• LA VOIE DEMOCRATIQUE    nahjlogo       L e 5 avril 2011

     

    Monsieur Le Président de La République Française, NicolasSarkozy

    Objet : Ambassade de France au Maroc

     

     

    Monsieur le Président de la République Française

    Des fonctionnaires de l’ambassade de France au Maroc, sont, sur instruction de Monsieur l’Ambassadeur de France au Maroc, entrés en contact avec des jeunes marocains faisant partie du mouvement du 20 février

    D’après le journal marocain AKHBAR EL YOUM, ces fonctionnaires ont demandé à ces jeunes d’accepter les propositions du roi annoncées dans son discours du 09 mars 2011 visant la modification de quelques articles de la constitution. Ils ont insisté auprès de ces jeunes pour dénigrer le travail et la volonté de changement radical portés par le parti de « La Voie Démocratique » : celui-ci revendique une assemblée constituante, seule habilitée à traduire la volonté du peuple marocain dans une constitution qui sera proposée au référendum. Notre parti œuvre pour un changement réel qui rend sa volonté au peuple marocain et qui fait de lui la source unique du pouvoir et le seul détenteur de la souveraineté. Cette volonté s’exprimera dans les urnes

    Nous considérons de tels agissements comme une ingérence inacceptable dans les affaires intérieures du Maroc que nous refusons et condamnons.

    Nous vous interpelons, Monsieur le Président, pour que cessent ces comportements inadmissibles

    Dans l’attente d’une réaction circonstanciée de votre part, nous vous prions de croire, Monsieur le Président de la République Française, en l’assurance de nos salutations distinguées


    LA VOIE DEMOCRATIQUE

     

     

     

    http://www.annahjaddimocrati.org/fr/index.htm


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  • La fin des USA ?

     

    Gilles Bonafi

     

    extraits

     

    Comme vous le savez tous, la crise est terminée. Voici une succession d'analyses sur la situation chaotique des USA basée sur les données de l'Office of the Comptroller of the Currency (OCC, trésor US) ainsi que ceux du centre de recherche de la fed de St Louis. Du très fiable donc.

    Explosion des saisies immobilières aux USA en 2011

    Le moratoire sur les saisies immobilières touchant à sa fin les saisies réelles vont donc à nouveau exploser. Les dossiers d'instruction de saisies immobilières sont ainsi passés de 1 201 622 à 1 290 253 soit une augmentation de 7,4 % ce qui représente 14 024 saisies par jour !

    Explosion du chômage de longue durée

    Inflation ou l'hyperinflation ?

    Effondrement du dollar et North American Union

    http://mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=24191

     

    Lire aussi :

     

    http://www.express.be/business/fr/economy/7aa6cff1221e92c44750e1ebcd508927-71/143841.htm

    .

    http://storage.canoe.ca/v1/blogs-prod-static/mediam/amrica.jpg

    http://storage.canoe.ca/v1/blogs-prod-static/mediam/amrica.jpg

     

    La Chine va-t-elle lâcher l'Amérique finie ?

     

     

    ▪ Vous ne connaissez sans doute pas Zhang Yuyan ? Moi non plus... jusqu'à ce mercredi matin. Ce Chinois est le "directeur de l'institut de politique et d'économie mondiale à l'académie des sciences sociales chinoises". Pour avoir un titre pareil, il est sans doute un bon petit soldat du régime...

    Eh bien figurez-vous que ce M. Zhang a déclaré lors de sa dernière conférence de presse : "la dépréciation du dollar est la tendance prévue à long terme". C'est une des premières fois qu'un économiste chinois fait une sortie aussi nette sur la tendance de la devise américaine et surtout sur l'inquiétude que cela génère en Chine.

    ▪ Pas de doute, la Chine est inquiète pour son trésor de guerre...
    La politique de dévaluation compétitive menée par le Trésor US et la Fed pour doper l'économie américaine, n'est pas du goût de la Chine qui voit ses montagnes de dollars de réserves fondre comme neige au soleil.

     

    La Chine veut bien financer le déficit de la cigale américaine, mais sûrement pas si le pays tire à boulets rouges sur ses économies. L'avertissement est net : Pékin est prêt à lâcher Washington si ces derniers n'envoient pas de signes clairs de préservation de la valeur du billet vert.

    ▪ ... Et menace la dette américaine
    La Chine, premier créancier des Etats-Unis, met ainsi sous pression les décideurs américains, et en premier lieu Ben Bernanke. Or ce dernier est pris en étau, avec deux camps qui s'affrontent au sein même du comité monétaire.

    - D'un côté, les partisans d'une hausse de taux visant à envoyer un signal rassurant aux créanciers et aux agences de notations.
    - De l'autre, ceux qui veulent abreuver les marchés de liquidités pour préserver les résultats en trompe-l'oeil d'une croissance poussive.

    Une chose est sûre : les Etats-Unis ont besoin de financer leur dette astronomique et ne peuvent se permettre d'inquiéter davantage encore leurs prêteurs. Une hausse de taux sera inévitable, surtout qu'un invité surprise arrive dans le débat : l'inflation !

    ▪ L'inflation va sonner la fin de la récréation
    L'inflation, encore ignorée et minorée par les chiffres américains, est de retour et se moque bien de savoir si l'emploi s'améliore ou si la confiance des consommateurs est au beau fixe. Le seul remède pour lutter contre l'inflation : une hausse des taux. Voilà qui va sonner la fin de l'argent facile aux Etats-Unis.

    Les marchés vont pouvoir reprendre leurs droits après une période d'intenses manipulations et de sauvetages artificiels en tout genre. Je traduis : les spéculateurs vont massivement se dégager de leurs positions. Je m'explique...

    ▪ La fin du dollar carry trade
    Grâce à des taux historiquement bas, le dollar, à l'instar du yen, est devenu un vecteur du carry trade. On emprunte des dollars à bas coût, puis on les vend pour les placer dans des devises rémunératrices comme le dollar australien. Objectif : encaisser le différentiel de taux.

    Que va-t-il se passer si la Fed remonte ses taux ?  Les spéculateurs pris en étau vont devoir vendre leurs positions en catastrophe et racheter du dollar pour rembourser leurs emprunts. Ce dégagement massif provoquera alors une forte poussée du billet vert.

    C'est la clé des marchés des changes dans les prochains temps : la réduction naturelle des écarts de taux au nom de la maîtrise de l'inflation.

    ▪ Euro : en attendant la chute...
    Nous voici donc aujourd'hui avec un dollar condamné par tous, et qui a de très bonnes raisons de rebondir demain. En face, l'euro est à des plus hauts de 15 mois face au billet vert. Et poursuit sa hausse en attendant l'implosion d'une Zone euro sans gouvernance ni sans conviction. Pourquoi monte-t-il ?

    Tout simplement parce que tout le monde est focalisé sur la hausse des taux de Jean-Claude Trichet, en s'imaginant que les mauvaises nouvelles sont déjà intégrées dans les cours.

    Erreur ! Croyez-moi, les mauvaises nouvelles ne sont pas encore arrivées. La Grèce, le Portugal, L'Espagne, l'Italie et la France (oui, vous avez bien lu) ne pourront supporter un resserrement monétaire sans voir leur croissance retomber comme un soufflé.

    ▪ Euro/dollar : retour vers les 1,2850 ?

    (Chronique Agora)

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    Le modèle américain n'a plus de sens

    Bill Bonner

     

    ▪ "La hausse des prix du pétrole commence à freiner les conducteurs [américains]", titrait hier le Financial Times.

    Comme prévu, les politiques d'argent facile des autorités se transforment en difficultés pour la classe moyenne. Les prix du pétrole ont grimpé en même temps que le bilan de la Fed. Pour chaque dollar ajouté par la Fed, le prix du pétrole a grimpé aussi. Pour lire la suite...

     

    Et si le genre de séïsme que redoute Wall-Street était d'abord politique ? Pour lire la suite...

     

    Retrouvez-nous en ligne sur :
    http://www.publications-agora.fr
    http://www.la-chronique-agora.com

     

     

    Le 16 mai, le gouvernement américain

    devra fermer ses portes

    Gilles Bonner

     

    (..) Où est-ce que tout ça nous mènera ? A nouveau, si l'on regarde l'ensemble du tableau, les autorités continueront à injecter de l'argent et du crédit faciles... et puis l'inflation finira par arriver.

     

    Le gouvernement va devoir fermer le 16 mai, selon le Secrétaire au Trésor US, Tim Geithner. Selon lui, c'est à ce moment-là qu'on atteindra le plafond d'endettement pour l'Etat américain. Et dans la mesure où le gouvernement fonctionne avec de l'argent emprunté, s'il ne peut plus emprunter, il devra éteindre les lumières et fermer la porte derrière lui.

    Nous avons vu passer un rapport selon lequel, durant le mois de mars, les autorités américaines ont dépensé huit fois plus qu'elles n'ont récolté en taxes. Un mois atypique, certes... mais peut-être de mauvais augure.

    La rumeur veut que pas mal de gens aimeraient voir le gouvernement en cessation d'activité -- au moins temporairement. Les adeptes du Tea Party pensent que ça enverra un message à la nation... et facilitera les coupes budgétaires. Les démocrates veulent que le gouvernement ferme parce qu'ils pensent que les électeurs seront consternés, ce qui saperait le soutien aux républicains.

    En ce qui nous concerne, nous voulons juste voir ce qu'il se passerait.

    Rien, probablement. Mais pour ceux qui meurent d'envie de mettre le feu à une forêt nationale... de dévaliser une réserve fédérale... ou de faire exploser un bureau de poste...

    ... C'est un jour à marquer d'une croix rouge sur le calendrier !

     

    http://www.publications-agora.fr
    http://www.la-chronique-agora.com

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    Après le printemps arabe,

    bientôt une grève générale aux États-Unis ?

     

    http://www.bastamag.net/article1494.htm


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  • U.E. : Pacte pour l'Euro plus,

    pacte de destruction des droits sociaux

     

     

    Patrick Le Hyaric
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    Crise économique et sociale en Europe : Le Conseil européen des 24 et 25 mars a adopté un pacte, au mépris des Parlements nationaux et du Parlement européen, dont les dispositions vont encore plus loin que le traité de Lisbonne en matière d’austérité et de destruction des droits sociaux.
    Crise économique et sociale en Europe : Le Conseil européen des 24 et 25 mars a adopté un pacte, au mépris des Parlements nationaux et du Parlement européen, dont les dispositions vont encore plus loin que le traité de Lisbonne en matière d’austérité et de destruction des droits sociaux.
    Commentaire :

    Alors, à quand cette pétition citoyenne, je suis certaine que le million sera vite atteint ? C’est même une pétition qui peut exploser en nombre.

    Faut-il que l’on entame une marche vers le Conseil européen avec pelles, râteaux, pavés, etc…. pour se faire entendre ?

    La voilà votre Europe :

    http://www.ladepeche.fr/article/2011/04/07/1053212-Albi-Morte-seule-avec-son-chien-a-ses-cotes-depuis-50-jours.html#xtor=EPR-1

    http://www.ladepeche.fr/article/2011/04/07/1053705-Apres-le-plombier-polonais-les-gaziers-portugais.html#xtor=EPR-1

    Magnifique n’est-ce pas.. et c’est tous les jours comme ça !!!

     

     

    Heureusement qu'il y a les Elus communistes pour tirer la sonnette d'alarme et dénoncer !

    Un million de signatures permettrait de changer ce Pacte ignoble..

    (note d'eva)

     

     




     

     

    Pétition en faveur des Plantes Médicinales :
    l'Ouragan sur Internet

     

    .

    Chers amis,

    • Notre pétition contre la directive européenne sur les plantes médicinales (THMPD) a déclenché un ouragan sur Internet. Faites circuler la nouvelle version de notre vidéo, qui est à l'adresse suivante : www.defensemedecinenaturelle.eu

    • Compte tenu de la dimension européenne du problème et de vif débat suscité sur les sites francophones, nous lançons une version anglaise de la pétition. Cliquez ici pour y accéder. Ou transférez ce lien à vos contacts européens : http://savenaturalhealth.eu

    • Lisez en bas de ce courriel l'interview de Thierry Souccar sur les dangers qui pèsent sur la santé naturelle en Europe. Thierry Souccar est le fondateur du site de référence  www.lanutrition.fr, et co-auteur du best-seller "Santé, Mensonge et Propagande", aux Editions du Seuil. (Thierry Souccar publie aussi une newsletter sur les nouvelles découvertes de la santé naturelle : vous pouvez la recevoir gratuitement en cliquant ici).

    • Nous répondons ci-dessous aux fausses rumeurs qui ont suivi notre pétition. Vous pourrez constater que loin d’être une vue de l’esprit, comme certains l'ont écrit, la menace contre les plantes médicinales est bien réelle.

    • Notre but est maintenant de faire évoluer cette réglementation dans le sens d’une plus grande liberté d’accès aux plantes.

    • L'objectif est UN MILLION de signatures. Nous vous demandons donc de faire circuler le lien vers notre vidéo en français www.defensemedecinenaturelle.eu, ainsi que notre vidéo en anglais auprès de toutes les personnes que vous connaissez et qui peuvent jouer les relais dans les autres pays européens :  http://savenaturalhealth.eu


    Réactions... et contestations


    Notre vidéo et notre pétition ont déclenché un intense débat public, y compris des articles dans la grande presse (Le Point) et une émission à la télévision belge. Vos signatures ont d'ores et déjà obligé les autorités européennes à clarifier leur position, et notre mouvement a été l'occasion pour les différents acteurs de préciser leurs analyses.

    Le danger de la directive 2004/24/CE (le nom officiel de la THMPD) étant majeur, nous avons immédiatement reçu le soutien de centaines de blogs et sites Internet, et de dizaines de milliers d'internautes qui ont relayé notre appel.

    En revanche, plusieurs voix influentes ont critiqué notre action, alors que nous pensions au départ que nous pourrions compter sur leur soutien.

    Nous avons été très surpris de ces réactions négatives, d'autant plus que certains ont été jusqu'à faire circuler sur Internet des messages accusant notre Collectif de n'être qu'un faux-nez de l'industrie des compléments alimentaires. Pire encore, des rumeurs ont circulé sur Internet prétendant que la THMPD ne représente AUCUN danger pour les plantes !!

    Nous souhaitons répondre méthodiquement à ces accusations infondées, tout en précisant que, pour beaucoup, elles portaient plus sur la forme que sur le fond :

     

    L’article du Point


    Le magazine Le Point a publié le 29 mars un article dénonçant notre mobilisation comme une simple fausse rumeur sur Internet. A l'appui de cette violente accusation, la réaction de Frédéric Vincent, porte-parole de la Commission européenne sur les questions de santé, qui déclare, sans rougir, que « Cette rumeur relève du délire ». « Il est hors de question pour nous de retirer ces produits du marché », martelle-t-il.

    Les choses sont-elles si claires ? Absolument pas, comme en témoigne la suite de l'article :

    « Il y avait des autorisations délivrées sur des bases un peu légères », continue Frédéric Vincent. « La Commission a donc imaginé un système de régulation calqué sur le modèle des médicaments classiques, mais simplifié. »

    Nous y voilà. Après avoir dit que l'alerte que nous diffusons « relève du délire », le fonctionnaire européen admet précisément ce que nous dénonçons : une nouvelle procédure d'agrément pour les plantes médicinales à usage thérapeutique, certes simplifiée, mais néanmoins inspirée de la procédure prévue pour les médicaments classiques, et donc coûteuse et potentiellement hors de portée pour d'innombrables petits fabricants qui n'ont pas les départements de juristes des industries pharmaceutiques.

    La suite de l'article est à l'avenant.

    Le journaliste écrit en toute lettre que « Aucun test sur l'efficacité ou la sécurité des herbes ne sera exigé », et qu'il suffira aux fabricants de donner « des preuves que le produit a été utilisé à but médical pendant les trente dernières années, dont au moins quinze ans au sein de l'Union européenne ».

    Mais d'une part, rien n'indique que réunir de telles preuves sera si simple que cela. Pour de nombreux fabricants artisanaux, monter de tels dossiers pourrait bien se révéler hors de portée, et c'est justement ce que nous dénonçons.

    D'autre part, et c'est bien plus grave, le journaliste, qui vient d'affirmer que « aucun test d'efficacité ne sera exigé » conclut son paragraphe sur une déclaration du même fonctionnaire européen, Frédéric Vincent, qui affirme, goguenard : « Ceux qui n'ont rien fait paniquent. Il leur suffit pourtant de prouver que leurs herbes ont une efficacité. » (Source)

    Il faudrait savoir ! Les fabricants devront-ils ou non apporter des « preuves », au sens où on l'entend pour les médicaments, de l'efficacité des plantes médicinales ?

    Comment, dans ces conditions, nous accuser de « fausse rumeur », alors que le porte-parole de la Commission européenne, confirme exactement ce que nous dénonçons : la nouvelle procédure européenne obligera les petits fabricants à « prouver l'efficacité » de tous les remèdes utilisés à base de plantes, avec les coûts, les délais, et les tracasseries administratives que cela implique.

    D'autres critiques, plus sérieuses, ont émergé de part et d'autre.

    La position de Thierry Thévenin,
    président du syndicat SIMPLES (artisans herboristes)

    Le Président du syndicat d'herboristes SIMPLES, Thierry Thévenin, que nous citions dans notre vidéo, a lui aussi dénoncé notre pétition comme de la « propagande ».

    Mais le problème, c'est qu'il faut lire la suite de ce qu'a écrit Thierry Thévenin. Certes, il écrit que notre texte accumule « raccourcis et effets d'annonce chocs ».

    Mais juste après, Thierry Thévenin écrit :

    « Cet appel présente toutefois le mérite de soulever et de porter au débat public la question du développement inquiétant (voire terrifiant) de l’arsenal des normes, des experts, des homologations qui aboutit au verrouillage et au contrôle du secteur des plantes médicinales, des médecines complémentaires et de l’herboristerie, comme d’ailleurs celui de presque tous les autres secteurs de notre civilisation. » (Source)

    Ailleurs sur le site, il écrit que :

    « [Cet appel] a le mérite de mettre en lumière un phénomène bien réel et inquiétant : l’inflation galopante des outils et des procédures réglementaires qui, sous le louable prétexte de protéger le public, le déresponsabilisent et l’assujettissent progressivement aux rares groupes de pression ou d’intérêt - groupes de lobbying - (industriels, distributeurs, médias,…) qui sont suffisamment organisés et puissants pour avoir les moyens de décrypter, analyser, orienter ces mesures ou même plus simplement d’exister légalement en passant à travers le crible de ces dispositions juridiques d’une incroyable complexité. Si vous en doutez ou si voulez simplement mesurer cette complexité, allez explorer l’adresse suivante:
    http://ec.europa.eu/health/human-use/herbal-medicines/index_en.htm »(Source)


    Nous sommes donc d'accord sur le fond avec Thierry Thévenin. Sous couvert d'assurer « notre sécurité », de nouvelles directives liberticides sont mises en oeuvre par l'Administration sous la pression de lobbys, et c'est exactement ce que nous dénonçons, une nouvelle fois.

    Cette nouvelle réglementation européenne est tout sauf un fantasme ; le processus d'étouffement des médecines complémentaires est en cours, et ne fera que s'accélerer si les citoyens ne se mobilisent pas.

    Il est plus qu'urgent aujourd'hui d'opposer un front uni à « l'inflation galopante des outils réglementaires » dénoncée par Thierry Thévenin, qui porte atteinte à nos libertés les plus fondamentales, à commencer par notre liberté de nous soigner autrement.

    Il est plus urgent que jamais de poursuivre notre mouvement, et de lui donner une ampleur européenne. Merci de continuer à faire circuler notre vidéo (nouvelle version) : www.defensemedecinenaturelle.eu

    Une autre critique

    Une autre critique, reprise par plusieurs commentateurs, a consisté à nous reprocher de dénoncer une directive entrant en application le 30 avril 2011, alors qu'elle a en réalité été votée dès 2004, et que les fabricants ont donc eu sept années pour « se mettre aux normes ».

    Sur un plan strictement juridique, nous faisons notre mea culpa : Au lieu d'écrire, « une nouvelle directive entrera en application le tant », nous aurions dû écrire : « une directive de 2004 entrera en vigueur de plein droit le tant ». Nous avons changé notre vidéo en ce sens.

    Cependant, sur le principe, nous ne retirons pas un cheveu à ce que nous dénonçons :

    La Commission Européenne nous dit : « attention, nous allons vous imposer de nouvelles restrictions. Mais ne vous plaignez pas, vous avez un délai pour vous préparer. » Pour nous, le fait qu'il s'agisse d'une directive entrant en application en plusieurs étapes n'enlève rien à son caractère abusif.

    Le syndicat des fabricants de compléments alimentaires

    Enfin, nous voulons aussi répondre aux propos du syndicat des fabricants de compléments alimentaires Synadiet, repris aussi par certains blogs.

    Selon eux, cette directive européenne, dans la mesure où elle offrirait un cadre juridique simplifié aux plantes médicinales, ne change rien par rapport à la législation française en application jusqu'à présent, et pourrait même leur être favorable.

    Pour le Synadiet, « le seul impact que pourrait avoir cette directive 2004/24/CE concerne les produits de médecine chinoise et indienne ».

    Outre que, selon nous, la médecine chinoise et la médecine indienne peuvent difficilement être considérées comme une simple épiphénomène de la médecine par les plantes, il nous semble utile de rappeler que la législation française est, justement, extrêmement pointilleuse et restrictive sur le sujet de la médecine naturelle, et que le fait que l'Europe entérine cette législation justifie nos craintes et le mouvement de dénonciation que nous avons souhaité initier.

    La raison en est simple, et c'est une question de principe : au lieu d'interdire la vente de remèdes à base de plantes dont la dangerosité et la toxicité ont été prouvées, ce qui serait évidemment souhaitable et parfaitement légitime, l'administration française a pris historiquement le parti d'interdire toutes les plantes qu'elle n'avait pas explicitement autorisées.

    Le résultat est connu : sur des dizaines de milliers de plantes médicinales existant dans le monde entier, donc plus de 1500 en France métropolitaine seulement, selon le Professeur Fournier, seules 34 – oui, trente-quatre ! - ont été autorisées en France jusqu'au début des années 2000.

    Avec l'Union Européenne, on a observé un léger frémissement, le nombre de plantes autorisées passant à 148, en dix ans.

    Il n'en reste pas moins que, à ce rythme, et avec les coûts que cela induit pour les fabricants, les citoyens européens seront, durant des décennies, privés de milliers de plantes médicinales, et ce par le fait de la directive, la THMPD, que nous jugeons donc arbitraire, et que nous souhaitons dénoncer.

    Nous avons besoin de vous

    Plus que jamais, nous voulons nous mobiliser, et continuer à mobiliser, les citoyens autour de nous, pour amender la directive THMPD et, si possible, la supprimer.

    Après l'onde de choc que nous avons provoquée à la Commission Européenne par notre seule pétition en français, il est clair que nous pouvons engager un vrai bras de fer si notre mouvement s'étend.

    Alors merci de continuer à faire circuler notre pétition www.defensemedecinenaturelle.eu, et de faire connaître à tout votre entourage européen l'existence de notre vidéo en anglais : http://savenaturalhealth.eu

    Enfin, pour les personnes qui souhaitent aller plus loin sur le sujet de la THMPD, nous avons décidé de donner la parole à un expert incontesté du sujet, Thierry Souccar, co-auteur avec l'avocate Isabelle Robard du best-seller « Santé, Mensonge et Propagande » (éditions du Seuil).

    Dans l'interview exclusive ci-dessous, Thierry Souccar fait le point sur les dangers qui pèsent aujourd'hui sur la médecine naturelle en Europe.

    Avec tous nos remerciements de votre mobilisation.

    Augustin de Livois
    Pour le Collectif pour la Protection de la Santé Naturelle


    Trois questions à Thierry Souccar

    Thierry Souccar, vous êtes co-auteur du best-seller « Santé, Mensonges et Propagande » (Editions du Seuil) qui dénonce notamment les excès des réglementations sur les compléments alimentaires. Que pensez-vous de cette campagne contre la directive THMPD ?

    Thierry Souccar. Il faut d’abord dire ce qu’est cette directive européenne. Elle a été prise en 2004, pour une application en 2011, et elle poursuivait deux objectifs : donner un cadre règlementaire aux plantes médicinales traditionnelles sans usage médicinal bien établi mais dont l’usage est traditionnel depuis au moins 30 ans dans la communauté (ou 15 ans dans un pays tiers), et assurer au consommateur une sécurité d’utilisation. Par rapport aux médicaments, les formalités d’enregistrement sont allégées puisqu’il suffit de déposer un dossier reposant sur la démonstration d’un usage traditionnel pour l’indication retenue et attestant de la qualité des procédés de fabrication. Il est possible, en étant optimiste, qu'en offrant un cadre législatif aux plantes médicinales, elle en facilite l'usage, notamment en France. Malgré tout, l’émoi suscité par la date butoir d’avril 2011 et la campagne qui a suivi est légitime. Tout d’abord, les fabricants qui ne se sont pas mis en conformité ne pourront pas continuer à commercialiser leurs plantes, donc le consommateur craint à juste titre d’avoir des difficultés à se procurer ses plantes habituelles, au moins momentanément, et il ne l’accepte pas. Ensuite, certains reprochent à la directive de favoriser les plantes européennes, et dans une moindre mesure chinoises et indiennes (ayurvédiques) au détriment des centaines ou de milliers de plantes « exotiques » africaines ou américaines ou d’Océanie. Enfin, il y a le coût d’enregistrement, qui varie considérablement d’un pays à l’autre. On craint une course à l’armement, de plus en plus lourde, de plus en plus contraignante, de plus en plus coûteuse qui ne profite qu’aux grosses structures. On aurait pu imaginer une procédure plus simple, sur la base de monographies mises à disposition par l’Europe, assorties d’un coût d’enregistrement réduit, par exemple quelques dizaines d’euros comme c’est d’ailleurs le cas en république tchèque.

    L'approche adoptée par la Commission européenne pour encadrer l’utilisation des médicaments est-elle une menace pour la liberté thérapeutique ?
    Tout d’abord s’agissant de santé, la priorité est évidemment d’être extrêmement vigilant. C’est la raison pour laquelle nous avons besoin de règles, de contrôles et d’une administration capable de les exercer avec mesure et équité. Jusqu’ici, en matière de libertés thérapeutiques, l’Europe a joué un rôle positif ; elle a servi de rempart contre les débordements d’administrations nationales qui sont, comme en France, souvent hostiles aux médecines complémentaires. Par exemple, l’utilisation dans les compléments alimentaires des plantes médicinales inscrites à la Pharmacopée était bien plus limitée en France que dans la majorité des autres états membres de l’Union Européenne. Or, grâce à l’Europe, depuis 2008 un décret a fait passer de 34 à 148 les plantes qui ne relèvent plus du monopole de distribution pharmaceutique. C’est insuffisant, mais c’est mieux. Par ailleurs, le cadre juridique mis en place au niveau européen a permis à des fabricants et des thérapeutes de gagner des procès face à l’administration française, et la France a aussi été condamnée à de maintes reprises par la Cour européenne de justice pour abus de droit et non respect des règles européennes, de libre circulation par exemple. A nous tous de faire en sorte que l’Europe reste cet espace de liberté et surtout qu’elle l’élargisse. Nous devons par exemple exiger plus de transparence de l’Agence européenne du médicament, qui est traversée par les mêmes conflits d’intérêt que ceux mis à jour à l’Afssaps. Nous devons amener Bruxelles à élargir le périmètre des allégations, des substances et des doses autorisées dans les compléments alimentaires. Nous devons avoir cette même démarche d’élargissement pour les plantes médicinales d’usage traditionnel et pour d’autres pratiques complémentaires comme la naturopathie ou la médecine chinoise. Nous devons aussi veiller à ce que l’arsenal règlementaire reste raisonnable.

    Quels sont les principaux dangers, selon vous, qui pèsent actuellement sur les médecines naturelles, en Europe ?
    En ce qui nous concerne, nous Français, les principaux freins viennent de notre administration nationale qui est, comme je l’ai déjà dit, traditionnellement hostile aux compléments alimentaires, hostile à la libération des plantes qui relevaient ou relèvent du monopole pharmaceutique, hostile à la naturopathie, à la médecine chinoise etc. La réglementation prise au niveau européen oblige la France à desserrer son étau, mais l’Europe est encore très perméable aux exigences des Etats-nations. Certains de ces états qui ont une vision extrêmement restrictive des médecines naturelles exercent une influence sur la règlementation. Par exemple, dans le cas des compléments alimentaires on sait que la France a tout fait pour limiter la portée des mesures prises au niveau européen. Il est donc nécessaire d’exercer un véritable contre-pouvoir au niveau des instances qui discutent de ces règlements touchant aux médecines naturelles pour permettre l’accès à des substances ou des pratiques de santé qui ont prouvé leur intérêt, mais qui restent aujourd’hui inaccessibles aux Européens, quand elles ne sont pas purement et simplement illicites.

    Thierry Souccar diffuse par courrier électronique des informations gratuites sur les nouvelles découvertes de la médecine naturelle et de la nutrition. Pour vous inscrire vous aussi, cliquez ici

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    http://www.philippetastet.com/contenu/abonnes/Magic/images/ue-bove-ogm.jpg

    OGM : l’Union Européenne au service de Monsanto

     

    L’affaire de la commercialisation du maïs Monsanto vient de connaître un nouveau rebondissement : après l’échec de la tentative de la Commission Européenne pour interdire son interdiction, la multinationale reprend son combat avec l’aide de la Cour de Justice Européenne.

     

     

    L’UE contre les Etats et les peuples


    Il y a un très large consensus dans les pays européens et au sein des gouvernements pour ne pas autoriser la culture des OGM. Si on peut comprendre les regrets des scientifiques, le principe de précaution est tout de même recevable. Il y a suffisamment de littérature soulignant les dangers à long terme de certaines innovations scientifiques pour n’autoriser que très progressivement l’utilisation de ces nouvelles technologies, après des tests sérieux.

    Mais malgré l’opposition des peuples et des gouvernements, cette europe cherche absolument à faire valoir les intérêts de Monsanto. Après un feuilleton incroyable, la Commission Européenne avait trouvé le moyen d’interdire aux Etats d’interdire la culture d’un certain nombre de plantes OGM. Mais les Etats avaient bloqué la manœuvre en réunissant 75% des voix  contre le projet de Bruxelles (il faut noter qu’en-deçà de deux tiers, le projet de la Commission passait !).

    Mais cet échec n’a pas découragé Monsanto, qui tente une nouvelle manœuvre par le biais de la Cour Européenne de Justice. Son avocat général a tranché dans le sens de Monsanto, jugeant illégale l’interdiction faite par la France de la culture du maïs Monsanto. Il aurait fallu demander à la Commission, dont on connaît bien les penchants pour les produits transgéniques, ou même pour les farines animales, qu’elle essaie d’autoriser de nouveau.

     

    Une Europe anti-démocratique et soumise aux intérêts particuliers


    Il y a énormément d’aspects choquants dans ce mauvais feuilleton. Tout d’abord, cette Europe cherche à imposer la culture de produits que ni les peuples ni les gouvernements ne souhaitent. Après d’innombrables affrontements où la Commission a été mise en large minorité, il est vraiment révoltant que cette autorisation revienne par la fenêtre de la Cour Européenne de Justice. Il y a un manque de respect très préoccupant pour les avis exprimés démocratiquement par les Etats.

    Mais ce n’est pas tout. Comme pour les farines animales, il est difficile de ne pas y voir des affaires de gros sous. Monsanto va bien, très bien. De 2003 à 2009, son chiffre d’affaire est passé de 5 à 12 milliards de dollars, et ses profits ont été multipliés par 20, à 2 milliards. Bref, Monsanto a beaucoup d’argent pour essayer de peser sur les décisions de cette europe, qui semble particulièrement ouverte à l’influence financière des lobbys et autres intérêts privés.

    Pire, il est question de conflits d’intérêts entre les autorités européennes chargées des avis scientifiques sur les OGM. En clair, certains des décisionnaires européens travaillent directement pour les industriels, ce qui permet de questionner leur indépendance et leur perméabilité à l’avis de ces mêmes grands industriels, gouvernés par la seule logique du profit maximal et non de la sécurité maximale. D’ailleurs, c’était l’Europe qui avait imposé à la France la commercialisation du Red Bull…


    Cette affaire de la commercialisation des semences transgéniques de Monsanto éclaire d’une lumière très inquiétante ce projet européen, antidémocratique et qui semble à la botte des intérêts des puissants au mépris de l’avis des peuples et des gouvernements.


    http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/

     

    OGM : l’Union Européenne au service de Monsanto et contre les peuples

     

     


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  • Par Ivan du Roy (7 avril 2010)

    Dans un appel, près de 400 économistes, syndicalistes ou personnalités politiques dénoncent les graves conséquences sociales qu’entraînerait un allongement de la durée de cotisations. Pour pérenniser le système de retraite, ils proposent un nouveau partage de la richesse produite.


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    Les mesures envisagées par le gouvernement pour financer les retraites « condamneraient à la pauvreté la plupart des futurs retraités, surtout les femmes et tous ceux et celles qui ont connu et connaîtront des périodes de chômage et de précarité importantes ». Et ce, dans un contexte où, depuis quinze ans, la succession des réformes du système de retraite a « déjà fait baisser le niveau des pensions d’environ 20 % ». Ce réquisitoire est dressé par près de 400 universitaires, économistes, sociologues ou philosophes, de Philippe Corcuff à Henri Sterdyniak (Observatoire français des conjonctures économiques). Ils ont été rejoints par des responsables syndicaux (CGT, Solidaires, FSU, Unef) ou associatifs (Attac, Fondation Copernic, Agir contre le chômage…), et par plusieurs élus ou personnalités de gauche, de Cécile Duflot à Olivier Besancenot, en passant par Noël Mamère, Marie-George Buffet, Patrick Braouezec, Jean-Luc Mélenchon, des proches de Benoît Hamon, comme Razzy Hammadi, secrétaire national du PS, ou des nouveaux élus d’Europe Écologie. Ils lancent ensemble, ce 7 avril, un appel pour « faire entendre les exigences citoyennes sur les retraites ».

    Face à des syndicats très divisés sur le sujet, et à des leaders politiques, en particulier au PS et à Europe Écologie, plutôt timorés, cet appel vise à lancer la mobilisation alors que la première phase de concertation s’ouvre le 12 avril, sous l’égide du nouveau ministre du Travail Eric Woerth, et que le Conseil d’orientation des retraites (COR) doit adopter son nouveau rapport le 14. La bataille autour des retraites est lancée.

    Solidarité entre générations

    Les principales pistes gouvernementales, et du Medef, pour assurer le financement du système – l’allongement de la durée de cotisation et la suppression de l’âge légal de départ - sont battues en brèche par les signataires : « Exiger que les salariés travaillent et cotisent plus longtemps, alors que l’âge moyen de cessation d’activité est de 59 ans, ne vise qu’à baisser le niveau des pensions. De plus, cette logique remet en cause la solidarité intergénérationnelle. Il n’y a aucun sens à augmenter l’âge de la retraite alors que le chômage de masse sévit pour les jeunes. » Ils craignent également que le COR ne change le mode de calcul des cotisations, donc le montant des pensions perçues, au gré des exigences de financement de l’assurance vieillesse. « Cela aggraverait encore la baisse du niveau des pensions et contraindrait les salariés, particulièrement les salariés pauvres et effectuant les travaux pénibles, à travailler toujours plus longtemps. »

    Plutôt que d’allonger l’âge de départ à la retraite « à 62, voire 65 ou 67 ans, comme le demande le Medef », l’appel propose un nouveau partage de la valeur ajoutée qui résorberait les déficits des caisses de retraite. Ses signataires rappellent que les dividendes ont explosées, passant de 3,2 % du PIB en 1982 à 8,5 % en 2007, pendant que la part des salaires dans la valeur ajoutée chutait en parallèle. Il s’agit donc de s’attaquer aux revenus financiers, qui profitent largement aux plus riches, plutôt que de demander aux salariés de « travailler toujours plus ». « Le financement des retraites est possible à condition d’en finir avec l’actuel partage éhonté de la richesse au bénéfice des revenus financiers. C’est ce partage qui constitue le tabou à faire sauter, et non l’âge de départ. Il s’agit là d’un choix politique de justice et de solidarité. » Une mobilisation « citoyenne » qui doit se mettre en place d’ici l’automne, quand le Parlement se saisira du projet de réforme.

    Ivan du Roy


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  • Gbagbo-Cote-d-ivoire-930x620_scalewidth_300.jpg

     

    Sans aucun mandat, en pleine illégalité et malgré les appels à l'arrêt des bombardements demandés par la Russie et l'Union Africaine, la France de Nicolas Sarkozy est en train de bombarder la résidence du chef de l'État ivoirien, Laurent Gbagbo. L'objectif du président français Sarkozy semble être de "ramener le cadavre de Laurent Gbagbo pour le journal de 13H". 


    Ivoiriens, Africains, Amis de la Souveraineté, de la Liberté et de la Démocratie, levons-nous tous pour protester contre les agissements de Nicolas SARKOZY en CÔTE D’IVOIRE.


    En ce moment même, mercredi 6 avril 2011 à 10h30, selon le porte-parole du Gouvernement, les hélicoptères et les chars français de la Force Licorne sont en train de pilonner la résidence du Président de la République de CÔTE D’IVOIRE, au mépris de la Charte des Nations Unies, à la Convention de Genève sur le Droit de la Guerre de 1949 et des intérêts français.



    Signataires :


     

    Calixte BELAYA, écrivain, Lucie BOURTHOUMIEUX, Avocat à la Cour,

    Grégory PROTCHE, rédacteur en chef Gri-Gri International, Dr Boga Sako Gervais, Enseignant-chercheur à l’Université, Expert en Droit de l’Homme, Président-Fondateur à la FIDHOP (Fédération Ivoirienne pour l’Observation et la Surveillance des Droits de l’Homme et de la Vie Politique), Me Hervé Gouaméné, Avocat à la Cour, Président de l’APDH (Actions pour la Protection des Droits de l’Homme), Mme Jacqueline BOUABRE, Présidente de la FIDENACI (les fidèles à la démocratie et à la Nation de Côte d'Ivoire), Bernard TOURE et M. Martial AKOUN, Présidents du CO.PA.VI.L (Collectif des Patriotes Victimes de la Licorne)

    Mme Viviane GNAHORE, Présidente de l’A.N.F.S.Z.A (Association Nationales des Femmes Sorties des Zones Assiégées), M. Sékou KOUAME, Président de la Fédération Nationale des Victimes de Guerre de CÔTE D’IVOIRE, Maurice GNAGNE, Professeur de médecine, Dedy SERI, Ethnologue, Arsène DOGBA, politologue, Mohamed AREF, Avocat et défenseur des Droits de l’Homme,

    Agnès KRAIDY, journaliste, Hervé-Emmanuel N’KOM, Charles Tchoungang, Bâtonnier, Henriette Ekwe, Anicet Ekane, Célestin Kengoum, Avocat 

    Dr Samuel Mack Kit, Michel Etia, Avocat, Abanda Kpama, Paul Géremie Bikidik, Emmanuel Mbiga, Valentin Dongmo Fils, Guillaume Manga, Faustin Bekolo, Oscar Batamack, Pr Takam, Moussala Michaut, Christian d'Alayer, journaliste, Malick Noël SECK, Coordonateur de convergence socialiste...

     

     

     

    Reçu d'un Lecteur :

     

     

    J’ai vécu de nombreuses années en Côte d’Ivoire, cette situation là-bas m’attriste beaucoup, car c’est en quelque sort mon pays de « cœur »

     

    J’ai répondu à un article sur le Parisien, + réponse à un post, c'est publié

     

    Voici le contenu :

     

    Cordialement,

     

    Michel

     

     

     

    « A méditer...

     

    L'avenir va devenir sombre pour la Côte d'Ivoire... La France n'avait certes pas le droit d'intervenir, mais Sarkozy œuvre directement pour le nouvel Ordre Mondial, donc c'est en accord avec les américains qu'il a effectué cette action. Avec un Outtara issu du FMI la porte est ouverte aux société telles que Monsanto, qui viendra pourrir un peu plus le sol ivoirien, aux labos qui vont maintenant inonder le pays de vaccins pourris, les banques qui vont se "sucrer sur le dos du peuple ivoirien". La technique a été parfaite, on met le pays par terre, et on arrive avec "un sauveur" ami de DSK et Sarko le 2 grands prédateurs au service du CFR et de la CIA, et le tour est joué ! Bon courage amis ivoiriens ! http://lemotdhumeurdejeancharlesfatiga.ivoire-blog.com/archive/2010/10/21/dominique-ouattara-femme-fatale-a-la-cote-d-ivoire-les-secre.html »

     

    Le lien : http://www.leparisien.fr/reactions/crise-cote-d-ivoire/.php?article=cote-d-ivoire-les-forces-de-ouattara-lancent-l-assaut-final-06-04-2011-1396025&page=0#reaction_01 

     


     

    Le pseudo et l’heure de parution : 34 le 06/04/2011 à 11h36

     

    J’ai répondu à cet abruti (qui ferait bien de retourner à l’école) qui a écrit ca : 04thoninos le 06/04/2011 à 11h40desolation d'entendre des conneriesoui la FRANCE est intervenue sous mandat ONUSIEN, alors arrêtés de dire des conneries aussi grosses que vous. La France aurait du intervenir plus tôt et la CI n'aurait pas eu tous ces morts innocents. Si vous soutenez GBAGBO, c'est que vous aussi vous etes des assasins. Avec ce genre de comportement, vous n'arriverez jamais à vivre sans l'aide de l'exterieur

     

    Ma réponse :

     

    L'ONU ? Quelle ONU ? Ils n'ont même pas été capables d'éviter l'invasion américain en Irak ! Mais par contre on met en place un Ouattara à la solde des Américains qui n'ont pas leur pareil pour déstabiliser tous les pays ! C'est leur "sport" favori ! Et nous Français nous ne sommes que leurs larbins ! 

     

    34 le 06/04/2011 à 11h43

     

    Lien : http://www.leparisien.fr/reactions/crise-cote-d-ivoire/.php?article=cote-d-ivoire-les-forces-de-ouattara-lancent-l-assaut-final-06-04-2011-1396025&page=0#reaction_04

     


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