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    Washington cherche la mise à mort de la Russie
    par Paul Craig Roberts

    5 mai 2014, par Comité Valmy

    [Traduction exclusive] Washington cherche la mise à mort de la Russie, par Paul Craig Roberts
    Washington n’a pas l’intention de faire en sorte que la crise en Ukraine puisse être résolue. N’ayant pas réussi à s’emparer du pays et expulser la Russie de sa base navale de la mer Noire, Washington voit dans cette crise de nouvelles opportunités.
    L’une d’elles consiste à redémarrer la guerre froide en forçant le gouvernement russe à occuper les zones russophones en Ukraine, où les manifestants s’opposent (...)

    Ukraine: Washington tenterait d'entraîner Moscou et Kiev dans une guerre (expert)

    Politicomag.com - 04 mai 2014 17:04 | 


    Les consultations que la CIA et le FBI mènent avec les nouvelles autorités ukrainiennes témoigneraient de l'intention de Washington d'entraîner Moscou dans une guerre locale contre Kiev, estime le président de l'Institut de la stratégie nationale, Mikhaïl Remizov.

    Ukraine: Washington tenterait d

     

    Le quotidien allemand Bild a antérieurement écrit que des dizaines d'agents de la CIA et du FBI menaient des consultations avec les nouvelles autorités ukrainiennes. D'après la revue, les agents spéciaux US aidaient à mettre fin aux troubles dans l'e

     

    "Les Etats-Unis jouent sans aucun doute du côté de Kiev. Leur but est de tenir un scrutin présidentiel et d'assurer le contrôle de l'ensemble du territoire du pays par les nouvelles autorités. C'est la partie visible de l'iceberg. Ceci étant dit, il ne faut pas exclure qu'ils cherchent à entraîner la Russie dans une confrontation armée", indique l'expert.

    Selon lui la question n'est pas de savoir si des spécialistes US travaillent du côté de Kiev, mais de savoir quels objectifs poursuit Washington.

    Il indique qu'il est difficile de préciser si les Américains poursuivent uniquement les objectifs déclarés ou s'ils mènent un jeu beaucoup plus difficile qui vise à "entraîner la Russie dans un confit local que les Américains gèreraient ensuite par via les Ukrainiens en fournissant à ces derniers des armes, de l'argent et des inspecteurs".

    Le quotidien allemand Bild a antérieurement écrit que des dizaines d'agents de la CIA et du FBI menaient des consultations avec les nouvelles autorités ukrainiennes. D'après la revue, les agents spéciaux US aidaient à mettre fin aux troubles dans l'est du pays et à former les militaires et les policiers ukrainiens. Le journal souligne que l'activité des Américains est limitée à Kiev et qu'ils ne participent pas aux combats lancés par les troupes gouvernementales contre les militants de la fédéralisation.

    ©POLITICO avec ses Partenaires

     

    http://linkis.com/www.politicomag.com/yhXXk

     

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    Ukraine: combats intenses près de Slaviansk, des morts

    Slaviansk (Ukraine) - Des combats intenses se déroulaient lundi matin près de Slaviansk (est) et des morts sont à déplorer, a annoncé le ministre de l'Intérieur, Arsen Avakov, à des journalistes à proximité de la zone de combats.


    Le ministre, qui se trouvait à un checkpoint à environ 6 kilomètres du lieu des combats, n'a pas précisé à quel camp appartenaient les victimes, ni leur nombre. Les combats avaient commencé environ deux heures plus tôt, selon un correspondant de l'AFP, qui a vu circuler des ambulances.

    A Slaviansk, bastion des rebelles séparatistes pro-russes, on nous livre une guerre, contre notre territoire , a déclaré le ministre. Ma mission est d'éliminer les terroristes, a-t-il souligné.

    La seule tactique est d'avancer petit a petit vers le centre de Slaviansk, a-t-il ajouté. Il n'y a pas de solution militaire, elle doit être politique.


    (..) Le chef de la Garde nationale, Stepan Poltorak, également présent sur place, a pour sa part remarqué : Nos adversaires sont bien entraînés et bien équipés. ( c'est vrai _ les vétérans ukrainiens _Vilistia )

    On les a coincés dans le centre de Slaviansk. Les routes (de la zone des combats) sont fermées, on ne laisse pas passer les civils. Ils font tout pour nous obliger a utiliser des armes lourdes, mais nous ne le ferons pas pour épargner la population civile. (propagande - Vilistia)


    (©AFP / 05 mai 2014 12h14)  

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    http://www.vilistia.info/ukraine-combats-intenses-pres-de-slaviansk-des-morts-a107797904

     

     

    Autres articles

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    Comment l’Otan absorbe progressivement l’Ukraine


    Cette rétrospective des relations entre l’Otan et l’Ukraine relativise de facto les analyses que l’on peut faire des événements de Kiev : depuis 1991 et l’adhésion au Conseil de coopération atlantique, le pays se rapproche de manière apparemment inexorable de l’Alliance sans que son peuple soit consulté.



    Comment l’Otan absorbe progressivement l’Ukraine



    S’étendant sur près de 2 400 kilomètres sur terre et en mer, la frontière ukrainienne est la plus longue de celles que la Russie partage avec ses voisins à l’ouest, celle qui la sépare de la Finlande arrivant en deuxième position.

    Jusqu’à la fin de la Guerre froide, un seul pays membre de l’Organisation du traité de l’Atlantique-nord (Otan) avait une frontière commune avec la Russie : il s’agissait de la Norvège, avec seulement 217 kilomètres (la Turquie, quant à elle, était frontalière de plusieurs républiques soviétiques).

    Durant la décennie d’expansion de l’Otan qui débuta en 1999 apparurent aux confins du territoire russe quatre nouveaux membres du bloc militaire dominé par les États-Unis : l’Estonie et la Lettonie directement connectées à la Russie du Nord-Ouest, la Pologne et la Lituanie indirectement reliées à la Russie par l’oblast de Kaliningrad.

    L’absorption de l’Ukraine par l’Otan en tant que membre à part entière, ou même dans les circonstances actuelles (c’est-à-dire en tant que partenaire mettant son territoire, son armée et ses infrastructures militaires à disposition de l’Alliance), aurait pour conséquence — avec la possible adhésion de la Finlande — l’occupation de tout le front occidental de la Russie, de l’océan Arctique et de la mer de Barents au nord à la mer Noire au sud, non seulement par des bases aériennes de l’Otan mais aussi par ses installations portuaires, ses rampes de lancement de missiles, ses camps d’entraînement, ses aérodromes militaires, ses installations radar, ses entrepôts, ses centres de guerre cybernétique, ses batteries antimissiles, ses véhicules blindés, ses troupes et son armement nucléaire tactique.

    Depuis des décennies, l’Ukraine est, en théorie comme dans les faits, la cheville ouvrière décisive dans les projets des États-Unis et de l’Otan pour former un cordon sanitaire séparant la Russie de l’Europe.

    En 1995, soit quatre ans seulement après la dissolution de l’URSS, l’Ukraine fut le premier membre de la communauté d’États ex-soviétiques indépendants à rejoindre l’appareil de l’Otan en vue de l’absorption finale de l’Europe entière et de ce qui restait d’anciennes républiques soviétiques non encore intégrées au bloc au sein du programme appelé « Partenariat pour la paix ». Les douze nations d’Europe de l’Est qui rejoignirent l’Otan en 1999, en 2004 et en 2009 étaient toutes affiliées à ce programme. (Dans la file d’attente se trouvent actuellement vingt-deux autres membres de ce partenariat en plein processus de transition vers l’adhésion à l’Otan : les quatorze pays d’Europe non encore membres — excepté la Russie —, les trois ex-républiques soviétiques du Caucase méridional et les cinq d’Asie centrale.)

    Deux ans plus tard, l’alliance militaire établissait la Charte de partenariat spécifique entre l’Otan et l’Ukraine [1], dont fut issue la Commission Otan-Ukraine, encore active à ce jour — en réalité plus active que jamais, depuis le violent coup d’État survenu en Ukraine en février 2014.

    En décembre 2008, soit quatre mois après que le gouvernement géorgien de Mikheil Saakachvili eut entrepris d’envahir l’Ossétie du Sud — déclenchant ainsi une guerre de cinq jours avec la Russie, l’Ukraine et la Géorgie —, ces deux derniers États furent les tout premiers à adhérer aux Programmes annuels nationaux élaborés par l’Otan. Quelque temps auparavant, la même année, lors du sommet de l’alliance à Bucarest (Roumanie), il fut annoncé que, bien que ces deux ex-républiques soviétiques ne satisfassent pas encore à la dernière condition requise pour la pleine entrée dans l’Otan — le Plan d’action pour l’adhésion —, l’Otan n’en était pas moins résolue à les accepter. Parmi les figures publiques qui militaient pour ce Plan d’action pour l’adhésion se trouvait alors le président du Parlement ukrainien, Arseni Yatseniouk, actuellement Premier ministre désigné (et même imposé) par les États-Unis et dirigeant de facto de la junte au pouvoir [2].

    En réalité, de janvier à mars 2008, en prévision du sommet de l’Otan qui devait se tenir en avril de la même année, l’opposition parlementaire avait bloqué le fonctionnement de la Verkhovna Rada (le Parlement ukrainien) pour protester contre l’absorption du pays par le bloc otanien. Au sein de la nation, l’effort principal pour accélérer l’incorporation de l’Ukraine par l’Otan émanait de la dyarchie qui avait émergé de la prétendue « Révolution orange » de 2004-2005 : le président Viktor Ioutchtchenko et le Premier ministre Youlia Tymochenko. Et de fait, cette incorporation était précisément l’objectif que visaient Washington et ses alliés européens en soutenant et en dirigeant cette nouvelle « révolution colorée » (après celle menée en Géorgie l’année précédente) [3] [4]

    À la tête du sommet de Bucarest, le président états-unien George W. Bush. John McCain — autre républicain, alors candidat à l’élection présidentielle de son propre parti (qu’il gagna plus tard) —, ainsi que les deux candidats démocrates rivaux à l’élection présidentielle de leur parti, Barack Obama et Hillary Clinton, soutinrent avec un extrême enthousiasme l’adhésion de l’Ukraine et de la Géorgie à l’Otan.

    Une année avant la « Révolution orange », le prédécesseur de Ioutchtchenko, Leonid Koutchma, avait tenté d’apaiser les États-Unis et l’Otan en fournissant 1 650 hommes à la Coalition militaire en Irak dirigée par l’Otan. Un contingent symbolique de soldats ukrainiens avait également été assigné à la Force internationale d’assistance et de sécurité en Afghanistan dans le cadre d’une action intégrée réunissant cinquante nations. Mais ainsi que Koutchma, parmi tant d’autres, l’apprit plus tard, les « partenaires » de l’Otan qui siègent à Washington et à Bruxelles n’acceptent que deux choses : obéissance totale et soumission abjecte.

    Plus tard, la Géorgie devait fournir 2 000 hommes (c’était à l’époque le contingent le plus important après ceux des États-Unis et de la Grande-Bretagne) qui furent rapatriés en 2008 par des avions de l’armée états-unienne durant la guerre qui opposait la Géorgie à la Russie. À cette occasion, le régime « orange » de Viktor Ioutchtchenko fut accusé d’avoir fait transporter clandestinement des armes par la même voie, et d’avoir permis, sinon organisé, le déploiement de forces paramilitaires et militaires nationaliste extrémistes en Géorgie au cours de ces combats.

    La guerre du Caucase du Sud à peine terminée, Ioutchtchenko s’envola pour la capitale géorgienne afin d’y participer à un grand rassemblement au côté (et au profit) du président Saakachvili. Immédiatement après, de retour à Kiev, il signa un décret exigeant que la Russie déclare à son gouvernement — « déclarer » doit être compris ici au sens de « demander l’autorisation » — tout déploiement aérien ou naval partant de sa base de la mer Noire, à Sébastopol, ou y retournant. De facto, un tel ordre constitue un blocus sélectif.

    Pas plus tard qu’en 2006, tout d’abord discrètement et plus tard totalement à découvert, des directeurs et des membres officiels de la Missile Defense Agency du Pentagone firent des voyages réguliers en Ukraine pour y négocier l’installation d’éléments de missiles antibalistiques, dans le cadre du projet de bouclier antimissile terre-mer développé par l’administration de Barack Obama au sein du programme EPAA (European Phased Adaptive Approach). Approuvé à l’unanimité par les vingt-huit pays membres de l’Otan, ce bouclier fut déployé le long de la frontière occidentale (et plus tard méridionale) de la Russie.

    Chaque année, depuis 1996, des exercices militaires répondant au nom de code Sea Breeze (Brise marine), sont pratiqués en Ukraine sous l’égide du Partenariat pour la paix de l’Otan et sous surveillance états-unienne. Ces exercices se déroulent en Crimée, non loin du quartier-général de la flotte russe de la mer Noire. En 2006, ils furent temporairement annulés en raison de protestations locales.

    Également dirigés par le Commandement des États-Unis en Europe (EuCom), chaque année, les exercices militaires de l’opération Rapid Trident se tiennent en Ukraine avec les forces des États-Unis, de l’Otan et du Partenariat pour la paix. Selon les termes de l’armée états-unienne en Europe, consignés dans le rapport des exercices de l’année dernière, Rapid Trident « contribue à former les participants pour leur permettre d’opérer avec succès dans un environnement associatif, multinational et intégré avec le soutien des nations hôtes… [il est] conçu de manière à faciliter l’interopérabilité militaire commune avec les nations alliées et partenaires » et à « soutenir, d’une part, le programme national annuel de l’Ukraine en vue d’une interopérabilité réussie avec l’Otan et, d’autre part, les engagements pris chaque année à travers le plan d’opérations réunissant l’Otan et l’Ukraine. »

    En décembre 2008 — précisément le mois où l’Otan inaugurait son Programme national annuel avec l’Ukraine —, Washington publia sa Charte États-Unis-Ukraine de partenariat stratégique, dont le document fondateur affirme et précise, entre autres objectifs [5] :

    « Approfondir l’intégration de l’Ukraine aux institutions euroatlantiques est une priorité commune. Notre projet consiste en un programme d’amélioration de la coopération sécuritaire afin d’augmenter les capacités défensives de l’Ukraine et de renforcer ses droits à la candidature pour l’entrée dans l’Otan.

    « Nous sommes guidés par les principes énoncés le 3 avril 2008, au sommet de Bucarest, dans la déclaration du Conseil otanien de l’Atlantique-nord, et par la déclaration commune de la Commission Otan-Ukraine du 4 avril 2008, qui affirme que l’Ukraine se destine à devenir membre de l’Otan.

    « Reconnaissant la persistance de menaces contre la paix et la stabilité mondiales, les États-Unis et l’Ukraine ont pour projet d’amplifier et d’intensifier leurs programmes de coopération et d’aide en cours sur des questions de défense et de sécurité, afin d’éliminer ces menaces et de promouvoir la paix et la stabilité. Un partenariat entre les États-Unis et l’Ukraine fondé sur la défense et la sécurité ne peut être que bénéfique à ces deux nations et à cette région du monde.

    « Notre objectif, à travers ce travail effectué au sein même de la Commission Otan-Ukraine, est de parvenir à un accord sur un projet structuré qui permette d’augmenter l’interopérabilité et la coordination des forces entre Otan et Ukraine, notamment par une intensification des exercices d’entraînement et par la fourniture d’équipement aux forces armées ukrainiennes. »

    En 2010, l’Ukraine fut le premier partenaire de l’Otan à fournir un vaisseau militaire à Active Endeavour, opération maritime de surveillance et de neutralisation à durée indéterminée déployée dans toute la Méditerranée depuis l’activation, en 2001, de la clause d’aide militaire mutuelle définie à l’article 5 du Traité de l’Atlantique-nord.

    En 2013, l’Ukraine compléta les dispositions ci-dessus en devenant le premier partenaire de l’Otan à envoyer un vaisseau militaire à Ocean Shield, autre opération du bloc otanien qui dure depuis cinq ans (et, qui comme la précédente, est censée durer indéfiniment) déployant ses forces au large de la corne de l’Afrique, en mer d’Arabie et au-delà, dans l’océan Indien.

    Avant le début des troubles civils en Ukraine en novembre 2013, l’Otan se vantait déjà de compter l’Ukraine parmi ses quatre partenaires destinés à rejoindre la Force de réaction de l’Otan (les trois autres étant la Géorgie, la Finlande et la Suède).

    Désormais, grâce au régime fantoche installé à Kiev par les États-Unis et l’Otan, les espoirs que nourrissent les dirigeants occidentaux de voir l’Ukraine transformée en base militaire gigantesque au profit du Pentagone et de l’Otan — dont l’inexorable avancée vers l’est dure maintenant depuis une génération —, envahie de conseillers militaires occidentaux, d’agents de renseignement, d’avions de guerre, de blindés, de soldats et de missiles, atteignent un point d’ambition et d’irresponsabilité qui dépasse tout ce que l’on a pu envisager jusqu’à présent.

    http://www.voltairenet.org/article183578.html


    2_46_4129e_2_f072e.jpg 2-46-4129e-2-f072e.jpg  (15.64 Ko)
    http://www.alterinfo.net/Comment-l-Otan-absorbe-progressivement-l-Ukraine_a102204.html
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    Les provocations ont mal tourné : un mystérieux commando a-t-il déclenché la violence à Odessa ?

    Les nervis de Kiev brûlent vifs des pro-russes à Odessa, l'armée ukrainienne attaque les populations de l'est : Que peut faire Poutine ?

    La Troisième guerre mondiale aura-t-elle lieu ?

    Le terrorisme vu de Washington

     

    La crise ukrainienne accélère la recomposition du monde

     

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    Aymeric Caron critique l’armée israélienne : France 2 censure la séquence

    NB J'ai du changer de couleur les parties invisibles, avec mes excuses eva





    Hicham Hamza
    Mardi 29 Avril 2014

    Tabou français. Relative aux enfants palestiniens tués par l'armée israélienne, une altercation verbale entre le journaliste Aymeric Caron et le réalisateur Alexandre Arcady est passée à la trappe. Décryptage.

     

     Alexandre Arcady venait parler de son film, les propos d’Aymeric Caron étaient hors sujet et n’avaient rien à faire dans cette discussion.


    Tel est le commentaire laconique délivré par France 2 à propos du vif échange qui s'est déroulé sur le plateau de Laurent Ruquier.


    Aymeric Caron critique l’armée israélienne : France 2 censure la séquence

    Samedi 26 avril, l'émission On n'est pas couché avait convié le réalisateur Alexandre Arcady, actuellement en promotion de son dernier film intitulé 24 jours et consacré à l'affaire Halimi racontée du point de vue de la mère de la victime.

     

     

     

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    Tout téléspectateur de l'interview menée conjointement par Laurent Ruquier, Natacha Polony et Aymeric Caron pouvait constater la faible présence (à peine deux minutes) du chroniqueur visiblement tendu au cours d'un débat d'une demi-heure. Pour cause: le soupçon d'un montage ayant réduit ses interventions s'est confirmé dimanche soir lors d'une interview -sur Europe 1- de l'acteur Pascal Elbé qui se félicitait que "les dirigeants de l'émission" aient "coupé au montage" les remarques jugées scandaleuses de "l'un des journalistes" lors de l'entretien avec Alexandre Arcady.

    Ce matin, l'éditorialiste Elisabeth Lévy apportait -via son site Causeur- des précisions sur ce passage à la trappe: il s'agissait du chroniqueur Aymeric Caron et la séquence censurée portait sur les agissements de l'armée israélienne (passages en gras soulignés par Panamza).

    Consultant ses fiches soigneusement préparées, il [Aymeric Caron] déplore, chiffres à l’appui, que le film passe sous silence les actes islamophobes qui ont bien plus augmenté que les actes antisémites (…)

    Le ton monte (…)

    Arcady ne sait plus comment la discussion en arrive à Merah. Si on interrogeait Merah, déclare alors Caron, il dirait qu’il a tué des enfants juifs parce que l’armée israélienne tue des enfants palestiniens (…) D’ailleurs, là encore, il a les chiffres. Sous le regard médusé des invités, il brandit ses notes, puisées dans le rapport d’une ONG. J’ai les chiffres !

    Qu’est-ce que vous répondez à ça ?

    Arcady s’étrangle. Vous osez dire que l’armée israélienne tue des enfants !, hurle-t-il (…)

    Polony demande à son partenaire s’il n’a pas perdu la tête : tu viens à une émission sur Ilan Halimi avec des données sur les Palestiniens tués par l’armée israélienne, est-ce que tu te rends compte de ce que tu fais?".

    Quelques heures après la mise en ligne du papier de Causeur, Alexandre Arcady était l'invité de RMC: interrogé sur ces révélations, le réalisateur en confirma la teneur et assimila les affirmations d'Aymeric Caron à de la "désinformation abjecte" à caractère "antisioniste".

     

     

     


    Aymeric Caron, un "désinformateur"? C'est faire fi des nombreux documents officiels (comme celui de l'UNICEF datant de mars 2013 et celui du comité onusien des droits de l'enfant datant de juin 2013) ou journalistiques relatifs à la question soulevée par le chroniqueur. Le 5 avril, l'Autorité palestinienne avait évoqué, comme le rapporta le quotidien israélien Haaretz, le chiffre de 1520 mineurs palestiniens tués par l'armée israélienne depuis l'année 2000. Sur les cinq dernières années, l'organisation israélienne  B'Tselem a comptabilisé et identifié 81 jeunes palestiniens morts dans les territoires occupés à la suite d'une intervention des forces israéliennes de sécurité.


     

    L'ONG Defence for Children International a récemment donné le chiffre de 1402 jeunes  enfants ou adolescents palestiniens tués par des soldats israéliens sur la période 2000-2014.

    En novembre dernier, invitée par une chaîne de télévision ukrainienne, une militaire israélienne reconnaissait nonchalemment avoir tué des enfants palestiniens.

    Le 10 février, une chaîne australienne a également diffusé un documentaire accablant pour le régime de Tel Aviv. 

     

    Le sujet: le kidnapping arbitraire et la séquestration illégale d'enfants palestiniens par les militaires israéliens.



     

     

    Qui est à l'origine de la censure de France 2?

    Catherine Barma, productrice de l'émission.

     


     

     

    Panamza avait déjà évoqué cette personnalité éminente du paysage audiovisuel français dans un article relatif à l'humour anti-arabe de l'écrivain Yann Moix. Extraits: 

    Tout sur l'écran est la société présidée par Catherine Barma et gérée par Simon Najmann (un fan des éditos de BHL). C'est cette compagnie qui rémunère les chroniqueurs diffusés quotidienemment par la chaîne du service public.

    Qui est Catherine Barma? Une célèbre et redoutable productrice de télévision qui avait tenu à défendre la réputation de l'islamophobe Éric Zemmour, brocardé en 2012 par un ex-associé de Laurent Ruquier.


    "C'est vrai qu'Éric Zemmour est réac. On est d'accord. Mais il y a plusieurs niveaux (…).  J'ai travaillé avec Éric Zemmour. Il a quand même beaucoup de qualités et je ne veux pas cautionner ça".


    Catherine Barma est également celle qui avait proposé à une autre personnalité islamophobe – Véronique Genest- de devenir chroniqueuse dans l'une de ses émisssions avant de rétro-pédaler au lendemain du passage désastreux de la comédienne dans On n'est pas couché. La productrice affirma ne pas s'être "rendue assez compte de la force de ses propos".

    Enfin, il convient de souligner ici que Catherine Barma avait fait appel, en 2011, à BHL, parrain éditorial de Yann Moix, pour incarner l'expert "emblématique" dans une émission consacrée aux "droits de la femme dans le monde".

    BHL, référence intellectuelle du féminisme à travers la planète? Comme le suggère le titre d'une émission antérieure de Barma, "on n'demande qu'à en rire".

    Le présent article sur le clash Caron/Arcady ne serait pas complet sans le rappel d'un aspect biographique du réalisateur passé sous silence par les critiques de cinéma: son sionisme radical.

    Né en 1947, l'homme originaire d'une famille algérienne de Pieds-Noirs est parti, à l'âge de 18 ans, dans un kibboutz israélien situé à la frontière libanaise. Il fut d'ailleurs sur place lors de la Guerre des Six-Jours de juin 1967. Chose intéressante, son expérience était le prolongement de son engagement dans un mouvement de jeunesse sioniste dénommé Hachomer Hatzair

     

    Les lecteurs de Panamza se souviennent peut-être de ce groupe: une antenne parisienne a récemment reçu une subvention de 25 000 euros de la part de la député socialiste Danièle Hoffman-Rispail. Plus important, ce mouvement, dit de gauche et dont Arcady a parrainé -l'an dernier- la soirée du centenaire, s'est pourtant caractérisé -comme le souligna le journaliste israélien Uri Avnery- par sa participation à l'expulsion et l'expropriation des Palestiniens au lendemain de la guerre de 1948.

     

    Capture d’écran 2014-01-30 à 15.19.52

    Préoccupé par la prétendue montée d'un antisémitisme spécifiquement "musulman" en provenance des "banlieues" (à l'instar de la thèse promulguée par  "Les territoires perdus de la République", livre encensé par le trio Finkielkraut-Fourest-Polony et supervisé par un auteur sioniste sous pseudo), Alexandre Arcady a cautionné, de par son passé assumé aujourd'hui, le colonialisme israélien. Nulle surprise, dès lors, à le voir régulièrement participer aux campagnes de diabolisation des adversaires du régime de Tel Aviv (comme ce fut le cas notamment, en 2007/2008, contre l'Iran et des propos mensongèrement imputés à l'ex-président Ahmadinejad).

    Nul étonnement, non plus, à voir le réalisateur des films propagandistes L'union sacrée et Pour Sacha cotôyer Manuel Valls et Bernard-Henri Lévy sur l'estrade lors d'un "rassemblement contre l'antisémitisme" (rapidement transmuté en réunion pour le soutien inconditionnel d'Israël). Rappelons ici que l'ex-ministre de l'Intérieur avait tenu à se rendre sur le tournage de son dernier film.

     

     

    Quelque soit sa qualité cinématographique et son souci de véracité sur l'affaire Halimi, 24 jours a déjà bénéficié d'un lancement idéal. Le 7 avril, le film scénarisé par la romancière Émilie Frêche, cofinancé par Yves Bigot (nouveau patron de TV5 Monde) et coproduit par Frédérique Dumas-Zajdela (ex-directrice générale d'Orange Studio, filiale du groupe Orange dirigé par Stéphane Richard) était diffusé à l'Élysée en présence de François Hollande et du nouveau Premier ministre. Quelques heures plus tôt, il était projeté dans une salle de St-Germain-des-Prés à l'initiative de BHL.

     

    Deux semaines plus tôt, le président du Crif, la présidente de la Fondation France-Israël et le PDG de Publicis eurent également droit à une séance spéciale. 


     

    Pendant ce temps, un ouvrage à contre-courant était en cours d'impression. Un connaisseur du dossier Fofana, l'avocat Gilles Antonowicz, à rédigé un livre à ce sujet -publié le 2 mai- pour dénoncer, comme l'avait fait l'ex-avocat Guillaume Weill-Reynal, l'instrumentalisation de la lutte contre l'antisémitisme dans cette affaire.


    Triste constat: huit ans après, le calvaire vécu par Ilan Halimi n'a visiblement pas fini d'être exploité par la frange la plus radicale de la communauté juive dont les fantassins -et leurs alliés non juifs- continuent, à la fois, d'attiser la stigmatisation des citoyens musulmans vivant en banlieue et de défendre un régime colonialiste pratiquant "le nettoyage ethnique".

     

    HICHAM HAMZA

     

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    http://www.alterinfo.net/Aymeric-Caron-critique-l-armee-israelienne-France-2-censure-la-sequence_a102106.html

     




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    L’euro n’est pas en faillite,

    bien au contraire il fait exactement

    ce pourquoi il a été crée.


    L’euro n’est pas en faillite, bien au contraire il fait exactement ce pourquoi il a été crée.

     

    L’idée que l’euro a «échoué» est d’une naïveté dangereuse.

    L’euro a réussi à faire exactement ce que son géniteur

    – et les 1% de riches qui l’ont adopté –

    avaient prévu qu’il fasse

    et ce pour quoi ils l’avaient conçu.


    http://www.wikibusterz.com/leuro-nest-pas-en-faillite-bien-au-contraire-il-fait-exactement-ce-pourquoi-il-a-ete-cree/

     

     

     

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    MeRdias de désinformation, de propagande.

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    Mensonge ! La Russie ne veut pas la WW3, elle fait tout pour l'éviter au monde

     

    ...

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    Valls sondagière :

    BVA convainc les français malgré eux

    par Frédéric Lemaire, le 23 avril 2014

     

     

    Le 16 avril 2014, Manuel Valls présentait le détail du plan de rigueur censé compenser les exonérations de cotisations patronales du « Pacte de responsabilité ». Dès les 17 et 18 avril, l’institut BVA réalisait pour i-Télé et Le Parisien un sondage dont radios, télévisions, journaux, sites de presse en ligne s’empressèrent de résumer la conclusion que chacun pouvait juger, selon son opinion, rassurante ou consternante : le nouveau Premier ministre aurait « convaincu une majorité de français ».

    Ainsi présentée, cette conclusion relève pourtant d’une grotesque supercherie. Pour s’en rendre compte, il faut, il est vrai, consulter le sondage en détail, plutôt que de prendre pour argent comptant les oracles des sondologues : une démarche critique minimale, manifestement hors de la portée de nombreux commentateurs pressés d’annoncer « ce que pensent les français ».

    Il suffit en effet de lire la synthèse de BVA pour constater que le principal résultat du sondage dont la plupart des médias se sont fait gorge chaude (« Manuel Valls a convaincu une majorité de français »), repose sur les réponses d’une partie seulement de l’échantillon initial des répondants (59% d’entre eux seulement), constituée de « ceux qui ont vu ou entendu parler de son interview ».


    Mais comment au juste ceux qui ont seulement « entendu parler de son interview » peuvent-ils juger si Manuel Valls a été convaincant ? Ce n’est pas la moindre question que pose cette méthode, qui revient à écarter d’emblée 41% des répondants. Audacieuse innovation sondologique : pour affirmer qu’une majorité de français approuvent le gouvernement, il suffit donc de faire comme si ces indifférents ou ces ignorants ne comptaient pour rien. Et d’évacuer cette très vraisemblable hypothèse : que, parmi eux, se trouvent des personnes qui ne sont pas particulièrement favorables ou enthousiastes à l’égard du nouveau gouvernement puisqu’elles n’ont pas daigné se renseigner sur une intervention publique présentée comme importante...

    Ainsi lorsque le Figaro, pas partisan pour un sou quand il s’agit de clamer le triomphe de l’austérité, titre « Plan Valls : les Français approuvent » et annonce « 50% des Français ont été convaincus par les mesures d’économies présentées mercredi dernier par le premier ministre », il s’agit d’un grossier contresens. Il aurait été plus juste de dire : « 41% des français se sont désintéressés de son intervention et parmi ceux qui l’ont vue, 27% n’ont pas été convaincus ».

    Mais cela même serait sujet à caution. Car il s’agit bien d’un échantillon de 580 personnes sur un échantillon initial constitué de 983 personnes interrogées par internet et sélectionnées par téléphone. La marge d’erreur est donc de plus de 4% si l’on s’en tient aux chiffres de BVA. Il est impossible de dire, même en suivant la logique du sondage, qu’« une majorité des Français qui ont vu son intervention ou en ont entendu parler ont été convaincus par Manuel Valls » compte tenu de la marge d’erreur.


    Nul besoin d’être diplômé en statistiques pour relever ces lacunes élémentaires. Comment les sondeurs de BVA ont-ils pu ignorer le caractère non-représentatif de cet échantillon dans l’échantillon, dont l’opinion est assimilée à celle « des Français » ? Pourquoi n’ont-ils pas pris, dans leur synthèse, des précautions minimales compte tenu de la marge d’erreur ?

    On peut certes se réjouir que la dépêche de l’AFP sur ce sondage invite à prendre du recul par rapport à ce résultat (« 59% d’un échantillon de 983 personnes, un résultat à prendre donc avec précaution »). Mais de nombreux médias se sont néanmoins affranchis de tels scrupules. C’est le cas des commanditaires du sondage, Le Parisien et I-Télé, mais aussi France 2, Le Figaro ou Europe 1 (liste non exhaustive).


    D’autres médias ont repris, même fugitivement, les précautions de l’AFP, mais cela ne les a pas empêché d’annoncer que « les français soutenaient le plan de Manuel Valls ». En effet, selon la seconde partie du sondage, qui porte sur les mesures annoncées par Manuel Valls, les répondants seraient favorables à 4 des 5 mesures proposées. En fait il s’agit de 3 mesures sur 5 si l’on tient compte de la marge d’erreur. Mais peu importe : on retiendra que « les français soutiennent le plan de Manuel Valls » sur la foi d’un échantillon dont 41% n’ont même pas entendu parler de l’annonce du plan de Manuel Valls…


    Mais le tour de force sondagier atteint sans doute la perfection avec la constitution, par amalgame, de la merveilleuse catégorie de « ceux qui ont vu ou entendu parler de son interview ». Peu importe aux sondeurs de savoir ce qu’ont retenu ceux qui ont vu l’entretien, ou ce qu’ont entendu ceux qui ont entendu... que Manuel Valls a parlé ?


    Ainsi va la construction artificielle, par sondage, de l’« opinion publique »...

     

    Frédéric Lemaire

     

     

    http://www.acrimed.org/article4321.html

     

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    A Genève, l'Ukraine.

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    Ce 17 avril, les ministres des affaires étrangères russe, ukrainien, européen et américain se réunissent à Genève.

    On annonce ces pourparlers entre Sergueï Lavrov, Andrij Dechtchitsa, Catherine Asthton et John Kerry comme difficiles. On va même jusqu'à en prédire l'échec.

    C'est que la position russe déplaît.

    Mieux, elle est le plus souvent présentée comme responsable de tous les maux de l'Ukraine et plus s'il en faut.


    Certes, la manipulation de l'information semble devenue la règle sinon la norme pour bien des medias occidentaux.

    Et se risque-t'on à évoquer d'autres points de vue que tous ont de fortes chances d'être taxés de propagande, russe, il s'entend.


    Cependant pour qui souhaite se faire une idée de l'interview que le ministre des affaires étrangères russes a accordée, le 11 avril dernier à la chaîne de télévision Rossia 1,  en voici de larges extraits traduits en français par Le Courrier de Russie:

    http://www.lecourrierderussie.com/2014/04/serguei-lavrov-partenaires-occidentaux/

     

    Quant à la lecture de cet autre article publié ce 16 avril toujours par Le Courrier de Russie, elle ne manque pas d'intérêt non plus:

    http://www.lecourrierderussie.com/2014/04/moscou-appelle-...

     

    00:19 Publié dans Destins, Genève, Information, Medias, Politique, Pouvoirs, Russie | Ta

     

     

    http://voix.blog.tdg.ch/archive/2014/04/16/a-geneve-l-ukraine.html

     

     


     

    Ukraine : la position russe bute contre un mur de censure en Occident (Kremlin)

    mercredi 16 avril 2014, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 16 avril 2014).

     

    http://fr.ria.ru/world/20140416/200987193.html

    MOSCOU, 16 avril 2014 à 18h18 - RIA Novosti


     

     

    La position de la Russie sur l’Ukraine est parfaitement argumentée, mais elle se heurte en Occident à un "mur de censure infranchissable", a indiqué mercredi le porte-parole du président russe, Dmitri Peskov, sur la chaîne de télévision Rossiya 24.


    Selon M. Peskov, les Occidentaux sont de facto privés de droit à la liberté de l’information. Les représentants russes, dont le président, le premier ministre, le chef de diplomatie et les parlementaires profitent de n’importe quelle occasion pour faire connaître la position de Moscou et dissiper les rumeurs insidieuses.


    "Ces explications ne passent pas la rampe, et ce non pas en raison de leur inconsistance. Bien au contraire, la position de Moscou est très conséquente et argumentée. Ces explications restent sans effet parce qu’elles se heurtent à un mur de censure infranchissable", a déclaré M. Peskov.

    "Cela, nous ne l’avons jamais vu auparavant et ne pouvions même pas imaginer qu’il puisse en être ainsi", a conclu le responsable du Kremlin.

     

    http://mai68.org/spip/spip.php?article7125

     

     

     

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