• Avec le Liesi, ce que vous ne lirez pas dans les Médias sur LES crises actuelles

    Dimanche 30 septembre 2012

    Gérer le grand cirque en attendant l’union bancaire ?

    Après l’Espagne vient le tour de la Grèce. Les mesures d’austérité n’ont servi à rien et les plus grosses fortunes ont eu le temps de quitter le pays. Un phénomène identique se constate au Luxembourg, où l’on signale de multiples passages de Français qui ouvrent des comptes pour se protéger d’un gouvernement socialiste d’incapables et, comme l’UMP, inféodé aux marxistes bruxellois. Ce ne sont pas des grosses fortunes, mais une partie de la classe moyenne qui dégage ainsi de la Ripoublique UMP/PS.

     

    Retour en Grèce où les manifestations, soutenues par le Syriza de la gauche radicale, contestent les nouvelles mesures d’économies de plus de 11,5 milliards d’euros que le gouvernement finalise actuellement avec l’UE et le FMI. “Malgré toutes les mesures prises, depuis maintenant des trimestres, l’économie du pays continue de s’enfoncer dans la récession, en dépit des milliards d’euros reçus dans le cadre de deux plans de sauvetage financier, dont le premier a été lancé en mai 2010. La nécessité d’une troisième intervention de soutien paraît gagner du terrain parmi partenaires et prêteurs du pays, qui se repassent le problème grec comme une patate chaude depuis des semaines”.

    La BCE comme l’Allemagne, première contributrice au sein de la zone euro aux deux plans de soutien à la Grèce, ne veulent plus entendre parler de financement supplémentaire. Mais Bruxelles affirme que cela est nécessaire. Alors, parlons d’un deuxième programme réajusté.

    Le dialogue est nourri entre la chancelière allemande, Angela Merkel, C. Lagarde et l’homme de Goldman Sachs, le président de la BCE, Mario Draghi.

     

     

    “La gouvernance internationale a tendance à être effective seulement quand elle est anti-démocratique”

    Le titre Facebook a plongé de près de 10% en 48 heures suite à un article publié par le magazine d’informations financières Barron’s. On fait valoir que les titres évalués sur du vent pourraient voir leur cours plomber car le temps vient d’examiner les fondamentaux des entreprises.

    Les modes changent comme l’humeur des hommes. Hier, on parlait du “phénomène Facebook” et l’on tablait sur des cours stratosphériques la veille de l’introduction de la société en bourse. Morgan Stanley s’est goinfré de papiers et l’on aimerait bien savoir si la firme financière est toujours impliquée très fortement dans le dossier… L’analyse de Trader Noé ce matin donne des points à suivre. Nous verrons ce que feront les gros poissons sur le titre, car leurs traders sont à l’œuvre.

    En tout cas, cet épisode fait un heureux : Google ! qui jouit d’une aura qui pousse les cours vers des sommets.

    Des réseaux sociaux à l’Espagne

    Les printemps arabes, c’est médiatiquement très bien, mais pas question de voir un phénomène identique se réaliser en Europe de l’Ouest. Chez nous, ce n’est pas démocratique…  Confirmation si besoin était que ces révolutions arabes n’ont absolument rien de “spontané”.

    En Espagne, des affrontements sérieux ont eu lieu hier soir tard dans la nuit. “Le mot d’ordre avait été lancé via les réseaux sociaux, relais très actif de la colère des Espagnols face à la crise qui laisse un quart de la population active au chômage, et aux mesures de rigueur draconiennes imposées par le gouvernement de droite”. Des milliers de personnes ont cherché à encercler le Congrès des députés, aux cris de “démission”, “dehors”. Il est agréable de voir enfin des personnes se rendre compte que les politiques dominants ne sont que les salariés de la Haute banque. Ils n’ont plus du tout le sens commun de l’intérêt général mais bien au contraire le culte de l’intérêt particulier. Comment, dans cette situation, espérer humainement un changement concret ? La révolution (comme solution) diront les analystes à courte vue. Mais la Haute finance a déjà ses Lénine, Trotsky et Cie, à portée de main. Il suffit de voir la couleur de leur cravate… c’est celle du sang.

    La France annonce officiellement que le chiffre de trois millions de chômeurs est officiellement franchi, et le gouvernement suit la voie de son confrère espagnol. On parle de “démocratie “séquestrée”, assujettie “aux marchés financiers”. En France, la résignation domine tandis que les Espagnols sont plus sanguins. Et pourtant, le destin de ces nations est commun dans une Europe totalitaire où le mensonge domine. Car il n’existe pas de courants politiques dominants pour reprendre le gouvernail et l’orienter vers la bonne direction. Combien d’hommes politiques sont passés à travers le filet des sociétés secrètes pour s’imposer et prendre des mesures en faveur de l’intérêt commun ? Ils sont très rares et ont quasiment tous connu une fin identique : l’assassinat.

    “Je viens manifester contre une classe politique qui ne laisse aucune chance au peuple de donner son opinion”, lançait Romulo Banares, un artiste de 40 ans. Il porte le panneau immobilier “Se Vende Espana”, et des lunettes de soleil avec le signe du dollar et de l’euro sur chacun des verres. Comme pour Facebook, il est urgent que les peuples comprennent le monde réel des fondamentaux. Les pays sont sous l’emprise des sociétés secrètes et Mammon en est l’un des leaders. Voilà pourquoi il ne faut pas s’étonner du fait que les banques espagnoles pourront recevoir jusqu’à 100 milliards d’euros, concédée par la zone euro en juin… et les citoyens sont appelés à se serrer encore et toujours la ceinture.

     

    VIDEO

     

    “La gouvernance internationale a tendance à être effective seulement quand elle est anti-démocratique”, écrivait le journaliste du Financial Times Gideon Rachman avant de participer à la conférence 2012 du Bilderberg.

     

    L’Alliance au bord du divorce ?

    Par Menthalo – BP englué dans le Golfe du Mexique est-il le prochain cygne noir sur le marché des produits dérivés ?

    Au cœur de la géopolitique britannique, le géant est actuellement sur la sellette pour avoir trahi l’Alliance. (..)

     

    BCE et FED : des transformations systémiques ?

    Plusieurs analystes affirment que cet été, en s’arrogeant des prérogatives en termes d’achat de titres, la BCE s’est enfin transformée en une véritable banque centrale. Il est vrai que dans le monde de la financiarisation à outrance dans lequel on vit, cet instrument d’intervention de la BCE est déjà largement pratiqué par d’autres banques centrales comme la Federal Reserve, la Banque d’Angleterre ou la Banque centrale japonaise.

    Doit-on conclure que les grands manitous de la finance ne veulent pas, pour le moment, d’un éclatement de la zone euro ?(..)

     

    Sombre avenir pour les commissaires de l’UERS

    (vidéo..)

     

    Présidence Obama : qu’en pensez-vous ?

    Barack Obama et ses porte-parole à la Convention démocrate ont beau répéter que “les perspectives sont bonnes mais que nous avons besoin d’un peu plus de temps”, leur optimisme a été brutalement démenti par de nouvelles statistiques mon­trant qu’il n’y avait eu aucune création nette d’emplois au cours des neuf derniers mois, tandis que les Américains sont plus nombreux que jamais (46 millions) à dépendre de l’aide publi­que pour acheter de la nourriture. Selon la dernière étude du département de l’Agriculture, un Américain sur six ne mangeait pas à sa faim en 2011 et neuf millions d’enfants vivaient dans l’”insécurité alimentaire”.

     

    Par conséquent, le seul argument économique que la campa­gne d’Obama puisse invoquer en faveur d’un nouveau mandat de quatre ans, serait de dire que la politique de Romney serait encore pire. Bien que Romney n’ait rien proposé jusqu’à présent pour arrêter la désintégration de l’économie et du système finan­cier, entre 55 et 65% des électeurs, suivant le sondage, disent qu’ils ne font pas confiance à Obama sur le plan économique.

    Il n’est donc pas surprenant que l’équipe du Président ait choisi de tabler sur l’image d’”Obama le tueur en chef”, mar­telant en particulier “qu’il a eu la peau d’Oussama ben Laden”. Selon un commentateur, le nom de Ben Laden a été prononcé si souvent à la Convention qu’on aurait pu croire qu’il s’agissait du colistier d’Obama ! (Source: EIR)

     

    JAPON : HARAKIRI du Ministre des Finances

    Tadahiro Matsushita, 73 ans, a été retrouvé pendu dans sa maison de Tokyo lundi. (..)

     

    Évidemment, cette histoire est du pur habillage de circonstances.

    Primo, faire tomber un politicien pour une affaire de mœurs, même très gentillette, est une méthode typique des services de renseignement, qu’ils soient russes, américains, anglais ou chinois.

    Secundo, Il ne faut pas chercher très loin pour voir que le Shukan Shincho est un tabloïd, qui révèle les dessous d’histoires de blanchiment d’argent et de corruption. Or corruption rime avec Japon, neo-cons,  Trésor de Yamashita et Golden Lily… et ce depuis la guerre…

    Tertio, en apprenant la mort (Fulford parle d’assassinat) du Ministre des Finances du Japon, ma première réaction a été : “ENCORE ?” … et oui le 7 octobre 2009, j’ai écrit un article sur la mort d’un précédent ministre des Finances japonais, sous le titre “suicidés de père en fils“, que je vous mets en partie ci-dessous. (..)

    Une guerre sournoise est-elle déclarée contre le genre humain ?

    Voici un document fort intéressant.

    Chemtrail et Morgellons : La maladie qui vient du ciel

     

    Fitch et Banco Popular

     

    Les serviteurs du NOM ne veulent plus d’une France souveraine

    Mi-septembre, dans une interview aux Echos, le gouverneur de la Banque de France, Christian Noyer, a défendu la position du groupe de banquiers pensant pouvoir gérer l’austérité grâce à une dette des Etats, essentiellement produite par les sommes astronomiques d’intérêts que fabriquent les manipulateurs du Libor ou Euribor. Il y a quelques décennies on appelait ces groupes d’agents : la Finance anonyme et vagabonde.

     

    Le gouverneur de la Banque de France suit la même logique que ce blog en estimant très important de favoriser le redressement des finances publiques de la France sur le fondement d’un taux d’épargne des ménages “parmi les plus élevés en Europe qui devrait jouer un rôle d’amortisseur pour la consommation.”  On l’a bien compris et il n’est pas inutile de le rappeler : les gouvernements qui roulent pour les programmes mafieux des synarchistes n’ont que faire de la souveraineté nationale (ne sont-ils pas quasiment tous membres de loges diverses ou clubs mondialistes ?).

    Ils veulent l’argent des Français et liquider la classe moyenne pour réaliser une  PERESTROIKA de l’Ouest.

    C’est bien dans cette perspective que le Ministre de l’Economie Pierre Moscovici annonce le relèvement du plafond du livret A et le doublement de celui du livret de développement durable à partir du 1er octobre. Le plafond du livret sera ainsi relevé de 25% à 19 125 euros et celui du livret de développement durable passera à 12 000 euros.

    Source : - Pierre Moscovici - Ministre de l’Economie : Issu d’une famille juive. Soutien historique de Dominique Strauss-Kahn. Lors du vote pour la réforme constitutionnelle de 2008, pour la ratification du Traité de Lisbonne, il s’abstient. Directeur de campagne de François Hollande durant la campagne de 2012, il est Vice-Président du Cercle de l’Industrie (Lobby patronal européen, en lien avec le MEDEF), dont Strauss-Kahn fut également Vice-Président et initiateur avec Raymond H.Lévy (PDG de Renault), et Maurice Lévy (président du directoire de Publicis, participant aux réunions du Groupe Bilderberg). Les principales entreprises représentées au sein de ce lobby sont celles du CAC40 (PDF). Participe à la rencontre entre Manuel Valls, François Hollande et Richard Prasquier, président du CRIF, lors d’une entrevue où Hollande s’engagea à « combattre fermement l’antisémitisme et l’antisionisme ».

    Voir ce lien que l’on nous communique et qui mérite d’être commenté…

     

    Obama l’imprévisible ?

    Peter Foster, du Telegraph, a signé un article intitulé  L’égo de Barack Obama met-il des vies en danger ? Après avoir passé en revue les fuites de renseignements classés secrets, Foster conclut : « Ceci est destiné à présenter Obama sous un jour ad­mirable – tout comme les documentaires sur sa décision solitaire d’attaquer Oussama ben Laden – mais il sonne et paraît de plus en plus comme un égocentrique total ».

    Le rédacteur américain du Telegraph note que de hauts officiers « sont furieux du fait qu’à chaque fois que M. Obama éprouve la nécessité d’enterrer de mauvaises nouvelles en politique intérieure, il sort un nouveau écran de fumée lié à la sécurité nationale ».

     

    RBS et Commerzbank attaquent Dubaï pour impayés

     

    Italie : Mario Monti s’affiche toujours comme un bon serviteur de Big Brother

    ROME (NOVOpress) — Après l’interdiction de retirer à la banque plus de 1.000 euros en liquide, l’Italie s’apprêterait à franchir une nouvelle étape sur le chemin du contrôle absolu des transactions effectuées par les individus.

    En effet, une loi a été déposée devant le parlement visant à interdire toute transaction en liquide d’un montant de plus de 50 euros. Au-delà, seul l’usage de la carte bancaire électronique serait accepté. Le gouvernement a annoncé qu’il souhaiterait que cette mesure soit appliquée dès 2013.

    Prévue au prétexte de la lutte contre le blanchiment d’argent, le travail au noir et l’économie parallèle, cette nouvelle mesure coercitive représenterait également un moyen supplémentaire de contrôle de la population, désormais encore plus étroitement « traçable » dans toutes ses activités quotidiennes. Pour certains observateurs, elle représente également une étape vers la suppression pure et simple de l’argent liquide au profit des transactions uniquement électroniques.

    Alors que l’oligarchie financière jongle avec les milliards dans la plus parfaite opacité et la plus totale impunité, le « vulgum pecus » voit ainsi Big Brother resserrer son emprise et les banques, qui ont pourtant démontré depuis le début de la crise leur irresponsabilité voire leur malhonnêteté, obtenir encore un peu plus de pouvoir. (Source)

     

    Vers une opération nettoyage en Egypte ?

    Les choses changent lentement mais sûrement en Egypte. Des procureurs ont récemment ordonné l’arrestation et l’extradition de l’ex-Premier ministre et vice-président Ahmed Shafik, avec d’autres responsables de l’ère Moubarak. L’enquête est centrée sur la corruption de l’ancien régime. Des fils de l’ex président Hosni Moubarak sont également impliqués dans ces procédures, surtout des transactions immobilières portant sur la vente illégale de biens de l’État.

    Ahmed Shafik, qui a perdu contre l’homme fort des fréristes, Mohammed Morsy, a préféré quitter le pays pour se réfugier rapidement aux Emirats arabes unis. Le nouveau pouvoir entend récupérer un certain nombre de biens publics grâce à ces procédures judiciaires.

     

    Pour sauver leur peau, les banques d’affaires pousseront-elles leurs réseaux à la guerre généralisée ?

    En 2011, la puissante banque d’affaires JP Moragn était épinglée par les régulateurs américains pour avoir violé la loi contre les sanctions économiques imposées à l’Iran et à Cuba. Cette foi, le scandale retrouve de nouveau JP Morgan, en compagnie d’autres banques comme Bank of America, impliquées dans un scandale de blanchiment d’argent.

    Ce n’est pas la première fois que l’on soulève ce genre de pratique. Mais les juges américains parleraient aujourd’hui d’”actions anti-blanchiment les plus poussées” depuis des dizaines d’années aux Etats-Unis. Ce n’est pas un scoop pour chacun d’entre nous.

    Que deviendront ces actions judiciaires engagées contre des mastodontes de Wall Street ? Nous avons déjà vu l’équipe Obama à l’œuvre depuis quatre longues années… et pratiquer la politique de la carpette devant les banquiers.

    Les choses pourraient ne pas changer SAUF si le cartel bancaire décidait de passer à ce que nous avons évoqué depuis plusieurs numéros dans LIESI. Le scénario que nous évoquions explique les actuels mouvements dans le Moyen-Orient, qui n’arrivent bien évidemment pas inopinément. A voir…  La confrontation entre certaines factions du cartel bancaire alliées aux sionistes les plus virulents  est la clé des événements de demain.

    PS. Le numéro du 15 septembre 2012 de LIESI sera envoyé ce matin.

     

    15 septembre 2012 – Publication du NUMERO 262 DE LIESI

    Imprimeur pour la Fed : on embauche jour et nuit…

    Petite histoire des agences de notation

    « En 1868, aux Etats-Unis, Henry Poor, profitant du développement des chemins de fer, lance une publication annuelle de statistiques qui fait vite référence. Il sera suivi, vers 1900, par John Moody qui publiera ses propres manuels de notations financières, les “ratings”, c’est-à-dire, en français “évaluations” : c’est l’innovation majeure. A la suite de la crise financière de 1907, il était apparu qu’il devenait nécessaire de classer le plus clairement possible les différentes dettes. Moody sera suivi par Poor en 1916 puis par deux autres agences : Standard statistics en 1922 et Fitch (fondée par John Knowles Fitch, en 1913 à New York) en 1924. Poor et Standard fusionneront en 1941. Depuis les années 1940, le “métier” de notation est resté entre les mains de l’oligopole des trois agences Moody’s (Moody’s Investors Service), Standard and Poor’s (S&P), Fitch. En dépit de diverses tentatives, aucune autre agence n’est parvenue à s’imposer, dans la mesure où elles ont été rachetées, dès leurs premiers succès, par le trio précité : en 2008, ces trois agences représentaient 94 % du chiffre d’affaires mondial de l’activité de notation. Quant aux 6 % restants, il s’agit de petites agences spécialisées dans des secteurs bien particuliers ou d’agences étrangères, comme Danong en Chine, mais avec lesquelles les trois grandes agences ont multiplié les accords de partenariat. A l’exception de Fitch (propriété de la holding française Fimalac, présidée par Marc Ladreit de Lacharrière), S&P et Moody’s sont des sociétés états-uniennes » (Source: Rivarol).

     

    Mario Monti et François Hollande introduisent un nouveau modèle d’analyse économique pour le XXIème siècle

    Le premier ministre Italien, très habitués aux rencontres feutrées et discrètes avec les propagateurs du mondialisme sans frontières, de ces sociétés secrètes qui échafaudent la disparition de l’Etat souverain depuis les années 70, annonce que l’Italie va renouer avec la croissance en 2013 ! Voir son interview avec la chaîne CNBC. “Monti estime que le salut viendra de la baisse des taux d’intérêt et exclut de demander une aide financière à ses partenaires européens”. “L’Italie sera l’un des premiers pays à atteindre l’équilibre budgétaire”, a affirmé M. Monti.

    Le même optimisme que F. Hollande… On va nous massacrer fiscalement pour payer les intérêts des dettes aux amis banquiers, mais ne vous inquiétez pas : si on ampute votre pouvoir d’achat la croissance arrive. Vous allez pouvoir consommer plus puisqu’il vous en reste de moins en moins !

    Nous n’avons probablement pas fait d’études assez poussées pour parvenir à cette science économique aux raisonnements plutôt complexes… Mais nous nous rassurons quand nous entendons certains économistes comme le fabien de Saint Etienne ou J. Sapir annoncer 300 à 500 000 chômeurs de plus en France d’ici juin 2013. Bref une situation espérée par le marxiste Mélenchon qui rêve de couper les têtes.

    Qui vivra verra… mais comme nous le verrons dans le prochain numéro de LIESI (262), les dirigeants russes tablent sur un scénario diamétralement différent de celui évoqué par M. Monti et F. Hollande. Eux ont pris des mesures très singulières…

    Le cynisme des révolutionnaires bourgeois

    Etonnante déclaration du patron du quotidien L’Agefi : « Tout a été fait pour ne pas paniquer le citoyen européen de base, quitte à oublier de l’informer purement et simplement ». (Numéro 329, juin 2012) Un an avant, en mai 2011, Jean-Claude Juncker, présidant l’Eurogroupe, confiait : « Quand ça devient grave, vous devez mentir ». Difficile de faire mieux en matière de cynisme !

    Où est le rêve américain ?

    Le pourcentage des Américains qui disent être descendu d’un cran de la classe moyenne pour la “classe inférieure” a augmenté de 25% au cours des quatre dernières années (sondage du Pew Research Center). Cette classe sociale dite inférieure voit son profil démographique changer. On compte de plus en plus de gens âgés de moins de 30 ans. (..)

     

    Etats-Unis et la perte de sa classe moyenne

    Joseph Stiglitz souligne qu’une personne sur six est en situation de sous-emploi, et que huit millions de familles ont perdu leur maison. Il note qu’en 2007, les 0,1% des ménages qui gagnaient le plus gagnaient 220 fois plus que les 90% du bas, qu’1% des ménages détenaient un tiers de la richesse du pays et que de 2002 à 2007, 65% des gains totaux de revenus du pays sont allés à ce même 1% (93% en 2010 !). (..)

     

    Consigne appliquée par la présidence de la BCE : donner du temps au temps…

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    Voir aussi :

     

    Dimanche 30 septembre 2012

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