• publié par roland (webmaster) Hier 08H07 
    Les tartuffes de l’info

     
    Auteur : TGB - Source : Rue Affre

    arton3293.gifEpluchez bien vos quotidiens préférés, vos journaux de révérence, vos sites d’infos estampillés  « de gauche ». Scrutez le Monde, Libération,  Rue89, vous n’y trouverez rien, pas une ligne, pas un mot, sur les fosses communes de Colombie, sur les 25 à 50 000 cadavres d’Uribe et de ses copains para militaires, sur les syndicalistes, leaders d’opinion et autres paysans enterrés à la va vite dans les tombes macabres de l’ami Américain.

    On vous parlera des Farc, sanglantes forcément, de ces dangereux terroristes narco trafiquants à la solde évidemment du "populiste" Chavez. On vous brodera jusqu’à la nausée de la Sainte Ingrid Betancourt en voie de canonisation pipole, on ne vous dira rien, ni des milices privées ni des massacres clandestins des autorités colombiennes.


    Que Chavez ose demander par référendum un changement de constitution pour se présenter à un troisième mandat et toute la presse occidentale  doigt sur le pli du pantalon hurlera, au coup de sifflet du chef de gare, à la dictature Bolivarienne. Qu’Uribe modifie sa constitution dans le même but, et vous ne trouverez pas un entrefilet dans votre presse libre, indépendante et autrement plus sérieuse que les
    blogs orduriers, pour s’en étonner.


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    Que le président d’un Venezuela dont 99% des médias appartiennent à des groupes privés et en guerre permanente contre le pouvoir ne renouvelle pas la fréquence d’une chaîne de télévision appelant ouvertement au coup d’état et toutes nos grandes plumes outragées de dénoncer l’atteinte intolérable à la liberté d’expression.

    Qu’Evo Morales, réélu avec plus de 60 % des voix, ne dispose d’aucun média en Bolivie, que toute la presse en opposition appelle à la sécession et à l’émeute, que le premier journal du pays titre à son propos et à l’occasion d’un de ses voyages à Santa Cruz : "Le singe est en visite", pas un journaliste ici, ne vous l’évoquera, en revanche on vous abreuvera d’un Morales anti-démocrate, porte flingue du "sinistre" Hugo.


    Oui, vous trouverez dans le Monde vespéral,
    les délires d’une certaine Audrey Fournier dénonçant des propos de Chavez affirmant que les États-Unis auraient provoqué le séisme en Haïti, sans en apporter ni la preuve, ni la source. Oui vous lirez régulièrement la propagande compulsive de Paulo A. Paranagua, qui tel un métronome revient servir sa soupe anti-Chavez, que déguste avec de grands slurps, le boulimique atlantiste  Adler qui sait si bien faire le tri entre le gentil Lula et le méchant Hugo.

    Qu’un Chicago Boy, plus grosse fortune du pays, enrichi de façon trouble sous Pinochet, possédant banque, club de foot, télévision, gagne les élections et vous aurez un obscur Michel Faure sur Rue89 pour s’extasier de la maturité démocratique de la société chilienne, mais qu’au Honduras on assassine tous les jours des opposants politiques, ne risquera pas de lui arracher le moindre sang d’encre.


    Qu’Israël monte un plan de comm compassionnel en Haïti avec ses blocs opératoires pour se refaire la cerise médiatique rapport aux crimes de guerre à Gaza, et aussitôt mille reportages de fleurir, admiratifs et compatissants. En revanche que 344 médecins cubains soignent la population haïtienne au quotidien depuis des années et vous ne trouverez pas un articulet pour l’évoquer.


    Ce qui est pourtant admirable, c’est qu’aucun journaliste, aucun média n’ait jamais été poursuivis, ni au Venezuela, ni en Bolivie. Ce qui est vraiment gerbant, c’est de constater ici, que des médias inféodés au pouvoir, se permettent de déontologiser en rond tout en se faisant complice d’intox et de manipulation.


    Et je vous le dis comme je le pense, si par quelque miracle, je me retrouvais à la tête de ce foutu pays, une chaîne qui considère ses téléspectateurs comme du temps de cerveau disponible, serait immédiatement interdite et sans autre forme de procès.


    Abrutir l’autre pour lui  extorquer de l’argent, l’infantiliser, le désinformer, est au mieux, une escroquerie, au pire une forme avancée de totalitarisme. La lobotomisation est un crime contre l’humanité.


    Je n’aurai ni la grandeur d’âme, ni la patience indulgente de Chavez ou Morales.

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    En attendant on tue au Honduras et en Colombie dans l’impunité générale et le silence radio. Qu’importe 
    l’ordure, du moment que c’est la nôtre.

    Les journalistes qui dénoncent le canif de Chavez en fermant les yeux sur les mitrailleuses d’Uribe sont des salauds. 


    tgb


    Auteur : TGB - Source : Rue Affre

    http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=10627




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    A lire aussi :


    Égypte : Le blogueur Wael Abbas condamné, un autre blogueur toujours en prison
    http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=10630


    Note de Dazibaoueb :

    Comme ce blogueur n'est pas chinois, notre presse bien pensante n'en dit pas un mot.



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  • Cet article du Post est un concentré parfait de l’idéologie, de la thématique et du vocabulaire qu’utilisent Le Monde ou Libération dans leur campagne permanente contre le "socialisme du XXIème siècle" de Chavez

    Le Washington Post "fait s’effondrer" la Révolution Bolivarienne


    AUTEUR:  Rafael RICO RÍOS
     

    Traduit par  Thierry Deronne,

    pour
    www.larevolucionvive.org.ve  


     

    Le 25 janvier 2010, The Washington Post a publié l’article “Comment s’effondre la révolution de Hugo Chávez” signé par Jackson Diehl, éditorialiste et spécialiste de l’analyse internationale. Cet article est publié juste avant le terrible tempête médiatique déclenchée par l’affaire des chaines de télévision. Dommage pour cet auteur qui aurait pu y trouver quelque argument supplémentaire dans sa tentative volontariste de faire s’écrouler des révolutions.


    La première phrase de son analyse est sans appel : "Hugo Chávez et son socialisme du 21ème siècle ont échoué et roulent vers l’abîme.”


    Face à une telle affirmation on ne peut s’attendre qu’à des révélations transcendentales et indiscutables de la part de l’analyste.


    Cependant, nous sommes habitués à la presse commerciale et à ce genre d’analystes et nous trouvons rapidement ce à quoi nous nous attendions.


    L’auteur dévoile rapidement sa position politique : “Au Honduras, sept mois de crise déclenchée par un client de Chávez créant une rupture de l’ordre constitutionnel, s’achèvent sur un accord qui l’enverra en exil après qu’un nouveau président élu démocratiquement a prêté serment comme président.”

    Ce qui ne mérite aucun commentaire.


    L’article aborde ensuite la crise économique, toujours fondamentale pour la presse commerciale. “Le Venezuela est secoué par la récession , l’inflation á deux chiffres, et le possible effondrement du réseau électrique national.” Et ajoute que pendant ce temps, “une élection présidentielle au Chili, économie la plus prospère de la région, a produit la première victoire d’un candidat de la droite”. Typique comparaison entre deux systèmes en lutte depuis quelques années.


    Si nous examinons les chiffres de l’économie chilienne nous observons qu’
    en 2009 celle-ci a subi une chute du PIB d’un 1,9 %, et une contraction sans précédent depuis la crise de 1982. Tandis que l’économie vénézuélienne a reculé de 2,9% en 2009. L’économie chilienne a cru en 2008 de 3,2% et l’économie vénézuélienne a cru en 2008 de 4,8%.


    Nous ne comprenons donc pas à quelle économie prospère se refère l’auteur. J’imagine qu’il se réfère á l’économie prospère pour les néo-libéraux, à savoir pour les riches et grands entrepreneurs internationaux, qui au Chili peuvent faire et défaire en toute “liberté”, sans s’inquiéter des injustices et des misères que provoque leur modèle de développement. Le gouvernement bolivarien a atteint, en pleine crise globale, la plus grande baisse de l’indice d’inégalité de toute l’Amérique Latine,
    l’indice Gini, qui descend à 0,41.


    Comme toujours notre analyste avisé évoque le thème des Droits de l’Homme : “Piñera a ainsi offert à Washington une occasion d’élever la voix sur les violations des droits de l’homme au Venezuela.”


    Voici le dirigeant le plus autorisé pour parler des Droits de l’Homme : Piñera. Dirigeant du parti de la droite chilienne, cette droite assise sur l’héritage d’excellentes réussites en matière de Droits de l’Homme comme 35.000 persones victimes de violations des Droits de l’Homme -
    28 mille torturés, 2.279 exécutés et 1.248 qui restent disparus.


    L’auteur insiste sur le Honduras, parle des élections illégales et affirme que “Le résultat est une victoire pour les États-Unis qui furent pratiquement le seul pays à appuyer une élection démocratique alors que la situation était au point mort. Honduras marque la fin de la croisade de Chávez pour exporter sa révolution vers d’autres pays”.


    Nous voyons que pour l’auteur, dans le cas du Honduras, peu importent les Droits de l’Homme. Que le Honduras a subi un coup d’État militaire avec perquisitions illégales, arrestations massives, exécutions extrajudiciaires, fermeture de médias, cela indiffère l’auteur. Ce qui importe est de mettre un terme à la croisade de Chavez.


    “Haití ne fait qu’agrandir le trou de Chavez. Face au monde, les États-Unis commandent une opération humanitaire massive et les Haïtiens encouragent l’arrivée des Marines nord-américains.” Même la tragédie d’un tremblement de terre est une raison de plus pour justifier l’argument selon lequel Chavez est fini. Il est difficile de suivre sa logique, si tant est qu’elle existe. Ni les coups d’État, ni les disparitions, ni les tortures, ni les assassinats, ni les tremblements de terre, ni la faim, ni la souffrance. La seule chose qui semble importer à l’analyste c’est la défaite de Chávez.


    Il revient à l’économie : “L’économie vénézuélienne est entrée dans une profonde récession et continue à plonger tandis que le reste de l’Amérique Latine se récupère. Les économistes prédisent que l’inflation pourrait s’élever à 60 pour cent dans les prochains mois.”


    Nous savons qui sont ces économistes qui prédisent une inflation de 60% et l’écroulement de l’économie, et nous imaginons que ce sont les mêmes qui annoncent fréquemment depuis dix ans la chute du gouvernement Chávez pour faillite économique alors que dans la dernière décade, le Venezuela a atteint
    les meilleurs chiffres économiques des dernières décades, dont l’inflation la plus basse.


    En se référant à Haiti et au rôle déplacé de Chávez il ajoute que celui-ci “a même affirmé que la Marine des États-Unis a provoqué le tremblement de terre avec une nouvelle arme secrète.”
    Cette affirmation il l’a tirée d’un article d’opinion repris d’un certain “Patria Grande” et repris notamment par une chaîne de télévision publique vénézuélienne. J’imagine que suivant la même logique, toutes les opinions qui s’expriment dans une télévision publique nord-américaine devront être attribuées à Obama.


    Comme on pouvait s’y attendre depuis le début du texte, il fallait citer une enquête. “... Les indices d’approbation de Chávez ont continué à s’effondrer : il est tombé sous les 50 pour cent au Venezuela et à 34 pour cent dans le reste de la région.”


    On ignore à quelles enquêtes se réfère l’auteur. Ce 34% d’appui dans le reste de la région est intéressant si on prend en compte la campagne médiatique internationale. Cependant au Chili il n’y a pas eu de vote pour que les chiliens élisent le président du Venezuela. Ce qui importe, ce sont les élections nationales et jusqu’il y a deux semaines les enquêtes les plus sérieuses du pays confèrent un haut pourcentage de popularité (autour de 60%) à Hugo Chávez, suffisant pour gagner aisément les prochaines élections présidentielles.


    De toutes manières, c’est au peuple vénézuélien que revient le dernier mot, bien que l’analyste du Washington Post ne semble pas croire beaucoup en lui, et jusqu’à l’heure actuelle Chávez a gagné clairement toutes les élections auxquelles il s’est présenté comme candidat. L’analyse se conclut par une brillante affirmation : “... le point d’inflexion dans la bataille entre populisme autoritaire et démocratie libérale en Amérique Latine est passé – et Chavez a perdu.”


    Sans arguments ... et sans commentaires.



    Source : http://www.rebelion.org/noticia.php?id=99473

    Article original publié le 28 janvier 2010

    Sur l’auteur

    Tlaxcala est le réseau international de traducteurs pour la diversité linguistique. Cette traduction est libre de reproduction, à condition d'en respecter l’intégrité et d’en mentionner l’auteur, le traducteur  et la source.

    URL de cet article sur Tlaxcala
    :
    http://www.tlaxcala.es/pp.asp?reference=9883&lg=fr




    http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=10519



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    Voici l'article que j'ai publié sur le "duel" Sarkozy-de Villepin, sur mon blog r-sistons à l'intolérable.

    Je joins cet article en ajoutant que les Médias aux ordres (de Sarkozy ! Si de Villepin se présente, ce sera la honteuse curée contre lui, comme hier contre Ségolène, et on ose critiquer la Chine ou les médias du Vénézuela, par ex ?) s'ingénient à présenter de Villepin comme à la tête d'un groupuscule, n'intéressant pas les Français, et même sans projet politique. Un scandale ! Et les Instituts de sondage, soi-disant objectifs et en réalité aux ordres, se mettent de la partie. Exemple, l'inénarrable CAYROL, sur l'émission de faux-débats C dans l'Air, n'ouvre la bouche que pour descendre de Villepin et défendre son "patron" Sarkozy. Il a même été jusqu'à dire, sur C dans l'Air hier : "Je ne suis pas là pour défendre Sarkozy, MAIS....", un mais qui en dit long sur ses activités !

    Médias comme Instituts de sondage font ressembler la France à une République bananière, Eva r-sistons à l'intolérable de la désinformation


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    D. de Villepin relaxé, http://laplote.blogs.courrierinternational.com/


    Le duel Sarkozy-de Villepin,
    par Eva R-sistons



    Mes amis,

    C'est fait ! Joli cadeau d'anniversaire pour Nicolas Sarkozy: Sa bête noire, son plus dangereux rival à droite, est relaxé. Même pas un embryon de début de semblant de condamnation, rien, Dominique de Villepin est libre, vraiment libre de partir à la conquête de la France, de chasser sur des terres soigneusement labourées, sur un territoire pourtant entièrement verrouillé ! Déjà dix députés ont ouvertement choisi leur camp, et une dizaine d'autres s'apprêtent à en faire autant. et puis, et puis... Bayrou est aux aguets, Dupont-Aignan aussi, et bien évidemment les Le Pen, père ou fille. La stratégie de l'élection à un tour, si elle a lieu, risque de se refermer sur son auteur, avec une Droite éclatée comme la Gauche. Sur FR2, les fidèles lieutenants de Sarkozy ont flairé le piège, en consacrant un Envoyé spécial à l'affreux rouquin allemand, pour le rendre populaire auprès des jeunes et éparpiller un peu plus la Gauche. Et s'il y a un deuxième tour, patatra ! Aucune réserve à Droite, tandis qu'à Gauche, on se bousculera au portillon, avec un Bayrou trop content de laminer Celui qui incarne la France qu'il déteste, bling-bling, des nouveaux riches ! Et les électeurs de le Pen ne se priveront sans doute pas de faire savoir à Sarkozy tout le bien qu'ils pensent de lui si prompt à faire des promesses mirobolantes avant les élections, et à les saccager une fois élu. Bref, chronique d'une catastrophe annoncée ! Heureusement pour Sarkozy 1er, il y aura les Médias aux mains de ses amis, et des néo-sionistes, pour venir à son secours, pour lui permettre de poursuivre sa politique au service du Medef, des Américains, des Israéliens et du Nouvel Ordre Mondial.

    Et il a du courage, et il a fière allure, ce Dominique de Villepin, c'est autre chose que notre roquet national, il a de la prestance, de la classe, de la culture, de la dignité, un verbe magnifique, une sacrée carrure - même en maillot de bain -, et puis c'est un homme de convictions qui aime la France, lui, qui l'a défendue à l'ONU dans sa différence, contre Bush et ses sordides guerres, et avec superbe s'il vous plaît, avec panache, au point même d'être applaudi, du jamais vu ! Il a une stature d'homme d'Etat, il n'est pas là pour faire carrière, mais pour défendre une vision, et une vision aux antipodes de celle de Sarkozy, puisque ce qui compte pour lui, c'est l'intérêt général, pas le particulier, très particulier ! Et cet homme-là incarne la vieille France, attachée à ses traditions, à ses valeurs, à ses idéaux, républicains, gaulliens, jalouse de son indépendance, et désireuse d'être à nouveau respectée dans le monde, de redevenir une référence !

    Quel est le programme de Dominique de Villepin ? On le trouve dans les voeux qu'il a adressés aux Français :

    " La nouvelle année doit être celle d’un nouveau départ, avec une volonté résolue d’aller de l’avant, de tirer les leçons du passé et d’engager un travail de réflexion et de proposition... L'action est plus que jamais nécessaire, et nous avons besoin d’énergie, d’esprit d’initiative...  Pour être efficace, cette action doit répondre à certains principes, de rassemblement, de justice, d’équilibre... Je voudrais insister sur l’importance d’un retour aux fondamentaux de la France. Assez des illusions de la rupture. Assez des divisions stériles. Le débat sur l’identité nationale a créé l’égarement et la confusion, car l’enjeu n’est pas qui nous sommes. Quels que soient nos origines, nos confessions, nos sensibilités – nous le savons fort bien – l’enjeu c’est d’être fidèles à ce que nous sommes, à ce que nous voulons être. Nous sommes français par le cœur, par la volonté de vivre ensemble, dans un pays d’exception que nous aimons et que nous voulons faire vivre.

    Alors, revenir aux fondamentaux français, c’est d’abord défendre nos points forts :
    • La République, toute la République, enracinée dans le quotidien de chacun, vivante sur l’ensemble du territoire, qu’il s’agisse de la liberté, de l’égalité ou de la fraternité.
    • Une protection sociale garantie pour toutes et tous, qu’il s’agisse de la santé, de la retraite ou encore de l’éducation.
    • Un modèle économique équilibré et diversifié, avec une agriculture forte, une politique industrielle revivifiée et un secteur des services ouvert aux nouvelles opportunités.
    • Des institutions respectées, un Président qui préside, un Gouvernement qui gouverne, un Parlement qui contrôle et fait la loi, une justice indépendante, des médias libres qui informent, autant d’évidences qu’il fait bon rappeler et qui nous appellent à la vigilance.

    Les trois batailles prioritaires à mener restent :

    • La bataille de l’emploi et en particulier celui des jeunes, des femmes, des seniors.
    • La bataille de la compétitivité et nous y serons aidés par les priorités rappelées par la Commission Juppé-Rocard en matière d’innovation.
    • La bataille contre le déficit et l’endettement

    .... Défendre les fondamentaux de la France, c’est permettre à la France de renouer avec sa vraie vocation européenne et mondiale.

    • Une France à la pointe des propositions en matière de gouvernance politique, économique, financière, écologique.
    • Une France au service de la justice et de la paix, en Afrique, au Proche Orient, où les Etats-Unis seuls ne peuvent forcer les conservatismes. En Afghanistan, où, nous le savons, la solution ne saurait être d’ordre militaire. En Iran, où chaque jour davantage s’affirme une volonté de changement.
    • Une France soucieuse de son indépendance, qui ne saurait se laisser enfermer dans des rapports de force ou d’intérêt et qui dispose d’une culture diverse et vivante qui constitue autant de ponts et de chances. (..) " (http://www.clubvillepin.fr/1685-dominique-de-villepin-voeux-pour-2010/)


      Rien de nouveau sous le soleil libéral...



      Joli programme ! Revenir aux fondamentaux de la France, bravo ! Mais si l'on y regarde de plus près, les choses ressemblent quand même beaucoup à ce que l'on nous sert en abondance: Une soupe bien libérale, présentée par ceux-là même qui sont au gouvernement et votent toutes les lois sarkoziennes, vous savez, les Mariton, les Tron, les Girardin, les Montchamp, les Goulard, les Grand, les Le Guen... Une soupe assaisonnée de CNE, de CPE, d'état d'urgence dans les banlieues, d'article 49.3 de la Constitution... bof, pas vraiment appétissant !  Parce que si la forme change, avec l'élégant de Villepin, le fond ressemble quand même beaucoup à ce que l'on déguste tous les jours ! Nouveau riche ou ancien riche, aristo de pacotille ou aristo distingué, clientèle d'affaires ou de diplomates, c'est quand même la France d'en-Haut ! Comment ces deux-là pourraient-ils comprendre les besoins et les aspirations de la France d'en-Bas ? Je sais, rien n'est pire que Sarkozy. De Villepin revendique l'héritage gaulliste, il a certainement retenu la leçon du CPE, et puis il va maintenant à la rencontre du peuple, et sans escorte s'il vous plaît, et il s'enhardit même à aller dans les banlieues, sans décréter un couvre-feu cette fois, et en prônant le retour de la police de proximité chère à la Gauche, et s'il ne remet nullement en question la compétitivité et le Nouvel Ordre Mondial, il dénie aux Etats-Unis le droit de régenter seuls les affaires du monde, et va jusqu'à dire qu'en Afghanistan la solution ne saurait être d'ordre militaire ! Hé oui, D. de Villepin est soucieux de l'indépendance de notre pays, il veut faire entendre partout "la voix de la France". Qui le lui reprochera, à part les fanatiques du CRIF ou du modèle américain ? Et puis, de son temps à Matignon, il faut quand même le rappeler, "600.000 emplois ont été créés". Un bilan qu'on aimerait bien retrouver, au moins ! 

      L'accent est gaullien, l'éloquence est belle, les promesses sont généreuses, la vision est large, ne boudons pas notre plaisir, même superficiel... En tous cas, une nouvelle page s'ouvre: Le duel Sarkozy-de Villepin vient de commencer, et nous allons, nous, compter les coups, bas, hauts, spectaculaires, feutrés, théâtraux, médiatiques... gageons que nos amis, et même nos ennemis, à l'Etranger, vont se régaler ! La comedia dell Arte français, colorée, vigoureuse, chatoyante, un régal, oui un pur régal ! Si on n'a rien dans notre assiette, on aura au moins le spectacle...

      Allez, la guerre des Droites ne fait que commencer, gageons que celles des Gauches, même avec un Georges Frèche pour les égayer, feront désormais pâle figure !!! En avant, les catcheurs, on arbitera bientôt vos combats ! Et Dieu sait quel joli lapin sortira du chapeau en 2012... Les paris sont ouverts !!!

      Eva R-sistons


      NB Eva :  Sarkozy fait tout pour détruire son rival, lui rendre la vie impossible, paralyser sa candidature, c'est abject. Derrière sa hargne, sa haine, il y a les anti-gaullistes (américains, israéliens...) qui veillent au grain, qui défendent leur poulain pour empêcher la France de faire entendre une voix indépendante. C'est très grave ! Rien que pour cela, je "soutiens" de Villepin quand sa posture est gaullienne, quand il défend l'indépendance nationale. Par ailleurs,  les Médias sont aussi abjects (FR2, C dans l'Air, etc et les soi-disant sondeurs comme CAYROL), tous en train de démontrer que la candidature de de Villepin serait un non-événement, qu'il n'a pas de projet (il en a un, voir plus haut), qu' il n'a pas le soutien des Français: Décridibilisé d'avance ! On imagine ce qui serait fait pendant une campagne électorale !!!! La curée odieuse...  A vomir, le Président, ses médias, et ses soutiens ! Eva r-sistons à l'intolérable 

    http://r-sistons.over-blog.com/article-sarkozy-de-villepin-2-rivaux-une-meme-politique-la-guerre-des-droites-43786843.html


    villepin
    http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=10475




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  • Ces politiques qui s'en prennent aux médias

    NOUVELOBS.COM | 27.01.2010 | 14:43

    Peillon vs France Télévisions, Bayrou vs TF1, Lefebvre vs AFP... Les politiques sont-ils obsédés par les médias ? Ou ont-ils trouvé le meilleur prétexte pour occuper le terrain médiatique précisément ?



    François Bayrou, Vincent Peillon et Frédéric Lefebvre (AFP)

    François Bayrou, Vincent Peillon et Frédéric Lefebvre (AFP)

    Lundi 25 janvier, Nicolas Sarkozy attaquait Laurence Ferrari sur son salaire. Dimanche, François Bayrou estimait que "la manière dont les médias sont construits en France pose la question de leur indépendance". Samedi, Vincent Peillon, après avoir boycotté "A vous de juger ", dénonçait dans Le Monde la "servilité" de "certains dirigeants" de France Télévisions. Mais qu'ont tous ces politiques à crier haro sur les médias ? Le phénomène ne date pas d'hier, mais il s'est amplifié ces derniers mois.
    D'un côté, une opposition qui dénonce des médias inféodés au pouvoir, François Bayrou en tête. Avant sa dernière sortie sur Europe 1, le leader du MoDem avait multiplié les accusations contre TF1 durant la campagne présidentielle, notamment sur le plateau du 20h de Tf1, face à sa tête de Turc Claire Chazal. et de dénoncer les accointances entre propriétaires de médias et politiques et d'accuser la presse de fabriquer l’élection présidentielle.

    "Gesticulation"


    L'UMP aussi reprend l'argument, mais à sa sauce : en pointant du doigt des journalistes forcément gauchistes et anti-sarkozystes primaires. Spécialiste de la discipline : Frédéric Lefebvre. L'AFP ? Elle fait de l'"obstruction volontaire" de ces communiqués. Libération ? Un quotidien "qui ressemble de plus en plus à un tract", et qui "après avoir perdu ses lecteurs, perd sa crédibilité". Le débat sur l'identité nationale relayé par la presse? "Une caricature", qui "ne retient que les dérapages".
    Les politiques seraient-ils obsédés par les médias ? Ou ont-ils trouvé le meilleur prétexte pour occuper le terrain médiatique précisément ? François Malye, journaliste au Point, président du Forum des SDJ, dénonce des attaques "opportunistes" : "Jamais on n'avait vu auparavant Vincent Peillon évoquer les problèmes de la presse. François Bayrou, lui, le fait régulièrement, c'est plutôt à mettre à son crédit. Peillon voulait surtout que tout le monde parle de lui, et c'est réussi." Le sociologue des médias Jean-Marie Charon pointe lui aussi une "dimension importante de gesticulation". Le meilleur moyen d'intéresser les journalistes n'est-il pas après tout de leur parler d'eux ?
    L'approche des élections régionales n'y est sans doute pas étrangère. "En période de campagne, il s'agit de remobiliser son camp", souligne Christian Delporte, historien des médias. "François Bayrou a employé la stratégie à plein contre TF1 pendant la campagne présidentielle."

    Lefebvre, "pitbull"


    Et plus les politiques aiment fréquenter les médias, moins ils les ménagent. "Certains politiques ont donné une telle place à la communication dans leur stratégie politique qu'à partir du moment où ils sont confrontés à des situations qui ne leur conviennent pas, ils se retournent contre les médias dans un rapport de force", affirme Jean-Marie Charon. Ainsi, en septembre dernier, Nicolas Sarkozy passait un savon en public à Arlette Chabot en se plaignant de l'absence de "vraies émissions politiques" sur le service public.
    Prendre à parti les médias, cela permet aussi de reprendre la main dans les situations un peu délicates. "C'est le dernier recours quand les politiques sont dans leurs derniers retranchements", juge François Malye. "Frédéric Lefebvre fait ça très bien, en mode pitbull."
    Exemple en octobre, après l'affaire Jean Sarkozy. C'est l'UMP toute entière qui se livre à une violente attaque contre les médias. Frédéric Lefebvre s'en prend une fois encore" à ce
    monde politico-médiatique qui cherche par tout moyen à détruire le président de la République". Il est aussitôt suivi par Xavier Darcos, qui recommande aux militants UMP de ne pas se laisser "abuser par la campagne des petites phrases, des petites rumeurs et des mauvaises idées" et par cet "effort de déstabilisation de notre camp organisé par les médias en particulier". Et par Xavier Bertrand, qui dénonce "un déversement politico-médiatique" sur les récentes "polémiques". On en oublierait presque le sujet premier de la polémique...

    Une mauvaise image dans l'opinion


    Les attaques visant médias et journalistes sont d'autant plus faciles que leur image n'est pas au mieux dans l'opinion. "Les mauvais sondages sur les médias encouragent ce type de comportement", explique Christian Delporte. Selon le dernier baromètre de confiance dans les médias paru la semaine dernière dans La Croix, deux tiers des Français considèrent que les journalistes ne sont pas indépendants face aux pressions du pouvoir et 60% qu'ils ne sont pas indépendants aux pressions de l'argent. Et selon les médias, entre 35% (pour internet) et 60% (pour la radio) estiment que "les choses se sont passées vraiment ou à peu près" comme elles sont racontées.

    Populisme


    Au petit jeu du "qui tapera le plus sur les médias", les politiques gagnent-ils à tous les coups ? Pas sûr, car le risque est tout de même de tomber dans l'excès. "Le systématisme et la caricature deviennent rapidement inopérants, comme le montre Frédéric Lefebvre et ses mises en cause de l'AFP", prévient Jean-Marie Charon. Voire de tomber dans le populisme. "Décrédibiliser médias et journalistes, qui jouent un rôle-clé dans l'animation du débat public, cela peut être dangereux", poursuit le sociologue.
    Au point d'occulter les vraies difficultés auxquelles se heurte la profession. "Les gens qui arrivent avec des vieilles formules et qui réclame des têtes n'aident pas à sensibiliser l'opinion aux vrais problèmes des médias", regrette Jean-Marie Charon. "Les questions de financement des médias, de l'audiovisuel public, des relations entre propriétaires et rédactions, sont des sujets délicats qui renvoient aux questions de démocratie."
    François Malye abonde dans le même sens. "Le vrai problème dans les médias, c'est l'autocensure car les journaux appartiennent à de grands groupes économiques, et une certaine façon de travailler avec les politiques. Mais sur ces sujets, on entend rarement ces derniers."

    (Anne-Sophie Hojlo - Nouvelobs.com)


    http://tempsreel.nouvelobs.com/speciales/medias__pouvoirs/20100127.OBS4953/ces_politiques_qui_sen_prennent_aux_medias.html



     

    Bayrou émet à son tour des doutes sur l'indépendance des médias

    NOUVELOBS.COM | 25.01.2010 | 12:27
     

    Le leader du MoDem estime que "la manière dont les médias sont construits en France pose la question de leur indépendance".

    François bayrou (AFP)

    François bayrou (AFP)



    A
    lors que
    Nicolas Sarkozy doit intervenir ce lundi 25 janvier au soir face à 10 Français sélectionnés par TF1, François Bayrou à émis ce week-end des doutes sur l'indépendance des médias, après les accusations de "servilité" des dirigeants de France Télévisions par Vincent Peillon. Lors du "Grand rendez-vous Europe 1/Le Parisien/Aujourd'hui en France" dimanche, le ton est monté sérieusement entre le dirigeant du MoDem et Jean-Pierre Elkabbach.

    "Vous polluez l'émission"


    Le journaliste a ironisé sur la baisse du parti dans les sondages et a lancé à François Bayrou : "comme vous êtes un cinéphile, ça me fait penser à un vieux film magnifique avec Alec Guiness 'Noblesse oblige': le bateau coule et le capitaine salue et coule dans la dignité". Ce à quoi l'homme politique a répliqué : "M. Elkabbach, vos propos, je regrette de vous le dire, ne sont pas respectueux. Nous avons autant d'intentions de vote qu'Europe 1 a de parts de marché. De quoi vous nous parlez ?"
    "Europe 1 est en train de monter, le MoDem est en train de descendre", a répondu à son tour Jean-Pierre Elkabbach. "Quelle autorité a fait que M. Elkabbach peut se permettre de dire des choses comme ça ? Vous vous rendez compte que vous polluez l'émission quand même", a également lancé François Bayrou.


    Autocensure de la presse


    Interrogé sur la polémique Peillon/France Télévisions, le leader du MoDem n'a pas accablé l'eurodéputé socialiste, parlant "d'autocensure" dans la presse et soulignant : "Les Français soupçonnent, et selon moi à juste titre, que la manière dont les médias sont construits en France pose la question de leur indépendance". Les Français "peuvent se tromper", "nous, nous vivons chaque jour l'indépendance", a affirmé Jean-Pierre Elkabbach, provoquant un éclat de rire chez François Bayrou.
    Vincent Peillon, qui a récemment
    boycotté le rendez-vous politique "A vous de juger sur France 2", a de nouveau attaqué France Télévisions, évoquant samedi dans Le Monde la "servilité" de "certains dirigeants" de la télévision publique. Le socialiste a également prôné une réforme du Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA). La direction de France Télévisions s'est aussitôt "indignée" de ces "propos injurieux et mensongers". Dans Le Journal du Dimanche, le directeur général, Patrice Duhamel, a affirmé que ces "attaques sans précédent" de Vincent Peillon lui faisaient "penser à Jean-Marie Le Pen au début des années 1980".

    http://tempsreel.nouvelobs.com/speciales/medias__pouvoirs/20100125.OBS4688/bayrou_emet_a_son_tour_des_doutes_sur_lindependance_des.html

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  • Bonjour,

    Je parle avec quelques médias depuis quelques jours, concernant la grippe
    H1N1, et certains acceptent d'entendre et de parler de l'envers de la
    médaille.  Bonne nouvelle vous direz?  En apparence, puisque les faits
    apportés sont directement associés à la "théorie du complot"!  Les médias
    font du mauvais journalisme, ils sont profondément malhonnêtes.  Ils
    n'affichent aucunement, dans leurs articles, les preuves indéniables et
    vérifiables.  Ils ne font qu'exposer un certain courant d'opposition à la
    vaccination et prétendre qu'il ne s'agit que d'une minorité de paranoïaques! 
    Ils refusent un VRAI DÉBAT, ils sélectionnent l'information, et la manipule. 
    C'est un manque flagrant de rigueur, d'honnêteté et d'objectivité.  C'est une
    démonstration d'incompétence, de fraude et d'esclavage journalistique! 

    La journaliste PASCALE BRETON, du journal LA PRESSE, dans son édition du 30
    septembre 2009, nous démontre sa mauvaise foi et sa petitesse de
    "journaleuse".  M. Jean-Jacques Crèvecoeur lui a fournit des preuves
    vérifiables et elle n'en a fait aucunement allusion dans son article.  Tout
    ce qu'elle a fait c'est de discréditer ses propos en l'associant à la
    "théorie du complot": stratégie qui démontre sa faiblesse intellectuelle... 
    Hier, lors de son entrevue avec M. Crèvecoeur, la journaliste exigeait des
    preuves tangibles pour démontrer que la vaccination contre la H1N1 comportait
    des dangers certains et qu'il y avait collusion évidente dans ce dossier.  M.
    Crèvecoeur lui a fournit plusieurs faits vérifiables, tangibles, et à la fin
    de son interview, elle "a perdu pied" selon M. Crèvecoeur. 

    Mme. Breton, soyez assurée, malgré votre arrogance et votre manque de
    rigueur, qu'un jour vous serez confondue...  Comme tous les autres
    "journaleux"!

    La Presse du 30 octobre 2009

    Voir aussi sur LCN, à l'émission de Jean-Luc Mongrain du 30 septembre 2009,
    l'intervention de Jean-Jacques Crèvecoeur.  Je n'ai pas de commentaires, je
    ne l'ai pas vu.  L'émission est disponible 1e octobre. sur ce site:
    http://videos.lcn.canoe.ca/video/42821957001/mongrain-partie-i/

    Les nouvelles maintenant:

    Tout est potentiellement explosif à l'heure actuelle: pandémie/vaccination
    forcée, attaque Iran/Israël/USA/, 3eme guerre mondiale, crash économique
    majeur et définitif, état policier/loi martiale, famines, révolutions
    civiles, .........  Heureusement, nous avons encore le soleil qui nous
    illumine et qui nous rappelle la puissance et la beauté de la Création!

    Le 1 octobre 2009 (1/10/2009= 11+11) est la date limite donnée à l'Iran
    pour cesser son programme nucléaire clandestin
    .  Les avertissements de la
    communauté internationale s'additionnent et elles donneront sur des
    conséquences majeures: Israël est prêt à attaquer l'Iran et cette guerre
    sera, je crois, courte et extrêmement destructrice dans une époque nucléaire
    comme la nôtre.  Faut savoir que le Madhi des musulmans, leur Messie, doit
    arriver en temps de guerre selon la prophétie.  Les musulmans, extrêmes,
    visent la conversion de TOUS les INFIDÈLES à Allah.  Cette guerre, entre les
    pays musulmans et occidentaux, sera motivée par des convictions religieuses
    inébranlables et c'est ce qui renforce l'idée qu'elle sera courte, mais
    lourde de conséquence.

    Aux États-Unis, la grogne monte.  Les chômeurs crèvent de faim, laissés à
    eux-mêmes, sans compter les millions de démunis qui ne mangent pas depuis
    bien longtemps!  Selon de nombreux blogs, selon de multiples dénonciations
    sur youtube, il semble que la présence militaire s'accroit dans les rues
    auprès des civils.  Selon certaines sources,
    on prétend que la loi martiale
    sera décrétée avant Noël aux USA, fin octobre plus précisément. 


    Peu importe si ces sources disent vrai, il n'en reste pas moins que ce jour
    finira par arriver!   

    Soyons courageux, portons la flamme de la vérité, de la justice et de la
    bonté!

    Isabelle
    webmaster@consciencedupeuple.com


    "Sache que, dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles.
    Car les hommes seront égoïstes, amis de l'argent, fanfarons, hautains,
    blasphémateurs, rebelles à leurs parents, ingrats, irréligieux,  insensibles,
    déloyaux, calomniateurs, intempérants, cruels, ennemis des gens de bien,
    traîtres, emportés, enflés d'orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, ayant
    l’apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force."
    Timothée 3: 1-5



    http://r-sistons.over-blog.com/article-37085222.html


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