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    Désinformation des meRdias

     

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    Nos meRdias de désinformation partisane (aux mains des néo-sionistes) nous dressent tous les jours contre les Musulmans, de plus en plus assimilés à des Islamistes radicaux, pour nous faire haïr les adeptes de l'Islam et conduire au choc de civilisations juteux pour les Rothschild de tous poils. En oubliant de dire que les Islamistes radicaux, djihadistes, sont armés et fanatisés par l'Occident et payés pour provoquer le chaos et détruire les Etats souverains comme la Libye hier ou aujourd'hui, la Syrie. Et Marine Le Pen, contrairement à son patriote de père, veut à tous prix le pouvoir, quitte à l'ancrer (notamment via Aliot) à Tel-Aviv. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'elle est sur tous les plateaux... des meRdias sionistes !

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    On en a assez de voir en permanence les Musulmans ciblés, diffamés, discrédités ! Quand y aura-t-il à la TV des reportages sur le fanatisme talmudo-sioniste, ou sur les crimes mafieux juifs (trafic de femmes ou d'enfants, par exemple) ? Non, on ne parle des Juifs qu'en tant que victimes (quitte à provoquer de toutes pièces des faits-divers barbares), jamais en tant que bourreaux dans le monde, provoquant chaos, entretenant le terrorisme, colonisant brutalement en violant le Droit international, etc.

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    Basta l'islamophobie, le communautarisme talmudo-sioniste, le deux poids deux mesures, vive l'information neutre, équilibrée ! eva R-sistons

     

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    Yassine tué de 43 coups de couteau par 3 hommes dont un ex-soldat israélien*

    YACINE

    La Redaction I&I 20/12/2014. Publié dans Sionisme 2 commentaires


     

    Yassine Abdat a été retrouvé mort dans un appartement de Neuilly-sur-Seine lundi après-midi après qu’il a rendu visite à un ami. Les médias ont rapporté les premières informations données par les enquêteurs cependant, ces dernières ne concordent pas avec la version de la famille.

    Selon le Parisien, Yassine se serait rendu avec un ami au domicile d’une personne pour lui réclamer de l’argent. Les choses auraient dégénéré et l’occupant de l’appartement aurait sorti un couteau avec lequel il aurait frappé au cou Yassine, lui tranchant l’artère carotide. Mortellement blessé, Yassine se serait effondré. Le coupable ainsi que l’ami de Yassine auraient été arrêtés par la police et placés en garde à vue.

     

    Une version qui ne tient pas la route…


    La version donnée par les médias est peu vraisemblable. Il apparait clairement que des éléments manquent aux journalistes. La cousine de la victime, Zahwa Djennad, a réalisé un post sur Facebook afin de démentir les informations données par la presse. Cette dernière donne une toute autre version des faits aussi sur Beur FM.

    “Je suis là ce soir pour rétablir la vérité. Il y a un tel fossé entre ce que les médias relayent et ce qu’il s’est vraiment passé. Yassine a été tué par son ami d’enfance, celui qu’il appelait son frère pour une histoire d’argent !


    Les médias nous racontent l’histoire d’une victime sans nom ! Ils ne disent même pas qu’il a été tué de 41 coups de couteaux ! Qu’il a été torturé ! Et torturé notamment par un homme qui est un ancien de Tsahal, qui connait donc la torture !


    Ce jour là, Gérald, devait lui rendre ce qu’il lui devait, au lieu de cela, il lui a tendu avec deux autres personnes un guet-apens. Ils l’ont torturé, ils l’ont tué de 41 coups de couteaux ! Comment peut-on tuer quelqu’un, qui plus est son ami, pour 100 000 euros ? C’est de la barbarie !

     

    Au vu du traitement médiatique du meurtre de mon cousin, nous avons décidé de porter plainte, contre chacun de ces médias pour diffamation! Nous voulons rétablir la vérité mais aussi la dignité de Yassine!”

    Une version des faits totalement opposée à celle donnée par les médias qui pourrait rapidement alimenter les suspicions d’un meurtre dérangeant. D’après la cousine de Yassine Abdat, les coupables souhaitaient le tuer puis se sauver en Israël.


    Pour Sihem Souid, sur le plateau de Beur FM, la médiatisation de l’affaire n’aurait pas été la même si la victime avait été juive. Pour la chroniqueuse de la radio communautaire, il y a un deux poids deux mesures flagrant.

    “Moi je dis les choses clairement: si le cousin de Zahwa avait été juif, qu’il ne s’était pas prénommé Yassine, son histoire aurait fait la Une de tous les médias ! Toutes les associations seraient montées au créneau – à juste titre bien sur- mais ce deux poids deux mesures me dégoûte.”

    Le meurtre de Yassine Abdat n’a pas fait les grands titres des journaux mais risque rapidement d’alimenter la grogne sur Internet. Les informations données par la cousine vont en totale opposition avec les informations données par les médias qui ont rapidement classé le meurtre dans la rubrique “fait divers”.


    La mort de Saïd Bourarach, tué par plusieurs israélites, est encore dans tous les esprits. La PJ départementale enquête actuellement sur l’affaire qui commence déjà à circuler sur les réseaux sociaux

     


     



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    La guerre par les médias et le triomphe de la propagande

    Publié par Gilles Munier sur 20 Décembre 2014, 15:49pm

    Catégories : #Medias

    La guerre par les médias et le triomphe de la propagande

    Par John Pilger (revue de presse : Investig’Action- 8/12/14)*


    Pourquoi tant de journalisme a-t-il succombé à la propagande ? Pourquoi la censure et la distorsion sont-elles la pratique standard ? Pourquoi la BBC est-elle si souvent un porte-parole d’un pouvoir rapace ? Pourquoi le New York Times et le Washington Post trompent-ils leurs lecteurs ? Pourquoi n’enseigne-t-on pas aux jeunes journalistes à comprendre les programmes des médias et à contester la haute prétention et le faible objectif d’une objectivité truquée ? Et pourquoi ne leur enseigne-t-on pas que l’essence de beaucoup de ce qu’on appelle les médias dominants n’est pas de l’information, mais du pouvoir ?


    Ce sont des questions urgentes. Le monde est confronté à la perspective d’une guerre majeure, peut-être d’une guerre nucléaire – avec les Etats-Unis clairement déterminés à isoler et à provoquer la Russie et éventuellement la Chine. Cette vérité est tournée sens dessus dessous et à l’intérieur et à l’extérieur par des journalistes, y compris ceux qui ont favorisé les mensonges qui ont conduit au bain de sang en Irak en 2003.


    La période que nous vivons est si dangereuse et si faussée dans la perception publique que la propagande n’est plus, comme l’appelait Edward Bernays, « un gouvernement invisible ». C’est le gouvernement. Il règne directement sans crainte de contradictions et son but principal est de nous conquérir : notre sens du monde, notre capacité de séparer la vérité des mensonges.


    La période de l’information est en réalité, une période de médias. On a la guerre par les médias ; la censure par les médias ; la diabolisation par les médias ; le châtiment par les médias ; les distractions par les médias – une chaîne de montage surréaliste de clichés dociles et de fausses suppositions.


    Ce pouvoir de créer une nouvelle « réalité » est en construction depuis longtemps. Il y a 45 ans, un livre intitulé The Greening of America (La prise de conscience écologique de l’Amérique) avait fait sensation. Sur la couverture, ces mots : « Une révolution est en route. Elle ne sera pas comme les révolutions du passé. Elle tirera son origine l’individu. ».


    J’étais un correspondant aux Etats-Unis à cette époque et je me souviens de l’élévation d’un jour à l’autre au statut de gourou de l’auteur, un jeune universitaire de Yale, Charles Reich. Son message était que dire la vérité et l’action politique avaient échoué et que seule « la culture » et l’introspection pouvaient changer le monde.


    En quelques années, poussé par les forces du profit, le culte du « moi-isme » avait presque écrasé notre sens d’agir ensemble, notre sens de justice sociale et l’internationalisme. La classe, le genre et la race étaient séparés. Le personnel était la politique, et les médias étaient le message.


    A la suite de la Guerre froide, la fabrication de nouvelles « menaces » a complété la désorientation politique de ceux, qui vingt ans plus tôt, auraient formé une opposition véhémente.


    En 2003, j’ai filmé une interview à Washington avec Charles Lewis, le distingué journaliste d’investigation américain. Nous avons discuté de l’invasion de l’Irak, quelques mois plus tôt. Je lui ai demandé, « Que se serait-il passé si le média le plus libre dans le monde avait sérieusement contesté George Bush et Donald Rumsfeld et avaient vérifié leurs déclarations, au lieu de transférer ce qui s’est révélé comme de la propagande pure ? » Il a répliqué que si nous, les journalistes avions fait notre boulot « Il y a une très, très grande chance qu’on ne serait pas parti en guerre en Irak. » C’est une déclaration épouvantable, et qui est soutenue par d’autres journalistes fameux à qui j’ai posé la même question. Dan Rather, David Rose anciennement de l’Observer et des journalistes et des producteurs importants de CBS, m’ont fait la même réponse. A la BBC, ceux qui souhaitaient rester anonymes, m’ont fait la même réponse.


    En d’autres mots, si les journalistes avaient fait leur boulot, s’ils avaient interrogé et investigué la propagande au lieu de l’amplifier, des centaines de milliers d’hommes, de femmes et d’enfants pourraient être en vie aujourd’hui ; et des millions n’auraient pas fui leur maison ; la guerre sectaire entre Sunnites et Chiites pourrait n’avoir jamais été allumée, et l’infâme Etat islamique ne pas exister maintenant.


    Même maintenant, malgré les millions qui sont descendus dans la rue pour protester, la plupart des gens dans les pays occidentaux n’ont qu’une petite idée de l’envergure des crimes commis par nos gouvernements en Irak. Encore moins sont conscients que pendant les 12 ans avant l’invasion, les gouvernements US et britannique avait mis en place une motion d’holocauste en refusant aux populations civiles de l’Irak les moyens d’existence. Tels sont les mots d’un représentant britannique important responsable pour les sanctions en Irak dans les années 1990 – un siège moyenâgeux qui a causé la mort d’un demi million d’enfants de moins de cinq ans, rapporté par l’UNICEF. Le nom du représentant est Carne Ross. Au bureau des Affaires étrangères à Londres, il était connu comme “Mr Irak”. Aujourd’hui il conte la vérité sur comment les gouvernements trompent et comment les journalistes répandent de plein gré la duperie. « Nous alimentions les journalistes de renseignements apparemment factuels ou expurgés, » m’a-t-il dit, « sinon on les excluaient. »


    Le principal « whistleblower” pendant cette terrible période de silence était Denis Halliday. A ce moment-là, assistant du Secrétaire général des Nations Unies et une autorité supérieure de l’ONU en Irak, Denis Halliday a démissionné au lieu d’appliquer une politique qu’il a décrit comme génocidaire. Il estime que les sanctions ont tué plus d’un millions d’Irakiens. Ce qui est arrivé alors à Halliday était instructif. Il a été vaporisé. Ou il a été diffamé. Sur le programme d’information de nuit de la BBC, le présentateur Jeremy Paxman lui a crié : « « N’êtes-vous pas simplement un apologiste pour Saddam Hussein ? ». Le Guardian a récemment décrit ceci comme un des « moments mémorables » de Paxman. La semaine dernière Paxman a signé un accord de £1 million pour un livre.


    Les servantes de la répression ont bien fait leur travail. Considérez les résultats.

    En 2013, un sondage ComRes a trouvé qu’une majorité du public britannique croyait que le taux de victimes en Irak était inférieur à 10.000 – une petite fraction de la vérité. Une traînée de sang qui va de l’Irak à Londres a été nettoyée presqu’à fond.

    On dit que Rupert Murdoch est le parrain de la clique médiatique, et personne ne devrait douter de l’augmentation de pouvoir de ses journaux – tous ses 127 journaux, avec une circulation combinée de 40 millions, et son réseau Fox. Mais l’influence de l’empire de Murdoch n’est pas plus grande que son reflet dans le reste des médias.


    La propagande la plus effective est trouvée non pas dans le Sun ou sur Fox News – mais sous une auréole libérale. Quand le New York Times a publié des déclarations que Saddam Hussein avait des armes de destruction massive, on a cru ce faux témoignage parce que ce n’était pas Fox News ; c’était le New York Times. La même chose est vraie pour le Washington Post et the Guardian, qui ont tous deux joué un rôle critique en conditionnant leurs lecteurs à accepter une guerre froide nouvelle et dangereuse. Les trois journaux libéraux ont déformé les événements en Ukraine comme un acte pernicieux de la Russie – quand, en fait, le coup dirigé par des fascistes en Ukraine, était le travail des Etats-Unis, aidés par l’Allemagne et l’OTAN. L’inversion de la réalité est tellement omniprésente que l’encerclement militaire et l’intimidation de la Russie par Washington ne sont même pas contestés. Ce ne sont mêmes pas des nouvelles, mais dissimulée derrière une campagne de diffamation ou pour faire peur, du genre de celle avec laquelle j’ai grandis pendant la guerre froide. Une fois de plus l’empire mauvais s’amène pour nous avoir, dirigé par un autre Staline ou un nouvel Hitler. Nommez votre démon et allez à fond la caisse. La dissimulation de la vérité sur l’Ukraine est un des black-out le plus complet dont je puisse me souvenir. La plus grande construction militaire occidentale dans le Caucase et l’Europe de l’Est depuis la Seconde guerre mondiale est effacée. L’aide secrète de Washington à Kiev et à ses brigades néo-nazis responsables de crimes de guerre contre la population d’Ukraine de l’Est est effacée. Des preuves qui contredisent la propagande que la Russie était responsable du tir contre un avion de ligne malais sont effacées. Et de nouveau, des médias supposés libéraux sont les censeurs. Ne citant pas de faits, pas de preuves, un seul journaliste a identifié un dirigeant pro-russe en Ukraine comme l’homme qui a tiré sur l’avion de ligne et l’a abattu. Cet homme, a-t-il écrit, est connu comme le Démon. C’était un homme effrayant qui avait fait peur au journaliste. C’était la preuve.


    Beaucoup de médias occidentaux ont fort travaillé pour présenter la population ethnique russe d’Ukraine comme des étrangers dans leur propre pays, presque jamais comme des Ukrainiens cherchant une fédération à l’intérieur de l’Ukraine et comme des citoyens ukrainiens résistant contre un coup orchestré par l’étranger contre leur gouvernement élu.


    Ce que le Président russe a à dire n’a aucune importance ; c’est un pantomime de scélérat dont on peut abuser en toute impunité. Un général américain qui dirige l’OTAN et sort directement de Dr. Strangelove - un Général Breedlove – parle systématiquement d’invasions russes sans l’ombre d’une évidence visuelle. Sa personnalisation avec le Général Jack D. Ripper de Stanley Kubrick est le comble de la perfection. Quarante mille Russes sont massés à la frontière, d’après Breedlove. Cela a été suffisant pour le New York Times, the Washington Post et l’Observer – ce dernier s’étant déjà précédemment distingué lui-même avec des mensonges et des fabrications qui soutenaient l’invasion de l’Irak par Blair, comme l’a révélé son ancien journaliste, David Rose.


    C’est presque le jeu d’esprit d’une réunion de classe. Les batteurs de tambour du Washington Post sont exactement les mêmes écrivains d’éditoriaux qui avaient déclaré que les armes de destruction massive de Saddam étaient « des faits vérifiés ».


    « Si on se demande, » a écrit Robert Parry, « comment le monde pourrait trébucher dans la Troisième guerre mondiale – en grande partie comme il l’a fait pour la Première guerre mondiale, il y a cent ans – tout ce qu’on a à faire est de regarder la folie qui a enveloppé virtuellement l’entière structure politique/médiatique US au sujet de l’Ukraine où un faux récit de casquettes blanches contre des casquettes noires a été saisi tôt et s’est avéré imperméable aux faits ou à la raison. » Parry, le journaliste qui a révélé l’Iran-Contra, est un des rares qui enquête sur le rôle central des médias dans ce « jeu de poulets », comme l’a appelé le Ministre russe des Affaires étrangères. Mais est-ce un jeu ? Pendant que j’écris ceci, le Congrès US vote la Résolution 758 qui en un mot dit : « Soyons prêt pour une guerre contre la Russie. »


    Au 19e siècle, l’écrivain Alexander Herzen décrivait le libéralisme laïc comme « l’ultime religion, bien que son église ne soit pas dans l’autre monde mais dans celui-ci ». Aujourd’hui, ce droit divin est bien plus violent et dangereux que n’importe quoi que le monde musulman crée, bien que peut-être son plus grand triomphe soit l’illusion d’une information libre et ouverte.


    Dans les nouvelles, des pays entiers sont appelés à disparaître. L’Arabie saoudite, la source de l’extrémisme et de la terreur soutenue par l’occident, n’est pas un récit, sauf quand elle pousse le prix du pétrole vers le bas. Le Yémen a subi 12 ans d’attaques américaines de drones. Qui sait cela ? Qui s’en soucie ?


    En 2009, l’Université de l’Ouest de l’Angleterre a publié les résultats d’une étude de 10 ans de couverture de la BBC du Venezuela. Des 304 reportages diffusés, seuls trois mentionnent des politiques positives introduites par le gouvernement d’Hugo Chavez. Le plus grand programme d’alphabétisation dans l’histoire humaine a à peine reçu une référence en passant. En Europe et dans les Etats-Unis, des millions de lecteurs et ceux qui regardent les TV ne savent pratiquement rien sur les changements de vie remarquables appliqués en Amérique latine, dont beaucoup inspirés par Chavez. Comme la BBC, les informations du New York Times, du Washington Post, du Guardian et le reste des respectable medias occidentaux étaient notoirement de mauvaise foi. On s’est même moqué de Chavez, sur son lit de mort. Comment explique-t-on cela, je me le demande, dans des écoles de Journalisme ?


    Pourquoi des millions de gens en Grande Bretagne sont-ils persuadés qu’une punition collective appelée « austérité » est nécessaire ? A la suite du crash économique en 2008, un système pourri a été dénoncé. Pendant une fraction de seconde les banques ont été alignées comme escrocs avec des obligations envers le public qu’elles avaient trahi. Mais, endéans quelques mois, - à part quelques-unes envoyées en l’air pour des « bonus » excessifs – le message a changé. Les photos d’identité judiciaire de banquiers coupables se sont évanouis des journaux et quelque chose appelé « austérité » est devenu le fardeau de millions de gens ordinaires. Y a-t – jamais eu un tour de passe aussi effronté ?


    Aujourd’hui beaucoup des prémisses d’une vie civilisée en Grande Bretagne sont démantelées afin de rembourser une dette frauduleuse – la dette d’escrocs. Les coupes de « l’austérité » sont estimées à £83 milliards. C’est presque exactement le montant d’impôts évité par les mêmes banques et des entreprises comme Amazon et Murdoch’s News UK. De plus, on donne aux banques malhonnêtes un subside annuel de £100 milliards en assurance libre et en garanties – un montant qui alimenterait complètement le Service de santé nationale. La crise économique est de la pure propagande. Des politiques extrêmes dirigent maintenant la Grande Bretagne, les Etats-Unis, et une grande partie de l’Europe, du Canada et de l’Australie. Qui se lève pour la majorité ? Qui raconte leur histoire ? Qui met les choses au point à ce sujet ? N’est-ce pas ce que les journalistes sont supposés faire ?


    En 1977, Carl Bernstein, fameux pour le Watergate a révélé que plus que 400 journalistes et d’exécutifs d’informations travaillaient pour la CIA. Ils comprenaient des journalistes du New York Times, du Time et de réseaux de TV. En 1991, Richard Norton Taylor du Guardian a révélé quelque chose de semblable dans son pays.

    Rien de tout cela n’est nécessaire aujourd’hui. Je doute que quelqu’un ait payé le Washington Post et beaucoup d’autres diffuseurs médiatiques pour accuser Edward Snowden d’aider le terrorisme. Je doute que quelqu’un paie ceux qui systématiquement diffament Julian Assange - bien que d’autres récompenses peuvent être abondantes. Il est clair pour moi que la raison principale pour laquelle Assange a attiré autant de venin, de malveillance et de jalousie est que WikiLeaks a mis par terre la façade d’une élite politique corrompue maintenues en haut par des journalistes. En proclamant une époque extraordinaire de révélations, Assange s’est fait des ennemis en illustrant et faisant honte aux portiers des médias, et pas le moins au journal qui a publié et s’est approprié cette grande exclusivité. Il est devenu non seulement une cible mais une poule aux œufs d’or. Des livres lucratifs et des accords de films à Hollywood ont été conclus et des carrières médiatiques lancées ou démarrées sur le dos de WikiLeaks et de son fondateur. Des gens ont fait beaucoup d’argent, tandis que WikiLeaks a lutté pour survivre.


    Rien de tout cela n’a été mentionné à Stockholm, le 1er décembre quand l’éditeur du Guardian, Alan Rusbridger, a partagé avec Edward Snowden le Right Livelihood Award, connu comme un Prix Nobel de la paix alternatif. Ce qui était choquant au sujet de cet événement était qu’Assange et WikiLeaks étaient évaporés. Ils étaient des non-personnes. Personne n’a parlé en faveur de l’homme qui a été le premier à dénoncer digitalement et a fourni au Guardian une des meilleures exclusivités dans l’histoire. De plus, c’était Assange et son équipe WikiLeaks qui ont effectivement et brillamment – sauvé Edward Snowden à Hong Kong et lui ont assuré la sécurité. Pas un mot. Ce qui a rendu cette censure par omission si ironique et poignante et scandaleuse était que la cérémonie se déroulait au Parlement suédois – où le silence veule sur le cas Assange était de connivence avec une grotesque erreur judiciaire à Stockholm.


    « Quand la vérité est remplacée par le silence, » disait le dissident soviétique Yevtushenko, « le silence est un mensonge ». C’est ce genre de silence que nous, journalistes, devons briser. Nous devons nous regarder dans un miroir. Nous devons appeler à la responsabilisation un média irresponsable qui sert le pouvoir et une psychose qui menace le monde d’une guerre mondiale.


    Au 18e siècle, Edmund Burke a décrit le rôle de la presse comme un Quatrième Etat contrôlant les puissants. Cela a-t-il jamais été vrai ? Cela ne marche certainement plus. Ce dont nous avons besoin est un Cinquième Etat : un journalisme qui contrôle, qui déconstruit et contrecarre la propagande et enseigne aux jeunes à être des agents du peuple, pas ceux du pouvoir. Nous avons besoin de ce que les Russes appelaient perestroika – une insurrection contre la connaissance assujettie. Je l’appellerais le journalisme réel.


    On est 100 ans après la Première guerre mondiale. Des journalistes alors ont été récompensés et ennoblis pour leur silence et leur collusion. Au sommet du massacre, le Premier ministre britannique David Lloyd George s’est confié à C.P. Scott, éditeur du Manchester Guardian : « Si les gens savaient vraiment (la vérité), la guerre serait arrêtée demain, mais bien sûr, ils ne savent pas et n’ont pas la possibilité de savoir. »


    Il est temps qu’ils sachent.


    *Sur Investig’Action (Toute l’info décodée par michelcollon.info) : La guerre par les médias et le triomphe de la propagande

    Traduction : Nicolas Caseaux.

    Source : http://johnpilger.com/articles/war-...

    Photo : Investig’Action


    Biographie (Wikipedia) : Pilger a été correspondant de guerre au Viêt-nam, au Cambodge, en Égypte, en Inde, au Bangladesh et au Biafra. L'un de ses premiers films, Year Zero (Année Zéro) a attiré l'attention de la communauté internationale sur les violations des droits de l'Homme commises par les Khmers rouges au Cambodge.

    Pilger a obtenu de nombreux prix de journalisme et d'associations des droits de l'Homme (le Prix Sophie en 2003), dont, deux fois, le prix britannique du Journalist of the Year.

    Cet activiste anti-guerre n'a de cesse de rappeler la responsabilité de ceux qui savent, des « intellectuels », aux misères et aux violences du monde :

    « Briser le mensonge du silence n’est pas une abstraction ésotérique mais une responsabilité urgente qui incombe à ceux qui ont le privilège d’avoir une tribune.1 »

    En outre, John Pilger possède son propre site web2 où il communique ses idées et ses craintes.

     

    http://www.france-irak-actualite.com/2014/12/la-guerre-par-les-medias-et-le-triomphe-de-la-propagande.html


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    Voici qui correspond à ce que j'allais écrre :

    On fait tout un plat de la mort de deux otages en Australie,

    et on tait l'atroce exécution de masse en Irak

    contre des sunnites opposés au terrorisme.

    La Presse française est en-dessous de tout...

    eva R-sistons

    MASSACRE. Irak : L’EI publie des photos d’une exécution de masse en Irak

    Posted on déc 16, 2014 @ 11:00

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    drapeauAh, l’Irak n’est pas l’Australie !


    Si vous avez les médias, vous avez le pouvoir réel. L’organisation terroriste Etat islamique (EI) a publié lundi des photos de l’exécution de 13 hommes, décrits comme des combattants sunnites opposés aux djihadistes, près de la ville de Tikrit, dans le nord de l’Irak. Ce qui veut dire simplement que ces gens tuent sans ménagement ceux qui ne leur ressemblent pas.


    Trois photos, publiées sur un forumdjihadiste et sur les réseaux sociaux, montrent l’exécution des hommes, vêtus d’une combinaison orange. Sur la première image, 11 hommes sont agenouillés, la tête inclinée, tandis que derrière chacun d’entre eux se tient un homme armé vêtu de noir, le visage dissimulé. Un drapeau noir del’EI est en arrière-plan. Les hommes sont décapités avec une violence inouïe, un degré jamais atteint auparavant. Même les Français qui égorgeaient les Camerounais en pays bamiléké ou bassa, n’ont pas atteint ce degré de barbarie


    Sur la deuxième photo, les hommes armés brandissent leurs armes après l’exécution et la troisième montre un petit attroupement comprenant des enfants auprès de 13 corps, qui ont été traînés depuis le centre du rond-point jusqu’à la route. Des habitants ont indiqué que le rond-point est à un croisement entre les routes menant aux villes de Tikrit, Kirkouk et Al-Alam.


    Selon eux, les hommes exécutés étaient des combattants tribaux sunnites opposés à l’EI, connus comme les Chevaliers d’Al-Alam, et qui avaient été capturés par les djihadistes à Tikrit et Al-Alam dix jours plus tôt. Tikrit, ville de feu Saddam Hussein, est contrôlée par l’EI depuis le début de la grande offensive des djihadistes en Irak il y a six mois.

    http://allainjules.com/2014/12/16/massacre-irak-lei-publie-des-photos-dune-execution-de-masse-en-irak/
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  • Information à vérifier.

    Qui en dirait long sur l'état de la France-barbouze...

    Fausse immatriculation russe,

    armements POUR les terroristes de Boko Haram,

    noir dessein: Partition Nigéria-Cameroun,

    et NOTRE Armée enrôlée pour des opérations ignobles...

    J'ai honte de cette France ! eva R-sistons

     

    LA VRAIE RAISON DE L’ESCALE DE FRANCOIS HOLLANDE A L’AEROPORT INTERNATIONAL DE MOSCOU

    http://www.alterinfo.net/LA-VRAIE-RAISON-DE-L-ESCALE-DE-FRANCOIS-HOLLANDE-A-L-AEROPORT-INTERNATIONAL-DE-MOSCOU_a108657.html



    Mercredi 10 Décembre 2014



    LA VRAIE RAISON DE L’ESCALE DE FRANCOIS HOLLANDE A L’AEROPORT INTERNATIONAL DE MOSCOU

    # PCN-SPO/ LA VRAIE RAISON DE L’ESCALE DE FRANCOIS HOLLANDE A L’AEROPORT INTERNATIONAL DE MOSCOU
     
    Revue de Presse : Quand l’Armée française fait le sale boulot de la CIA et arme les djihadistes de Boko Haram …
     
    PCN-SPO avec Groupe Europäischer Widerstand sur Facebook/
    2O14 12 09/
    http://www.scoop.it/t/pcn-spo
    https://www.facebook.com/PCN.NCP.press.office
     
    Selon plusieurs sources concordantes, diffusées sur les Réseaux sociaux, la véritable raison de l’escale de François Hollande à l’Aéroport International de Moscou du samedi 6 décembre 2014 serait l’arrestation à l’Aéroport International de Kano (Nigeria), dans la nuit du vendredi 5 ou samedi 6 décembre , de plusieurs militaires français de l’opération Barkhane.
     
    Ces militaires français dont la base logistique est située à Ndjamena au Tchad, sont en réalité l’équipage d’un avion-cargo AVEC UNE FAUSSE IMMATRICULATION RUSSE, transportant une quantité importante d’armes et de munitions. Cet appareil qui avait pour destination finale Ndjamena (QG de l’Opération Barkhane) a été contraint pour des raisons techniques à atterrir à l’Aéroport International d’Aminu à Kano dans le nord du Nigeria. Dès son atterrissage, les autorités Nigérianes ont découvert un important arsenal à bord de l’avion sans qu’il n’existe de documents justificatifs.
     
    L’AMBASSADE DE LA FÉDÉRATION DE RUSSIE AU NIGERIA A IMMÉDIATEMENT DÉCLARÉ FAUSSE L’IMMATRICULATION DE L’AVION-CARGO EN PRÉCISANT QUE LE GOUVERNEMENT RUSSE N’ÉTAIT PAS CONCERNÉ PAR CETTE AFFAIRE DE CARGAISON D’ARMES TROUVÉE DANS L’APPAREIL.
     
    Il est de notoriété publique que les autorités Nigérianes accusent depuis plusieurs semaines le Tchad – d’où sont redéployées les forces française dans le cadre de l’opération Barkhane - de servir de base arrière aux éléments de Boko-Haram qui mènent des attaques meurtrières contre plusieurs localités du Nord Est du Nigeria.
     
    LA PRESSE NIGÉRIANE, TOUT COMME CELLE DU CAMEROUN, ACCUSE DE PLUS EN PLUS LA FRANCE ET LES USA DE SE CACHER DERRIÈRE BOKO-HARAM POUR ACCOMPLIR UN NOIR DESSEIN : CELUI DE LA PARTITION DU NIGÉRIA ET DU CAMEROUN
     
    Tout indique donc que l’escale Moscovite de François Hollande visait à « régler de manière diplomatique » les conséquences d’une OPÉRATION « BARBOUZE » ayant foiré. L’opération a foiré, car c’est le pilote du « faux avion russe » lui-même qui a demandé l’autorisation aux autorités aéroportuaires Nigérianes d’atterrir, à cause de problèmes mécaniques.
     
    La rencontre de toute urgence de Vladimir Poutine avec François Hollande, et à la demande du dernier cité, pour parler de l’Ukraine dans l’enceinte de l’Aéroport International de Moscou est tout à fait ridicule. C’est parce que la France s’est fait prendre la « main dans le sac » (probablement à la demande de Washington) que François Hollande s’est senti obligé de rencontrer le Président Poutine. Il faudra suivre avec attention, la manière dont Moscou et Abuja vont réagir face à cette attaque contre leur nouvelle alliance militaire. A l’heure actuelle, l’équipage Français est toujours détenu à l’Aéroport International de Kano.
     
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    Une nouvelle occasion de stigmatiser Islam, Musulmans... et artificiellement l'Iran, et de justifier toutes les croisades et chocs de civilisations ! La normalité, aujourd'hui, c'est l'islamophobie. Sans doute un fait divers avec comme protagoniste un cinglé ! Ou un manipulé de plus ! Eva R-sistons 

    Australie/Otages: le preneur d'otage est...!!!!

    Australie/Otages: le preneur d'otage est...!!!!  
    IRIB-on le voyait venir !!!

    la crise de la prise d'otage en Australie s'est achevée sur une révélation à dormir debout : le preneur d'otage est un "réfugié d'origine iranienne ayant un casier judiciaire"!!! " il s'agirait en plus d'un "religieux iranien salafiste" puisqu'il " aurait hissé en haut du club où il retenait ses 40 otages d'abord un drapeau de Daech puis un drapeau d'Al Nosra ".... vers 15 heures de l'après midi, les sources proches du ministère australien de la justice annonce avoir identifié le preneur d'otage sans toutefois vouloir révéler son nom et sa nationalité. très bizarrement Reuters suivi de l'AP devancent le ministère australien et rend public le nom de ce mystérieux otage, " un cheikh fautif, le dénommé Haroun Mounes"! aussitôt après un flot d'images, de textes bioraphiques sur ce curieux personnage dont tout, à savoir  attitude, foi takfiri , voire le nom, a étonné les iraniens est publié par les agences de presse occidentaux . En plus , une dernière information nous apprend qu'il a brûlé vif sa première femme et qu'il a quitté l'Iran en 96 pour se réfugier en Australie pour " sa lecture trop libérale de l'Islam"!!!! dans cette avalanche d'info les unes plus contardictoires que les autres, il y a aussi une dernière remarque : le preneur d'otage aurait demandé aux otages de contacter une radio locale pour annoncer au monde entier qu'il soutient Daech et qu'il fait tout à la demande de Daech!! puis il aurait demandé aux otages de hisser le drapeau d'al Nosra ...ces informations sont impossibles évidemment à vérifier dans la mesure où le preneur d'otage est à l'heure qu'il est, mort ..... pour les lecteurs du site Frenchirib, cette information relève d'une véritable blague !!!

    Que faut-il conclure de cette affaire ? il semblerait que l'Australie en fidèle allié des Etats Unis cherche à coller à l'Iran et aux Iraniens, une étiquette qui ne leur colle pas ... Daech et Al Nosra et autres n'ont d'ailleurs cesse de commettre leur crime au nom de la haine anti chiite... l'Occident cherche-t-il désespérement à lier l'Iran et les iraniens à Daech? à suggérer que Daech à des soutiens en Iran? si oui le combat est perdu d'avance !!!
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    http://french.irib.ir/info/international/item/352403-australie-otage-le-preneur-d-otage-est
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