• Silence total des Médias : L'U.E. veut abolir les Nations souveraines !

    Van Rompuy sonne le glas de l’Etat nation

    Posted 12 nov 2010 — by Lazy French Bastard
    Category UERSS, guerre de l'information, nouvel ordre mondial

    L’inquiétant président de la non moins inquiétante UERSS, vient de dévoiler un peu plus son jeu pervers. L’homme lige du Bilderberg, le bourreau des peuples européens, a annoncé calmement la fin des nations, entités  »obsolètes » selon lui. Un pas symbolique fort au moment ou semble s’accélérer « le grand oeuvre »….

    « Le temps des Etats nations homogènes est terminé », a balancé le vénérable Van Pouypouy à Berlin le 11 novembre. En pleine célébration des morts de la Première guerre mondiale, morts pour Wall Street. Véritable boucherie qui permit de porter à l’Oligarchie de porter un coup très meurtrier aux vieilles nations européennes, tout en accouchant de la première institution supra nationale : la SDN, ancêtre de l’ONU et première pierre posée à la pyramide mondialiste. Un discours qui sonne comme un affront aux morts qui faute de mourir pour leur patrie, ont étés décimés par millions pour la cause mondialiste.

    Ainsi le résident de la tour de Babel européenne vient il en cette date très symbolique nous annoncer froidement la poursuite du plan de mise en esclavage des européens. Avec sa tête d’austérité, et après avoir sucé les fonds publics jusqu’à la moelle pour ses maîtres, Hermann vient nous dire que ces foutus nations qui ont sauvé ses potes banquiers internationaux, ne seraient pas à même de survivre dans le monde actuel. « l’idée qu’un pays puisse survivre seul est plus qu’une illusion, c’est un mensonge! » assène t-il avec conviction..

    Le Daily Mail, qui rapporte l’info, voit dans ce discours, « la première salve d’une nouvelle campagne pour accélérer le transfert de souveraineté vers Bruxelles- transfert momentanément interrompu par la défaite de la constitution européenne et du traité de Lisbonne dans les référendums « .

    C’est donc le top-départ pour le pillage des nations : privatisations, transferts de pouvoirs etc… Pour cela, Van Rompuy peut compter en France sur un des plus zélés agents de la cause mondialiste en la personne de celui qui nous sert de résident de la République.

    Un coup d’accélérateur alors que la révolte contre l’austérité, à peine étouffée et cassée par les médias en France, semble se diffuser dans d’autres pays d’Europe, notamment l’Angleterre. Le temps presse pour les élites mondialistes, il s’agit de vider les coffres avant le réveil de l’opinion. Et quand cela sera fait, quand l’UERSS sera devenu un pilier solide du futur Nouvel Ordre Mondial, la tour de Babel montrera son vrai visage, qui sera peut être similaire à celui des camps concoctés par la FEMA….

    En tout cas, c’est avec sa célèbre tête de « serpillière humide » que notre cher, et légitime, président de l’UERSS nous dévoile son Système aux contours incertains, sauf sur le fait qu’il se construit de manière autonome sans que jamais les peuples n’aient leur mot à dire.

    De tout cela, l’inénarrable Figaro ne retient que les habituelles auto congratulations autour du G20 aux mains du « gourou ». Mais nous rappelle les sages paroles de Van Rompuy et Barroso :

    MM. Barroso et Van Rompuy rappellent que « l’UE, qui est en train d’adopter un mécanisme solide pour faire face aux déséquilibres macro-économiques, va continuer à apporter son expérience ». Les dirigeants de l’UE se félicitent en outre des engagements du G20 pour « combattre le protectionnisme », « finaliser les négociations du cycle de Doha » sur les échanges, ainsi que de son appel à obtenir un résultat positif au sommet sur le climat prévu à Cancun (Mexique) à la fin du mois.

    Sur ce, nous vous souhaitons une joyeuse mise en esclavage avec l’Union Européenne et son sinistre Père fouettard Van Rompuy :)

     

    http://infoguerilla.fr/?p=6360

     

     


    novembre 12, 2010 par fonzibrain

    The President of the European Council has finally revealed his true colours. ‘The time of the homogeneous nation state is over,’ declared Herman Van Rompuy in Berlin yesterday.
    According to Mr Van Rompuy, the idea that a country can survive alone is not merely an illusion: ‘It is a lie!’
    He has clearly never heard of the Battle of Britain.


    une bonne tete de tueur en série…

    suite http://www.dailymail.co.uk

    Tranquillement ce petit con avec sa tete de tueur froid nous dit que les 1500 ans d’histoire de l’état nation France ou de l’état nation anglais n’ont plus à exister, rien que ça, devenez des citoyens européens du grand village mondial, super programme !!! surtout en tant qu’esclaves des banques et empoisonnés par les lobby nucléaires, pharmaceutiques et agro-chimiques. IG farben, le retour !!!!!

     

    SANS LE CADRE NATIONAL, C’EST LE FASCISME ASSURÉ
     

     

    L’Autorité sera impersonnelle et trop lointaine, les technocrates seront les nouveaux commissaires politiques, cette europe sent le totalitarisme à plein nez, on ne détruit pas les nations, seuls les desaxés veulent cela.

    Souvenez vous des conférences macy et du documentaire Das Netz

    Nous découvrons ainsi, à l’instar du psychologue gestaltiste Kurt Lewin, que la nouvelle culture globale du monde à venir a efficacement « détruit les anciens équilibres et valeurs pour rendre les relations fluides. De nouveaux équilibres et valeurs peuvent alors être établis et seront consolidés de façon durable par l’auto régulation. La rééducation devient de l’auto rééducation. Le monde est censé se transformer en une société mondiale post-nationale et multiethnique sans frontières codifiées. Les participants des conférences [Josiah] Macy pensent pouvoir fournir les outils et les plans de construction nécessaires à l’avènement de ce nouvel ordre mondial. Des machines à calculer nouvelles et plus rapides ainsi qu’une théorie des systèmes et des modèles cybernétiques grâce auxquels tous les domaines de la science, de la culture et de la politique pourront être contrôlés et dirigés. Cela doit permettre la programmation d’un homme nouveau, un homme anti-autoritaire. »

    Lisez cela pour aller plus loin dans la compréhension de l’influence des juifs extrémistes dans l’abrutissement des masses et leur manipulation psychique…

     

    http://fonzibrain.wordpress.com/2010/11/12/6422/

     

     

     

    plus que la révision du traité réclamée par Angela Merkel et Nicolas Sarkozy, ou les exigences budgétaires de David Cameron, le véritable événement du récent sommet de Bruxelles est le pas décisif de l'Europe  vers l'avènement d'un super Etat.

     

    Pendant que la presse britannique se  concentrait sur les enjeux nationaux, de véritables événements historiques se produisaient en Europe. Le Royaume-Uni est peut-être dirigé pa son premier gouvernement de coalition depuis 70 ans, mais l'Europe fait encore mieux. L'Union Européenne vient d'accomplir un  pas décisif sur la voie de l'Etat unique en transférant les politiques budgétaires et fiscales du niveau national au niveau fédéral.

     

    Une décision prise en catimini

     

    Le fait qu'une des décisions les plus controversées de l'histoire européenne moderne ait été prise dans une telle discrétion et presque sans débat n'est que la marque de style hiérarchique adopté par les élites européennes.

    En dépit de tous ses défauts, la version européenne et élitiste de la démocratie représentative pourrait rester dans l'histoire comme une méthode bien plus efficace que les modèles américain et britannique, plus populistes, lorsqu'il s'agit de gérer les délicats compromis exigés par la nouvelle donne géopolitique mondiale.

     

    L'histoire commence -comme la plupart des événements récents - par la crise financière. après la faillite de Lehman Brothers en 2008, il était presque inévitable que l'Europe soit gagnée par la panique et voit sa monnaie fortement menacée.

     

    La crise a frappé l'Europe à l'automne  2009 et a atteint son apogée durant le week-end du 8/9 mai 2010, lorsque le gouvernement grec s'est trouvé dans l'impossibilité de rembourser des crédits arrivant à échéance le lendemain. Les dirigeants européens ont compris que la faillite de l'Etat grec entraînerait dans sa chute toutes les banques du pays mais également celles d'Irlande, du Portugal, d'Espagne et d'Europe centrale. En l'espace de quelques jours, si ce n'est de quelques heures, les euros des banques grecques, espagnoles et italiennes ne vaudraient plus qu'une fraction de ceux des banques allemandes et néerlandaises. L'euro aurait cessé d'exister.

     

    Dans la nuit du 9 mai, l'Europe était au bord de l'abîme. Ses dirigeants ont mis au point un mécanisme financier d'un montant de 750 milliards d'euros afin d'aider les pays ne pouvant plus se refinancer auprès d'investisseurs privés. Plus important encore, Angela Merkel a fini par s'asseoir sur ses principes pour accepter la suspension de la "clause de non-renflouement", ajoutée in extrémis dans le traité de Lisbonne afin de garantir aux allemands qu'ils ne seraient pas financièrement responsables des largesses des gouvernements du "club med".

    Tout aussi incroyable, le Trésor britannique a accepté de participer au programme de crédit européen afin de contrôler les projets budgétaires depuis Bruxelles, créant de fait un budget fédéral européen.

    "çà a été vraiment une nuit des miracles" reconnaît Emma Bonino, ancienne commissaire européenne italienne.

     

    Le plan de sauvetage de l'euro n'avait aucune chance de survivre si les gouvernements ne s'étaient pas engagés un minimum à pérenniser les garanties collectives sur la dette des pays de la zone euro. Ces garanties n'auraient jamais pu fonctionner sans mécanisme de transfert budgétaire dans le zone euro, et ces transferts n'auraient jamais été acceptés par Allemagne et les autres Etats créanciers sans un renforcement du contrôle central sur les budgets nationaux, ce que personne n'avait encore suggéré.

     

    Le principe de ces mécanismes a été approuvé la semaine dernière à Bruxelles. La plupart des journaux ont titré sur des questions secondaires comme la défense du rabais britannique de David Cameron ou l'insistance d'Angela Merkel à réviser les traités européens. Pourtant la vérité est que Allemagne a cédé, une fois encore. Les gouvernements européens ont tous accepté l'idée qu'aucun pays ne pourrait être contraint de sortir de la zone euro pour défendre sa monnaie.

     

    Tôt ou tard, l'union politique

     

    Même si personne, pas même les dirigeants européens, ne peut préciser les termes de cetaccord, il en résulte que l'UE devrait créer des mécanismes de soutien financier mutuels et permanents pour toute la zone euro et qu'ils figureront dans les prochains traités européens.

     

    Loin de protéger les contribuables allemands des déboires financiers de leurs partenaires, les demandes répétées d'Angela Merkel et Nicolas Sarkozy pour une révision des traités renforce l'engagement des pays européens sur de futurs renflouements. En modifiant explicitement la clause de non-renflouement, les révisions demandées permettront de doter le budget fédéral européen d'un statut légal irrévocable.

     

    Pourquoi les allemands accepteraient-ils de nouvelles obligations si coûteuses ?

    Il y deux raisons :

    la première est que les milieux industriels et financiers allemands dépendent fondamentalement de la stabilité et de la prospérité de la zone euro.

    La seconde est que l'union politique est un objectif que les élites politiques et économiques allemandes se croient destinées à accomplir depuis longtemps.

     

    Les allemands ne sont pas stupides, ils n'accepteront pas de jouer les garants permanents des pays les plus imprudents sans un net renforcement du contrôle des finances. La création d'un budget fédéral nécessite un certain degré de centralisation politique qui parait peut-être encore difficile à imaginer mais semble de plus en plus inévitable.

     

    Comment concevoir par exemple, que des pays puissent présenter une telle disparité sur l'âge de la retraite,leur niveau de pensions, et leur système de sécurité sociale si les coûts de ces différentes politiques sont garanties conjointement ?

     

    D'un point de vue strictement économique, la convergence de l'âge de la retraite à 67 ans en Europe est donc l'une des conséquences les plus bienvenues de la crise financière.

     

    L'intégration européenne a toujours progressé par à-coup et une grande avancée vers le fédéralisme politique et budgétaire  est devenue irréversible après cette année de crise .

    C'est exactement ce que les artisans avaient en tête..!

    .

    http://millesime.over-blog.com/article-l-europe-federale-elle-vient-de-naitre-60893020.html

     


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