• Trafic d'organes en Ukraine - Israël auteur du rapt des 3 jeunes pour redevenir victime?

     

    Trafic d’organes en Ukraine. L’horreur monte d’un cran


    Trafic d’organes en Ukraine. L’horreur monte d’un cran

    Plus les guerres menées sont sordides, plus il y a de corbeaux. Bien entendu, il y a ceux qui font le sale bouleau mais il y a aussi les principaux profiteurs qui volent aux gens leurs organes vitaux pour les revendre aux nantis habitant d’autres pays, voire d’autres continents.

    Ces Frankenstein qui profitent des plus grandes souffrances ne diffèrent en rien des nazis qui fabriquaient des abat-jours en peau humaine ou, à plus grande échelle, de ceux qui tuent au nom de leurs intérêts économiques en ayant le cynisme d’invoquer, dans un esprit évangélique, la démocratie.

    Lorsque les épouvantables chroniques de la « maison jaune » ont gagné les médias, on croyait plus à un film d’horreur qu’à une réalité symptomatique du drame kosovar. La Yougoslavie n’existe plus. En revanche, il reste toujours des gens condamnés à vivre avec un seul rein ou un seul poumon. D’autres sont morts dépecés sans nulle anesthésie. Leurs noms sont toujours liés à la sinistre affaire Medicus qui ne suscita rien d’autre qu’un rire homérique chez Kouchner, très indirectement mis en cause par Carla Del Ponte, Dick Marty et Pierre Péan qui reprendra leurs arguments. Les résistants blessés de Donetsk et de Lougansk, subiraient-ils ce qu’avait dû subir le jeune Sacha Milivojév qui, resté en vie par un heureux concours de circonstances, a par la suite écrit un témoignage frappant intitulé « Le garçon de la maison jaune » ?

    Aucune envie de faire de procès d’intention. Jusqu’à preuve du contraire, les faits sont là, lancinants et saillants. La correspondance de l’ex-avocat de Ioulia Timochenko avec une chirurgienne allemande, Olga Wieber et le commandant du bataillon « Donbass », Semione Sementchenko, révèle l’immonde réalité du trafic d’organes perpétré en ce même moment, au moment où j’écris ces lignes, dans le Sud-Est ukrainien. Voici deux extraits de cette correspondance que vous pouvez découvrir dans sa version intégrale sur le site des « Moutons enragés », la première source française à avoir relayé l’évènement. A préciser que les abréviations utilisées par M. Vlassenko se déchiffrent comme « cœur » pour « cor », « rein » pour « per », « foie » pour « hep », « pancréas » pour « pan » et « poumons » pour « pul ». Quant au terme technique de « matériau », il désigne les organes prélevés.

    22 février 2014. Wieber à Vlassenko : « Voilà ce qu’il faut – 5 cor, 12 per, 3 hep, 3 pan, 1 pul ».

    Réponse de Vlassenko au même : « C’est clair. Nous pouvons faire plus, tu sais les nouvelles, au moins ? Réfléchis, trouve quelqu’un, nous augmenterons les lots !!! ».

    22 mai 2014. Vlassenko à Wieber : « A qui iront-ils encore s’adresser ??? Et ici, la mitraille, les mines explosent, comment livrer tes gens ? Que ce soient tes épices ou les miennes, garantir la sécurité est très difficile, comprends-le. Il faut emporter le matériel soi-même ! » (…).

    Wieber à Vlassenko : « Faites au moins comme vers Alexandrovka !!! Ne me laissez pas tomber ! Cherchez plus de matériel, qu’on puisse en choisir du meilleur ».

    26 mai 2014. Vlassenko à Sementchenko : « Nous avons reçu beaucoup de marchandises de mauvaise qualité ; nos commanditaires ne sont pas contents ! Vous devez tout faire de façon opérationnelle Dépêchez-vous, parce que si vous ne faites pas rentrer cela en 14 heures à partir du moment du prélèvement, nous recevons seulement 30 % de la valeur ! Et cela veut dire que vous ne recevrez pas votre équipement, tu comprends ? » (…).

    Je pense qu’il est difficile d’interpréter ces extraits de correspondance – et la version intégrale renforce encore davantage l’impression qui en ressort – autrement que cela n’a été fait par ceux qui ont découvert la contenu de cette correspondance et se sont empressés de la publier sur leurs comptes.

    Slobodan Despot, écrivain et directeur des éditions Xenia, a plus d’une corde à son arc. D’origine serbo-croate, il est bien versé dans l’histoire de la tragédie serbe au Kosovo et a bien voulu nous donner son point de vue sur l’Ukraine qui elle aussi traverse l’un des pires génocides perpétrés en pleine Europe ces dernières décennies.

    La Voix de la Russie. « La correspondance de l’ex-avocat de Timochenko avec une chirurgienne allemande, Olga Wieber, a révélé la réalité d’un trafic d’organes lancé dans le Sud-Est ukrainien. Peut-on établir un parallèle entre ce qui s’est passé sur ce plan au Kosovo et ce qui ressort des courriels de Vlassenko-Wieber ? Plus particulièrement, est-ce que, les faits remontant à bien loin et ayant été rigoureusement traités par Carla Del Ponte, une suite a été donnée au dossier du trafic d’organes au Kosovo ?

    Slobodan Despot. La question du trafic d’organes qui s’est produit au Kosovo est mentionnée dans le livre de Mémoires de Mme Del Ponte où elle décrit son travail en tant que Procureur du Tribunal pénal international. Cependant, il y a eu une enquête beaucoup plus approfondie menée par le magistrat et député suisse Dick Marty qui ensuite a fait un rapport sur les résultats de cette enquête auprès du Conseil de l’Europe. Celle-ci a établi l’existence d’un trafic d’organes prélevés sur des prisonniers le plus souvent civiles serbes par des médecins ou des paramédicaux liés à l’UÇK en Albanie. Par la suite, ces organes, d’ailleurs prélevés dans des conditions absolument abominables sur des personnes qui quelquefois n’étaient même pas anesthésiées, étaient ensuite revendus, via un réseau international, notamment en Turquie et ailleurs, pour des transplantations attendues par des patients qui avaient les moyens de se les payer. Ce que l’on a d’une part établi, c’est l’implication dans ce trafic de responsables de très haut niveau parce qu’il est impossible d’organiser ce genre de chose de manière totalement clandestine, le transport d’organes vivants nécessitant une infrastructure importante, une rapidité d’intervention et des compétences médicales qu’on ne trouve pas partout. D’autre part, on a constaté qu’il y avait subitement une très forte demande puisque ces organes étaient immédiatement envoyés en Turquie et dans les pays de l’Europe occidentale.

    Par conséquent, il est hautement crédible que sur un terrain comme celui de l’Ukraine des choses similaires puissent se produire. Ce qui est beaucoup plus difficile, à l’heure actuelle, c’est de prédire comment cette vérité, si ça en est une, va arrivez jusqu’à la conscience du grand public. Je vous rappelle que les révélations de Mme Del Ponte n’ont pas soulevé une grande indignation dans le monde occidental et que le député Dick Marty, qui a fait un travail véritablement héroïque et s’est exposé à des dangers personnels pour boucler son enquête, n’a été nullement récompensé de cet effort. Au contraire, son enquête a été plus ou moins enterré par le Conseil de l’Europe et n’a donné suite à aucune sanction, aucune démarche politique en direction des autorités du Kosovo qui en tout cas étaient au courant de ce trafic.

    Une dernière chose. Je pense que l’on risque, cette fois en Ukraine, d’avoir affaire au même mur de silence. D’une part, il s’agit d’un fait n’allant pas dans le sens de la répartition des rôles qui a été établie une bonne fois pour toutes dans le cadre de la crise ukrainienne. D’autre part, il est probable que l’existence d’un tel trafic toucherait des intérêts de très grande importance de personnes très influentes en Occident qui feront tout ce qui est en leur pouvoir pour que ces choses-là ne ressortent pas à la lumière du jour !

    Quoi qu’il en soit, le précédent kosovar existe. Il a été documenté, les faits sont prouvés. Je vous rappelle aussi que cela s’est passé sous l’autorité d’un préfet du Kosovo nommé par l’OTAN, en l’occurrence, M. Bernard Kouchner, qui était censé savoir ce qui se passe dans ce petit territoire sous son gouvernement et qui, lorsqu’un journaliste lui a posé la question de l’existence du trafic d’organes, lui a suggéré d’aller se faire soigner dans un asile psychiatrique.Les Occidentaux vont donc nier jusqu’au dernier moment les preuves les plus évidentes d’un tel trafic ».


    Commentaire de l’auteur. Correspondance à l’appui, témoignages recueillis ici et là, il y a tout lieu de croire que le trafic d’organes version ukrainienne est loin de relever de la fiction. Des cadavres d’insurgés vidés de leurs organes vitaux ont été retrouvés le mois dernier dans la région de Lougansk. Or, la garnison militaire d’Alexandrovka où de violents affrontements ont eu lieu fin mai est précisément située dans cette région. Les tragédies kosovar et syrienne, pour ne citer que deux exemples, nous montrent bien que le chaos orchestré n’est jamais qu’un écran de fumée destiné à servir le parasitisme des puissances déclinantes. Quant au cynisme déployé, devrait-il continuer à nous étonner sachant que certains restaurants kiéviens proposent un nouveau plat désormais connu sous le nom métaphorique de « doryphore cuit à l’Odessite ». Je décrypte : les loyalistes ukrainiens de doryphore (Colorado en russe) les pro-russes de l’Est, par référence aux couleurs du Ruban de Saint-Georges, symbole de la lutte contre le nazisme. Sachant ce qui s’est passé à Odessa, je pense inutile de commenter au-delà.

     

    Lire la suite: http://french.ruvr.ru/radio_broadcast/217362642/274374444/

     

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    Benjamin Netanyahu a déjà remaillé militairement toute la Cisjordanie

    Le rapt des 3 adolescents israéliens est un coup monté, selon les Palestiniens

    Par : Djamel Bouatta

    L’affaire des enlèvements des 3 adolescents israéliens en Cisjordanie, dans une colonie juive, est une action pour discréditer les Palestiniens aux yeux d’une opinion mondiale lassée par l’impunité de l’Etat hébreux. Le ministre palestinien des AE évoque en effet un “jeu” de la part du Premier ministre israélien pour susciter la compassion des pouvoirs occidentaux et de leurs opinions. Mais aussi et surtout pour que ses violations quant au droit des Palestiniens à un Etat national passent comme un fait accompli irréversible, indiscutable. Le ministre israélien des AE, l’ultra anti-arabe et islamophobe, se comporte déjà comme si le processus d’Oslo, qui fixe les feuilles de route des négociations israélo-palestiniennes, est enterré. Avigdor Lieberman a, lui, pris les devants en déclarant dimanche persona non grata Robert Serry le coordinateur de l’ONU pour le processus de paix au Moyen-Orient, au motif que celui-ci a proposé l’assistance de l’organisation internationale pour résoudre la crise des salaires impayés de fonctionnaires palestiniens à Gaza. Serry souhaitait transférer un don qatarien de 60 millions de dollars destiné à payer des employés de services publics sans ressources depuis plusieurs mois.

     

    Le leader de la droite sioniste n’a jamais caché son projet de construction du mythique Grand Israël, du Jourdain à la Méditerranée, avec à la clef, l’expulsion de tous les Palestiniens.

     

    Jérusalem, en rébellion ouverte contre l’ONU et ses organismes spécialisés, est également mis sur le gril par l’Union européenne, lassée de voir ses réalisations dans les territoires palestiniens partir en fumée et de moins en moins complexée par la shoah, registre du commerce d’Israël. L’ONU et l’UE sont ainsi menacées par Avigdor Lieberman de ne plus obtenir de visas diplomatiques. Benyamin Netanyahu a chargé le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon à qui il a signifié qu’il s’est opposé à ce transfert de fonds qatariens au Hamas qui administre encore Gaza, qu’il estime responsable de “l’enlèvement” le 12 juin des 3 jeunes Israéliens en Cisjordanie.

     

    De fait, le Premier ministre d’Israël cherche à réenclencher une nouvelle crise entre Gaza et la Cisjordanie qui sont parvenus début juin à constituer un gouvernement d’union pour mettre un terme aux années de crise entre les deux principales factions palestiniennes, le Hamas et le Fatah, et préparer de nouvelles élections législatives et présidentielle d’ici la fin de l’année. La piste du ministre palestinien est d’autant plus crédible que les médias internationaux ne traitent plus que présumé enlèvement des jeunes Israéliens, alors que jusqu’ici Netanyahu n’a avancé aucune preuve que Hamas était responsable de l’enlèvement ou derrière cette opération. Maliki, le ministre des AE de l’Autorité palestinienne, a expliqué au quotidien saoudien Asharq Al-Awsat de Djeddah, qu’en l’absence de preuve, il y a deux  scénarios possibles : l’enlèvement pourrait être un jeu de la part d’Israël pour redevenir la “victime”, il pourrait faire partie d’un autre jeu pour “détourner” l’attention de son refus d’accéder aux résolutions internationales imposant l’Etat de Palestine, reconnu en partie par l’ONU. S’ils ont été vraiment enlevés, les adolescents auraient pu être victimes de “criminels juifs, criminels palestiniens ou des criminels palestino-juifs” qui ont effectué le kidnapping pour leurs propres objectifs personnels, a déclaré Maliki, sans trop y croire, car l’enlèvement s’est déroulé dans une colonie juive de Cisjordanie hautement sécurisée.

     

    http://www.liberte-algerie.com/international/le-rapt-des-3-adolescents-israeliens-est-un-coup-monte-selon-les-palestiniens-benjamin-netanyahu-a-deja-remaille-militairement-toute-la-cisjordanie-223813

     

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    Un de mes tweets :

     

    Raté ! Israël voulait avec les trois étudiants émouvoir la planète, or le monde doute de la version des Hébreux, et s'émeut de la barbarie sur les deux jeunes Palestiniens !
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    Par Samer R. Zoughaib

    L'une des principales sources de financement des extrémistes de l'«Etat islamique» (EI, ou Daech) d'Abou Bakr al-Baghdadi, en plus des dons d'associations salafistes du Golfe, des pillages, et du racket, est la contrebande du pétrole.
    Jeudi, l'organisation terroriste a pris le contrôle des principaux champs pétroliers et gaziers de la province de Deir Ezzor, dans l'est de la Syrie et à la frontière avec l'Irak. Il s'agit du champ d'Al-Omar, le plus grand du pays, avec une capacité de production de 75000 barils par jour avant la guerre. Aujourd'hui, le site produirait quelque 10000 barils. Quelques heures plus tard, l'EI s'est emparé du champ d'Al-Tanak dans la zone désertique d'Al-Chouaitat, dans l'est de Deir Ezzor.
    Al-Tanak et Al-Omar étaient les derniers grands champs de cette province pétrolifère qui échappaient encore au contrôle de l'EI. Ils ont été pris au Front al-Nosra, la branche syrienne d'Al-Qaïda, qui s'est quasiment effondrée à Deir Ezzor.
    Aujourd'hui, l'EI contrôlerait 8 des 11 champs de pétrole de Deir Ezzor.
    Depuis mi-2012, les membres de tribus syriennes et les «rebelles» se sont lancés dans la contrebande, après avoir pris le contrôle des pipelines, des sites de forage et des réservoirs de stockage.
    Des milliers de barils de brut sont acheminés illégalement en Turquie, à l'aide de petits navires sur l'Euphrate ou des camions-citernes empruntant des chemins de ferme. Le prix du baril dépend de la qualité du pétrole brut et du coût du transport. Il varie entre 5 et 50 dollars. On estime à un million de dollars par jour les rentrées générées par ce trafic lucratif.
    Le même phénomène a lieu en Irak. Fin 2006, un conflit a opposé les extrémistes de l'Etat islamique en Irak ( EII, devenu aujourd'hui l'Etat islamique) aux tribus irakiennes pour le contrôle de la contrebande pétrolière le long de la route qui relie Amman à Bagdad. Plus tard, l'EII a mis la main sur la contrebande pétrolière dans la province d'Al-Anbar et plus au nord, avec des points de passage entre l'Irak et la Syrie.

    Partage avec les tribus

    Par la politique du bâton et de la carotte, l'organisation d'al-Baghdadi a progressivement pris le contrôle de toute l'infrastructure de contrebande, soit en partageant les bénéfices avec les tribus, soit en s'accaparant la totalité des recettes.
    Des milliers de barils de pétrole syrien et irakien sont donc vendus sur le marché turc, via des intermédiaires. Ceux-ci sont bien connus des autorités turques, et il s'agit souvent de personnes proches du régime ou de l'AKP, le parti au pouvoir de Recep Tayyeb Erdogan. Le brut de contrebande transite par les régions de de Tall Abiad ou d'al-Bab.
    Le pétrole est écoulé sur le marché local et l'huile est raffinée en Turquie, une partie du brut trouve son chemin vers les marchés de certains pays européens.
    La Turquie profite de la décision prise par l'Union européenne (UE), le 22 avril 2013, de lever partiellement son embargo pétrolier à l'encontre de la Syrie afin d'aider «l'opposition» dans sa guerre contre le président Bachar al-Assad.
    Réunis à Luxembourg, les ministres européens des Affaires étrangères de l'UE ont décidé d'autoriser, «sous conditions», l'importation de brut produit en Syrie, l'exportation d'équipements dans le secteurs pétrolier et gazier ainsi que les investissements dans ces domaines.
    Selon l'Agence France presse (AFP), les ministres ont jugé «nécessaire» d'«introduire des dérogations» aux sanctions dans le but d'«aider la population civile syrienne, en réponse aux problèmes humanitaires et pour restaurer une activité économique normale», ont-ils indiqué dans les conclusions de leur réunion.
    Cette décision d'alléger l'embargo est toujours en vigueur aujourd'hui. L'argent du contribuable européen et américain qui finance l'Otan, dont la Turquie est l'un des principaux membres, fini donc dans les poches du «calife» Baghdadi. Ce dernier utilise cet argent pour entrainer des milliers de «jihadistes» occidentaux, qui rentreront un jour dans leurs pays d'origine pour commettre des attentats terroristes.
    Voilà comment l'Europe est en train de financer sa propre destruction. Une situation d'une absurdité sans limite.

     

    Source : Al-Ahednews

     

    http://french.alahednews.com.lb/essaydetails.php?eid=12410&cid=324#.U7qmMlm_7CE.twitter


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