• Libération : Nous étions un journal, mais ça c'était avant !

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    Lecteuroutai


    Libération a accompagné et soutenu toutes les trahisons du PS depuis 20 ans. Ce journal est victime du système qu'il a cautionné.

    "Libération" promu sur tous les grands médias audiovisuels, sa faillite est sans doute la sanction de la droitisation des choix rédactionnels et les complaisances solfériniennes quand ce n'est pas la promotion du libéralisme pour les nuls (de gauche).

    Déception des lecteurs désabonnés en masse comme un reflet de leur déception de François Hollande, le plus grand social traître de l'histoire de la gauche en France.

    Et les journalistes de "Libé" n'y seraient pour rien? Trop facile!


    Libération est voué a disparaître. Ce journal symbolise le glissement de la "vrai gauche" de la redistribution des revenus a celle de la gauche libérale libertaire qui a trahis toute la classe populaire ainsi que la classe moyenne. 

    Il est démocratiquement sain que ce journal disparaisse. Il était un indicateur que la gauche libérale libertaire adepte du néo-libéralisme est MORTE. 

    Ce journal paye, et c'est tant mieux, le travestissement des mots, le détournement des droits de l'homme à visée géostratégique au service des "états-uniens".

    Libération et ses journalistes phare du politiquement correcte se sont souvent comporté comme des gendarme de la pensée unique par leurs unes dégueulasses. 

    Ces journaleux de libération à la pensée unique néo-libérale vont subir le même sort que la classe populaire et la classe moyenne : c'est a dire le chômage et le déclassement. 

    Vous n'avez fait que servir la soupe à ces fameux 1% de nantis... vous semblez découvrir que vous ne faite même pas partie de ces gens-là.... 

    Journaliste a Libération c'est comme femme de ménage au service d' un riche de l'oligarchie...on y mange dans la cuisine avec les domestiques...

    Rothschildworld

     
    Les actionnaires «regrettent vivement» la grève observée jeudi. Estiment à ce point Libération qu’ils jugent que le journal «ne doit son salut qu’à l’agrégation de subventions de la puissance publique». «Réitèrent leur soutien total» au «directoire qui les représente». 
     
    C’est-à-dire Nicolas Demorand et Philippe Nicolas, codirecteurs du journal, dont l’équipe a demandé le 26 novembre dernier le départ, à 89,9%. Annoncent «un déménagement devenu inéluctable» et la transformation de Libération en «un réseau social, créateur de contenus, monétisable sur une large palette de supports multimédias (print, vidéo, TV, digital, forums, événement, radio, etc.)». 
     
    Précisent qu’«avec l’aide de Philippe Starck» le siège historique du journal, rue Béranger, deviendra «un espace culturel de conférences comportant un plateau télé, un studio radio, une newsroom digital, un restaurant, un bar, un incubateur de start-up». Et dépeignent «l’esprit» : «celui d’un "Flore du XXIe siècle" […] porté par la puissance de la marque Libération». 
     
    Cris, hurlements et rires.
     
    Il a posté un mail incendaire et les a insulté deux fois! 
     
    "Je veux les rendre ringards tous ces esprits étriqués et tirer un coup d'avance, un coup cash, où tout est dit, y compris le projet sur l'immeuble [...] Je pense qu'il faut prendre […] à témoin tous les Français, qui raquent pour ces mecs, pour que tout le monde comprenne bien l'enjeu qui se joue actuellement... D'un coté, la faillite, de l'autre coté, une autre vision.....", écrit Bruno Ledoux dans un email adressé vendredi aux autres actionnaires, ainsi qu'au président du directoire Nicolas Demorand.
     
    Contacté samedi matin, Bruno Ledoux assume: "un modèle qui repose uniquement sur le papier est en effet ringard et condamné. Pour être sauvé, Libération doit impérativement adopter une vision moderne et trouver d’autres ressources. Je trouve aussi ringarde l’attitude des salariés, qui attaquent les actionnaires dans le journal, et refusent de se réformer, sans avoir voulu écouter notre projet".
     
    Conernant l'immeuble de la rue Béranger à Paris loué par Libération, Bruno Ledoux ajoute: "il n’est plus possible que la rédaction reste dans le centre de Paris. Mais notre projet permettra à l’immeuble de rester dans le giron de Libération, et d'apporter les ressources nécessaires pour sauvegarder le journal et le développer. Ces nouvelles ressources doivent complèter celles du journal, et pas s'y substituer. L'un ne peut évidemment pas aller sans l'autre".
     
    Rappelons que Bruno Ledoux est à l'origine un promoteur immobilier, qui détient une partie de l'immeuble occupé par Libération depuis 1986, et dont la valeur s'est beaucoup appréciée depuis.
     



    Exclusif: le mail incendaire du propriétaire de "Libération" - BFMTV.com

     

    Publié par : http://zebuzzeo.blogspot.fr

     

     

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