• La presse financière anglo-saxonne vote Sarkozy

    Par Hayat Gazzane Publié le 23/02/2012

    Nicolas Sarkozy et François Hollande ne bénéficient pas du même traitement par la presse financière anglo-saxonne.
    Nicolas Sarkozy et François Hollande ne bénéficient pas du même traitement par la presse financière anglo-saxonne. Crédits photo : CHRISTOPHE GUIBBAUD/AFP

    Les journaux proches des marchés boursiers voient en François Hollande une «menace» pour la France et la zone euro tandis que Nicolas Sarkozy serait une valeur sûre pour sortir la région du marasme économique.

    Si François Hollande rend visite aujourd'hui aux Anglais avec le drapeau blanc, c'est parce que depuis sa victoire aux primaires du Parti socialiste, les journaux anglais et américains se déchaînent à son sujet. Très intéressés par l'élection française en raison de sa tenue en plein cœur de la crise de la dette en zone euro, et refroidis par la déclaration de guerre du candidat PS au monde de la finance, les journalistes lui dressent un portrait très peu élogieux. Presque tout l'inverse de son grand rival de droite.


    Un homme «affable»


    La presse financière ne laisse rien passer. Pas même le physique ou le style. François Hollande est ainsi décrit comme un homme «affable», poussé à «s'amincir, teindre ses cheveux, et porter des costumes sombres» pour se donner une image présidentiable, selon le blog The source , hébergé par le Wall Street Journal (WSJ), le titre proche de la place boursière américaine du même nom.

    A l'opposé, Nicolas Sarkozy est «Mr. Hyperactif», un homme qui s'est assagi depuis le début de son mandat, forcé de devenir «moins abrasif», selon The Source. Pour The Economist , le président sortant prend soin à effacer son image de «fouineur hyperactif».


    Problème d'expérience


    Mais plus que sur le physique, la presse financière anglo-saxonne se montre impitoyable avec le CV politique de François Hollande. Le WSJ insiste sur «le manque d'expérience» du candidat socialiste: «en se basant sur les standards présidentiels, Hollande n'a pas fait grand-chose en politique», écrit Max Colchester sur The Source. «Quelques années à la gestion des parkings de Tulle ne semble pas être la qualification idéale pour faire face à l'une des plus graves crises à laquelle l'Europe ait fait face depuis la Seconde Guerre mondiale», lance également Matthew Lynn dans un édito brûlant du WSJ contre le candidat socialiste dont «la majeure partie de la carrière a été masquée par son ancienne partenaire glamour, Ségolène Royal». Howard Davies du Financial Times (FT) rappelle d'ailleurs que «Monsieur Hollande porte un poids. Il est connu comme étant le second choix du Parti socialiste et il serait resté en retrait si Dominique Strauss-Khan avait été disponible».

    Face à lui, Nicolas Sarkozy est décrit comme un «homme d'expérience» (The Economist), un «formidable homme de campagne», un «animal politique» à «la peau dure et doté d'une féroce détermination à gagner» (WSJ). Bref, Nicolas Sarkozy est le «réaliste» (FT).


    Des candidats aux «mains liées»


    Un point commun existe toutefois entre ces candidats: tous deux ont «les mains liées» par l'état des finances publiques et de la croissance française, rappelle The Economist . Mais le programme «politiquement astucieux» de François Hollande «n'en est pas moins contestable du point de vue économique», a-t-on pu lire dans un édito du FT . En ligne de mire: la remise en cause de la réforme des retraites qui va «augmenter le coût de la main-d'œuvre», l'augmentation des impôts qui «n'incitera guère les entreprises, déjà lourdement taxées, à rester en France ou à y revenir». «La compétitivité est l'un des plus grands défis auxquels sera confronté le prochain gouvernement français, et Monsieur Hollande n'est pas convaincant sur ce chapitre», tranche l'édito. «Le candidat socialiste risque de mettre en pratique ce qu'il dit. Non seulement il n'envisage pas de s'attaquer au monstre, mais il veut le nourrir, en imposant les riches pour créer des emplois», résume le quotidien britannique.

    Le WSJ va plus loin, en passant au crible les promesses d'embauches dans l'éducation, la réforme des retraites et les taxes sur les transactions financières: «Il met en avant un programme d'emprunt et de dépenses à l'ancienne. La France vient juste de perdre son triple A. Mais il semble que personne ne l'ait encore dit à Hollande», ironise Matthew Lynn. Philip Stephens du FT voit pour sa part dans le programme de François Hollande un résumé de la pensée mitterrandienne, celle du «socialiste certain que la France peut s'en sortir à sa façon dans un monde hostile».

    A l'inverse, le programme de Nicolas Sarkozy «montre un réel désir de réformes», selon The Economist . Sa volonté «d'embrasser le modèle économique allemand», est d'ailleurs une autre facette inspirée de François Miterrand, souligne Philip Stephens. Mais le bilan du candidat de droite ne joue pas pour lui, rappelle le WSJ. «Après cinq années décevantes, qui peut le croire?», écrit même The Economist. «La mauvaise nouvelle, c'est que tous les deux semblent vouloir réduire le déficit surtout en augmentant les impôts au lieu de réduire les dépenses», s'inquiète le quotidien britannique. Une option qui devrait être «décevante» en cas de victoire de la droite. Nicolas Sarkozy sera «un candidat plus classiquement gaulliste, pas le politicien réformiste passionnant d'hier», écrit Sophie Pedder dans les colonnes du quotidien britannique.


    «Une catastrophe pour l'économie européenne»


    Reste enfin le dossier le plus brûlant: la crise européenne. Les défis européens qui attendent le futur président français «testeraient le leadership d'un De Gaulle ou d'un Napoléon. Hollande ne joue pas dans la même catégorie», selon Matthew Lynn. Même argument pour The Economist qui parle d'un candidat «hautement inexpérimenté».

    La volonté affichée du candidat socialiste de revoir le pacte budgétaire signé avec l'Allemagne en décembre dernier fait notamment couler beaucoup d'encre. «Une relation franco-allemande forte a été la clé du maintien en état de la zone euro. Ces deux là (François Hollande et Angela Merkel, ndlr) vont se détester», croit savoir le WSJ qui craint une relation «empoisonnée» entre les deux dirigeants. «En tant que président, il sera une catastrophe pour l'économie européenne», lance Matthew Lynn à propos de François Hollande. «Lorsqu'il prendra ses fonctions, il faudra s'attendre à ce que l'euro entre dans sa zone de danger maximale», s'alarme-t-il. Charlemagne, blogueur de The Economist, voit aussi d'un mauvais œil les relations tendues entre la France et l'Allemagne qui pourraient résulter d'une victoire de la gauche. «Personne ne sait comment la France va se comporter avec le novice Mr Hollande», écrit l'auteur.

    Dans cette crise européenne, Nicolas Sarkozy apparaît comme le meilleur choix par défaut: «Même si de nombreux outsiders rejettent le duo Merkozy, ils craignent encore plus une paralysie franco-allemande» écrit Charlemagne sur son blog. «En ce qui concerne l'Europe, le candidat socialiste devrait veiller à ne pas faire de promesses qu'il ne pourra pas tenir», prévient le FT . «Il est irréaliste de croire qu'il serait mieux placé que Mr. Sarkozy pour convaincre Berlin d'adopter une politique plus énergique face à la crise européenne, comme le fait d'accepter les euro-obligations. Dans cette phase de l'histoire de l'Europe, le prochain président de la France doit rester prudent», conclut le quotidien britannique.

     

    LIRE AUSSI: 

    » Pour la gauche, «Sarkozy est un candidat dépassé» 

    » Hollande: «Le prochain référendum, c'est l'élection» 

    » Pourquoi Sarkozy et Merkel sont devenus inséparables


    votre commentaire
  •  

    J'ai horreur de citer le Nouvelobs, faux hebdo de gauche (propulsant la Pensée Unique assaisonnée d'un zeste de progressisme), mais là, l'article est vraiment croustillant ! Note d'eva

    Le jour où Sarkozy a oublié qu'il était impopulaire

    Créé le 02-03-2012 

    Serge Raffy
    Par Serge Raffy

    Notre éditorialiste Serge Raffy revient sur la visite mouvementée de Nicolas Sarkozy à Bayonne.

     
     Share5
     

     (Sebastien LAPEYRERE / MAXPPP)

    (Sebastien LAPEYRERE / MAXPPP)

    Il croyait, depuis son bunker élyséen, que les Français étaient des gentils supporters de la Star Ac politique, prêts à applaudir la moindre sortie du génie de la com. Ce Président si sûr de lui était en fait un homme surprotégé, vivant dans une bulle. Il gambadait dans un monde virtuel, sûr de sa toute-puissance, entouré de courtisans mielleux. La Cour lui répétait que son inimitable talent télévisuel allait balayer les derniers doutes.

    Or, ce Président, dorloté par un entourage timoré, ne connaissait la France qu’à travers des réunions calibrées au millimètre pour que jamais le moindre son hostile ne parvienne à ses oreilles. Une France rêvée, avec cordons de CRS, préfets tremblant de peur, salles à huis clos. Le contraire de la rue. Ah, la rue ! L’esprit de la Commune, comme dirait Jean-Luc Mélenchon. Avec son côté fourmillant, gouailleux, populaire, où les invectives et les acclamations se télescopent dans un joyeux brouhaha.

    Terrible constat

    Ce prince du CAC 40, lui, n‘avait droit qu’à une seule musique, celle de sa propre voix, cette voix qu’il allait chercher dans les graves, pour faire Président et donner le sentiment qu’il maîtrisait son sujet… Mais, hélas, pas "ses sujets". C’est qui ces Français qui braillent, découvre-t-il, dans les venelles de Bayonne ? Mais d’où sortent-ils ? Ils n’étaient donc pas des "invisibles", des "assistés", des planqués ? Personne ne lui avait avoué que ces Français en colère, très majoritaires dans le pays, étaient des êtres de chair et de sang, vociférant leur rejet sans ménagement pour la fonction présidentielle. Le roi, brutalement réveillé par ce chahut basque, a perdu les pédales et accusé François Hollande de préparer "l’épuration". Pourquoi pas aussi la déportation ? Ce pétage de plombs d’un candidat toujours en poste à l’Elysée est révélateur de l’électrochoc qu’il vient de subir.

    Terrible constat : il ne connaît plus le pays qu’il dirige. Ses thuriféraires l’avaient tellement noyé sous un onguent de flatteries en tout genres qu’il avait négligé l’incroyable impopularité qui le touche. L’incident de Bayonne ne va sans doute pas se reproduire. Finis les petits bains de foule. Nicolas Sarkozy ne va plus jouer les promeneurs solitaires, les présidents accessibles, à la scandinave, allant à la rencontre du bon peuple. Les risques sont désormais trop grands.


    Il va reprendre le chemin du one man show, de l’estrade télévisuelle, des escouades de gardes du corps, de meetings plus verrouillés qu’un coffre-fort suisse, et de son cortège de flatteurs qui continueront de lui tendre le miroir de la France forte, sans syndicats, sans socialistes, sans Basques, sans SDF. Un pays sorti tout droit de l’imaginaire du parvis de la Défense, dans les Hauts-de-Seine, son fief, son ADN, où vivent les gens de la tribu du CAC 40. C’est quoi, tous ces Français qui se prennent pour Gavroche ? Ah, le monde irait bien mieux s’il n’y avait que des shows télévisés, cadrés, formatés, sous contrôle…La vraie vie, quoi…

     

    Serge Raffy

    Serge Raffy

    Par Serge Raffy


    votre commentaire
  •  

     

    http://www.melty.fr/nicolas-sarkozy-son-fils-aine-rapatrie-d-actu92875.html

    Nicolas Sarkozy : Son fils aîné rapatrié d'urgence d'Ukraine

    par le 25/01/2012 17:38 |

     

     

    L'Elysée téléphone, France 2 trappe la séquence sur Pierre Sarkozy

    Les téléspectateurs de l'émission « Complément d'enquête », diffusée jeudi soir sur France 2, n'ont rien vu du rapatriement d'Ukraine du fils aîné du Président.


    Selon plusieurs sources à France 2, l'émission « Complément d'enquête » diffusée jeudi soir a été « lissée » après une intervention de Franck Louvrier, conseiller en communication de Nicolas Sarkozy. Le sujet : une comparaison des trains de vie de la chancellerie allemande (austère) et de l'Elysée (dépensier).


     [Lire l'article complet sur rue89.com]

    (Article référencé sur le site "Les mots ont un sens")

     


    votre commentaire
  • Un article de presse en Allemagne

    que l’on ne verra JAMAIS en France 

     

    20111112-221043.jpg

    Traduction :


    8 avions, 61 voitures de fonction, 1000 employés.
    Toute la France est touchée par les mesures de récession.
    Toute la France ? Une personne ne joue pas le jeu : le président Nicolas Sarkozy ( 54 ans)

    Le budget de la Présidence a toujours été tenu secret en France. Pour la première fois il est révélé sous Nicolas Sarkozy.

    - Dans les 300 mètres carrés de l’appartement de fonction des Sarkozy les fleurs doivent être fraîches en permanence : coût 280.000 euros par an
    - Lorsque Nicolas Sarkozy voyage à titre privé, un avion
    gouvernemental vide l’accompagne en permanence, pour lui permettre de rentrer à Paris en cas d’urgence.
    - Il dispose de 61 voitures de fonction, 2 Airbus et 6 avions Falcon-Jet. Le dernier avion en date (60 millions d’euros) a été baptisé « Carla » du prénom de madame Sarkozy numéro 3 (c’est mimi… NdT)
    - Dépenses annuelles pour les boissons (Champagne etc.) : 1 million d’euros
    - Il a presque 1.000 employés à son service, deux fois plus que la Reine d’Angleterre. Parmi eux 44 chauffeurs et 87 cuisiniers ? !!
    - Les cuisiniers-chefs peuvent se servir librement dans les caves à vin du Palais de l’Elysée, le repas de midi leur est servi par des laquais.
    - Carla et Nico peuvent commander de la nourriture ou des boissons 24 heures sur 24. La cuisine est en service en permanence.

    Indignation Protestations ? Pas du tout. En France il semble être une affaire d’honneur que le Chef de l’Etat incarne la « Gloire de la nation ».
    Il est le successeur du Roi Soleil. Et c’est exactement comme tel qu’il vit.

    Jacques BECKER

     

    Source

     

    Rigueur ? Chasse aux fraudeurs ?

    Sarkozy gagne presque 50.000 euros par mois,

    et il ne paie pas d'impôts !

    (à relayer)

    note d'eva

     

    .

    Paul Sarközyus, Paul le vainqueur de Sarközy, ou Paul le Grand, c'est au choix !
     
    Celui qui sauve le monde au moins une fois par semaine a changé la graphie et la prononciation de son nom, Sarkozy à la place de Sarközy, sans procédure légale. Son véritable nom, Sarközy, se prononce Sarkeuzy, le ö se prononçant eu et non o. Il n’y a jamais eu de Sarko mais uniquement un Sarkeu. Légalement, il  n’est pas Président de la République Française, il n’est rien du tout, il est juste un faussaire.
     
    Reconnaissez que la situation n’est pas banale. Le bonhomme non plus, d’ailleurs.
     
     

    Paul de Maisonneuve (van Nieuwen Huyze).

     

     

    M. le Juge Renaud Van Ruymbeke                     Mgr Paul de Maisonneuve

    Palais de Justice de Paris                                   (van Nieuwen Huyze)

    4, boulevard du Palais                                       14, rue des Radars

    75001 Paris                                                       91 350 Grigny

    Tel. : 01 44 32 52 52                                          Tél. : 01 69 21 85 20

               

                      

                                                                                         Grigny, le 2011/09/26.

     

     

    Objet : fausses déclarations d’identité

    de l’actuel Président de la République.

     

     

     

    Monsieur le Juge,

     

    Veuillez trouver en copies jointes des informations concernant les fausses déclarations d’identité de l’actuel Président de la République.

     

    Je pense que, tout à fait légalement, le sieur Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa n’est couvert par aucune immunité d’aucune sorte, et donc que vous pouvez le convoquer immédiatement dans votre bureau, voire le mettre très rapidement en détention préventive. Je ne vous cacherai pas que c’est ce que je souhaite ardemment.

     

    Je suis, Monsieur le Juge, à votre plus qu’entière disposition.

     

     

                                                              Monseigneur Paul de Maisonneuve

                                                              (van Nieuwen Huyze).

     

    "Malheureusement, nos politiciens sont soit incompétents, soit corrompus. Quelquefois les deux en même temps, le même jour."
    Woody Allen

     

    .

    A lire aussi,

     

    Multiplication des plaintes contre Sarkozy pour crimes contre l'humanité (04/11/2011 )
    Multiplication des plaintes en justice contre Sarkozy Des Français demandent l’ouverture d’une procédure devant la Haute Cour contre Sarkozy, lequel, après voir défendu, sans état d’âme, les ...

     

     

     

    Par ailleurs,

    http://ekladata.com/1Xv0iPxpyl9TEtOV1auyV-y-F5Q.gif

    http://ekladata.com/1Xv0iPxpyl9TEtOV1auyV-y-F5Q.gif

     

    Un haut magistrat italien va dénoncer

    l’administration Bush et la CIA devant la CPI


    http://www.agoravox.tv/actualites/international/article/un-haut-magistrat-italien-va-32528


    Le haut magistrat italien Ferdinando Imposimato explique dans cette interview accordée à l'ancien député européen Giuleto Chiesa pourquoi et comment il va dénoncer l'administration Bush et la CIA devant la Cour pénale international de La Haye : « Ils savaient pour le 11-Septembre »

     

    Lors d’une interview effectuée par le journaliste et ex-député européen Giulietto Chiesa sur PandoraTV.it, le Président honoraire de la Cour de Cassation Ferdinando Imposimato confirme son intention de présenter une plainte devant la Cour pénale internationale de La Haye afin de pouvoir lancer un procès à charge contre les institutions qui ont contribué à la tragédie du 11 septembre 2001.

     

    M. Imposimato avait déjà annoncé ce projet retentissant. Mais pratiquement aucun média ne s’en est fait l’écho jusqu’ici. Il en [a de nouveau] parlé à l’occasion de la conférence de presse [qui a réuni ZERO journalistes et ZERO parlementaires, hormis les 3 qui l’organisaient – NdT] le 3 novembre dernier, en compagnie de l’ex-sénateur US Mike Gravel, celui qui révéla devant le Congrès américain les Pentagon Papers, sorte de Wikileaks des années 60 concernant les secrets de la guerre du Vietnam.

     

    La suite ici :

    Un magistrat italien va dénoncer l’administration Bush et la CIA devant la CPI

     

    http://www.assmp.org/local/cache-vignettes/L200xH196/arton552-e3e31.jpg

    http://www.assmp.org/local/cache-vignettes/L200xH196/arton552-e3e31.jpg

     

    http://regardsurlarealite.r.e.pic.centerblog.net/d4dd5a94.jpg

    http://regardsurlarealite.r.e.pic.centerblog.net/d4dd5a94.jpg

     


    votre commentaire
  •  

    http://jlhuss.blog.lemonde.fr/2005/11/

    Montebourg_copie 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Sur France 3, le 11 février 2011,

    l'invité du Journal, Arnaud Montebourg,

    fustige l'accaparement des Médias par Sarkozy,

    deux heures trente

    d' "autopromotion publique".

     

    Il demande à TF1 de corriger cela,

    d'accorder à l'Opposition un temps d'antenne équivalent, enfin,

    pour exposer son point de vue, ses projets.

     

    "Sarkozy est un accusateur public", dit-il.

    Le pouvoir d'achat ? C'est la faute aux 35 heures !

    Les difficultés de la presse ? C'est la faute aux Musulmans !

    La fonction de juriste ? C'est...

     

    Il est interrompu par la journaliste de service.

     

    Comme tous ses pairs,

    elle connaît son métier

    au service de l'Occident.

    Quand l'interlocuteur a un franc-parler gênant,

    on lui coupe la parole.

    Il n'est pas question que la France profonde

    découvre la vérité,

    combien elle est manipulée, conditionnée !

    Tout doit être fait pour le Pouvoir

    et contre l'Opposition, surtout indépendante.

     

    Alors, l'Ecole de journalisme

    c'est un Etablissement où l'on apprend à informer,

    ou à désinformer, à être un vulgaire outil de propagande ?

     

    Eva R-sistons

     

    NS-tt-possible-medias-copie-2.jpg

     

     


     

     

      ...


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique