• "Passez une bonne guerre mondiale, braves gens" ! Ce qui nous attend

    Extraits d'un post sur r-sistons à l'intolérable :

    http://r-sistons.over-blog.com/article-les-15-folies-du-nouvel-ordre-mondial-la-folie-criminelle-des-etats-unis-47876808.html                                             

     

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    Passez une bonne guerre mondiale, braves gens !

     Michel Collon Infos

     

     

    John Pilger

     

    Voici les nouvelles en provenance du tiers-monde. Les Etats-Unis ont envahi l’Afrique. Des troupes US sont entrées en Somalie pour étendre leur front de guerre d’Afghanistan et du Pakistan vers le Yémen et la corne de l’Afrique. En guise de préparation à une attaque contre l’Iran, des missiles américains ont été placés dans quatre états du Golfe Persique, et les bombes « bunker-buster » (briseurs de bunkers) auraient été acheminées sur la base militaire située sur l’île britannique de Diego Garcia dans l’Océan Indien.

     

     

    A Gaza, la population malade et abandonnée, en majorité des enfants, se fait enterrer vivante derrière des barrières souterraines fournies par les Etats-Unis pour renforcer un siège criminel. En Amérique latine, l’administration Obama s’est octroyé sept bases militaires en Colombie, à partir desquelles il pourra mener une guerre contre les démocraties populaires du Venezuela, de la Bolivie, de l’Equateur et du Paraguay. Pendant ce temps, le secrétaire à la « défense » Robert Gates se plaint que « l’opinion publique (européenne) et la classe politique » sont tellement opposées à la guerre qu’elles constituent un « obstacle » à la paix. Rappelez-vous, nous serons bientôt le 1er Avril.

    Selon un général américain, l’invasion et l’occupation de l’Afghanistan n’est pas une véritable guerre mais une « guerre d’images ». Ainsi, la récente « libération de la ville de Marjah » de la « structure de commande et de contrôle » des Taliban n’était qu’une mise en scène. Les libérateurs héroïques ont tué les civils habituels, les plus pauvres parmi les pauvres. Sinon, pour le reste, c’était du bidon. Une guerre d’images est destinée à fournir de fausses informations à la population, à transformer une aventure coloniale ratée en une opération patriotique qui en valait la peine, comme si le film « les Démineurs » était réel et les parades de cercueils couverts de drapeaux à travers le ville de Wiltshire à Wooten Basset n’étaient pas une opération cynique de propagande.

    « La guerre, c’est amusant », pouvait-on lire avec une extrême ironie sur les casques des soldats au Vietnam. Cela signifie que si la guerre n’a pas d’autre objectif que de servir de justification à un pouvoir vorace au service des fanatismes lucratifs des marchands d’armes, alors la vérité représente un danger. Un danger qu’on peut illustrer en comparant l’image « libérale » d’un Tony Blair en 1997, présenté à l’époque comme quelqu’un qui « veut créer un monde (où) l’idéologie aurait totalement cédé la place aux valeurs » (Hugo Young, The Guardian) à celle d’aujourd’hui, d’un menteur et d’un criminel de guerre.

    Les Etats occidentaux tels que les Etats-Unis ou la Grande Bretagne (et la France – petit rajout du traducteur) ne sont pas menacés par les Taliban, pas plus que par une autre tribu lointaine quelconque, mais par les instincts guerriers de leurs populations respectives. Prenez par exemple les peines prononcées contre les nombreux jeunes qui ont protesté contre l’agression israélienne contre Gaza au mois de janvier de l’année dernière (2009). A la suite de ces manifestations où la police paramilitaire a « canalisé » des milliers personnes, les premiers condamnés se sont vu infliger des peines de deux années et demi de prison pour des délits mineurs qui en d’autres temps n’auraient pas fait l’objet d’une peine d’emprisonnement. Des deux côtés de l’Atlantique, toute dissidence déterminée qui dénoncerait la guerre illégale est devenue un délit grave.

    C’est le silence aux sommets qui permet une telle perversion morale. Dans le monde des arts, de la littérature, du journalisme et du droit, les élites « libéraux », fuyant les débris abandonnés par Blair et à présent par Obama, continuent de voiler leur indifférence devant la barbarie et les crimes d’état de l’occident en agitant de vieux démons, tels que Saddam Hussein. Maintenant que Harold Pinter a disparu, essayez donc de dresser une liste d’écrivains, d’artistes ou de militants célèbres dont les principes n’auraient pas été consumés par le « marché » ou neutralisés par la célébrité. Qui parmi eux a parlé de l’holocauste provoqué en Irak par prés de 20 années de blocus et d’agressions ? Ce fut un acte délibéré. Le 22 janvier 1991, l’agence de renseignement de l’armée US avait prévu en détail comment le blocus allait systématiquement détruire la distribution d’eau potable en Irak et aboutir à « une augmentation de crises sanitaires, sinon d’épidémies ». Alors les Etats-Unis se sont mis à éliminer l’eau potable pour la population Irakienne. Ceci fut une des causes, selon UNICEF, de la mort d’un demi million d’enfants irakiens âgés de moins de cinq ans. Apparemment, cet extrémisme là ne mérite pas d’être cité.

    Norman Mailer a dit un jour qu’il pensait que les Etats-Unis, dans leur poursuite incessante de domination et de guerres, étaient entrés dans une « ère préfasciste ». Mailer semblait indécis, comme s’il voulait nous avertir de quelque chose que lui-même n’arrivait pas à définir. « Fascisme » n’est pas le bon terme, car il fait trop facilement référence à des précédents historiques, en nous renvoyant une fois encore aux images de l’oppression allemande ou italienne. A l’inverse, l’autoritarisme américain, comme l’a souligné le professeur Henry Giroux , « est plus nuancé, moins théâtral, plus subtil, moins attaché aux moyens de contrôle répressifs qu’aux moyens de contrôle par consentement. »

    C’est ça l’Américanisme, la seule idéologie prédatrice qui nie qu’elle est une idéologie. La montée en puissance d’entreprises tentaculaires qui sont autant de dictatures et celle des militaires qui sont devenus un état dans l’état, planqués derrière une façade que 35.000 lobbyistes à Washington nous vendent comme la meilleure démocratie qu’on puisse trouver sur le marché, le tout accompagné d’une culture populaire programmée pour nous divertir et nous engourdir, est un phénomène sans précédent. C’est peut-être un peu exagéré, mais les résultats sont néanmoins évidents et reconnaissables. Denis Halliday et Hans von Sponeck, les hauts officiels des Nations Unies en poste en Irak durant le blocus américano-britannique, n’ont aucun doute d’avoir assisté à un génocide. Ils n’ont pourtant vu aucune chambre à gaz. Insidieusement, silencieusement, et même parfois présentés intelligemment comme une marche vers la civilisation, la troisième guerre mondiale et le génocide ont eu lieu et les victimes sont tombées les unes après les autres.

    Dans la prochaine campagne électorale en Grande Bretagne, les candidats ne parleront de la guerre que pour chanter les louanges de « nos p’tits gars ». Les candidats sont tous les mêmes momies politiques enveloppés dans l’Union Jack ou le Stars and Stripes (respectivement, nom du drapeau britannique et américain – NdT). Comme Blair l’a exprimé avec un peu trop d’enthousiasme, l’élite britannique adore l’Amérique parce que l’Amérique les autorise à bombarder les indigènes et à se présenter comme un « partenaire ». Il faut mettre fin à leur jeu.

     

     

    traduction VD pour le Grand Soir

    Source originale: www.johnpilger.com

    Source: Le grand soir

     

    http://michelcollon.info/index.php?option=com_content&view=article&id=2649:passez-une-bonne-guerre-mondiale-brave-gens&catid=6:articles&Itemid=11 

     

     

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    Le commentaire d'Eva R-sistons :

     

    On nous parle des horreurs de la Shoah...

    pour mieux masquer les horreurs à venir, planétaires cette fois,

    et dont nous avons des échantillons monstrueux à Gaza ou en Irak:

    Quel mépris de l'humain, de la vie, du Droit, des Droits de l"Homme !

     

    On nous parle du passé, d'événements effroyables du passé,

    pour mieux masquer les événements du présent et du futur.

     

    Il faut arrêter la folie en marche !

    Il faut arrêter les monstres qui font de nos vies un enfer

    en cassant toutes les protections sociales,

    en traitant les travailleurs (quand ils ont la chance d'avoir un emploi),

    comme des esclaves, oui des esclaves "modernes",  

    en déclenchant des génocides, des holocaustes, des "shoahs",

    un peu partout, à tous moments, sous de faux prétextes,

     

    Quel journaliste en fin de carrière osera

    mettre les pieds dans le plat de la fourmillère criminelle

    en plein Journal du Soir, ou en pleine émission grand public,

    pour alerter les citoyens et les mettre en garde,

    afin que l'irréparable soit arrêté à temps ?

     

    Qui osera traduire en Justice les fous à la tête du monde ?

    Et la France gaullienne assassinée par ses Ennemis,

    fait maintenant partie de l'Axe du Mal,

    avec les Anglo-Saxons et les Israéliens !

     

    Alerte ! Demain, il sera trop tard !

     

    Eva R-sistons plus que jamais à la Shoah planétaire

    qui se met en marche !

     

     

    Artemisia.college:

     

    "Quelques êtres puissants, détenant les clefs des finances mondiales, furtivement, par la ruse et l'usure, ont pris possession et contrôle de votre société.

    Ils contrôlent vos systèmes monétaires et possèdent vos compagnies multinationales. Ils mettent en poche vos gouvernants.

    Les médias, les professions et institutions d'enseignement sont à leur merci et ils manipulent les guerres et les révolutions pour servir leur but : l'établissement d’un gouvernement mondial sous leur domination."

     

     

     

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    Michel Collon, dernières nouveautés:

     

    USA :
    Chris Hedges - Le Hindenburg du système de santé a atterri
    Réforme d'Obama: un cadeau pour le peuple américain ou pour les assureurs du privé ?

    John Pilger - Passez une bonne guerre mondiale, brave gens
    Jamais deux sans trois... Merci Washington!

     

     

    AFRIQUE :

    Youssef Girard - « Malheur aux vaincus » : note pour une lecture politique d'Ibn Khaldoun
    Leçon de résistance pour tous les opprimés

    Funmi Feyde-John - La crise constitutionnelle du Nigeria et l'ingérence américaine
    Démocratie: régime politique où le pouvoir est contrôlé par le peuple... avec l'aval de Washington

    Lucile Daumas - Sommet UE/Maroc : construire des résistances et des alternatives à un projet d'inspiration coloniale
    On pille vos ressources et on vous renvoie vos pauvres en charter, d'accord ?

     

     

    AMERIQUE LATINE ET CARAIBES :

    Jean Ortiz - Honduras: la guerre sale
    Le nouveau gouvernement en pleine campagne de liquidation des résistants

    João Pedro Stédile - Victoire des peuples d'Amérique latine contre l'hégémonie du capital et du gouvernement US
    Amérique latine 33 - USA 0

    Marc Maesschalck - Haïti : leçons pour l'avenir
    Mode d'emploi pour reprendre son destin en main

     

     

    ISRAEL :
    Serge Halimi - Coup de froid entre les Etats-Unis et Israël
    Le début de la fin d'un soutien inconditionnel ?

    James Petras - Le Mossad vient en Amérique: escadrons de la mort sur invitation
    Quelques astuces pour bafouer le droit international et la souveraineté des Etats

    Alain Gresh - Quand la France laisse entrer les produits des colonies et poursuit ceux qui s'y opposent
    La France téméraire s'oppose au droit international !

     

     

    ATTENTION MEDIAS :

    Emrah Kaynak - Le rôle des dissidents dans la stratégie de subversion
    "Tout l'art de la guerre est fondé sur la duperie"

    Daniel Tencer - La CIA projette de manipuler l'opinion publique européenne sur l'Afghanistan
    Prêts pour une nouvelle affaire de burqa cet été ?

    Jean-Pierre Berlan - "Derrière les OGM, c'est un projet de mort qu'on impose."
    L'agriculture industrielle et ses armes de destruction massive

     

    LECON D'ECONOMIE :

    Gérard Filoche - Fitch Ratings et le pouvoir des agences de notation
    Les agences de notation font la pluie et le beau temps dans l'économie mondiale

    Charles Hoareau - Grèce: petite leçon de syndicalisme à l'intention des sceptiques
    Et si la Grèce tournait le dos à l'?uro ?

     

     

    LECON DE POLITIQUE :
    Jean-Marie Dermagne -Belgique : vite une République tranquille !
    "Comme on l'enseigne depuis Platon, monarchie et démocratie sont antinomiques"

     

     

    VIDEO :

    Keny Arkana - Jeunesse du monde
    Clip illustré de la rappeuse marseillaise

     

     

    NOUVEAU LIVRE DE MICHEL COLLON :
    Israël, parlons-en !

     

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    L'AMERIQUE LATINE,

    EXEMPLE D'UN SOCIALISME DU XXIe SIÈCLE ?
     
    Réunion publique organisée

    par la Fédération de Paris du Mouvement politique d’éducation populaire (M’PEP)
     

    Jeudi 8 avril 2010, à 20h

     
    FIAP, salle Berlin, 30 rue Cabanis, 75014 Paris (métro Glacière)
     
    Réunion-débat avec :
     
    MAURICE LEMOINE

     
    Rédacteur en chef du Monde Diplomatique,
    auteur de Les cent portes de l'Amérique latine, de Chavez presidente
     
    Pour imprimer ou accéder à l’invitation, cliquez ici :
    http://www.m-pep.org/spip.php?article1652

     

     

     

    La stratégie diabolique du gouvernement israélien 

     

     De Netanyahou d'occupation tous azimuts et par la violence des territoires palestiniens, commence à mettre en péril les intérêts des USA et de l'Europe, particulièrement dans le monde musulman. Tout indique que ce gouvernement est au pied du mur. Sa chute est irréversible. Le gouvernement israélien veut la guerre.

     

    Il ne cherche pas la paix avec les Palestiniens. Son annonce, le 9 mars dernier, de la construction de nouveaux logements dans Jérusalem-Est au profit de colons juifs n'est ni une erreur de communication, ni une coïncidence du hasard avec la visite du vice-président américain, Joe Biden, dans la région. Cette annonce a été programmée, calculée pour au moins trois raisons principales.

     

    - Un, signifier clairement son désaccord au président américain, Barack Obama, qui a appelé le gouvernement israélien à cesser l'implantation des colonies juives dans les territoires palestiniens, y compris Jérusalem-Est.

     - Deux, tester la réaction de la communauté internationale, en particulier celle des Européens.

    -Trois, et c'est l'objectif final poursuivi par le gouvernement de Netanyahou, pousser les Palestiniens, plus précisément, ceux de Ghaza, à une réaction violente pour justifier une intervention militaire à Ghaza et la réoccuper de nouveau.

     

    Cumulées, ces trois raisons créeraient un véritable «bug» diplomatique international mettant aux prises les soutiens de la politique de colonisation d'Israël à ses ennemis, et accentueraient les lignes de fractures entre l'Occident et le monde arabo-musulman. Netanyahou et sa coalition gouvernementale qui contient l'extrême droite israélienne du parti «Beitenou» savent la symbolique de Jérusalem chez les musulmans et les chez les chrétiens. Ils ont, sciemment, choisi la visite chez eux du vice-président américain pour torpiller toute tentative de reprise de négociations de paix, et décourager toute autre proposition de quelque partie que ce soit sur le sujet.

     

    L'erreur de calcul du gouvernement israélien est de ne pas prendre toute la mesure de l'évolution du monde, plus spécialement, le monde occidental sur la question palestinienne.

     

    Deux événements majeurs ont reconfiguré l'approche de la question palestinienne. Le premier est sans conteste l'agression armée contre Ghaza en décembre 2008 et janvier 2009. Pris dans un «flagrant» délit d'assassinat collectif, Israël n'est plus vu par les peuples occidentaux comme la victime des Palestiniens.

     

    Les peuples occidentaux ont manifesté, y compris aux USA et en Angleterre, c'est-à-dire leurs alliés traditionnels, leur colère et leur condamnation sans appel.

     

    Les Occidentaux ont découvert, en cet hiver 2008 – 09, le vrai dessein des dirigeants israéliens : un projet génocidaire en Palestine. Ce sont ces vérités qui ont sanctionné le rapport «Goldeston» du nom de l'enquêteur dépêché par l'Onu et qui accuse l'Etat hébreu de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité.

     

    Le deuxième événement qui influe sur la question palestinienne tient à l'impasse des forces armées américaines et alliées en Afghanistan. Barack Obama a compris qu'en s'éternisant, la guerre en Afghanistan pousse à la radicalisation des mouvements islamistes, y compris ailleurs dans les pays musulmans, et fertilise leurs terreaux terroristes. Il sait aussi qu'elle ne peut se régler par la seule force des armes contre les talibans, et il tente d'établir un dialogue avec certains de leurs chefs. Plus vite les Américains parviendront à jeter les bases d'une paix entre le gouvernement afghan et les insurgés talibans, plus vite la rigidité du régime politique voisin de l'Iran a des chances de se détendre. Et par extension Israël ne peut évoquer la «menace» iranienne et son soutien armé au Hamas palestinien à Ghaza.

     

    En résumé, la violence de la colonisation en Palestine se nourrit autant de la résistance légitime des Palestiniens que de la supposée menace nucléaire iranienne. En sus, tant que les USA et leurs alliés sont occupés en Afghanistan, Israël se permet une occupation accélérée de ce qui reste de la Palestine. Les Occidentaux sont trop occupés en Afghanistan, en Irak et envers l'Iran qu'ils n'oseront pas contrer les calculs des nouveaux sionistes. Ce n'est pas aussi vrai que cela. La réaction des Américains à l'annonce de la pose de la première pierre d'une nouvelle colonie à Jérusalem-Est, en particulier de leur secrétaire d'Etat aux AE, Hillary Clinton, n'est pas rien. Elle exprime le ras-le-bol des USA face aux pièges que lui pose le gouvernement israélien. L'extrémisme israélien nuit aux intérêts américains dans le monde arabe, en Iran, au Pakistan, en Afghanistan et ailleurs.

    C'est pourquoi, Hillary Clinton a réagi avec colère face à Netanyahou.

     

    L'Union européenne n'a pas été du reste. «Si nous attendons encore 2 ans et demi – ce qui reste du mandat du gouvernement Netanyahou- il sera trop tard, car il n'y aura plus d'objet à négocier, plus de territoire palestinien. De plus, la direction palestinienne modérée ne sera pas capable de se maintenir en place en tant que partenaire» a déclaré, samedi, le ministre des AE espagnole, Miguel Angel Moratinos, dont le pays assure la présidence tournante de l'UE. Quant à la ministre des AE de l'UE, Mme Catherine Ashton, elle a déclaré, à l'issue d'une réunion avec un nombre de ministres des AE de l'Union en Finlande, «qu'elle est très préoccupée et que la communauté internationale a besoin d'un accord de paix, et qu'il doit arriver rapidement, maintenant.»

     

    Ces réactions sont à prendre au sérieux et indiquent que ce sont les propres intérêts des pays occidentaux qui se jouent à travers la question palestinienne. Cela change tout. Y compris la survie du gouvernement Netanyahou.

     

    16/03  

    http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5135338


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