• Vieux journaliste désabusé contre les médias, Anasthasie et la société !

    Bonjour les blogueurs, je débarque !

    Je ne sais si mes propos, mes coups de gueule, mes coups de c?ur, seront au goùt de ce site, que je viens de découvrir, et qui me donne terriblement envie de mettre mon grain de sel dans la soupe, que je trouve relevée à souhait. 

    Par ces temps qui courent (en claudicant fort) il faut être bon nageur pour remonter à la source de l'information, la vraie, pas la crème adoucissante et empoisonnée que servent les médias à ceux qui n'ont rien d'autre à se mettre sous la canine, surtout s'ils n'ont pas eu la chance de l'aiguiser dès le départ. 

    Pour en avoir souffert, ou en avoir ricané, au cours de ma vie professionnelle (radio puis presse écrite) je sais qu'Anasthasie (la censure) taille toujours à plein ciseaux dans tout ce qui risquerait de réveiller les bêtes de …somme, fatiguées de trimballer leur joug, de se laisser traire, et promener dans l'obscurité.

    Le chemin de la Vérité, qui a depuis longtemps rejoint le fond de son puits, après que l'on lui ait cisaillé la corde, est plus que jamais pavé de peaux de bananes (fruits de bien des républiques ainsi qualifiées) plutôt que de peaux de phoque (traduisible en langage de skieurs de fond) qui aident à remonter la pente.

    Les curieux, ceux qui ont encore la volonté, la faculté de remuer le tas, afin de trouver quelle aiguille va les vacciner contre la lucidité;  ceux qui ont un esprit suffisamment critique pour traduire les grimaces télévisées des passeurs de plats, cuisinés dans les officines des maîtres à danser la chaloupée de ce bal des cocus; ceux qui vont quasiment pieusement (j'en suis) décrocher quelques hebdos satiriques paraissant le mercredi, à l'étal bien encombré d'une maison de la presse qui vit de la déforestation (on attend que les supports papier, comme dans l'antique Egypte papyrussée, soient désormais vendus en rouleaux, afin d'en faire plusieurs usages)  bref, ceux-là qui ne marchent plus avec la musique, dont les couacs saturent leur perception d'une existence bigbrotherisée, qu'ils se résignent à ruminer, tout en restant vigilants afin de ne pas louper le créneau, celui laisse passer la flammèche qui met le feu aux poudres; la poudre aux yeux, bien évidemment, que les pouvoirs en place nous dispensent, après avoir confisqué toutes les cannes blanches. Panurge a du pain sur la planche

    Une intro peut-êre un peu longuette pour certains, mais, faut bien décliner son identité, surtout si elle bien enracinée, contrôlée, enregistrée sous l'étiquette "nationale", codifiée, "pucellisée" mais pas encore tatouée au creux du poignet. Ce à quoi j'ajoute que la seule chaîne que je supporte, c'est celle des Pyrénées, le plus jeune des plissement d'un pays que l'on cherche à vieillir, en le sacrifiant sur l'autel d'un agencement mondialiste, concocté par une poignée d' infâmes gâteux, pendus par les Bourses, âpres au gain infini, indignes de l'Espèce dans laquelle ils se sont faufilés, à la sortie d'une femme en gésine qui pensait, à tort, contribuer ainsi à honorer un certain art de vivre, en offrant l' écot d'un lardon de race Allien.

    Aujourd'hui, c'est une manifestation de l'hypocrisie structurelle, traditionnelle, d'instances gouvernementales qui prétendent, à grand renfort de tapage médiatique,  protéger ses innocents administrés, et sa "belle Jeunesse", plus que jamais inconscients des dangers mortels que fait courir la consommation de l'herbe à Nicot, ce tabac qui fait, en effet, tant de victimes.  

    A la voracité des multinationales qui rivalisent d'ingéniosité pour faire monter la barre du nombre de victimes de l'insuffisance respiratoire, du cancer des poumons, etc, tout en engrangeant des profits colossaux qui leur permettront d'allonger la liste de nouveaux cobayes, il faut noter que les colporteurs, les merc anti, les croquemitaines, chargés au prix fort, par les responsables de la Santé nationale, et aux frais des contribuables et victimes potentielles, d'épouvanter les fumeurs, ne font pas vraiment dans la déntelle des bronchiolles. C'est fait pour choquer, dit-on, ces images allégoriques où l'on représente la tête d'un fumeur invité à prendre les choses par le bon bout, le bout-filtre. Ce n'est jamais qu'une gâterie de forme cylindrique  qui cherche à suggérer… du suggestif. 

    D'où les hurlements orchestrés des Tartuffes gouvernementaux et autres associations de défense de tout ce  que l'on peut défendre au nom de vieux principes issus d'une petite bourgeoisie plus étriquée que jamais.

    Ils oublient au passage, que, depuis la fin du siècle précédent, on a pu noter que les budgets alloués aux campagnes anti-tabac, étaient aussi élevés que les sommes consacrées à la publicité (autorisée) pour inciter à consommer le poison en cause, ce qui prête à réfléchir, avant de s'interroger sur les sommes incalculables, perçues par l'Etat au titre des taxes sur ce-même produit, prétendumment dissuasives.  

    Protéger les non-fumeurs, inciter ceux et celles qui aspirent encore à passer à d'autres jeux de bouche, c'est d'autant plus louable que c'est une façon de remplir le tiroir-caisse  qui fuit à Bercy. 

    Non, ces pitreries n'inciteront pas pour autant, hélas, les jeunes fumeurs à se mettre à… la pipe ! Que saint-Claude l'entende, lui qui a pourtant toujours recommandé de ne pas avaler la fumée, qui est si mauvaise pour les bronches!

    Pour ma part, ce soir, j'arrête de fulminer. 

    Au…revoir, avait si modestement pris congé, une fois, un vieux président à la bouche en cul-de-poule.

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