• Crise de la zone euro : Un autre son de cloche, avec le Liesi

     

    Grèce : gestion du problème au quart d’heure mais les politiciens n’ont pas de solution

    Les discussions au sujet de la Grèce ne cessent de traîner en longueur et le plus dramatique est que cela ne sert à rien ! La discussion du quart d’heure tourne autour de ce que les banques doivent lâcher. Selon plusieurs sources, l’Institut de la finance internationale (IIF), le lobby mondial des banques, propose une décote volontaire de 40% tandis que les dirigeants européens mettent la barre plus haut, entre 50% et 60%. Le risque, « si on pousse trop loin la décote, est de pénaliser les comptes des banques », a prévenu Thomas Rocafull, du cabinet Sia Conseil, qui estime qu’une bonne solution « consiste à couper la poire en deux, à 50% ». « Toute la question est de savoir si on pourra encore dire qu’il s’agit d’une restructuration volontaire de la dette grecque », a relevé Pierre Flabbée, analyste de Kepler Capital Markets. En tout cas, si le principe d’une décote de 50% était adopté, l’impact serait « gérable » pour les banques françaises, premières détentrices étrangères de dette souveraine hellène, assure Pierre Flabbée.

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    Dans le cas contraire, les CDS seraient déclenchés. Ces contrats d’assurance contre le défaut de remboursement d’une dette sont vendus par les assureurs ou les banques, qui subiraient de nouvelles pertes en cas de déclenchement. Surtout, cela démultiplierait les risques de contagion de la crise à des poids lourds comme l’Italie ou l’Espagne.

    Afin de permettre aux banques d’amortir le choc et de se consolider en vue d’une éventuelle contagion de la crise à d’autres pays de la zone euro, l’UE préconise de relever d’ici mi-2012 le ratio de fonds propres « durs » des établissements bancaires à 9%. Le montant global de la recapitalisation nécessaire a été fixé autour de 108 milliards d’euros par les Européens, selon des sources diplomatiques. Des fonds que les banques devront trouver elles-mêmes, avant de se tourner ensuite à défaut vers leurs Etats, puis seulement en dernier ressort vers le Fonds de secours européen (FESF).

    Dans le cas de la France, la recapitalisation devrait être « de l’ordre d’une dizaine de milliards d’euros, c’est-à-dire inférieure aux résultats de ces mêmes banques, ce qui signifie qu’elles doivent pouvoir se recapitaliser sans avoir besoin de demander l’aide des finances publiques », a assuré mardi le Premier ministre français François Fillon. Les banques pourraient ainsi puiser dans leurs bénéfices, réduire les bonus ou les dividendes.

    Pour les banques allemandes, deuxième plus gros créancier privé étranger de l’Etat grec, les marchés financiers tablent sur un besoin de recapitalisation de 5,5 milliards d’euros environ. (Extraits: AFP)

    Mais selon plusieurs analystes, la solution à la crise de la dette en zone euro ne passe pas par l’augmentation prévue des fonds propres des banques. « Ce n’est pas une question de fonds propres mais de confiance des investisseurs et de capacité de refinancement », assure Thomas Rocafull.
    Hier, nous avons eu un court entretien avec le banquier anonyme pour lui demander son avis. Réponse lapidaire: « Ils n’ont plus aucune solution et doivent gérer dans le court terme ». « La confiance vient des marchés et vous comme moi savons très bien ce que recherchent les propriétaires des comptes anonymes qui font les montages que votre Trader Noé sait lire ». « Surveillez les cours des métaux précieux maintenant, et bientôt celui du pétrole. De ce que je vois ici, il pourrait bien y avoir des surprises ».

     
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    Publié par liesiletter le 26 octobre 2011 in Non classé

     

    Fin 2012, B. Obama rêve toujours être à l’affiche, mais à quel prix ?

    avatar18.jpg?w=50&h=50Le président Obama est tout à fait instruit du plan que d’aucuns, comme le Général Clark, appelle le cabinet fantôme des Etats-Unis. C’est en totale concertation avec ce groupe que Barack Obama a décidé, après des tractations secrètes, de prolonger pour deux ans le mandat du di­recteur du FBI Mueller – sans passer par les auditions obliga­toires au Congrès où les élus auraient pu le questionner sur l’activité de son agence d’espionnage.

    Selon le journaliste Mark Hosenball, il n’existe pas d’archives publiques des opéra­tions et décisions de la Commission ultra-secrète qui décide quels citoyens américains le gouvernement peut faire assassiner en raison de la prétendue menace à la sécurité nationale qu’ils font peser. Tout cela relève du Conseil natio­nal de sécurité de la Maison Blanche et les règles, comme les critères employés pour condamner les suspects sans procès sont secrètes. Comment appeler cela ? (Source: Strategic Alert – Extraits)

     
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    Publié par liesiletter le 26 octobre 2011 in Non classé

     

    Trader Noé – Analyse du 26 octobre 2011

    trader22.jpg?w=259&h=194Dans la première dizaine de septembre, nous avions anticipé la correction du Gold Spot de 1850 à 1550 puis le rebond sur les 1550. Depuis fin septembre, nous étions rentrés dans une phase de consolidation capée depuis plus d’un mois environ par la fameuse résistance des 1700 dollars l’once.
    Encore la semaine dernière, nous avions profité d’un petit mouvement baissier de 1680 à 1600 environ.
    Hier le Gold spot a finalement franchi la résistance des 1700 dollars l’once.
    Le sommet Européen a lieu aujourd’hui et il faudra être extrêmement prudent. Tant que le Gold Spot évolue au-dessus des 1690-1700 la hausse peut se poursuivre. Cependant si le cours repassait en dessous des 1690, il faudrait être très attentif. Sous les 1650, le cours pourrait regagner les 1600 et sous ce dernier palier, la correction pourrait s’amorcer vers 1500-1450 dollars l’once.
    Surveillez donc très attentivement les 1690-1700. Les résistances à franchir pour avoir une poursuite à la hausse sont 1870 et 1920 dollars l’once.

    Dernièrement dans une interview, Jacques Attali avait précisé le G 20 (20 – VAIN). Cet été, le Gold avait monté fortement alors que les indices boursiers s’effondraient. Certains financiers ont peut être déjà bien anticipé hier les conclusions du sommet…A voir…

    L’indice E-mini SP 500 est sur son pivot des 1230 points et l’indice Future CAC 40 perd déjà 0.4 %.
    Si l’indice E-mini SP 500 repasse sous les 1230-1220 points, l’indice Future CAC 40 pourrait devenir friable.

    Attendons les résultats du sommet.

     
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    Publié par liesiletter le 26 octobre 2011 in Non classé

     

    Le triple A de la note de la dette française peut être flingué à tout moment

    avatar17.jpg?w=50&h=50Frappée de plein fouet par la crise de la zone euro, l’économie française menace d’entrer en récession dès le quatrième trimestre, selon des « indicateurs avancés » du cabinet Markit auxquels les analystes accordent généralement un fort crédit. « Le secteur privé français vacille » tandis que la courbe de « l’activité laisse envisager une récession, à moins d’un rapide retournement de tendance », a commenté Jack Kennedy, économiste de ce cabinet.

    Par conséquent, les agences de notation entre les mains de qui on sait, peuvent intervenir à tout moment (légitimement) et flinguer le triple A de la note de la dette française. Une autre mauvaise nouvelle bien calée dans le même temps, et les marchés plongeraient de 10 à 15 % en quelques minutes…

     
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    Publié par liesiletter le 25 octobre 2011 in Non classé

     

    Est-ce vraiment « la fin » comme l’annonce le député Daniel Hannan ?

    Le 14 septembre 2011, le député européen Daniel Hannan fait une intervention assez solennelle…

    Cliquer pour voir la vidéo.

     

     

     

     
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    Publié par liesiletter le 25 octobre 2011 in Non classé

     

    Le grand jeu du jour

    avatar19.jpg?w=50&h=50La grande interrogation ?
    Les marchés montent, mais avec toutes les mauvaises nouvelles des agences ils devraient baisser. Etant donné que les secteurs bancaires et les dettes souveraines ont été attaqué par des camps adverses, à quoi pouvons-nous nous attendre pour voir plonger les marchés dans moins de trois mois ?

    Réponse A
    Une dégradation de la France + une dégradation idem de l’Italie + un défaut Grec

    Réponse B
    Une dégradation de l’Italie + une dégradation de l’Allemagne + une dégradation de la France + un défaut Grec

    Réponse C
    Une impression de billets jusqu’à la panne d’encre.

     
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    Publié par liesiletter le 25 octobre 2011 in Non classé

     

    Trader Noé – Analyse du 25 octobre 2011

    trader21.jpg?w=259&h=194Pour l’instant, sur les indices, il n’y a pas grand chose à signaler. Le point pivot des 1230 sur le E-mini SP 500 est toujours à surveiller.
    Tant que le cours évolue au-dessus, l’indice CAC 40 peut progresser avec des résistances : 3250-3300-3350.
    En revanche, sous 1230 points nous referons un point.

    Il faudra vraiment rester attentif en attendant les conclusions du sommet européen de mercredi et bien sûr la réunion du G 20.

    Le Gold spot reste toujours dans une configuration court terme assez indécise. La rupture du support des 1640 permettrait peut-être de se rapprocher des 1600 dollars l’once. En revanche, si le cours parvenait à dépasser les 1690-1700 le cours pourrait monter davantage. La dernière fois, la résistance des 1700 points avait bien fonctionné avec une tendance courte baissière; le cours s’est rapproché des 1600. Désormais, pour que la correction baissière puisse se poursuivre il faudrait que le cours casse le support des 1600. (Relire l’article de la semaine précédente).

     
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    Publié par liesiletter le 25 octobre 2011 in Non classé

     

    La Grèce craint le pire pour ses banques et ses retraités

    ethnos.jpg?w=300&h=375La Grèce s’alarmait aujourd’hui des conséquences pour ses banques et ses caisses de retraite d’une décote importante sur la dette grecque, qui devrait conduire à une « mise sous « tutelle » des établissements les plus exposés. La presse grecque en particulier dramatisait les répercussions pour l’économie grecque dans son ensemble d’une décote d’au moins 50% de la dette grecque, sur laquelle les pays de la zone euro se sont mis d’accord dimanche lors d’un premier sommet européen à Bruxelles.

    « Décote cauchemar, une bombe pour les caisses de retraites, nationalisation des banques », titrait Elefthéros Typos (droite), tandis que Elefthérotypia, marqué à gauche, exprimait sa crainte qu’un recours au Fonds européen de stabilité financière (FESF) n’aboutisse à une « mise sous tutelle » des banques.

    Les banques grecques et les caisses de retraite détenaient à fin août pour 52 milliards d’obligations grecques, soit 15% de la dette souveraine grecque estimée à 350 milliards d’euros. En cas de décote à 50%, les quatre premières banques du pays – Banque Nationale de Grèce (BNG), Eurobank, Alpha et la Banque du Pirée – devront être recapitalisées à hauteur de 8,9 milliards d’euros pour maintenir le niveau de fonds propres durs (core Tier One) à 9%, selon les calculs d’Alex Koagne, analyste chez Natixis.

    Le besoin de recapitalisation de l’ensemble des banques européennes est estimé à 108 milliards d’euros, mais certaines, à l’instar des banques françaises, peuvent réduire les bonudecotebanquesgrece1.jpg?w=425&h=283s ou puiser dans leurs bénéfices. La marge des banques grecques est, elle, très limitée, sinon existante. Du fait des provisions passées en application de l’accord du 21 juillet (décote de 21%), mais aussi pour faire face à la montée des prêts défaillants, les quatre principales banques ont déjà essuyé des pertes cumulées de 3,2 milliards d’euros au 1er semestre.

    La Bourse d’Athènes perdait ainsi lundi plus de 5%, entraînée dans sa chute par le plongeon des valeurs bancaires, qui lâchaient jusqu’à 20%. On craint des nationalisations avec le Fonds hellénique de stabilité, qui est déjà doté de 10 milliards d’euros (prélevés sur l’enveloppe du prêt international de 110 milliards d’euros consenti à la Grèce en mai 2010). Si ce n’est pas suffisant, le FESF devrait prendre le relais.

    Joignant ses critiques à celle d’éminents économistes et du dirigeant de la Banque du Pirée, le patronat grec a mis en garde contre les conséquences catastrophiques pour l’économie réelle d’une décote de la dette grecque de 50%. Car non seulement elle ne réduira son montant que de 43,6 milliards, mais elle conduira à une « dévaluation du patrimoine financier et immobilier » des Grecs et à « l’asphyxie du secteur privé ». Seul Dimitris Kontogiannis, analyste au quotidien Katherimini, refusait lundi de s’apitoyer sur le sort des banques grecques. « Les banques grecques et les caisses de retraite vont devoir payer le prix de leurs erreurs passées, à savoir le fait de détenir trop d’obligations souveraines et de faire confiance aux hommes politiques grecs », fait-il valoir. Une remarque à retenir pour être employés à d’autres pays… qui tomberont. (Source: AWP/AFP)

     
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    Publié par liesiletter le 24 octobre 2011 in Non classé

     

    Une fossé se creuse entre le programme des politiques, employés de la technocratie, et les citoyens

    avatar16.jpg?w=50&h=50Hier, la ministre du Budget Valérie Pécresse intervenait sur la radio RCJ puis sur FR3 en affirmant : « Il n’y a pas de retour en arrière possible sur l’euro ». « L’Europe a rendez-vous avec son histoire parce qu’elle est en danger ». « On ne va pas revenir au franc, si on revenait au franc, ce serait tragique, l’euro nous protège« , a-t-elle estimé sur les ondes de la Radio de la communauté juive.

    Quelques heures avant, Jacques Attali débitait un refrain identique, mais avec des nuances prophétiques de grande catastrophe, très probable pour le printemps 2012. En outre, il expliquait que les politiciens avaient pour mission de faire comprendre aux citoyens le bien fondé d’une Europe fédérale.

    En réponse à la ministre du Budget Valérie Pécresse, un récent sondage Ifop pour le Journal du Dimanche, annonce que 41% des Français considèrent que la monnaie unique a été un handicap plutôt qu’un atout au cours des deux dernières années. Il existe donc un problème de « communication » manifeste entre les sbires de Bruxelles et les citoyens qui travaillent en France, vivent en France et gagnent leur vie en France, avec une monnaie de singe qui nous expose aux pires catastrophes. Attendons patiemment que les Allemands se dégagent de cet euro pourri, source de nombreuses injustices et de chaos social, et le dossier de l’euro sera un peu plus difficile à défendre pour cette technocratie qui gouverne… jusqu’au changement de temps… celui de l’arrivée de l’orage.

     
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    Publié par liesiletter le 24 octobre 2011 in Non classé

     

    Trader Noé – Analyse du 24 octobre 2011

    trader20.jpg?w=259&h=194L’indice E-mini SP 500 évolue désormais au-dessus des 1230 points. Nous avions précisé que ce point était très important. Tant que le cours évolue au-dessus, le rebond technique peut se poursuivre vers les points indiqués dans l’article de samedi. (Nous vous invitons à relire cet article pour prendre connaissance des supports et résistances).
    L’indice Future CAC 40 manque de dynamisme et les premières résistances se situent déjà à 3205 – 3250 et 3300 points.

    Il faudra vraiment attendre le sommet de mercredi et les retours du G20 pour y voir plus clair.
    En attendant, les indices US restent mieux orientés que l’indice CAC 40. Avec un tel temps, les agences de notation peuvent éternuer à n’importe quel moment, là où on ne s’y attendrait peut être pas.

    Dans un article précédent, nous avions précisé que la rupture des 1.3850 sur l’EURUSD permettrait à la parité de se rapprocher des 1.3950 – 1.4030. Nous approchons de la résistance des 1.4030 qui est importante. La tendance de fond reste pourtant baissière. Cependant, il est fort probable que cette remontée soit du à des injections de liquidités. La rupture artificielle des 1.4030 (peu probable) nous inciterait à surveiller la résistance des 1.4250.

     

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    Publié par liesiletter le 24 octobre 2011 in Non classé

     

    L’Europe sévit contre la spéculation visant la dette des Etats

    speculationcds.png?w=200&h=150BRUXELLES – L’Union européenne a décidé d’interdire des instruments financiers hautement spéculatifs, appelés contrats CDS à nu, utilisés sur les marchés pour parier sur le défaut de paiement des Etats et accusés d’avoir amplifié la crise.

    Un accord de principe en ce sens a été conclu entre le Parlement et les représentants des gouvernements européens, à l’issue de longues tractations, a indiqué un porte-parole de la présidence polonaise de l’UE.

    Le Parlement s’est battu pour mettre fin à la spéculation sur les dettes souveraines en Europe. L’interdiction des CDS à nu sur la dette souveraine est une grande victoire, s’est réjoui l’élu écologiste français Pascal Canfin, rapporteur du texte, qui s’était battu pour l’interdiction.

    Le Commissaire européen aux services financiers, Michel Barnier, a salué au cours d’une conférence de presse un accord ambitieux qui marque le renforcement de la stabilité financière, y voyant un signal important du volontarisme européen à quelques jours d’un sommet crucial de l’UE sur la crise de la dette, dimanche.

    Les CDS (credit default swaps) sont des contrats de couverture contre le risque de défaut de paiement d’une entreprise ou d’un pays.

    Les CDS souverains s’appliquent à la dette des Etats: ils agissent comme des contrats d’assurance dont le paiement est déclenché en cas de faillite d’un pays.

    Dans le cas de CDS souverains à nu, ces assurances s’échangent sans que les investisseurs détiennent des titres de dette correspondant, ce qui signifie qu’ils bénéficient de l’assurance, sans le risque.

    Le prix des CDS à nu a donc tendance à monter lorsque le marché spécule sur le risque de défaut de l’Etat concerné.

    Ce texte démontre que l’Europe peut agir contre la spéculation quand elle en a la volonté politique. Avec le compromis trouvé aujourd’hui, il ne serait plus possible pour un fonds spéculatif d’acheter des CDS grecs ou italiens sans détenir d’obligations de ces Etats et donc ainsi spéculer sur la faillite du pays, a souligné M. Canfin.

    La Commission européenne avait présenté une proposition de règlement en septembre 2010, à la demande du président français Nicolas Sarkozy et de la chancelière allemande Angela Merkel, pour mieux encadrer les CDS.

    Le Parlement européen avait voté l’interdiction des CDS souverains à nu en juillet, mais certains Etats, comme l’Italie, y étaient réticents, craignant que leur interdiction n’affecte la liquidité du marché de leur dette souveraine.

    Uws.jpg?w=250&h=283n compromis a été trouvé permettant aux Etats qui le souhaitent de ne pas appliquer ce règlement pendant une période donnée, en fonction de critères spécifiques. Ils devront en informer l’autorité de régulation financière européenne (ESMA) qui devra se prononcer sur le bien-fondé des arguments avancés.

    Le texte, qui devrait être voté en séance plénière par le Parlement européen en novembre, comporte aussi des dispositions sur les ventes à découvert.

    Quand un acteur de marché vendra à découvert une grande quantité de titres d’une entreprise ou d’un Etat, il devra en informer les autorités de supervision et, dans certains cas, le marché.

    Les ventes à découvert à nu seront plus encadrées: le vendeur devra avoir localisé le titre ou, à défaut, effectuer un emprunt équivalent. Si, après la transaction, il est incapable de livrer le titre dans les trois jours, un règlement en liquide sera exigé le 4e jour, sous peine d’amende.

    Enfin, l’ESMA pourra restreindre temporairement les ventes à nu de manière exceptionnelle en cas de chute brutale des cours. (Source: AFP)

     
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    Publié par liesiletter le 24 octobre 2011 in Non classé

     

    Pierre Hillard – Europe et Nouvel Ordre Mondial

    L’aboutissement des ambitions d’un nouvel ordre mondial devra passer par des étapes bouleversant les structures politico-économiques des sociétés. Dans ces événements, la vie humaine comptera peu.
    D’ores et déjà, avec la mort probable de la Belgique, les réveils régionalistes en Espagne et en Italie, l’Europe de Bruxelles qui a programmé depuis longtemps la mise sous tutelle, sinon la destruction des nations, risque d’être exaucée dans ses entreprises au-delà de ses espérances. De leur côté, à travers le sanglant bourbier irakien, les Etats-Unis préparent activement la recomposition du Moyen-Orient..

    1.http://www.dailymotion.com/tommeight/video/x44tc1_pierre-hillard-europe-et-nouvel-ord_politics
    2.http://www.dailymotion.com/tommeight/video/x44to4_pierre-hillard-europe-et-nouvel-ord_politics
    3.http://www.dailymotion.com/tommeight/video/x44txk_pierre-hillard-europe-et-nouvel-ord_politics
    4.http://www.dailymotion.com/tommeight/video/x44ua9_pierre-hillard-europe-et-nouvel-ord_politics
    5.http://www.dailymotion.com/tommeight/video/x44uji_pierre-hillard-europe-et-nouvel-ord_politics
    6.http://www.dailymotion.com/tommeight/video/x44utj_pierre-hillard-europe-et-nouvel-ord_politics

     
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    Publié par liesiletter le 23 octobre 2011 in Non classé

     

    La liquidation de Kadhafi par les moralistes de l’Occident

    Jeudi 20 octobre 2011, vers 13 h 30 GMT, le Conseil national de transition libyen a annoncé la mort de Mouammar el-Kadhafi. Bien que confus, les premiers éléments laissent à penser qu’un convoi de voitures a tenté de quitter Syrte assiégée et a été bloqué et partiellement détruit par un bombardement de l’OTAN. Des survivants se seraient mis à l’abri dans des canalisations. M. Kadhafi, blessé, aurait été fait prisonnier par la brigade Tigre de la tribu des Misrata qui l’aurait lynché.

    mortkadhafi.jpg?w=400&h=200Le corps du « Guide » de la Grande Jamahiriya arabe socialiste n’a pas été conservé dans sa ville natale de Syrte, ni transporté à Tripoli, mais acheminé comme trophée par les Misrata dans la ville éponyme.

    La tribu des Misrata, qui a longtemps hésité à choisir son camp et est quasi absente du CNT, aura finalement investi Tripoli après son bombardement par l’OTAN, et aura lynché Mouammar el-Kadhafi après le bombardement de son convoi par l’OTAN. Elle aura même transféré son corps dans sa ville pour marquer son triomphe. […]

    Les principaux dirigeants de la Coalition ont salué la mort de leur ennemi comme marquant la fin de l’opération « Protecteur unifié ». Ce faisant, ils admettent implicitement que celle-ci ne visait pas à mettre en œuvre la Résolution 1973 du Conseil de sécurité, mais à renverser un régime politique et à en tuer le leader, alors même que l’assassinat d’un chef d’État en exercice est interdit en droit états-unien et universellement condamné.

    De plus, le lynchage de Mouammar el-Kadhafi montre la volonté de l’OTAN de ne pas le déférer à la Cour pénale internationale qui n’aurait pas été plus en mesure de le condamner pour crime contre l’humanité que le Tribunal pénal pour l’ex-Yougoslavie ne put prouver la culpabilité de Slobodan Milosevic malgré deux ans de procès. (Source)

     
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    Publié par liesiletter le 23 octobre 2011 in Non classé

     

    Les nuages s’accumulent sur le « machin européen » et la pression sur l’Italie pourrait avoir un effet boomerang

    silvio-berlusconi-angela-merkel.jpg?w=28Le chef du gouvernement italien, Silvio Berlusconi, a dû donner des explications samedi soir à Bruxelles sur son programme budgétaire à la chancelière allemande Angela Merkel, à la veille d’un sommet de l’UE où il sera sous pression pour respecter ses engagements. ‘’J’ai parlé avec Mme Merkel’’, a dit M. Berlusconi en marge d’une réunion des dirigeants conservateurs européens près de Bruxelles, organisée à la veille d’un sommet des dirigeants européens sur la crise de la dette qui déstabilise la zone euro. A la question de savoir s’il avait convaincu la chancelière, M. Berlusconi a répondu laconiquement : ‘’Je pense’’.

    L’Italie suscite l’irritation croissante de ses partenaires européens qui doutent de la capacité du gouvernement de M. Berlusconi à maintenir ses finances sous contrôle et redoutent que le pays ne provoque une crise gravissime dans la zone euro.

    Ils lui demandent de préciser ses engagements déjà pris en matière de réduction du déficit budgétaire, tandis que la Commission européenne exige des réformes structurelles supplémentaires de l’économie italienne. ‘‘Nous attendons de l’Italie qu’elle réitère ce dimanche de façon claire ses projets d’assainissement budgétaire et de réformes structurelles’’, a déclaré cette semaine le commissaire européen aux Affaires économiques Olli Rehn.
    Les dirigeants européens escomptent de M. Berlusconi qu’il donne des engagements fermes lors du sommet. Le chef du gouvernement italien a été du reste invité à un tête-à-tête préalable, peu avant la réunion, avec le président de l’Union européenne, Herman Van Rompuy. ‘‘L’idée est de mettre la pression sur Berlusconi’’, confie un diplomate d’un pays européen.
    Le mécontentement est d’autant plus grand que la zone euro cherche en ce moment à protéger l’Italie et l’Espagne d’une contagion de la crise de la dette, en renforçant la capacité d’intervention du Fonds de secours financier de la zone euro, le FESF.

    Les responsables européens ont le sentiment que depuis que la Banque centrale européenne a volé en août au secours de l’Italie, en commençant à racheter sa dette publique sur les marchés, Rome a relâché ses efforts et commencé à revenir sur ses promesses de rigueur. 

    Au cours de la réunion samedi soir des dirigeants conservateurs près de Bruxelles, M. Berlusconi a présenté le plan de rigueur qu’il a récemment fait adopter par le Parlement italien. Mais, a expliqué un participant s’exprimant sous couvert de l’anonymat, ‘‘M. Berlusconi s’est montré très réservé sur la nécessité d’en faire davantage’’. Un autre participant à la réunion a confié à l’AFP que des dirigeants européens ont mis en doute la crédibilité de l’Italie pour mettre en oeuvre son plan de rigueur censé permettre au pays de parvenir à l’équilibre budgétaire dès 2013.

    L’Allemagne insiste pour que l’Italie réduise sa dette publique colossale de 1.900 milliards d’euros, soit 120% du PIB.
    M. Berlusconi va devoir en parallèle affronter l’irritation de la France sur un autre sujet lors du sommet de dimanche.La France a soutenu la nomination de l’Italien Mario Draghi à la tête de la Banque centrale européenne, pour remplacer en novembre Jean-Claude Trichet, en partant du principe qu’elle récupèrerait ensuite un poste au sein du directoire de l’instutut monétaire occupé par un autre Italien, Lorenzo Bini Smaghi.Mais ce dernier refuse de partir car M. Berlusconi ne l’a pas nommé comme il l’escomptait à la tête de la Banque d’Italie. Le chef du gouvernement italien l’a appelé samedi soir à démissionner d’un poste qu’il occupe par la volonté du gouvernement. (Source: AFP)

    A cela on doit ajouter que S. Berlusconi n’a toujours pas digéré la manière d’agir de la France dans l’affaire libyenne où il y a bel et bien eu des crimes de guerre, selon plusieurs journalistes sur place, avec parfois la complicité de l’Otan. La France sarkozienne a délogé l’Italie de positions commerciales avantageuses en Libye, et dans une période économique où la crise devient une évidence, le ressentiment n’en peut- être que plus grand. Pourquoi donc alors Berlusconi consentirait-il à saigner son peuple pour le plaisir de gens qu’il déteste foncièrement (comme son ami Poutine d’ailleurs)? Si Rome coule, il y en aura beaucoup qui subiront des dommages collatéraux.

     
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    Publié par liesiletter le 23 octobre 2011 in Non classé

     

    Barroso dans son bunker planifiant la domination du monde – Nigel Farage

    Une vidéo où le politicien Nigel Farage dit la vérité sur la « bande à Barroso » aux ordres de l’establishment américain.

    Cliquer sur le lien.

     
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    Publié par liesiletter le 23 octobre 2011 in Non classé

     

    La FBFveut rassurer : « Il y a tout ce qu’on dit sur les banques. Et puis il y a la vérité »

    avatar15.jpg?w=50&h=50La FBF (Fédération Française des Banques) a décidé de mettre en œuvre une nouvelle action de communication collective de la Profession qui prendra la forme d’une page diffusée dans la presse quotidienne nationale et régionale les jeudi 20 et vendredi 21 octobre 2011.

    En voici le contenu que nous vous laissons commenter « courtoisement », car tous ces gens nous (et vous)  lisent…

     
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    Publié par liesiletter le 22 octobre 2011 in Non classé

     

    Complément sur le projet dictatorial appellé MES

    On pourra consulter avec intérêt cette page en PDF d’un site qui a réalisé la traduction en français à partir du projet de traité en anglais:  http://www.haoui.net/newsletter/2011/octobre18/exclusivite/MES.pdf

     
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    Publié par liesiletter le 22 octobre 2011 in Non classé

     

    Trader Noé – Analyse du 22 octobre 2011

    trader19.jpg?w=259&h=194Dans l’analyse, il ne faut pas mélanger la tendance de fond, très baissière, qui peut s’échelonner sur plusieurs mois et couvrir le dernier trimestre 2011, l’année 2012 et probablement 2013.

    Dans cette tendance de fond, l’indice CAC 40 devrait effectivement se diriger vers 1700 et 750 points environ. Cela ne se fera pas en un claquement de doigts, mais nous pourrions revivre de nombreuses fois ce qui s’est passé cet été mais avec beaucoup plus de force et des conséquences extrêmement complexes qui peuvent déboucher sur n’importe quoi et toucher tous les secteurs.

    Je vous laisse simplement imaginer les personnes (particuliers ou professionnels) qui viennent d’acquérir des biens immobiliers en empruntant sur de nombreuses années (20-30 ans etc…).
    Il faudra penser à rembourser et sans rentrée (plus d’emploi- entreprises en difficulté) cela peut s’avérer très difficile et encore bien plus difficile quand il faut rembourser un bien immobilier acheté à prix fort alors qu’il en vaudra beaucoup moins.

    (Le manque de confiance des prêts entre banques, bloquera les prêts aux particuliers et les transactions immobilières ralentiront).

    D’autre part, si un problème monétaire arrivait, je vous laisse également imaginer le prix des produits alimentaires. La nourriture n’augmente qu’un peu à cause de la spéculation sur les matières premières. Le prix de votre pain augmente un peu, pourtant sa teneur en blé est faible.
    En revanche, si la monnaie se déprécie pour diverses raisons, les prix peuvent s’envoler et les conséquence peuvent être dramatiques.
    L’histoire se répète, relisez ce qui s’est passé lors de la république de Weimar.

    Le plus effrayant, ce sont les attaques sur les secteurs bancaires et industriels. Ces deux secteurs tiennent l’économie d’un pays.

    Sur la tendance court-moyen terme que nous avons depuis début octobre, nous avions précisé un point très important sur l’indice CAC 40 Future. Le niveau des 3090 a parfaitement fonctionné. De même pour les 1215 et 1230 du E-mini SP 500.

    Tant que les E-mini SP500 évolue au-dessus des 1230, le rebond technique haussier peut se poursuivre et les prochaines résistances pourraient être 1260 et 1320 points.
    Si le cours venait à repasser en dessous des 1230, le scénario serait invalidé et la rupture des 1200-1190 fragiliserait la reprise court terme.

    Ce qui est tout de même étonnant, c’est le manque de dynamisme pour l’indice CAC 40. Y aurait t-il déjà du Spread dans l’air ?

    Le 17 octobre, le E-mini SP 500 avait un plus haut à 1230.75 points et le Future CAC 40 à 3268 points.
    Hier, le plus haut était à 1235.75 pour le E-mini SP 500 alors que le plus haut du Future CAC 40  est à 3170 points. (pratiquement 100 points de différence par rapport à la journée du 17 octobre). La grande résistance du Future CAC 40 se présente désormais à 3250-3300 points.

    Sur les tendances de fond et moyen terme, l’indice CAC 40 est bien plus mal orienté que les indices américains.
    Sous les 3090 il faudra être vigilant, la rupture des 3060 montrera déjà des signes de faiblesse.

    Attendons le G 20 pour y voir plus clair.

     
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    Publié par liesiletter le 22 octobre 2011 in Non classé

     

    Les « professionnels » commentent la flambée des marchés de vendredi

     

     

     

    avatar14.jpg?w=50&h=50Selon Xavier de Villepion, vendeur d’actions chez Global Equities, les investisseurs anticipent une prochaine sortie de crise, estimant inimaginable que les dirigeants européens n’arrivent pas à se mettre d’accord rapidement face à des enjeux aussi considérables.
    « Impensable que les Européens n’arrivent pas à trouver une solution, les risques seraient trop graves », a-t-il déclaré.
    « On est dans la dernière ligne droite. Les décideurs n’ont plus d’autres choix que d’annoncer des mesures rapidement au plus tard à l’issue du second sommet du 26 octobre », a estimé Renaud Murail, gérant d’actions chez Barclays Bourse.

     

    arcapoulies.jpg?w=300&h=225Mais d’autres opérateurs s’interrogeaient sur les vraies raisons de cette flambée boursière soudaine, alors que la crise de la dette reste loin d’être réglée. « C’est un grand mystère, un tel bond, de plus de 3,5%, alors que les nouvelles restent très confuses et avant un week-end dont l’issue est incertaine« , a dit un opérateur de marché de la banque Equinet à Francfort.

     

    Nous verrons bien puisque ce qui nous importe n’est pas la spéculation au quart d’heure mais la TENDANCE DE FOND. N’oublions pas la théorie de Trader Noé sur LA TENSION DE L’ARC A POULIES.

     

     

    La zone euro s’enfonce dans la discorde face à la crise de la dette

    zoneeuro.jpg?w=134&h=131La zone euro a entamé vendredi un marathon de plusieurs jours pour tenter de sauver la monnaie unique et restaurer son image, qualifiée de « désastreuse » en raison des divisions persistantes entre Paris et Berlin notamment autour des moyens d’enrayer la crise de la dette. Les ministres des Finances des 17 pays de l’Union monétaire se sont retrouvés vers 14H00 (12H00 GMT) à Bruxelles pour préparer le premier sommet européen de dimanche, longtemps considéré comme celui de la dernière chance.
    Cette rencontre promet d’être « difficile », a reconnu la ministre finlandaise des Finances Jutta Urpilainen, à son arrivée à Bruxelles. Aucune conférence de presse n’est du reste prévue à l’issue de la rencontre. L’ampleur de la tâche est considérable face aux clivages entre la France et l’Allemagne. Ces divisions, ainsi que la nécessité de consulter le Parlement allemand sur les mesures envisagées, ont contribué à repousser les annonces tant attendues à la semaine suivante avec un deuxième sommet au plus tard le 26 octobre.
    « L’impact à l’extérieur (…) est désastreux » pour l’Europe, s’est inquiété à Bruxelles le chef de file des ministres des Finances de la zone euro, Jean-Claude Juncker. « Nous ne donnons pas vraiment l’exemple éclatant d’un leadership qui fonctionne bien », a-t-il ajouté.
    Pour preuve: la Chine a appelé vendredi à une « réforme fondamentale » des finances des pays de l’UE. Et le président américain Barack Obama s’est encore entretenu jeudi par visioconférence de la crise de la zone euro avec le président français Nicolas Sarkozy et la chancelière allemande Angela Merkel.
    La France et l’Allemagne sont engagées depuis plusieurs jours dans un bras de fer sur le meilleur moyen de renforcer la force de frappe du Fonds de soutien européen (FESF), un instrument essentiel pour espérer empêcher une contagion de la crise de la dette à des pays comme l’Espagne et l’Italie. Paris est isolé mais insiste pour transformer le Fonds en banque afin qu’il s’approvisionne auprès du guichet de la Banque centrale européenne (BCE). Berlin refuse cette option qui irait à ses yeux à l’encontre des traités européens.
    « Il est clair qu’on s’en tient à ce qui est autorisé par le traité (de l’UE), à savoir que la BCE ne peut être utilisée », a prévenu le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble. De son côté, son homologue français, François Baroin, a assuré qu’il y avait « une volonté de faire des avancées de part et d’autre ».
    Mais selon un diplomate européen, Paris n’est toujours pas persuadé du bien-fondé de la solution qui a la préférence de Berlin, à savoir permettre au FESF de garantir une part des titres de dette émis par les pays fragiles, afin d’inciter les autres investisseurs à en acheter. La France, mais aussi Rome et Madrid, redoutent que cela crée une différence entre des obligations garanties et des obligations non garanties, dont les taux s’envoleraient aussitôt, a expliqué ce diplomate.
    recapitalisation-banques-europennes.jpg?Autre sujet délicat sur la table pour les prochains jours, la question de la recapitalisation des banques en Europe. Les besoins devraient finalement s’élever à entre 80 et 100 milliards d’euros, un chiffre moins important que celui avancé par le FMI, a fait savoir une source européenne. Reste à définir des modalités: quelles banques seront concernées’ quel sera le calendrier? et surtout par quels moyens, les banques vont-elles se recapitaliser? Les ministres vont également plancher sur une participation plus importante que prévu des banques dans le cadre du second plan d’aide à la Grèce, décidé en juillet. Ils travaillent actuellement sur l’hypothèse d’une réduction de 50% des créances détenues par les banques envers la Grèce, pour soulager le pays, a affirmé vendredi une source européenne proche du dossier. En juillet, l’effort avait été fixé à seulement 21%.

    En attendant les décisions reportées au 26 octobre, une nouvelle réunion des ministres européens des Finances est programmée samedi, avant un tête-à-tête Merkel-Sarkozy samedi soir à Bruxelles en préambule au premier sommet du lendemain. (Source: Awp/AFP)

    On pourra également lire avec intérêt l’article Pourquoi la « théorie du parachutiste » va faire chuter le CAC 40 de 80 % ? qui met bien en évidence ce qui attend certaines banques… et une profession de la finance qui sera totalement sinistrée dans quelques mois.

     
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    Publié par liesiletter le 22 octobre 2011 in Non classé

     

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