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    La drôle d’aventure ukrainienne des USA

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    Ukraine USA 3
    La Russie mettait en garde contre l’ouverture d’une guerre civile en Ukraine et Washington faisait tout pour qu’elle survienne. On attendait donc un affrontement militaire entre armée ukrainienne et milices pro-russes. Il n’a pas eu lieu : la population russe de l’Est du pays s’est interposée face aux militaires.


    1- On sait que les putschistes de Kiev, petits politiciens sans envergure, sont directement pilotés par les USA. Je ne reviendrai pas sur les circonstances de ce putsch déjà abondamment décrites, ni sur celles de l’annexion de la Crimée par la Russie, mais sur la drôle de guerre civile de la semaine passée que j’ai pu suivre de près.

    On leur avait dit qu’ils allaient trouver ça :

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    Mais ils ont trouvé ceci :

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    Un engin arrêté par un homme tandis que la boubouchka engueule les soldats

    2- L’opération « antiterroriste » de cette semaine, déroulée principalement entre mardi et mercredi, fut une pantalonnade qui a consisté à envoyer de jeunes appelés, montés sur de drôles d’engins datant des années 50, commandés par une vieille ganache stupide, le général Vassili Kroutov, pour soi-disant aller au contact de troupes russes d’élite, les fameux « Spetsnaz ». On leur avait dit qu’elles s’étaient infiltrées dans le Dombass afin de préparer une opération aéroportée russe sur le petit aérodrome de Kramatorsk. Cet aérodrome désaffecté était alors gardé par huit habitants débonnaires de Slaviansk, une localité située non loin de là.

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    Le général Vassili Kroutov secoué par la foule

    3- Quatre des huit gardiens furent abattus d’entrée dans des circonstances inconnues certainement par une avant-garde de snipers.

    4 – Hommes femmes et enfants accoururent alors de partout au contact de ces jeunes soldats qui se firent engueuler par les femmes tandis que la ganache fut secouée un peu par la foule. Les snipers du début ayant tué les quatre habitants auraient pu réitérer leur crime, mais ils avaient disparu ou ont été opportunément éliminés par quelques anges gardiens.

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    Une femme négocie avec un officier

    5- Qu’espéraient alors les USA ? Vraisemblablement un bain de sang afin de commencer une guerre civile, car s’il avait fallu réellement empêcher l’arrivée des Russes ou neutraliser des « spetsnaz », ce n’est pas cette petite troupe de jeunes et ces engins vieillots qui auraient pu le faire. On avait visiblement envoyé jeunes et ganache au casse-pipe.

    6- Cette opération échoua lamentablement dans des circonstances dignes d’une comédie. On a vu une babouchka arrêter un des engins, des femmes et des enfants pique-niquant dans l’herbe avec les jeunes soldats pleurant, tandis que des avions de guerre lourdement armés et des hélicoptères d’attaque survolaient la scène champêtre, attendant quoi au juste ?

    On peut saluer également les soldats ukrainiens qui n’ont surtout pas voulu servir de pions dans cette triste aventure

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    Pique-nique champêtre, la foule apporte à manger aux soldats. Le ravitaillement n’était pas prévu dans l’opération qui devait mal tourner pour eux.

    7- Question : la CIA est elle dirigée par des imbéciles ou alors ce ne fut qu’une opération désespérée, faute d’autre chose ? Les forces spéciales ukrainiennes ont décliné l’invitation à la guerre civile et les troupes d’élite aéroportées de Dnipropetrovsk également.

    8- À la conférence de Genève, les USA acceptèrent toutes les demandes russes sans exceptions.

    Bien évidemment tout le monde sait qu’ils ne respecteront pas un mot de ces accords, comme d’habitude. Ils continuent les pseudo « sanctions » et les gesticulations militaires inutiles avec leurs marionnettes locales.

    9- Cette nuit, (du 19 au 20 avril 2014) en dépit de l’accord de Genève, un commando lourdement armé qui laisse opportunément sur place un insigne de « Pravy Sector » mitraille à la mitrailleuse légère un groupe de citoyens de Slaviansk seulement armés de bâtons, ils en tuent quatre, deux des assaillants sont abattus plus tard par la milice du Dombass appelée à la rescousse et qui fait un prisonnier.

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    Véhicules du commando nocturne criblés de balles et incendiés par la milice du Dombass

    En conclusion : rien dans cette histoire ne tient véritablement debout, sauf si les USA désirent absolument et en dépit des accords passés engendrer une guerre civile sanglante à la yougoslave et entraîner une intervention russe afin de plonger cette partie de l’Europe dans un grave conflit armé dont ont ne sait pas où il ira.

    Les USA ont l’air d’être dirigés par des fous furieux irresponsables comme ont les voit décrits dans le film de Kubrick Docteur Folamour, mais Kubrick montre un président US épris de paix. Ce qu’il ne montre pas, c’est que les USA sont dirigés réellement par un État profond [1], décrit par Peter Dale Scott, et non par un président et qu’il semblerait que cet État profond veuille nous concocter une Guerre Mondiale.

    Heureusement que la Russie est dirigée elle par un homme responsable qui sait éviter les pièges tendus de gens qu’il connaît parfaitement bien.

    Attendons la suite des coups fourrés étasuniens car, à mon avis, ce n’est qu’un début.

    Alain Benajam
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    [1] « Derrière la démocratie états-unienne : l’État profond », par Peter Dale Scott, Réseau Voltaire, 5 avril 2011 ; « Le “Projet Jugement dernier” et les événements profonds : JFK, le Watergate, l’Irangate et le 11-Septembre » partie 1 et « Le “Projet Jugement dernier” et les événements profonds : JFK, le Watergate, l’Irangate et le 11-Septembre » partie 2, par Peter Scott Dale, Réseau Voltaire, 4 et 14 janvier 2012.

     

    http://www.mondialisation.ca/la-drole-daventure-ukrainienne-des-usa/5378732

     

     

    A l’avenir, des soldats américains devraient également être déployés dans les États baltes.

     

    Des troupes américaines envoyées en Pologne

    pour soutenir l’Ukraine

    http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20140419_00465320

     

     

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    • Sergueï Lavrov : « Toutes ces années, nos partenaires occidentaux nous ont menti »

      + Russie : l’armée répondra à toute menace (Lavrov)

      23 avril 2014, par Comité Valmy
      Sergueï Lavrov : « Toutes ces années, nos partenaires occidentaux nous ont menti »
      Traduit par : Julia BREEN publié Mercredi 16 avril 2014
      Sergueï Lavrov - Crédits : www.mid.ru
      Promesses oubliées
      Nous assistons en ce moment à une restructuration de tout le système mondial. Après la disparition de l’Union soviétique et du Pacte de Varsovie, ceux que nous désignons sous le terme général d’« Occident » ont laissé échapper des possibilités historiques au moment où la Russie a proposé toute une série (...)



     

    ..

    L’Empire anglo-saxon est basé depuis un siècle sur la propagande. Elle est parvenue à nous convaincre que les États-Unis sont « le pays de la liberté » et qu’ils ne livrent de guerres que pour défendre leurs idéaux. Mais la crise actuelle à propos de l’Ukraine vient de changer les règles du jeu : désormais Washington et ses alliés ne sont plus les seuls locuteurs. Leurs mensonges sont ouvertement contestés par le gouvernement et les médias d’un autre grand État, la Russie. À l’heure des satellites et de l’Internet, la propagande anglo-saxonne ne fonctionne plus.

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    Barack Obama parle bien. En réalité, le président Obama n’écrit pas lui-même ses textes et passe ses journées à lire sur des prompteurs des discours écrits pour lui. Pendant ce temps, d’autres gouvernent à sa place.

    Depuis toujours les gouvernants tentent de convaincre de la justesse de leurs actes, car jamais les foules ne suivent les hommes qu’elles savent mauvais. Le XXème siècle a été le théâtre de méthodes nouvelles de propagation d’idées qui ne s’encombraient pas de la vérité. Les Occidentaux font remonter la propagande moderne au ministre nazi Joseph Goebbels. C’est une manière de faire oublier que l’art de fausser la perception des choses fut développé auparavant par les Anglo-Saxons.

    En 1916, le Royaume-Uni créa la Wellington House à Londres, suivie par la Crewe House. Simultanément, les États-Unis créèrent le Committee on Public Information (CPI). Considérant que la Première Guerre mondiale opposait des masses et non plus des armées, ces organismes tentèrent d’intoxiquer leur propre population tout autant que celles de leurs alliés et que celles de leurs ennemis.

    La propagande moderne commence avec la publication à Londres du rapport Bryce sur les crimes de guerre allemands, qui fut traduit en trente langues. Selon ce document, l’armée allemande avait violé des milliers de femmes en Belgique, les armées britanniques luttaient donc contre la barbarie. On découvrit à la fin de la Première Guerre mondiale que l’ensemble du rapport était une supercherie, faite de faux témoignages avec l’aide de journalistes.


    De son côté, aux États-Unis, George Creel inventa un mythe selon lequel la Guerre mondiale était une croisade des démocraties pour une paix réalisant les droits de l’humanité.

    Les historiens ont montré que la Première Guerre mondiale répondait à des causes autant immédiates que profondes, la plus importante étant la compétition entre grandes puissances pour étendre leur empires coloniaux.

    Les bureaux britanniques et états-unien étaient des organismes secrets, travaillant pour le compte de leurs États. À la différence de la propagande léniniste, qui ambitionnait de « révéler la vérité » aux masses ignorantes, les Anglo-Saxons cherchaient à les tromper pour les manipuler. Et pour cela, les organismes étatiques anglo-saxons devaient se cacher et usurper de fausses identités.


    Après la disparition de l’Union soviétique, les États-Unis ont négligé la propagande et lui ont préféré les Relations publiques. Il ne s’agissait plus de mentir, mais de tenir la main des journalistes pour qu’ils ne voient que ce qu’on leur montre. Durant la guerre du Kosovo, l’Otan fit appel à Alastair Campbell, un conseiller du Premier ministre britannique, pour raconter à la presse une histoire édifiante par jour. Pendant que les journalistes la reproduisaient, l’Alliance pouvait bombarder « en paix ». Le story telling visait moins à mentir qu’à détourner l’attention.

    Cependant, le story telling est revenu en force avec le 11-Septembre : il s’agissait de concentrer l’attention du public sur les attentats de New York et de Washington pour qu’il ne perçoive pas le coup d’État militaire organisé ce jour-là : transfert des pouvoirs exécutifs du président Bush à une entité militaire secrète et placement en résidence surveillée de tous les parlementaires. Cette intoxication fut notamment l’œuvre de Benjamin Rhodes, aujourd’hui conseiller de Barack Obama.

    Au cours des années suivantes, la Maison-Blanche installa un système d’intoxication avec ses principaux alliés (Royaume-Uni, Canada, Australie et bien sûr Israël). Chaque jour ces quatre gouvernements recevaient des instructions, voire des discours pré-écrits, du Bureau des médias globaux pour justifier la guerre en Irak ou calomnier l’Iran [1].


    Pour diffuser rapidement ses mensonges, Washington s’appuyait, depuis 1989, sur CNN. Avec le temps, les États-Unis créèrent un cartel de chaines d’information satellitaires (Al-Arabiya, Al-Jazeera, BBC, CNN, France 24, Sky). En 2011, lors du bombardement de Tripoli, l’Otan parvint par surprise à convaincre les Libyens qu’ils avaient perdu la guerre et qu’il était inutile de résister encore. Mais en 2012, l’Otan a échoué à reproduire ce modèle et à convaincre les Syriens que leur gouvernement allait inévitablement tomber. Cette tactique a failli parce que les Syriens ont eu connaissance de la manipulation effectuée par les chaînes de télévision internationales en Libye et ont pu s’y préparer [2]. Et cet échec marque la fin de l’hégémonie de ce cartel de « l’information ».

    La crise actuelle entre Washington et Moscou à propos de l’Ukraine a contraint l’administration Obama à revoir son système. En effet, désormais Washington n’est plus seul à parler, il doit contredire le gouvernement et les médias russes, accessibles partout dans le monde via les satellites et Internet. Le secrétaire d’État John Kerry a donc désigné un nouvel adjoint pour la propagande, en la personne de l’ancien rédacteur en chef de Time Magazine, Richard Stengel [3]. Avant même de prêter serment, le 15 avril, il occupait déjà sa fonction et, dès le 5 mars, envoyait aux principaux médias atlantistes une « fiche documentaire » sur les « 10 contre-vérités » que Vladimir Poutine aurait énoncées sur l’Ukraine [4]. Il récidivait le 13 avril avec une seconde fiche présentant « 10 autres contre-vérités » [5].


    Ce qui frappe en lisant cette prose, c’est son ineptie. Elle vise à valider l’histoire officielle d’une révolution à Kiev et à discréditer le discours russe sur la présence de nazis dans le nouveau gouvernement. Or, on sait aujourd’hui qu’en fait de révolution, il s’agissait bien d’un coup d’État fomenté par l’Otan et mis en œuvre par la Pologne et Israël en mixant des recettes des « révolutions colorées » et des « printemps arabes » [6]. Les journalistes qui ont reçu ces fiches et les ont relayées connaissent parfaitement les enregistrements de conversations téléphoniques de l’assistante du secrétaire d’État Victoria Nuland, sur la manière dont Washington allait changer le régime au détriment de l’Union européenne, et du ministre estonien des Affaires étrangères, Urmas Paets, sur la véritable identité des snipers de la place Maidan. En outre, ils ont pris connaissance ultérieurement des révélations de l’hebdomadaire polonais Nie sur la formation deux mois avant le début des événements des émeutiers nazis à l’Académie de police polonaise. Quant à nier la présence de nazis au sein du nouveau gouvernement ukrainien, cela revient à clamer que la nuit est lumineuse. Il n’est pas nécessaire de se rendre à Kiev, il suffit de lire les écrits des ministres actuels ou d’écouter leurs propos pour le constater [7].


    En définitive, si ces argumentaires permettent de donner l’illusion d’un consensus des grands médias atlantistes, ils n’ont aucune chance de convaincre des citoyens curieux. Au contraire, il est si facile avec Internet de découvrir la supercherie que ce type de manipulation ne pourra qu’entamer un peu plus la crédibilité de Washington.

    L’unanimisme des médias atlantistes le 11-Septembre a permis de convaincre l’opinion publique internationale, mais le travail réalisé par des très nombreux journalistes et citoyens, dont j’ai été le précurseur, a montré l’impossibilité matérielle de la version officielle. Treize ans plus tard, des centaines de millions de personnes ont pris conscience de ces mensonges. Ce processus ne pourra que se développer avec le nouveau dispositif de propagande états-unien. En définitive, tous ceux qui relayent les argumentaires de la Maison-Blanche, notamment les gouvernements et les médias de l’Otan, détruisent eux-mêmes leur crédibilité.

    Barack Obama et Benjamin Rhodes, John Kerry et Richard Stengel n’agissent qu’à court terme. Leur propagande ne convainc les masses que quelques semaines et contribue à les révolter lorsqu’elles comprennent la manipulation. Involontairement, ils sapent la crédibilité des institutions des États de l’Otan qui les relayent consciemment. Ils ont oublié que la propagande du XXème siècle ne pouvait réussir que parce que le monde était divisé en blocs qui ne communiquaient pas entre eux, et que son principe monolithique est incompatible avec les nouveaux moyens de communication.


    La crise en Ukraine n’est pas terminée, mais elle a déjà profondément changé le monde : en contredisant en public le président des États-Unis, Vladimir Poutine a franchi un pas qui empêche désormais le succès de la propagande états-unienne.

    Source
    Al-Watan (Syrie)

    Publié par : http://www.voltairenet.org

     

    http://cequelesmediasnenousdisentpas.over-blog.com/2014/04/vers-la-fin-de-la-propagande-etats-unienne-par-thierry-meyssan.html

     

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    Crise ukrainienne :
    une révolte contre l’OTAN gronde en Allemagne

    reseauinternational.net

    Le ministre allemand des Affaires étrangères Frank-Walter Steinmeier a demandé, dans un article publié le 20 avril dans Bild am Sonntag, que l’on mette fin aux menaces de sanctions contre la Russie et que l’on consacre plus d’efforts à la désescalade de la crise ukrainienne.

    Le ministre à également demandé que le nombre d’ de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) soit augmenté à 500 le plus tôt possible. Il a souligné que la situation sur le terrain est compliquée par le fait que plusieurs groupes armés en Ukraine ne sont contrôlés ni par Kiev ni par Moscou, et qu’étant donné le fait que les possibilités de rétablir la paix sont peu nombreuses, il n’est pas nécessaire de compliquer davantage la situation.

    Les remarques de Steinmeier reflètent l’existence d’un âpre débat au sein même du gouvernement allemand sur la situation ukrainienne, puisque la ministre de la Défense Ursula von der Leyen a de son côté appelé au renforcement des sanctions contre la Russie.

     

    Frank-Walter Steinmeier

    Frank-Walter Steinmeier

     

    Trois anciens chanceliers, Helmut Schmidt, Helmut Kohl, et , ainsi que l’ancien chef d’état-major de l’armée allemande, le général Harald Kujat (ret.), plus le chef-adjoint du Parti libéral-démocrate (FDP) Wolfgang Kubicki, ont par ailleurs vivement critiqué l’attitude belliqueuse de l’Otan à l’égard de la Russie.

    « Le fait que l’Otan souhaite déployer des forces près de la frontière orientale du pays, en collaboration avec la [armée allemande], je considère cela comme non seulement contreproductif mais extrêmement dangereux », a déclaré Kubicki, avant de souligner, à propos de la présence de néonazis dans le gouvernement ukrainien : « Il y a là des gens qui seraient poursuivis devant les tribunaux en Allemagne. Ils ne sont d’aucune manière des ’’combattants de la liberté’’, mais nous agissons comme si c’était le cas. »


    Un revirement médiatique est également en train de s’opérer outre-Rhin. Dans un reportage intitulé « Toujours contre Poutine : la critique contre les médias gagne du terrain », la Norddeutscher Rundfunk (NDR) rapporte qu’un nombre croissant d’auditeurs et de lecteurs écrivent des courriels pour protester contre la ligne anti-Poutine, et se sentent insultés face à ce qu’ils considèrent comme une campagne évidente de . NDR attribue le changement dans l’opinion publique au scandale de la surveillance de massé opérée par la NSA, aux , à Guantanamo et Abu Ghraïb, des épisodes qui ont gravement égratigné la confiance des envers les Etats-Unis.


    La dirigeante du Mouvement des droits civiques – Solidarité (BüSo) Helga Zepp-LaRouche, qui a résisté sans faillir à cette campagne de propagande en faveur d’une guerre dont l’Allemagne serait sans aucun doute l’une des premières victimes, est traitée avec bien plus de respect qu’avant dans certains milieux institutionnels.

     

    http://www.solidariteetprogres.org/actualites-001/crise-ukrainienne-une-revolte.html



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  • 05/03/2014

    Un sayan nommé Cohn-Bendit...

     

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    Dany le faux Rouge

    et le vrai Sayan

    par eva R-sistons


     

    Il débarqua à Paris en mai 68. Et se fit connaître comme agitateur-meneur. J'ai écrit un post sur "Dany le Rouge", voici quelques années, pour indiquer qu'il avait été le fossoyeur de Charles de Gaulle. Envoyé par le pays de son coeur, Israël, qui détestait le Général souverainiste. .

     

    Chassé de France, il devint Green en Allemagne, et l'on découvrit aussi qu'il avait un faible pour les petites filles... Puis il revint dans notre pays, pour s'occuper cette fois des Verts qui sous son influence, devinrent verdâtres, rose pâle, sociaux-démocrates, ultra européistes et va-t-en guerres.

     

    Aujourd'hui, il annonce s'éloigner de la politique; Pour s'occuper de foot, et surtout des médias ! En France, ils chérissent les sayanim et les... pédophiles. Et comme l'Europe est discréditée, Cohn-Bendit sera chargé de la défendre surtout parmi les jeunes. En faux Rouge et vrai Européiste atlantiste ! L'affreux rouquin utilisera sa faconde pour ramener les jeunes brebis égarées (par le FN ou l'abstention) dans l'enclos de l'Europe des banksters.

    .

    Autre atout pour les Maîtres du monde, le faux anar et vrai sayan plaide pour le Nouvel Ordre Mondial dont personne ne veut. Mais avec un talent qui peut convaincre... alors, on le voit partout, Presse, TV, radio... il se démultiplie pour la bonne cause des Bilderberg !

    .

    Et ce grand ami de la France continue de faire entendre sa voix : Ici pour demander qu'elle renonce à Strasbourg pour le Parlement européen, là pour suggérer à notre pays de renoncer à sa voix à l'ONU. Au cas, sans doute, où un nouveau Général de Gaulle s'en serve ?

    .

    Ne cherchez pas: Il a tout pour plaire aux Maîtres du Monde, par son zèle, et au bon peuple, par son allure sympa et par sa grande gueule.

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    Qu'attend-on pour renvoyer le bonhomme en Allemagne ?

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    Si toutefois elle veut encore de lui...

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    Eva R-sistons

     

     

    08:09 Écrit par Eva R-sistons dans Politique française | Lien permanent | Commentaires

     

    Savez-vous qui est Daniel Cohn-Bendit ? Un grand libéral, aussi ! Voyez cette vidéo avec des exemples concrets.

    Et c'est parce qu'il est champion de la mondialisation et de l'Europe libérale, champion des guerres néoconservatrices et du Nouvel Orde Mondial pervers (à l'instar du Nouvel Observateur, par ex, où d'ailleurs il collabore), qu'il est exhibé dans les meRdias et encensé en haut lieu ! Quelle imposture ! eva R-sistons

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    Super vidéos - et commentaires

     

    http://mai68.org/spip/spip.php?article364

    Savez-vous qui est Daniel Cohn-Bendit ?

     


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  • L’agression de l’OTAN contre la Russie et le risque de guerre en Europe

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    Russie Otan

     

    Depuis le coup d’Etat du 22 février à Kiev avec l’aide des oligarques et des fascistes, les Etats-Unis et leurs alliés de l’OTAN ont mis en place des mesures visant la Russie qui équivalent à une déclaration de guerre officieuse. En l’espace de seulement six semaines, les puissances de l’OTAN sont passées du soutien à un coup d’Etat, à l’imposition de sanctions contre la Russie, jusqu’au plus important renforcement de leurs capacités militaires en Europe depuis la Guerre froide.


    La rapidité de ces changements démontre que le coup d’Etat contre le régime Ianoukovitch n’était pas le catalyseur inattendu tel que présenté, mais une provocation organisée dans le but de mettre en œuvre des plans préparés de longue date.


    C’est ce qui ressort clairement du sommet de la semaine passée entre les ministres des Affaires étrangères des pays de l’OTAN. Ces derniers ont élaboré des projets pour étendre l’alliance militaire jusqu’aux frontières de la Russie, y compris d’importantes simulations militaires et un éventuel stationnement de troupes dans les pays voisins.


    Washington a exigé qu’un Plan d’action pour l’adhésion [à l’OTAN] soit soumis non seulement à l’Ukraine, mais aussi aux anciennes républiques yougoslaves de la Bosnie, du Monténégro et de Macédoine, ainsi qu’à l’ancienne république russe de Géorgie.


    En 2008, au moment de la guerre de cinq jours entre la Russie et la Géorgie, le président George W. Bush fut contraint, en grande partie en raison de l’opposition de la France et de l’Allemagne, de renoncer à des projets prévoyant l’admission de la Géorgie à l’OTAN. Les deux puissances européennes craignaient une escalade du conflit entre la Russie et la Géorgie pouvant se transformer en guerre directe avec la Russie.


    Cette fois-ci, toutefois, le plan visant à intégrer la Géorgie et l’Ukraine est soutenu par l’Union européenne dans le cadre d’une campagne qui vise à intensifier la confrontation avec Moscou. Le secrétaire général de l’OTAN, Anders Fogh Rasmussen, a plusieurs fois évoqué l’article 5 du traité du bloc exigeant que tous les Etats membres viennent en aide à un autre Etat membre qui est victime d’une attaque. Compte tenu du caractère viscéralement anti-russe des régimes géorgien et ukrainien, ces derniers ne seront que par trop désireux de fournir un tel prétexte.


    Le plan d’adhésion doit être discuté en juillet et il est dans les intentions des Etats-Unis qu’il soit mis en œuvre dès septembre. Des exercices militaires sont prévus ou sont en cours en Lituanie, en Lettonie, en Bulgarie et en Pologne tout comme dans d’autres Etats baltes et au Caucase. Les exercices les plus provocateurs sont ceux dont la conduite a été convenue sur le territoire ukrainien – Rapid Trident et Sea Breeze.


    La Pologne a joué un rôle clé dans les projets de l’OTAN après avoir relancé des propositions antérieures de mettre en place un «bouclier antimissile» de conception américaine et coûtant plusieurs millions de dollars. Le gouvernement a actuellement réclamé le stationnement sur son sol d’un bataillon militaire américain équivalant à 10.000 soldats.


    Des discussions sont en cours dans les milieux dirigeants en Finlande et en Suède pour mettre un terme à leur neutralité officielle et pour adhérer à l’OTAN dans ce que Stockholm a qualifié de «doctrine du recentrage» en matière de défense.


    Cette campagne d’encerclement militaire est justifiée d’une manière orwellienne par des arguments non fondés et exagérés concernant un renforcement des forces russes à la frontière ukrainienne. Le but de cette propagande est de présenter Moscou comme l’agresseur alors même que le président Barack Obama l’avait écarté comme n’étant qu’une puissance «faible» et seulement «régionale».

    Comme dans le cas de l’Irak, de la Libye et de la Syrie, de tels mensonges visent à légitimer un programme permanent de réarmement impérialiste, notamment en Europe.


    Le modus vivendi entre l’impérialisme et les oligarchies capitalistes qui était apparu il y a un quart de siècle en Chine et en URRS est en train d’être rapidement réduit à néant. Accablées par la crise, les principales puissances impérialistes ne sont plus prêtes à accepter que la bourgeoisie à Moscou et à Beijing jouissent d’une relative autonomie. Elles exigent un accès direct aux vastes marchés et ressources qui existent à l’intérieur des frontières de la Russie et de la Chine ainsi que la réduction les deux pays à un statut semi-colonial.


    La logique inexorable de cette politique irresponsable est la guerre.


    A cette fin, Washington demande que les gouvernements d’Europe, et en premier lieu l’Allemagne, montent au créneau. Obama, dans son récent discours prononcé à Bruxelles, a malmené les membres de l’OTAN en déclarant:«Nous devons assumer les coûts du personnel, des armes et de la formation pour que les forces armées de l’OTAN constituent une force crédible et dissuasive… Chacun doit y contribuer.»


    Sur les principaux pays européens, seuls le Royaume-Uni et la France satisfont actuellement les exigences de l’OTAN de dépenser 2,0 pour cent de leur produit intérieur brut (PIB) pour leurs forces armées. Depuis 1998, les dépenses militaires ont diminué dans tous les pays européens, celles de l’Allemagne chutant de 50 pour cent. Pour enrayer de telles réductions et permettre un accroissement des dépenses, il faudrait éliminer de vastes secteurs des services publics dans un contexte où l’Europe a déjà connu six années d’austérité.


    Le tournant vers le militarisme nécessite une escalade spectaculaire des attaques menées contre les droits démocratiques et sociaux de la classe ouvrière. Il existe une très large opposition contre les projets de guerre de Washington, Berlin, Londres et Paris. Pour imposer davantage de «sacrifices» et contraindre une nouvelle génération à s’enrôler dans les forces armées, l’Etat devra recourir à ses pouvoirs coercitifs.


    Le fait que les Etats-Unis et les puissances européennes aient ouvertement embrassé des forces fascistes et d’extrême-droite en Ukraine constitue un sérieux avertissement. Après des décennies durant lesquelles les gouvernements européens ont proclamé que le continent ne connaîtra «plus jamais» le règne de la croix gammée, les forces qui glorifient les complices ukrainiens de Hitler sont cultivées dans le but d’être utilisées contre la classe ouvrière.


    Ces développements soulignent le caractère opportun de l’intervention dans les élections européennes de mai par les Partis de l’Egalité socialiste en Grande-Bretagne et en Allemagne.


    Dans leur manifeste conjoint pour les élections européennes, ils lancent cet avertissement: «Cent ans après le déclenchement de la Première Guerre mondiale, l’Europe se trouve une fois de plus au bord de la catastrophe». Les ambitions des puissances impérialistes rivales, poursuit la déclaration, ont conduit à une situation dans laquelle «une petite étincelle suffirait de nouveau – comme l’assassinat de l’archiduc Ferdinand à Sarajevo en 1914 – à transformer un conflit régional en une conflagration mondiale.»

     

    Chris Marsden et Julie Hyland

    Article original en anglais, WSWS, le 8 avril 2014

     

    http://www.mondialisation.ca/lagression-de-lotan-contre-la-russie-et-le-risque-de-guerre-en-europe/5377092

     

     

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    LIESI : l’effondrement de l’économie occidentale va aller de pair avec la perspective d’une nouvelle guerre mondiale.

     

     

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  • Bêtes et méchants : Hollande et Fabius, à la fois traîtres à nos intérêts nationaux et roulés dans la farine comme des jobards. Obama autorise Boeing à reprendre ses ventes à l’Iran

    le 5 avril 2014 dans Monde

    hollande-fabius

     

     

    Tout le monde se rappelle comment François Hollande et Laurent Fabius, obéissant avec servilité aux ordres d’Obama et des lobbys américains, ont interdit aux entreprises françaises d’être présentes en Iran. Notamment à Peugeot PSA et à Renault, ce qui a entraîné de très graves problèmes pour PSA et pour certains de ses sous-traitants en France.


    On a appris récemment comment la France s’était faite ainsi rouler dans la farine par General Motors sur ce dossier iranien.

    Mais cette fois, l’humiliation est encore plus sévère pour les incapables qui dirigent la France : alors que le président Obama exigeait encore que la France interdise tout contact avec l’Iran lors de la visite de François Hollande aux États-Unis le 10 février dernier, et que le locataire de l’Élysée courbait l’échine piteusement, le gouvernement de Washington vient très officiellement – le 4 avril 2014 – d’autoriser Boeing à… reprendre ses ventes à l’Iran.

    Y a-t-il besoin de commenter ?


    François Asselineau


    http://www.upr.fr/actualite/monde/betes-mechants-hollande-fabius-fois-traitres-interets-nationaux-roules-farine-jobards


     

    Sur mon blog Chantal Dupille :

    Lundi 31 mars 2014


    Laurent Fabius désavoué : Le gouvernement renonce sans le dire à la décision de ne pas livrer les navires Mistral à la Russie

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    laurent-fabius

    L’UPR demande que Laurent Fabius soit démis de ses fonctions de ministre des Affaires étrangères


    Depuis son entrée en fonction au Quai d’Orsay, Laurent Fabius a multiplié, à une cadence sans équivalent dans notre histoire contemporaine, les fautes diplomatiques de débutant et les erreurs de jugement les plus graves.

    Sa politique, consistant à s’aligner systématiquement sur les positions dictées par les États-Unis dans tous les domaines, a pour effet de saboter comme à dessein tous les intérêts diplomatiques, moraux, économiques et industriels de la France.

    Sous la direction de Laurent Fabius, la diplomatie française est devenue encore plus brouillonne, belliciste, arrogante, coupée de ses amitiés traditionnelles et méprisante vis-à-vis du droit international que sous celle de son prédécesseur, ce qui n’est pas peu dire. La pratique permanente du « deux poids, deux mesures » a rendu la voix de la France insupportable d’hypocrisie et, finalement, insignifiante.

    Parmi les bévues les plus inadmissibles et les échecs les plus cinglants de Laurent Fabius, l’Union Populaire Républicaine (UPR) relève :

    • L’impasse dans laquelle il a placé la France en faisant reconnaître diplomatiquement l’opposition syrienne, composée pour partie de groupes terroristes qui se déchirent aujourd’hui entre eux. Laurent Fabius avait, en outre, souhaité publiquement la mort d’un dirigeant étranger – en l’occurrence le Président syrien – en usant d’un langage de truand pour déclarer que « Bachar Al-Assad ne mériterait pas d’être sur la terre » ;
    • L’application par la France des sanctions unilatérales américaines à l’égard de l’Iran, qui sont contraires aux règles de l’OMC, contournées par une série de pays dont les États-Unis eux-mêmes et Israël, donc inefficaces et dévastatrices pour les intérêts industriels français. L’ordre proféré par Barack Obama à Renault de quitter l’Iran n’a suscité aucune riposte du Quai d’Orsay mais au contraire une obéissance servile ;
    • Le blanc-seing donné à Washington et à l’Union européenne dans les négociations du « grand marché transatlantique », avec une complète indifférence pour les conséquences cataclysmiques que cet accord aurait sur ce qui reste de notre économie et de notre démocratie ;
    • La lâcheté absolue et l’absence de réponse appropriée face au scandale des écoutes de la NSA contre les administrations et les citoyens français ;
    • Les condoléances dithyrambiques, formulées à l’annonce du décès du général Giáp, vainqueur de l’armée française au Vietnam, sans un seul mot pour la mémoire des soldats morts pour la France ;
    • Le soutien de la France à un coup d’État en Ukraine, conduit au vu et au su de tous par les États-Unis d’Amérique et des milices d’extrême droite contre le pouvoir légal, en violation de l’article 2 de la Charte des Nations unies et de l’article 111 de la Constitution ukrainienne ;
    • À cette occasion, Laurent Fabius a osé rencontrer et soutenir, publiquement et au nom de la France, Oleh Tyahnybok, chef du parti néonazi « Svoboda », placé au cinquième rang des dix organisations les plus antisémites et les plus dangereuses du monde par le Centre Simon Wiesenthal en 2012 ;
    • Le refus de reconnaître les résultats, pourtant sans appel, du référendum en Crimée. Ce déni de la réalité, adopté pour obéir là encore au diktat de Washington, ne débouchera sur rien d’autre que sur une impasse risquant d’empoisonner les relations franco-russes pendant des années ;
    • Dernier fourvoiement en date, Laurent Fabius vient de menacer d’annuler la vente des navires « Mistral » à la Russie, en violation de la signature de la France, et cela sans le moindre égard pour les centaines d’emplois que cette annulation démente pourrait détruire sur les chantiers de la société STX à Saint-Nazaire.

    Cette nouvelle attaque contre nos intérêts diplomatiques et industriels est l’attaque de trop. L’UPR demande au Président de la République de tirer les conséquences de l’incompétence, de l’amateurisme et de l’extrême nocivité de Laurent Fabius pour les intérêts de la France en le démettant au plus vite de ses fonctions de ministre des Affaires étrangères.


    http://www.upr.fr/presse/communiques-de-presse/lupr-demande-laurent-fabius-soit-demis-ses-fonctions-ministre-affaires-etrangeres




    Sur cette vidéo, une intervention magistrale de François Asselineau dénonçant l'avillisement de la France


     




     

    BHL-criminel-de-guerre.jpg

     

     

     

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    brèves  


    Pétition en vue d’interdire à BHL de parler au nom de la France


    A la suite du discours psychiatrique de Bernard Henri Levy à Kiev, certaines personnes ont pris l’initiative de faire une pétition destinée au Président de la en vue d’’interdire à ce monsieur de parler au nom du de la . Leur objectif est d’obtenir 150 000 signatures pour amener François Hollande à prendre des mesures.


    A mon avis ce sera peine perdue. Mais, s’ils réussissent à avoir ces signatures, l’évènement sera assez important pour qu’on en parle. Ce sera un élément de plus pour éveiller les consciences. Ils sont encore trop nombreux en France qui seraient prêts à le suivre dans une aventure guerrière et il le sait. Ce n’est pas par hasard que récolte plus de 60% d’opinions favorables pour ses positions belliqueuses envers la , le , la et ailleurs. Si Hollande n’est pas récompensé, c’est juste parce qu’il n’est pas crédible comme chef de .

     

    Alors parlez-en autour de vous et distribuez le lien ci-dessous.


    http://www.change.org/fr/p%C3%A9titions/monsieur-le-president-de-la-republique-d-interdire-%C3%A0-l-%C3%A9crivain-bernard-henri-l%C3%A9vy-de-parler-au-nom-du-peuple-de-la-france


     

    http://reseauinternational.net/petition-en-vue-dinterdire-a-bhl-de-parler-au-nom-de-la-france/

     

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    Arnaud Montebourg était-il 

    trop préoccupé des intérêts français

    pour avoir le droit de gérer le commerce extérieur ?

    Quels intérêts sert Fabius ?

    En tous cas, pas ceux de la France !

     

     

     

     

    le 3 avril 2014 dans France

    marionettes-hollande

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    Nouveau gouvernement : plus ça change et plus c’est la même chose

     

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    L’un des deux économistes français de la BCE en charge de la politique monétaire démissionne et rejoint l’UPR

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    Changement de Premier ministre : une marionnette change, Bruxelles, Francfort et Washington demeurent

     

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    Autres choses, silence médias sur

    la tentative de déstabilisation de Cuba

     

    Tentative de provoquer un Printemps cubain, avec Twitter

     

     

    Projet de false flag à =

    Projet de false flag en par la !

     

     

    Alerte WW3


    Glaziev : les sanctions contre la Russie transformeront le monde en « un vaste jeu géopolitique au seuil d’une guerre mondiale ».

     

     

    §§§§

     

    L'info vue de la Russie : Journal hebdomadaire – 7 avril 2014

     

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    Le nouveau directeur de Libération, ancien sympathisant du Bétar ?

     

    Selon nos informations, Pierre Fraidenraich aurait défilé dans les rangs de l’extrême droite ultra-sioniste en 1982, et il ne serait pas le premier. En effet l’extrême droite juive est en passe de devenir un certificat d’appartenance à l’élite française. Comme l’ENA…


    Dans son édition du 2 avril à la page « Nous sommes un journal », « les salariés de Libération » (c’est la signature du papier) s’insurgent contre la nomination de Pierre Fraidenraich. Ce qui dérange les journalistes, c’est que Fraidenraich soit « de droite ». Il lui est en effet reproché par exemple d’être un proche de Sarkozy. Pire, il aurait déclaré en 2008 : « C’est une règle élémentaire de bienséance d’être convenablement coiffé, rasé, habillé. » On frise en effet la dérive totalitaire. De plus, Robert Ménard, « déjà pas très fréquentable », a été recruté à i>Télé quand Fraidenraich dirigeait la chaîne du groupe Canal+.


    Le billet reprend également les informations dont nous vous faisions part dès le 29 mars : le nouveau directeur opérationnel du quotidien, proche d’Arthur, est un membre du Siècle. Ce que « les salariés » ne lui reprochent d’ailleurs pas, puisque après tout, il est « comme Laurent Joffrin et Nicolas Demorand avant lui ». Mais les salariés de Libé ne savent pas tout…


    Selon des informations concordantes, Pierre Fraidenraich aurait été sympathisant du Betar/Tagar dans sa jeunesse, lors de son passage au Lycée Victor-Duruy en 1982. Le directeur de Libération a notamment manifesté en 1982 à Paris dans les rangs de celle milice juive, en soutien à l’opération militaire lancée par l’armée israélienne au Sud-Liban, opération meurtrière sobrement baptisée « Paix en Galilée ». Quelques temps avant les massacres de Sabra et Chatila, Fraidenraich scandait-il donc « Begin, Sharon, nous sommes avec vous ! » dans les rue de Paris ? Il devait en tout cas, plus tard, réaliser un reportage sur le Bétar, en toute neutralité, bien sûr. Le reportage fut diffusé sur La Cinq dans l’émission Reporters du 18 mai 1990.

     

     

    Pierre Fraidenraich ne serait pas le premier à s’être joint au Bétar. Ruth Elkrief (présentatrice « star » à BFM TV) en fut aussi une très proche et le géopoliticien Frédéric Encel en fut secrétaire général de la branche jeunesse. Meyer Habib, impliqué dans l’attaque par l’« Organisation juive de combat » de la fête de commémoration de Jeanne d’Arc le 8 mai 1988 (8 personnes blessées dont deux fonctionnaires de police), deviendra vice-président du CRIF et membre de l’UDI.

     

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    Extrait du livre Les Guerriers d’Israël d’Emmanuel Ratier (Facta, 1995)

     

    Impliqué également ce jour-là, un certain Paul Bismuth, dont son ancien camarade de classe Thierry Herzog et Nicolas Sarkozy utiliseront plus tard l’identité pour ouvrir une ligne téléphonique...

     

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    Extrait des Guerriers d’Israël, p. 333

     

    Il semblerait donc que le passage par les milices de l’extrême droite sioniste soit en train de devenir la formation qualifiante pour appartenir à l’élite française. La rédaction de Libé n’est vraiment pas au bout de ses peines…

     

    Voir aussi, sur E&R :
    - Pierre Fraidenraich, membre du Siècle, prend la direction de Libération
    - Milices juives en France : à quand la dissolution ?

     

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-nouveau-directeur-de-Liberation-ancien-sympathisant-du-Betar-24467.html

     

     


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