• Lettre à Poutine, à signer, à relayer - Haro sur la Russie, depuis 1917 !

     

     

     

     Petite info perso : Les trois livres que j'ai finalisés récemment

    (roman, document, autobiographie) seront disponibles

    ensemble sous dix jours environ

    (j'ai fait quelques corrections et additifs sur le dernier),

    chantal dupille

     

    Sur ce post, La Lettre à Poutine (plus bas),

    à signer, à relayer

     

     

     

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     Haro sur la Russie, depuis 1917 !

    Par Chantal Dupille


     

        "La Russie est l'ennemie, la Russie est l'envahisseur, la Russie a à sa tête un dictateur, la Russie est hégémonique, la Russie s'ingère, la Russie veut la guerre, la Russie est terroriste" ... ! Voilà ce que nous disent les presstitués dans les meRdias occidentaux !


        Au fait, qui sont les "dictateurs", pour la Presse mainstream ? Chavez, Kadhafi, Poutine, Assad... Quel est leur dénominateur commun ? Ils sont souverainistes, ils aiment leur pays et ne veulent pas que l'Occident l'asservisse et mette la main sur ses richesses, ils sont prêts à donner leur vie pour défendre leur terre natale, ils sont aimés de leur peuple (ainsi, Assad a été ré-élu avec 89% des voix), ils sont laïcs tout en protégeant la religion de leurs citoyens, ils aiment la famille, ils ne veulent pas du Nouvel Ordre Mondial americano-sioniste, et, généralement, ils sont anti-sionistes. Autant de raisons pour les diffamer, les discréditer, les attaquer, les liquider ! On les rend malade (Chavez), on provoque une fausse révolution meurtrière (Kadhafi, Assad, bientôt contre Poutine à St Petersbourg), on les bombarde ! Et bien sûr, on tente de saboter les BRICS, et on est même prêt à une nouvelle guerre mondiale...


        La Russie ? En 1917, voici la Révolution communiste matérialiste qui élimine le Tsar et la foi orthodoxe. Puis, l'Occident, une fois le boulot accompli, anéantit l'URSS avec des traîtres à leur pays, Gorbatchev et Eltsine. Las ! Voici Poutine qui surgit... Il est accusé d'être un nouveau Tsar, et de rétablir la foi orthodoxe ! Pire encore, il chérit son pays, sa "Nation", et veut préserver son indépendance, il est "conservateur", ainsi il dorlote la famille traditionnelle alors que l'Occident fait tout pour l'abolir (famille monoparentale, du même sexe, asexuée, etc, ne procréant même plus naturellement), il ne veut pas que les richesses du pays soient pillées par les multinationales étrangères, il défend les intérêts de la Russie et des Pro-Russes, il refuse l'encerclement militaire de son territoire ! Autant de crimes pour l'Occident USraélien (Anglo-Saxons + Israël, + UE et surtout France toutou), bref il faut donc mater la Russie, l'affaiblir sur le plan géo-politique et économique (notamment pour qu'elle n'ait plus les moyens militaires de sa défense), la sanctionner, la provoquer (comme en Ukraine), susciter artificiellement et violemment une Révolution Orange (1), l'attaquer de l'intérieur puis de l'extérieur; Et surtout, surtout, remplacer Poutine, installer à sa place un pion docile permettant aux investisseurs étrangers de piller les ressources russes et d'imposer le Nouvel Ordre Mondial !


        La Russie est une puissance nucléaire, elle possède des armes inconnues des Américains (comme son fameux sous-marin furtif au large des côtes américaines, prêt, comme dit un Général Russe, à réduire en poussière les Etats-Unis), elle se défendra vaillamment comme hier contre Napoléon et Hitler. Alors, il faut commencer par la liquider de l'intérieur, l'affaiblir comme les Irakiens l'ont été avant d'être bombardés. Pour moi, les sanctions ont pour but de détacher de Poutine "conservateur" les "modernistes" surtout riches, attachés à leurs prébendes et à leurs fortunes, et attirés par le mirage occidental... Une révolution de Palais, en quelque sorte ? Les plus nantis sont apatrides, l'argent est leur terre, Mâmon leur idole...


         Haro sur la Russie ! Révolution Orange ou guerre, avant de s'en prendre à la Chine... et même en Syrie, c'est encore la Russie que l'Occident affronte par Assad interposé ! Sans parler de l'Ukraine...


          Oui, comme je l'ai écrit sur mes blogs, nous sommes sur un volcan planétaire. Par la faute d'un Occident qui veut dominer TOUTE la planète, tout contrôler et piller toutes les ressources, et surtout, imposer son Nouvel Ordre Mondial totalitaire fou...

          

           Chantal Dupille (dite eva R-sistons)

     

       

    (1) http://senor-information.over-blog.com/article-l-attaque-americaine-de-la-russie-commencera-bientot-a-st-petersbourg-124551802.ht L'attaque américaine de la Russie commencera (bientôt) à St Petersbourg


     

    TAGS : russie, urss, dictateur, etats-unis, gorbatchev, eltsine, poutine, brics, guerre, médias, occident, famille, nouvel ordre mondial, kadhafi, assad, chavez

     

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    Meunier: “En écoutant plus la Russie,

    on éviterait des morts”


    Par Steven Belfils
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    Publié le 11/09/2014  à 11:21
    1 réaction

    Le député de l’Est lyonnais effectue un déplacement de plusieurs jours à Moscou, à la rencontre de représentants politiques et économiques du pays. Il défend la Russie comme un pays ami qui “mériterait d’être mieux entendu”.

    Philippe Meunier ()

     

    On ne peut pas dire que les relations entre la France et la Russie paraissent au beau fixe en ce moment. C’est pourtant à Moscou que le député de l’Est lyonnais Philippe Meunier se trouve pour un voyage de quelques jours en compagnie d’une quinzaine d’autres parlementaires, sous l’égide de de l’association Dialogue franco-russe, présidée par le député UMP Thierry Mariani.


    Cette visite aux accents aussi économiques que politiques permettra notamment à Philippe Meunier de rencontrer Sergueï Mechkov, vice-ministre des Affaires étrangères, Sergueï Narychkine, président de la Douma d'Etat de l'assemblée fédérale de Russie, et Sergueï Ivanov, chef de l'administration du président de Russie.

    “La Russie est un pays ami”

    "La Russie est un pays ami, pas ennemi comme on nous le présente depuis quelque temps", affirme Philippe Meunier, qui vante les positions du pays sur la Syrie ou le cas ukrainien. "En Ukraine, la Russie a été la première à proposer la constitution d’un Etat fédéral. Proposition dédaigneusement rejetée par les Américains, mais dont on perçoit aujourd’hui que c’est l’unique solution. La Russie mériterait d’être mieux entendue. On gagnerait du temps et on éviterait des morts", tranche l’élu, joint dans l’avion, à quelques minutes de son départ pour Moscou.

    Sanctions envers la Russie : une faute géostratégique

    Au-delà de l’aspect politique, Philippe Meunier regrette la dégradation des relations économiques. "Il faut lever les sanctions à l’égard de la Russie pour que, de son côté, la Russie lève l’embargo sur les produits européens. Ce pays veut travailler avec la France, il veut travailler avec l’Europe. En Rhône-Alpes, nous avons également des liens économiques avec la Russie que nous devons renforcer", précise l’élu, cofondateur de la Droite populaire, qui regrette la non-livraison du Mistral aux autorités russes. Ceci pourrait avoir "un impact négatif sur nos exportations d'armement". Et d’appuyer : "Prendre des sanctions à l’encontre de la Russie est non seulement inefficace mais constitue également une faute géostratégique majeure, puisque la Russie est un de nos plus forts partenaires pour la sécurité en Europe, notamment la lutte contre le terrorisme."

     

    https://www.lyoncapitale.fr/Journal/Lyon/Politique/Politique/Meunier-En-ecoutant-plus-la-Russie-on-eviterait-des-morts

     

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    Cher M. le Président Poutine,

    cher Peuple russe,


    Nous vous prions d’accepter nos excuses pour le comportement de nos Gouvernements et de nos Médias. Les nations occidentales, sous la houlette des États-Unis, semblent déterminées à lancer une guerre contre la Russie. Toute personne sensée ne pourra que reconnaître les conséquences terribles d’une telle guerre, et faire tout ce qui est en son pouvoir pour l’éviter. D’ailleurs, il semble que c’est exactement ce que vous êtes en train de faire. Malgré un flot ininterrompu de mensonges et de provocations, vous avez réussi à empêcher la Russie de se laisser entraîner dans une guerre nucléaire.1, 2


    Les événements entourant la guerre en Ukraine sont déformés de sorte à vous faire passer pour un agresseur, alors que les faits prouvent nettement le contraire. Des bandes de néonazis commettent quotidiennement des atrocités contre les citoyens de la Nouvelle-Russie, et reçoivent un soutien politique et financier de la part des gouvernements occidentaux. L’armée ukrainienne a attaqué des postes de contrôle et des villes russes, et bombarde régulièrement les réfugiés qui tentent de fuir le pays. La destruction du vol MH17 de Malaysia Airlines a été mise sur le dos de la Russie, même si les preuves suggèrent que cet avion a été abattu par l’armée ukrainienne. Vous apportez une aide humanitaire aux gens de Lougansk, et l’on vous accuse de faire passer clandestinement des armes en Ukraine.3


    Pourquoi êtes-vous la cible de ces mensonges et de ces provocations ? Les criminels pathologiques en Occident poussent à une guerre avec la Russie parce qu’ils ont besoin d’un ennemi extérieur. Tant que les gens sont focalisés sur l’« agression russe », ils demeurent dans l’ignorance des véritables responsables du déclin de l’économie et du système social américains. En Europe, dont le passé est émaillé de guerres brutales déclenchées par arrogance et cupidité, les dirigeants européens ont subi un effondrement moral complet et se sont naïvement alignés sur la politique d’agression impériale des États-Unis. Le dernier grand président des États-Unis, John F. Kennedy, a décrit notre ennemi commun en 1961 :

    Nous sommes confrontés, dans le monde entier, à une conspiration monolithique et impitoyable qui compte principalement sur des moyens secrets pour étendre sa sphère d’influence par l’infiltration plutôt que l’invasion, la subversion plutôt que les élections, l’intimidation plutôt que le libre arbitre, les guérillas de nuit plutôt que les armées en plein jour.

    C’est un système qui a nécessité énormément de ressources humaines et matérielles dans la construction d’une machine étroitement soudée et d’une efficacité remarquable ; elle combine des opérations militaires, diplomatiques, de renseignements, économiques, scientifiques et politiques. Ses ramifications sont occultées et non publiées. Ses erreurs sont enterrées et ne font pas les gros titres ; on fait taire ses dissidents, on ne les glorifie pas ; aucune dépense n’est mise en question, aucune rumeur n’est imprimée, aucun secret n’est révélé.4

    Depuis, le gouvernement des États-Unis et d’autres nations occidentales ont été infiltrés par cette « conspiration impitoyable ». Même si cette conspiration n’est pas forcément unifiée, nous estimons que les actes et les pensées de ses dirigeants ne sont pas régis par le « fardeau » d’une conscience humaine normale. C’est pourquoi ils sont prêts à sacrifier les vies de millions, voire de milliards de personnes. Ils fournissent à Israël des armes qui servent à massacrer des milliers de Palestiniens. Ils militarisent la police – par exemple, à Ferguson (Missouri) – afin de protéger et de renforcer leur pouvoir sur le peuple. Ils mentent pour lancer des guerres qui annihilent des millions de personnes, ceci pour accroître leur pouvoir politique. Ils sont méprisables.5, 6


    M. Poutine, comme JFK, vous avez été militaire, et vous êtes donc tenu par un sens du devoir : celui de protéger et de servir le peuple russe. Comme JFK, vous semblez avoir reconnu que tout conflit nucléaire était une folie, et vous vous êtes tourné vers la paix.7

     

    Vous refusez de soutenir l’Empire américain, et vous avez entrepris d’ébranler sa puissance sans pour autant vous engager dans un conflit militaire direct. Au contraire, la Russie a renforcé ses liens avec de nombreux pays, par le biais d’organisations comme les BRICS, a effacé les anciennes dettes, et œuvre avec ses partenaires à la réalisation d’objectifs qui servent les intérêts du peuple. L’idée de partenariats internationaux a été qualifiée d’approche multipolaire, une approche en net contraste avec les politiques impérialistes et unipolaires des États-Unis, où toutes les ressources des pays sont contrôlées de manière à bénéficier à une petite élite puissante, aux dépens du Peuple – à Nos dépens.


    Nous rejetons la cupidité, la haine et la soif de pouvoir affichées par nos « dirigeants ». Le meurtre de millions d’innocents au nom de la liberté et de l’auto-défense nous indigne et nous horrifie. Nous voulons la paix et la justice pour tous. Nous voulons une véritable paix, une paix durable ; le genre de paix invoquée un jour par JFK :

    Quelle sorte de paix recherchons-nous ? Non une Pax Americana imposée au monde par les armes de guerre américaines ; non la paix du tombeau ou la sécurité de l’esclave. Je parle de la paix authentique, le genre de paix qui fait que la vie sur terre vaut la peine d’être vécue ; le genre de paix qui permet aux hommes et aux nations de croître, d’espérer et d’édifier une vie meilleure pour leurs enfants ; non seulement la paix pour les Américains mais la paix pour tous les hommes, non seulement la paix à notre époque, mais la paix à toutes les époques.8

    La véritable paix, la véritable justice demeurent impossibles tant que la « conspiration impitoyable » dirige, dans l’ombre, les États-Unis et les autres nations. Nous prions pour que, grâce à nos efforts mutuels, les criminels impitoyables assoiffés de pouvoir qui cherchent à nous asservir tous soient vaincus. Nous prions pour l’avènement d’une paix authentique qui fera que la vie sur Terre vaut la peine d’être vécue.


    Signez cette lettre !

     

    http://dearputin.com/fr/#prettyPhoto

     

     

     

    Sources:

    1. Poutine est-il incorruptible ? La personnalité du président russe et la transformation de la Russie décryptées par une spécialiste américaine
    2. Poutine essaie de sauver le monde de la guerre, par Paul Craig Roberts
    3. Poutine accusé de la destruction du vol #MH17 : un moyen d’attaquer la banque mondiale des BRICS
    4. Discours de remise des diplômes à l’American University, 10 juin 1963
    5. La ponérologie politique : Étude de la genèse du mal, appliqué à des fins politiques, d’Andrew M. Lobaczewski
    6. La stratégie du choc : La montée d’un capitalisme du désastre, de Naomi Klein
    7. JFK & l’Indicible : pourquoi Kennedy a été assassiné… , de James W. Douglass
    8. Le discours de Kennedy devant la presse, 27 avril 1961
    9. Lettre ouverte d’un groupe de Hollandais au président Poutine
    10. Le syndrome de l’OTAN, le programme de partenariat asiatique de l’UE, et l’Union eurasiatique
    11. Poutine ne bluffe pas – quiconque dit que la Russie est en train de perdre en Ukraine ne comprend rien au jeu qui est en train de se jouer
    12. Poutine : l’Ukraine est un champ de bataille pour le Nouvel Ordre Mondial
    13. La Pathocratie Mondiale, les Disciples Autoritaires et l’Espoir du Monde

    pdficon_largeTélécharger la lettre en PDF (français)

     

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    Les BRICS et l’Afrique : l’alliance se confirme ?

    Les BRICS et l’Afrique : l’alliance se confirme ?

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    Par La Voix de la Russie | Les échanges entre l’Afrique et les BRICS sont projetés à 500 milliards de dollars en 2015. Cette annonce, relayée par l’Agence Ecofin (agence africaine d’informations basée à Genève, en Suisse), a été faite par le Haut-commissaire de l’Inde au Cameroun, A.R. Ghanashyam.

     

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    En effet et selon le haut diplomate indien, « les échanges commerciaux entre l’Afrique et les pays membres du groupe des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) ont cru plus rapidement au cours de ces dernières années, que les échanges entre l’Afrique et toutes les autres régions du monde ». C’est ce qu’il a affirmé lors d’un entretien accordé au quotidien gouvernemental camerounais Cameroon Tribune,en tout début de mois, le 1er septembre.


    A.R. Ghanashyam dont la mission en Afrique en plus du Cameroun s’étend également au Nigeria, au Bénin et au Tchad, n’a pas manqué d’avancer des chiffres à l’appui de ses déclarations : « Entre 2007 et 2012, les échanges entre l’Afrique et les BRICS ont doublé. Aujourd’hui ils se situent à 340 milliards de dollars et sont projetés à 500 milliards de dollars pour l’année prochaine, en 2015. » Toujours selon lui « le succès des BRICS dans la promotion de la croissance économique inclusive, la création des emplois et la structuration du secteur de la transformation locale des produits, afin de lutter contre la pauvreté et les inégalités, ont apporté beaucoup d’enseignements aux pays africains ». Dans le cadre de l’entrée en activité très prochaine des institutions financières des nations BRICS, en l’occurrence de la Banque de développement et du Fonds des BRICS, cette tendance ne fera que s’accroitre encore plus activement.


    En effet les chiffres sont impressionnants. Et plusieurs raisons à cela. Tout d’abord car au sein des BRICS, une grande attention est accordée au continent africain. A commencer par la Chine qui depuis des années a fait de l’Afrique une de ses principales priorités en matière de politique extérieure, en premier lieu économique. La Chine a réussi à devenir le principal partenaire économique et commercial des Etats africains, en devançant, et de quelle manière, les Etats ouest-européens, les anciens colonisateurs fortement implantés et poursuivant leur politique néocoloniale, ainsi que les USA, qui ont également pris l’habitude d’agir en Afrique comme bon leur semble. La Chine a donc réalisé un travail remarquable et ce malgré les nombreuses campagnes antichinoises qui ont été organisées par les Etats occidentaux, afin de stopper l’influence grandissante de la Chine en Afrique, et surtout la sympathie que de nombreux Africains ont aujourd’hui à l’égard de l’Empire du Milieu.


    Les autres pays des BRICS, dont l’Inde mais également le Brésil, ont également au cours de ces dernières années renforcé leurs positions en Afrique, en misant notamment sur l’export de leurs technologies et de leur savoir-faire. En ce qui concerne l’Afrique du Sud, leader du continent africain et membre des BRICS, son rôle devient aujourd’hui primordial sur le continent. Le pays du grand Nelson Mandela se doit aujourd’hui de répondre aux nombreux défis de l’Afrique, et pas seulement sur le plan économique. En effet l’Afrique du Sud peut et doit, avec l’assistance de ses autres alliés des BRICS, s’imposer sur le continent africain, notamment dans le cadre des missions humanitaires continentales et s’opposer aux interventions néocoloniales des Etats occidentaux qui pillent les ressources africaines, très souvent sous couvert humanitaire.


    Finalement la Russie, très présente et active sur le continent africain durant la période soviétique, retrouve peu à peu les positions d’antan. Son prestige retrouvé, ses positions diplomatiques plus fortes que jamais depuis l’éclatement de l’URSS, de très nombreux Africains attendent impatiemment le retour de la Russie sur leur continent. Un retour largement favorisé par les intellectuels panafricains, les opérateurs économiques et les représentants de pratiquement toutes les couches sociales des nations africaines. Surtout qu’aujourd’hui, avec le jeu des « sanctions » occidentales qui visent la Russie et les réponses russes qui ont suivi, d’énormes opportunités s’ouvrent au partenariat Afrique-Russie. Les positions perdues des exportateurs occidentaux sur le marché russe se remplacent bien rapidement. Plusieurs pays africains en profitent déjà, parmi lesquels le Maroc, l’Egypte, l’Afrique du Sud ou encore le Kenya. Connaissant les atouts du continent africain, bien souvent surexploités ou dans certains autres cas sous-exploités, la liste de pays africains fournisseurs de leurs produits sur le marché russe peut s’accroitre dans un avenir proche. De son côté, la Russie également se verra élargir sa présence commerciale sur le continent, et ce dans bon nombre de secteurs.


    Pour finir, il est à rappeler que la Banque de développement et le Fonds des BRICS, joueront effectivement un rôle très important dans les relations qui unissent les BRICS à l’Afrique, ainsi que globalement au monde entier. Cette alternative à la Banque mondiale et au Fonds monétaire international (FMI) permettra de créer un autre type de relations économiques, plus justes et basées sur un partenariat gagnant-gagnant. Bien évidemment l’Afrique a le droit de faire partie de ces gagnants et ce malgré l’opposition farouche des prédateurs, n’ayant aucune volonté de donner la liberté à ce continent martyrisé depuis bien longtemps. Mais dans un monde multipolaire traversant déjà sa première phase active et qui vraisemblablement passera d’ici peu dans sa seconde phase, il y a toutes les raisons d’être optimistes sur le fait que les BRICS contribueront grandement à l’avènement d’une Afrique nouvelle, libérée, indépendante, souveraine et prospère. /N 


    Lire la suite: http://french.ruvr.ru/2014_09_09/Les-BRICS-et-l-Afrique-l-alliance-se-confirme-8240/

     

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    Ukraine : une invasion OGM déjà préparée...

    Le flirt des Occidentaux avec les djihadistes tourne mal

    Qui sont les égorgeurs qui nous amènent à consentir à ce qu’on déclenche la guerre contre Assad ?

    La Barbarie, le nouveau visage de la "Pax Ukraina"
    par Karine Bechet-Golovko

    mercredi 10 septembre 2014, par Comité Valmy



     

     

    Voici ce que les mères de combattants de Donetsk viennent de recevoir. Pour l’instant, les autorités de la République de Donetsk ne savent pas, en tout, combien de boîtes en bois contenant la tête coupée de leur fils ont été envoyées par les autorités ukrainiennes.


    La seule certitude est que toutes ces têtes identifiées correspondent à des combattants s’étant battus dans les alentours de Donetsk. Selon les sources, ils auraient été fait prisonniers par Secteur Droit ou simplement tombés entre les mains des militaires ukrainiens. Et rendus ainsi.


    A l’heure où l’on s’acharne à parler de paix, où les échanges de prisonniers traînent en raison du pouvoir ukranien, ces images font froid dans le dos. Est-ce la manière dont Kiev interprète "l’échange" de prisonniers ?


    C’est de la barbarie, à l’état pur. Mais il faut regarder cette image, car elle correspond à une réalité aux portes de l’Europe. Voulons-nous en faire le nouveau visage de l’Europe ? C’est ce qui se passera si le traitement politique de la question ukrainienne ne change pas.

     

    Karine Bechet-Golovko
    mercredi 10 septembre 2014

     

    Russie politics

    1 Message

    • par Karine Bechet-Golovko

      10 septembre 2014 23:00, par Comité Valmy
       
    • Horrible, oui, absolument horrible. Ces Barbares que l’on présente chez nous, ici, en France et par extension, en Occident, comme des démocrates car pro-européens, sont les cousins "germains" avec et sans jeu de mots si l’on songe à leur allégeance à Bandéra, sont cousins germains, donc, de lointains barbares qui sévissent au Proche-Orient et dont cet Occident et singulièrement, cette France, patrie des Lumières et des Droits de L’homme, feint de découvrir, le véritable visage, celui de la Barbarie à visage inhumain. Là-bas aussi, il y a des têtes coupées, des corps mutilés du vivant de leur propriétaire.
    •  
    • Il s’agit donc bien des mêmes intérêts en jeu, du même agenda mis en place par les mêmes, en costumes cravattes ceux-là, afin de faire plier les peuples désireux de conserver ou sauvegarder leur indépendance dans tous les domaines.

    • L’ennemi est bien le même. Qu’il soit instrumentalisé en Ukraine ou en Syrie ou en Irak. Le marionnettiste lui fréquente les salons aux lambris dorés. H Sadki.

     

     

    Guerre contre l’Etat Islamique :

    Ce que dit Dominique de Villepin

    Publié par Gilles Munier sur 13 Septembre 2014, 

    Guerre contre l’Etat Islamique : Ce que dit Dominique de Villepin

    Entretien avec Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV-RMC (12/9/14)*


    « L'annonce par le président Obama d'une grande coalition pour engager une troisième guerre d'Irak est une décision absurde et dangereuse », a fustigé Dominique de Villepin, alors que François Hollande est justement à Bagdad ce vendredi. « Il serait temps que les pays occidentaux tirent les leçons de l'Afghanistan. Il y avait en 2001 un foyer central de terrorisme. Aujourd'hui, il y en a une quinzaine. Nous les avons multipliés ».


    « Aujourd'hui, aller faire la guerre dans cette région, c'est prendre le risque de fédérer contre nous », a asséné Dominique de Villepin, déplorant une guerre précipitée par l'émotion, et qui s'interrogeant: « combien de terroristes allons-nous créer? »


    « La guerre dans le terrorisme et les crises identitaires, c'est mettre de l'huile sur le feu. A chaque fois qu'on fait une guerre, on doit en faire une autre pour réparer notre incompétence » à répondre à la menace terroriste, a-t-il encore déploré.


    Dès lors, comment lutter contre le terrorisme? « La première chose à faire est de toujours respecter le droit international. Deuxièmement, cette région, il ne convient pas de la précipiter dans une nouvelle guerre mais de lui faire prendre ses responsabilités », a estimé Dominique de Villepin.

     

     http://www.bfmtv.com/politique/dominique-de-villepin-chez-bourdin-833729.html

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    Etat islamique : «La France n'a pas à caracoler au 1er rang»

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    Chevènement : "Prendre beaucoup de précaution pour éviter tout ce qui pourrait ressembler à une guerre de civilisations"

     

    http://t.co/D64CbevOvw

     

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    . Misère de l’occidentalisme....

    Misère de l’occidentalisme....

    IRIB-Cette nation qui a donné Pouchkine et Guerre et Paix,

    Nijinsky et le Lac des Cygnes, qui a l’une des plus riches traditions picturales au monde, qui a classé les éléments de la nature, qui fut la première à envoyer un homme dans l’espace (et la dernière à ce jour), qui a produit des pelletées de génies du cinéma, de la poésie, de l’architecture, de la théologie, des sciences, qui a vaincu Napoléon et Hitler, qui édite les meilleurs manuels — et de loin — de physique, de mathématiques et de chimie, qui a su trouver un modus vivendi séculaire et pacifique, sur fond de respect et de compréhension mutuelle, avec ses Tatars et ses indénombrables musulmans, khazars, bouddhistes, Tchouktches, Bouriates et Toungouzes, qui a bâti la plus longue voie de chemin de fer au monde et l’utilise encore (à la différence des USA où les rails légendaires finissent en rouille), qui a minutieusement exploré et cartographié les terres, usages, ethnies et langues de l’espace eurasien, qui construit des avions de combat redoutables et des sous-marins géants, qui a reconstitué une classe moyenne en moins de quinze ans après la tiers-mondisation gorbatcho-eltsinienne, cette immense nation, donc, qui gouverne le sixième des terres émergées, est soudain traitée, du jour au lendemain, comme un ramassis de brutes qu’il s’agit de débarrasser de leur dictateur caricatural et sanglant avant de les éduquer à servir la « vraie » civilisation !


    L’Occident ressort la même guignolerie haineuse à chaque crise, depuis Ivan le Terrible à “Putler”-Poutine, en passant par le tsar Paul, la guerre de Crimée, le pauvre et tragique Nicolas II, et même l’URSS où tout succès était dit « soviétique » et tout échec dénigré comme « russe ».


    Des nations serviles qui accordent aux Américains un crédit illimité de forfaiture et de brigandage « parce-qu’ils-nous-ont-libérés-en-45 » n’ont pas un mot, pas une pensée de gratitude pour la nation qui a le plus contribué à vaincre l’hydre national-socialiste… et qui en a payé le prix le plus lourd. Ses élus sont traités en importuns, son président caricaturé avec une haine obsessionnelle, la liberté de mouvement et de commerce de ses citoyens, savants, universitaires et hommes d’affaires est suspendue au bon vouloir d’obscures commissions européennes dont les peuples qu’elles prétendent représenter ne connaissent pas le nom d’un seul membre, ni pourquoi il y siège plutôt qu’un autre larbin des multinationales.


    Mais tout ceci n’est encore rien. C’est  (..) suite ici :

     

     

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    Alerte, 6e colonne contre la Russie :

    L'attaque américaine de la Russie commencera (bientôt) à St Petersbourg

    Poutine, Strelkov et la sixième colonne

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  • Commentaires

    1
    nadia bougoslavsky
    Samedi 17 Janvier 2015 à 01:29
    merci chantal dupille pour votre acharnement à défendre la russie et POUTINE qui est un vrai RUSSE cela fait du bien d'avoir des gens comme vous clairvoyant et dénonçant ces charognards fous et hystériques voulant s'accaparer à nouveau les richesses de la russie quand cela prendra t il fin ? c'est immonde ignoble ces gens sont les ténèbres pour le monde quand va t on réagir comme un seul homme mais ils sont trop lâches pleutres à genoux devant ces fous ils ont peur cela est insupportable je connais tellement l'histoire de la russie qui a vécu la pire tragédie du 20ème siècle que je voudrais partir de cette terre en sachant que le peuple russe puisse enfin vivre en paix et profiter du confort qu'il mérite plus que tout au monde
    2
    ahura
    Samedi 17 Janvier 2015 à 01:29
    Eva...comme Nadia je souhaiterais quitter ce monde en sachant que les russes, les chinois, les Hindous, les Iraniens et les BRICS ont fait échouer ce projet de monde unipolaire projeté par les USA et leurs toutous. Je ne veux pas que mes enfants et mon petit fils vivent dans un monde unipolaire dirigé par les seuls américains et je dis bien les seuls américains car dès qu'ils n'en auront plus besoin ils se débarrasseront des larbins que sont la France, l'Angleterre, l'Allemagne et autres nations serpillères pour qui deux guerres mondiales n'ont pas servis de leçon. Combien de morts faudra-t-il encore pour qu'ils comprennent que les tas-Unis ont toujours été un pays de prédateurs qui ont volé les terres des indiens comme leurs amis israéliens volent les terres des palestiniens . Quand les ricains interviennent dans un pays ce n'est pas pour la démocratie et la sauvegarde des libertés de sa population mais bel et bien pour les richesses de son sous sol. Leur intervention est toujours motivée par des causes qu'eux mêmes ont créées de toutes pièces . Les mouvements terroristes dans le monde entier sont soutenus et financés par eux . Ils leur donnent l'occasion d'intervenir et de plus ils leur font vendre des armes et leur donnent l'occasion de mener à l'intérieur de leur propre état une politique de plus en plus répressive . Ils sont ruinés donc pour renflouer leurs caisses ils volent d'abord l'or ( Ukraine, Lybie, Allemagne ...) puis les musées, les richesses archéologiques et le pétrole
    PS : Quand je dis américains je ne dis pas la population américaine bien évidemment mais les dirigeants américains : les Bush, les Cheney, les Kerry, la Clinton, les Obamo et leurs sponsors les Rotchilds, les Sorros, les Rockfeller voir les Bill Gattes qui veulent toujours plus de fric pour faire non pas le bien mais le Mal dans le monde entier. Puisse Poutine et ses alliés faire capoter leur projet messianique
    3
    ahura
    Samedi 17 Janvier 2015 à 01:29
    Eva ...la pensée du jour ...extraite de tes tweets !

    Si le 11 septembre mérite 1 minute de silence, alors la Palestine mériterait qu'on se taise à jamais...

    Les citoyens du monde entier devraient se demander qui sont les personnes à l'origine des ces 2 actes odieux ! qui en apparence n'ont rien de commun ! Et pourtant...
    4
    ahura
    Samedi 17 Janvier 2015 à 01:29
    Eva ... les palestiniens ont la bande de Gaza et les français la bande Gattaz ! pour leur plus grand malheur ! Le patron des patrons qui a obtenu des milliards de l'Etat et n'a encore rien donné en contrepartie continue son travail de sape contre les gens qui travaillent et contre les petites entreprises . Ne croyez pas qu'il œuvre pour elles qui constituent pourtant un énorme réservoir d'embauches si on assouplissait la règlementation. Non ! tout est fait pour les grandes entreprises ! L'avenir est sombre pour les "sans dent" et les "illettrés" ! dont se moquent nos zélites dont certains possèdent des diplômes et d'autres se les attribuent . L'Etat n'aurait-il pas une part des responsabilité dans ce désastre social . Pourquoi certains citoyens ne peuvent même plus se faire soigner les dents et pourquoi notre pays compte-t-il tant de gens qui ne savent pas lire . Il y a quarante ans les français quittaient l'école primaire qui était encore laïque, obligatoire et donc gratuite en sachant lire, écrire et compter . Où en sommes nous à présent ?
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    ahura
    Samedi 17 Janvier 2015 à 01:29
    Eva ... Mais où va l'argent de nos impôts ? Ce n'est pas Macron ni Moscovici qui vous le diront ! D'ailleurs le savent-ils ? Et bien écoutez attentivement !et vous comprendrez qu'on est pas prêt de s'en sortir

    http://www.youtube.com/watch?v=FxzQrPmTClg&feature=player_embedded
    6
    ahura
    Samedi 17 Janvier 2015 à 01:29
    Eva ...Poutine doit faire cauchemarder Obama et ses conseillers va-t'en guerre ! Il n'est pas homme à parler pour ne rien dire . Il a simplement prévenu qu'il ne fallait pas provoquer la Russie , grande puissance nucléaire ! C'est clair, net et précis ! Cette mise au point vient en appui de deux évènements sur lesquels la presse ne s'est pas étendu mais qui doit donner des sueurs froides aux cowboys : l'interception des deux missiles tirés par "on ne sait qui" !!!(en haut lieu on le sait très bien !) en direction de la Syrie et miraculeusement interceptés par les russes et la déconnexion totale de l'USS Donald Cook en mer Noire !Ces deux faits d'armes prouvent que les russes ont une avance technologique qui ne présagent rien de bon pour ceux qui leur chercheraient des ennuis . Les américains sont déboussolés comme leur navire de guerre transformé en un vulgaire rafiot perdu au beau milieu de l'océan sans repaire et sans communication. Avec Poutine ils ne savent plus si c'est du lard ou du cochon ! Ils devraient réfléchir à deux fois avant de se lancer dans une aventure périlleuse où leur aigle risque de laisser des plumes. Poutine est comme les grands requins il prévient avant d'attaquer . Et là il ne va pas falloir le provoquer longtemps car il sait que l'attaque est la meilleure des défenses et il pourrait profiter de sa sérieuse avance technologique pour frapper ! Les bourdonnements incessants des mouches commencent sérieusement à irriter l'ours !
    7
    ahura
    Samedi 17 Janvier 2015 à 01:29
    Eva ... tous les Empires ont une fin !

    L’Ukraine sera-t-elle le Waterloo des États-Unis ?

    Panique d’un système au bord de l’effondrement


    Mario Pelletier

    La guerre civile - en grande partie occultée - qui a cours en Ukraine depuis le printemps dernier est devenu le conflit le plus lourd de conséquences pour l’Europe, voire le plus inquiétant pour toute la planète. Préparée et attisée par les États-Unis et l’OTAN, cette guerre hypocrite (qu’on ne veut pas nommer) révèle, plus que toute autre, la folie hégémonique de Washington, l’assujettissement de l’Europe et le totalitarisme idéologique des grands médias alignés sans réserve sur la propagande US. Mais, en fin de compte, on peut se demander si ce champ de bataille, à la fois militaire et idéologique, ne sera pas le Waterloo de l’empire américain.

    Cet été, en suivant avec effarement les développements de la crise en Ukraine et l’escalade des sanctions et menaces contre la Russie, je me suis dit que les dieux étaient tombés sur la tête. Les médias étaient remplis d’appels à la guerre sans retenues, comme un écho fantôme démentiel du déclenchement de la Première Guerre mondiale, il y a cent ans. Une poussée de fièvre belliqueuse sans précédent, à Washington, à Bruxelles et dans les capitales européennes. Les pires invectives et de graves accusations (sans fondements) lancées contre la Russie, au risque de déclencher un conflit nucléaire apocalyptique.

    On a cru un moment que le cessez-le-feu intervenu au moment du sommet de l’OTAN au pays de Galles, le 5 septembre, allait contribuer à la détente. Il n’en est rien. En réalité l’axe Washington-Bruxelles tient mordicus à en découdre avec Moscou. L’OTAN a décidé d’installer des bases militaires aux frontières de la Russie. De nouvelles sanctions sont décrétées. Des manoeuvres conjointes des Occidentaux et de l’Ukraine auront lieu, la semaine prochaine, en mer Noire, au large de la Crimée. Et, aux dernières nouvelles, les Américains trameraient une « révolution orange » en Russie même. Bref, l’escalade se poursuit.

    Une sorte d’ebola de l’esprit

    Le conflit en Ukraine est donc devenu le catalyseur d’une folie hégémonique, une sorte d’ebola de l’esprit, qui a contaminé l’opinion publique en Occident. Par le vecteur des grands médias, troupes de choc alignées sur le front des communications contre la Russie.

    Cette guerre occultée mais néanmoins féroce, qui aurait fait jusqu’ici 30 000 victimes (évaluation récente, trop peu connue) - dont bien des civils, femmes et enfants -, est la poursuite d’une stratégie agressive des USA et de l’OTAN, une politique extrémiste qui aura détruit, en quelques années, au moins quatre pays - la Libye, la Syrie, l’Irak, l’Ukraine - et destabilisé bien d’autres, tout en mettant l’Europe à genoux, économiquement et politiquement. On se demande où s’arrêtera la casse.

    Au milieu de l’hystérie guerrière, le seul dirigeant impliqué qui a gardé la tête froide jusqu’ici s’appelle Vladimir Poutine. Et c’est lui justement qui a été la cible des pires attaques. C’est sur lui que s’est abattu une tornade de haine et de russophobie sans précédent, une véritable hystérie.

    La vraie nature de la presse

    Et c’est là que la crise ukrainienne a été particulièrement révélatrice. Plus que toute autre conflit - en Irak, à Gaza ou ailleurs - elle a mis à nu la vraie nature d’une presse dévouée aux intérêts d’un système politico-financier dont la tête se trouve à Washington et à Wall Street.

    Comment peut-on, désormais, faire confiance aux agences de presse et aux grands médias qui ont propagé mensonges sur mensonges depuis les violentes manifestations de la place Maidan à Kiev, l’hiver dernier, et le renversement d’un gouvernement qui a eu le tort de tourner le dos à l’Europe pour conclure une entente commerciale avec Moscou ?

    Il ne fait pas de doute - c’est documenté depuis longtemps (sauf dans les médias mainstream) - que le coup d’État à Kiev, le 22 février, a été fomenté par Washington. Les ONG américaines, les agents de la CIA, les conseillers militaires de l’OTAN y ont travaillé sans relâche, en se servant de néo-nazis armés pour faire le sale boulot d’une prétendue « révolution » populaire.

    Les propos de la sous-secrétaire d’État Victoria Nuland sont éclairants à cet égard.
    La veille du putsch, au cours d’une conversation téléphonique (interceptée) avec l’ambassadeur US en Ukraine, Mme Nuland, qui dirigeait les opérations de déstabilisation à Kiev, désignait d’avance - avant la destitution du président Ianoukovitch - celui qui serait le prochain dirigeant de l’Ukraine. C’est lors de cet entretien qu’elle avait lâché le fameux « fuck Europe »... dont elle dût s’excuser par la suite. On se croirait dans un épisode de la série House of cards.

    La filière du gaz

    Plusieurs observateurs bien informés, comme le journaliste d’enquête Robert Parry, se sont demandé ce qui pouvait justifier le coup d’État en Ukraine. Quel enjeu pouvait valoir le risque d’un affrontement militaire avec la Russie. Le gaz saute aux yeux. La Russie en est le plus grand fournisseur à l’Europe, par des conduits qui traversent notamment l’Ukraine. Il est manifeste que Washington joue son va-tout pour couper ce lien économique. Et pour prendre la place. D’ailleurs, sautant sur l’occasion, le premier ministre du Canada s’est empressé, le printemps dernier, de proposer son sale pétrole bitumineux à l’Europe.

    Ce qui renforce l’hypothèse du gaz, c’est le rôle joué par le vice-président US Joe Biden lors du putsch de Kiev et l’entrée de son fils, Hunter Biden, au conseil d’administration de la plus grande entreprise de gaz d’Ukraine, quelques mois plus tard. C’est Joe Biden, en effet, qui a pressé le président Ianoukovitch de retirer les forces de police de la place Maidan, le 21 février. Ce qui a permis aux milices néo-nazies d’envahir le palais présidentiel, le lendemain. On sait que, pour leurs « bons services », les extrémistes de droite ont obtenu plusieurs ministères au gouvernement. Un fait que la presse occidentale a toujours minimisé, sinon ignoré sciemment.

    Mais, entre nazis et gaz, il y a toujours de fortes associations. Comme l’a rapporté Robert Parry, Burisma Holding - la grande gazière ukrainienne dont le fils Biden est devenu administrateur - appartient à la Privat Bank. Or, cette banque est contrôlée par l’oligarque ukrainien Kolomosky, lequel finance les forces paramilitaires néo-nazis qui tuent férocement des russophones dans l’est du pays. Le sous-sol de l’Ukraine est réputé comme l’un des plus riches d’Europe en gaz de schiste. Les forages ont donc commencé, dès le moins de juin, dans l’Est de l’Ukraine, près de villes qui subissaient des bombardements intensifs de l’armée ukrainienne, chargée de réprimer les insurgés russophones. Notamment la ville de Nikolaïevka, qui a été rasée, et Slavianks, détruite en grande partie. La guerre permet de passer outre aux objections de la population, et la nouvelle oligarchie installée à Kiev est tout ce qu’il faut pour donner libre cours à une exploitation bloquée ailleurs en Europe pour des raisons écologiques.

    Le nouvel Hitler

    S’il a été applaudi en Occident, le renversement du gouvernement légitime à Kiev - par des troupes de choc néo-nazis, répétons-le - n’a pas eu l’heur de plaire à tout le monde en Ukraine. Et d’autant moins que le nouveau régime a décrété, dès le départ, que le russe ne serait plus langue officielle en Ukraine. Une large proportion d’Ukrainiens est russophone, surtout dans le sud-est : les provinces du Donbass et la Crimée. Révoltées, ces régions ont organisé des référendums d’auto-détermination : un droit reconnu dans toutes les démocraties, mais que le régime de Kiev et ses souteneurs en Occident ont décrié. La population de Crimée a opté, à une majorité écrasante, pour le rattachement à la Fédération de Russie. Ce que Moscou a accepté. Les cris d’indignation ont fusé à Washington et dans toutes les capitales affiliées. On s’est mis à décrier les ambitions annexionnistes de Poutine, sesvisées expansionnistes, sa prétendue volonté de récréer l’Union soviétique, etc. C’était devenu le nouvel Hitler, qu’il fallait arrêter coûte que coûte.

    Pour apaiser les esprits et montrer sa bonne volonté à un Occident qui, de toute façon, ne voulait rien entendre - hégémonie et gaz obligent -, Poutine a refusé de reconnaître les résultats des référendums au Donbass, dans les oblasts de Donetsk et de Lougansk. Pour le plus grand malheur des populations russes de ces provinces, car elles ont subi une attaque militaire d’envergure - appelée à la manière washingtonnienne « opération anti-terroriste » - qui a entraîné la mort de plusieurs milliers de civils et l’exode de plus d’un million de personnes. Une catastrophe humaine, encore pire qu’à Gaza. Mais, étrangement, à la différence de Gaza, les médias occidentaux sont restés muets sur cette tragédie. En particulier, sur le massacre d’Odessa, le 2 mai : 38 personnes brûlées vives dans la Maison des syndicats par des bandes d’écorcheurs néo-nazis.

    Et quand Poutine, par souci humanitaire, a envoyé, le mois dernier, 300 camions chargés de vivres aux sinistrés de Donetsk et de Louganks - qui manquaient d’eau, d’électricité, de médicaments et d’article
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    ahura
    Samedi 17 Janvier 2015 à 01:29
    Eva...lorsque Depardieu apportait son soutien à Paul Bismuth une multitude de micro se tendait vers lui. Lorsqu'il est devenu l'ami de Poutine aucun journaliste n'a consacré une émission pour connaitre le maître de la Russie . L'avis de Gégé ne comptait plus et pourtant. Les français voudrait mieux connaître la bête noire d'Obama et de ses sbires et ce grand pays qu'est la Russie! Voici le témoignage d'un ancien policier qui est parti s'y installer comme boulanger ! Lisez et ne vous laisser plus rouler dans la farine !

    Entretien avec un ex-policier français devenu boulanger en Russie
    Petite question, avons-nous là de la simple propagande pro-russe ou une véritable opinion d’un français expatrié? Puisque actuellement au niveau communication, tous les coups sont permis, la question peut se poser non? Quoi qu’il en soit, comment nier certaines vérités auxquelles nous avons pour la plupart été déjà confrontés?

    Nicolas D., 46 ans, a décidé de s’installer en Russie, dans la ville de Kazan. Cet ancien policier qui a servi à Paris, dans la région parisienne et en Normandie, ne supportait plus son métier qu’il avait pourtant embrassé par passion et pour défendre les valeurs de la France.

    Déçu de voir l’évolution de la France et le désastre de la situation du métier de policier, Nicolas D. a décidé d’ouvrir une boulangerie en Russie avec Étienne, qui a vendu sa boulangerie car il coulait sous les taxes et les impôts en France. Dans un entretien, l’ancien policier devenu boulanger nous explique ses raisons et son installation en Russie comme entrepreneur.

    LVdlR : Quand et comment avez-vous eu vos premiers contacts avec la Russie ?

    Nicolas D. : Le contact a été tout d’abord interne …mon arrière grand-père étant venu de Russie en 1906. Je pense que certains gènes restent et la Russie m’a toujours attiré, la musique me donnant la chaire de poule lorsque je l’entendais. Puis je me suis de plus en plus demandé si les horreurs qu’on me racontait depuis mon enfance sur la Russie étaient vraies, si la bête immonde russe était si immonde que ça. J’ai trouvé ces réponses en y allant en 2008 et de plus en plus à chaque fois. J’ai découvert que depuis quarante-six ans je n’avais entendu que des mensonges, des contre-vérités, des ignominies … Que le peuple russe est en fait l’inverse de ce qu’on avait pu me (nous) faire croire.






    Pourquoi avez-vous lâché la France pour la Russie ? Pourtant, vous aviez un métier solide ! Policier était pour vous une passion !

    En effet, une passion, défendre les gens, les vieux, les enfants, tout le monde … mais à partir des années 2000 cela est devenu impossible. C’était déjà dur avant mais après 2000, les décisions politiques, de droite comme de gauche, ont été basées sur la haine de la police, sur la défense des criminels et il devenait pour moi impossible de poursuivre ce métier et surtout c’était devenu sans intérêt car lorsqu’on a un caractère bien trempé et qu’on veut défendre les citoyens, on est immédiatement mal noté et seuls ceux acceptant de verbaliser à outrance les contrevenants sont l’élite de la police d’aujourd’hui, du moins c’est comme ça que c’est présenté … vous pouvez arrêter cent délinquants en une année, si vous n’avez pas verbalisé un tas de gens vous êtes noté comme « manque d’activité ». De plus le système français donne les chances les plus grandes à ceux qui n’y connaissent rien, c’est en effet ceux qui sont dans des postes « tranquilles » et qui ont le temps de bosser les examens qui ont le plus de chance de monter en grade … si vous faites le métier de police-secours et qu’en plus vous avez des enfants à la maison à vous occuper, vous n’avez jamais de temps pour vous … et donc la plupart des gradés sont aujourd’hui des gens sans expérience. Vous avez des gens qui commandent à des postes importants et qui, il y a quelques années, se traînaient dans leur vomi le matin tellement ils buvaient et qui s’amusent à sanctionner des policiers en usant de mensonges et tout cela pour toucher en fin d’année la prime de 400 euros mise en place par M. Sarkozy. D’ailleurs cette prime a fait énormément de mal à la Police. Certains vendraient leur âme pour la toucher et ils sont de plus en plus. 400 euros pour perdre son âme, non merci.

    C’est par dégoût de tout cela que j’ai décidé de quitter cette profession mais le déclic est venu des Renseignements Généraux de Caen… qui, après vingt-quatre ans de métier, ont découvert que j’étais marié à une femme russe. J’ai donc été convoqué et pendant trois heures on m’a expliqué que mon épouse était peut-être une espionne, que je devais me méfier d’elle et les prévenir si je voyais quelque chose de bizarre.

    Puis, ne voyant rien venir, on a voulu me dégager de mon poste car, m’ont-ils dit, moi ou mon épouse étions susceptibles de poser des caméras ou des micros dans le commissariat.

    J’ai refusé de partir, leur riant au nez de la stupidité de leurs propos. Alors ils ont trouvé le moyen de monter une affaire de toute pièce et de m’envoyer devant un tribunal … où j’ai été relaxé avec un petit mot du juge qui a expliqué en me regardant qu’il ne comprenait même pas ce que je faisais devant lui. Pour moi, après vingt-quatre ans de police, ç’a été une honte immense, de voir les gens en qui j’avais confiance manipuler les procédures, mentir, m’envoyer sans motif devant un tribunal et m’y faire condamner. J’ai compris alors que le système était pourri et que s’ils arrivaient à me faire ça à moi c’est qu’ils l’avaient déjà fait à des tas de personnes, policiers ou pas… que peut-être des tas de gens qui sont en détention ne devraient pas l’être. J’ai donc donné ma démission et même, à quelques jours de mon départ, alors que la ministre de la justice visitait la Cour d’appel, on m’a demandé d’emmener au commissariat de police un couple avec petits enfants qui avaient leurs papiers au motif qu’ils avaient un tee-shirt de la Manif Pour Tous… j’ai refusé.

    Quel regard portez-vous sur la France depuis votre installation en Russie ?

    Un regard très critique depuis l’extérieur. Je me rends compte maintenant à quel point la France a été vendue à des lobbies ou à des États riches. Lorsque je reviens quelques jours, j’ai une boule au ventre rien qu’à me dire que je dois prendre le RER C pour aller prendre mon train à Paris. Du coup j’ai depuis peu découvert le merveilleux « Roissy bus » qui permet d’éviter cette faune. Politiquement je vois que l’idée que je me faisais d’un État « mauvais » a changé de côté.

    Maintenant que je suis ici et que je vois un autre mode de vie, je me rends aussi compte qu’en France nous sommes très casaniers, un peu une vie de robot… ici c’est l’inverse. Les gens profitent de chaque moment libre pour s’amuser, rencontrer la famille, visiter, faire des croisières sur la Volga… pourquoi ? Parce qu’en Russie, tout est peu cher. 500 euros de salaire ici peuvent être comparés à 3 000 euros en France. Faites le total de vos charges, de la TVA, sur tout ce que vous payez comme le loyer, les impôts, l’essence, les assurances, etc., à la fin, il vous reste 500 euros. Ici je paye 60 euros par mois pour le gaz, électricité, la télévision, internet, l’eau, le chauffage (qui marche à fond six mois d’hiver), l’entretien des communs et donc au final, il reste environ le même budget sauf que si on compare l’essence qui est a 50 centimes d’euros, un resto qui coûte 6 ou 7 euros, une bière d’un demi litre à 2 euros, un musée à 2 euros, une croisière de deux jours sur la Volga à 80 euros, etc., on comprend pourquoi les gens profitent, vivent et bougent.

    Et sur le traitement des médias français sur la guerre en Ukraine ?

    Je ne regarde plus les médias français, juste un peu les sites Internet mais c’est tout. De toutes les manières, dès que je regarde je lis des mensonges. Je regarde les médias russes qui, eux, ne parlent pas de politique mais de la vie des gens. Les journalistes prennent le temps de s’arrêter sur ce que devient une famille qui a perdu un de ses proches dans la guerre ou sur de belles choses comme un mariage pendant les combats. J’y trouve très peu de « propagande » comme je l’ai lu dans un média français.

    Je vois aussi des journalistes russes aller filmer directement au contact des combats et non pas faire des articles en lisant juste les dépêches de l’AFP qui elle-même s’est renseignée auprès des autorités de Kiev par exemple… Les médias français devraient parler des collectes faites pour envoyer de la nourriture au Donbass, de la solidarité des gens envers leurs frères ukrainiens. Pour avoir parlé avec des Ukrainiens, on peut dire que la vérité est dite par les médias russes. Les gens se font vraiment massacrer et seule l’armée des résistants combat, aucune troupe russe n’est là-bas. La seule aide que j’ai vue c’est de l’aide alimentaire que nous donnons à la sortie du supermarché, c’est tout. Lorsque j’analyse un peu se qui se passe là-bas, j’ai à l’esprit l’idée d’Ouradour-sur-Glane.

    Qu’est-ce qui vous a poussé à partir vivre en Russie et surtout à vouloir monter une boulangerie ?

    J’ai la chance de connaître beaucoup de monde à Kazan et, sans toutes ces personnes, c’est impossible pour un étranger de venir s’installer ici. L’administration est un vrai sac de nœuds et il est très facile de perdr
    9
    ahura
    Samedi 17 Janvier 2015 à 01:29
    Eva...je voudrais saluer le courage d'Oliver Stone qui a rencontré Snowden et Poutine et qui contre vent et marée a donné sa vision des choses . Cet homme n'est pas une lavette comme une majorité d'acteurs d'Hollywood .

    Par La Voix de la Russie | Le cinéaste hollywoodien Oliver Stone, auréolé de trois Oscars pour ses films, a pris la défense du président russe Vladimir Poutine qui n’a « pas lâché la Crimée » et a confié avoir rencontré le fugitif américain Edward Snowden à Moscou, dans un entretien publié mardi en Russie, rapporte l’AFP.


    « Nombre d’Américains ne comprennent pas que Poutine (…) défend les intérêts géopolitiques cruciaux de la Russie dans la crise avec l’Ukraine », a déclaré le cinéaste américain au quotidien officiel russe Rossiïskaïa Gazeta.

    L’OTAN a courtisé « l’Ukraine dans le but de priver la Russie de sa flotte basée à Sébastopol », en Crimée, péninsule ukrainienne annexée en mars par la Russie après un référendum controversé, a-t-il dit, en ajoutant que « la Russie ne pouvait pas accepter cela ».



    « Je comprends pourquoi Poutine n’a pas pu lâcher la Crimée », a résumé le réalisateur qui a souvent traité dans ses films des sujets politiques comme l’assassinat de John F. Kennedy et le scandale du Watergate.

    Selon le cinéaste, la crise en Ukraine est le résultat de la stratégie de l’OTAN qui cherche à s’approcher des frontières russes au mépris des assurances données par Washington à l’ex-leader soviétique Mikhaïl Gorbatchev, juste avant l’éclatement de l’URSS fin 1991.

    Oliver Stone, qui vient de réaliser une série documentaire en dix épisodes intitulée Les États-Unis, l’histoire jamais racontée sur les événements les plus sombres de l’histoire américaine, coproduit actuellement avec des Ukrainiens un documentaire, Ukraine en feu, pour lequel il voudrait interviewer notamment Vladimir Poutine.

    Le cinéaste, dont le prochain film est consacré à Edward Snowden, a par ailleurs indiqué avoir rencontré à Moscou cet ancien consultant de l’Agence américaine de sécurité NSA), réfugié en Russie, qui risque jusqu’à 30 ans de prison aux Etats-Unis pour espionnage.

    « Je l’ai rencontré à Moscou, de même que beaucoup d’autres personnes qui ont quelque chose à voir avec cette affaire », a déclaré M. Stone.

    Il a félicité les autorités russes d' »avoir donné asile » à Edward Snowden et montré qu' »il existe une alternative au monde contrôlé par les États-Unis ».

    Le réalisateur a expliqué que son film dont le tournage devrait commencer dans les premiers mois de l’année prochaine visait à faire en sorte que tout le monde comprenne les motifs de M. Snowden, qui avait transmis à la presse des dizaines de milliers d’éléments prouvant l’étendue des activités de la NSA, des révélations qualifiées d' »actes de trahison » par les Etats-Unis.

    Très engagé politiquement, le cinéaste a auparavant déjà soutenu publiquement le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, l’ancien président vénézuélien Hugo Chavez et le dirigeant cubain Fidel Castro.

    Fin juillet, Oliver Stone avait déjà accusé les autorités américaines d’avoir arbitrairement désigné la Russie coupable de la destruction en vol au-dessus de l’Ukraine du vol MH17 sans fournir aucune preuve.
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