réalisée l’année précédente par des chercheurs de l’Université Johns Hopkins et publiée dans le journal médical The Lancet).

    Prenons par exemple Kevin O’Brien, le rédacteur en chef du Cleveland Plain Dealer. Quand il a reçu le mail qui l’informait des résultats des recherches de ORB qui a parmi ses clients le Parti Conservateur Britannique et Morgan Stanley, il a répondu : "Enlevez-moi de votre mailing list et épargnez-moi votre propagande cousue de fil blanc".

    * * * *

    "Nous ne tenons pas le compte des cadavres" est la célèbre réponse que le Général Tommy Franks a faite à un reporter qui l’interrogeait sur les pertes civiles. Il n’est pas le seul dans son cas.

    Dans les commentaires moroses du mois dernier sur la fin de la guerre en Irak, on a rarement trouvé un chiffre correspondant au nombre d’Irakiens morts. Les reporters ont répété que les chiffres des pertes irakiennes "n’étaient pas connus", ce qui montre que les médias ont à peu près le même intérêt pour le nombre de morts en Irak que pour le nombre d’écureuil morts dans un feu de forêt.

    Ce que Mary Milliken de Reuters a écrit est typique : "Aujourd’hui nous avons commémoré la mort dans cette guerre d’un nombre inconnu d’Irakiens et celle de presque 4 500 Etasuniens."

    Combien d’Etasuniens sont morts, Mary ? - Presque 4 500. Et combien d’Irakiens ? - Oh, vous savez, beaucoup. Un grand nombre.

    "Un nombre inconnu" signifie qu’il n’y a pas d’estimation disponible du nombre exact de morts irakiens. En fait, il y en a deux : une organisation intitulée Iraq Body Count (IBC) a estimé à environ 110 000 le nombre d’Irakiens morts, sur la base des rapports des médias et des statistiques du ministère de la Santé. IBC admet que ce total est sûrement inférieur à la réalité parce que les armées d’occupation et les combattants de guerres civiles sectaires n’ont pas l’habitude de bien tenir leurs livres de comptes, mais il n’est pas d’accord avec le chiffre plus élevé de ORB et Johns Hopkins indiqué plus haut.

    Sans vouloir entrer dans un débat méthodologique, il y a des chiffres disponibles qui permettraient de se faire une bonne idée des pertes civiles en Irak. Mais les reporters comme Kevin O’Brien et Mary Milliken ne les font pas "connaître".

    Le silence qui entoure les chiffres n’est pas tant une conspiration que l’évidence que certains chiffres sont absolument incompatibles avec la mentalité impériale étasunienne.

    Prenons un autre chiffre funeste d’une décennie antérieure : selon le Fond pour les Enfants de l’ONU, 500 000 enfants irakiens sont morts dans les années 1990 à cause des sanction imposées par l’ONU (sous la pression des Etats-Unis) qui empêchaient les médicaments et autres produits de première nécessité d’entrer dans le pays.

    En 2000, le coordinateur des l’aide humanitaire de l’ONU a donné sa démission pour protester contre les sanctions, deux ans après que son prédécesseur ait fait la même chose. Ces deux diplomatiques expérimentés ont plus tard utilisé le mot "génocide" pour décrire la politique étasunienne.

    Si vous ignorez ces faits ou les avez oubliés, vous n’êtes pas le seul. Il en est de même pour ceux qui ont décidé d’attaquer l’Irak. Il n’y a pas d’autre explication au fait que la stratégie de guerre et d’occupation étasunienne reposait sur la présomption que leur soldats seraient accueillis en libérateurs par les parents de ces 500 000 enfants. (Les sanctions d’ailleurs n’avaient pas été imposées au nord kurde, la seule partie d’Irak qui n’a pas offert de résistance massive à l’occupation étasunienne).

    Ce n’est pas par hasard que la plupart des militants pacifistes les plus engagés sont des révolutionnaires d’une couleur ou d’une autre. Nous sommes capables d’appréhender l’atrocité du crime commis contre l’Irak parce que nous sommes radicaux. Et vice-versa.

    Nous, les révolutionnaires, nous sommes confrontés ironiquement à la sagesse conventionnelle qui nous accuse d’être des adeptes fanatiques de "la fin justifie les moyens" sans aucun souci du sang versé, parce que nous voulons transformer la société.

    Mais c’est Madeleine Albright, la Secrétaire d’Etat de l’époque, qui a dit en parlant de la mort des 500 000 enfants irakiens que "c’était le prix à payer". Et c’est Leon Panetta, le secrétaire de la Défense actuel qui a utilisé exactement la même expression à propos de la seconde invasion et occupation de l’Irak.

    Ces paroles sont l’expression d’une ordre fanatique auquel nous devrions tous nous opposer de toutes nos forces.

    Danny Lucia

    Pour consulter l’original : http://socialistworker.org/2012/01/30/one-million-dead

    Traduction : Dominique Muselet


    URL de cet article 15724
    http://www.legrandsoir.info/un-million-de-morts-en-irak-socialist-worker.html

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