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    Comment FR2 vous désinforme chaque jour

    L'exemple de la politique fiscale du Gouvernement Hollande

    Par eva R-sistons 

     

     

    Je n'ai pas le temps d'écrire sur cette Chaîne de télévision en ce moment, mais la coupe DEBORDE ! Les merdias, ça suffit ! Les journalistes prostitués, ça suffit ! La Presse française lanterne rouge en Europe, ça suffit !

    Pendant la campagne électorale, j'ai pris des notes en regardant, le soir, ce torchon de désinformation qu'est FR2. Comme je suis très occupée (blogs, création de sites perso , édition), je plongerai dans ces notes vers la fin de l'année. En attendant, 2 remarques :

    - Propagande de guerre, notamment pour la Syrie. Comme dans tous les grands médias français, aux ordres des puissances financières et des multinationales notamment de l'armement,  jamais vous n'entendrez intervenir des partisans du pays attaqué par l'OTAN et ses sbires israélien, américain, anglais, français ; tout au plus une phrase creuse, vide de sens. Nous ne connaissons que les points de vue de l'Armée syrienne dite abusivement "libre", ou du faux organe de Défense des Droits de l'Homme (tenu par un partisan de l'Empire). Les images § montrées sont celles de guerres anciennes, ou elles sont tournées dans les studios du Qatar, ou bien les massacres et les actes de terrorisme sont ceux des Islamistes formés, armés et financés par l'OTAN.

    Et en permanence Arabes et Musulmans sont ciblés, comme les pays non-alignés: Russie, Chine, Cuba, Iran, Vénézuela etc..., en attendant d'être attaqués.

    - Politique intérieure : Quand la Droite était au pouvoir, chaque fois qu'il y avait une nouvelle mesure (anti-populaire), un membre du Gouvernement était invité à justifier la politique choisie. La Gauche était à peine citée, ou seulement de manière non significative. Maintenant que le PS est au pouvoir, c'est l'Opposition qui est constamment invitée à attaquer, à discréditer les mesures du Gouvernement. Et le temps de parole de la Gauche est réduit au minimum. Le journaleux de service n'invite pas les membres du Gouvernement à expliquer le bien-fondé de la politique choisie; Lorsque la gauche est sollicitée, c'est pour être interrogée... sur les querelles internes ou avec ses partenaires !

    Ce 16 juillet, donc, au menu "le détricotage" des mesures de Nicolas Sarkozy en matière fiscale. Tout est fait, dans les titres, les schémas, les images, les paroles,  pour discréditer hypocritement, sous une apparente neutralité et force chiffres, tableaux ou comparaisons avec l'Etranger § 2, les nouvelles mesures (jamais expliquées, encore moins défendues, malgré une présentation habile, destinée à convaincre l'Opinion du sérieux de l' "information") pour qu'au final, on en vienne à regretter l'ancien Président et à rejeter la Gauche. C'est subtil, c'est rusé, c'est signé ! La Communauté représentée par les "journalistes" politiques comme les Leymergie ou les Calvi est réputée pour son habileté et sa rouerie. Au PS, un Ministre représente bien cette mentalité : Fabius, pathelin, douceureux, faussement débonnaire, faussement de gauche, comme lorsqu'aux Primaires du PS, sentant un créneau à prendre, lui le grand libéral s'est mué en représentant de l'aile gauche du Parti ! Une jolie imposture...

    Je rappelle que le valet de l'Oligarchie, Pujadas, commentait à peine, ou passait sous silence, toutes les mesures anti-sociales débattues au Parlement du temps de son poulain - celui du CRIF, Sarkozy. En revanche, le journaleux s'empresse de commenter toutes les mesures de la Gauche pour mieux discréditer le Gouvernement.

    Or donc, ce 16 juillet, au 20 h, voici ce qu'on a pu entendre - la charge était énorme :

    - Le travailler plus pour gagner plus, c'est terminé !

    - La mesure phare était la défiscalisation des heures supplémentaires. Maintenant, c'est terminé !

    - Les heures supplémentaires seront soumises aux cotisations sociales.

    - Donc le pouvoir d'achat des salariés, des ouvriers, diminuera.

    - Le pouvoir d'achat des classes moyennes fera les frais de cette politique. (NB : A-t-on jamais vu le sieur David Pujadas dire cela à propos de la politique constamment anti-sociale de Sarkozy ? Au moment, par ex, de la mise en place du bouclier fiscal pour protéger les plus riches au détriment de tous, ou au moment de la mise en place de toutes les "niches" fiscales afin d'enrichir encore plus les nantis ?).

    - C'est la première mesure d'injustice  (Eh non, c'est l'inverse ! Sur ce plan-là, justement, le Gouvernement cherche à apporter un peu de justice, enfin !)

    - Est-ce que cela concerne peu de salariés, comme dit la Gauche ? Faux ! Un sur trois !

    - Est-ce que cela concerne 9 millions de personnes, comme dit la Droite ? Vrai ! Cela pénalisera... la classe moyenne !

    L'ignominie atteint des sommets avec les... faux journalistes ! Est-ce tout ? Pas du tout ! Sur le tableau, en grosses lettres, on voit apparaître un titre : "Les classes moyennes seront touchées". 

    Une vraie saloperie de conditionnement ! C'est subliminal ! Malin, répugnant, infâme, scandaleux ! Et il n'y a personne pour reprendre la carte des faux journalistes, et la déchirer ?

    Au fait, toujours pour voir jusqu'où ira la télé la plus communautariste, j'ai un peu regardé le 14 juillet sur FR2, animé par l'incontournable soubrette des marchands d'armes et d'Israël, Marie Drucker (une de plus !). J'ai été frappée par le gros plan montrant la femme la plus détestée de France, la première "girl-friend" du Président, saluer avec chaleur son sosie, la nouvelle compagne de Valls (vous savez, le type très à droite maniaque de la sécurité, l'Espagnol qui a pris la nationalité française pour mieux nous berner sur ordre des Bilderberg, le clone de Sarkozy infiltré au PS pour tuer ce qui lui reste de gauche). Petite allusion de FR2 à la proximité des deux femmes, à leur complicité, et donc à Valls lui-même. J'ai tout de suite pensé au travail formidable du sayanim Valls pour, sur ordre de l'Oligarchie, se rapprocher le plus possible du sommet du pouvoir afin, ensuite, de le ramasser et, tout en se prétendant de gauche, de l'offrir aux vampires de la Finance. Je rappelle que le bel Hidalgo, comme son compère Sarkozy, était le champion de la réforme de la retraite (honnie par les Français) et de la TVA anti-sociale, tout en se prétendant de gauche !

    Or donc, j'ai aussitôt pensé d'une part au travail de conditionnement de la télé pour nous "rapprocher" de Ministre de l'Intérieur et le rendre incontournable, et d'autre part, au patient travail des Valls pour amadouer la blonde copine de Hollande afin d'être au premier rang. Ah, il est doué, le "Peuple Elu", pour entortiller le monde entier ! Attali avec Mitterrand, DSK avec Jospin, "Cohen-Bandit" avec les Verts, BHL avec Royal, avec Sarkozy, avec Hollande, avec tout le monde du moment qu'il peut servir les guerres israéliennes, de nouveau Attali avec Hollande, Mme Valls avec la copine de Hollande, etc etc. On a toujours un de ses représentants dans l'ombre, dans les coulisses, sous la jupe, partout !

    Mais revenons à nos moutons, ou plutôt à notre brebis... galeuse (le journaleux de service). Etait-ce tout ? Pas du tout ! On en remet une couche...

    - La défiscalisation des heures supplémentaire, c'était un outil pour RECOMPENSER les salariés. (Et pour les patrons, surtout, car c'était une mesure voulue par le MEDEF pour s'en mettre plein les poches, et ça on se garde bien de le dire. Autant de milliards en moins pour le Fisc, et en plus sur le dos des salariés et des inactifs qui allaient devoir payer leurs produits plus cher avec l'augmentation de la TVA, ce que le journaleux Pujadas se garde bien de dire ).

    - Et encore "le pouvoir d'achat va être réduit". (Et toc ! Bourrage de crâne !) Ca sera 1,2 % de revenus de perdus ! Compter 300 euros pour les cotisations, et 130 euros pour les avantages impôts.

     

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    Et la Gauche, dans tout ça ? "Pour elle, cette mesure était un frein à l'emploi". Un frein seulement ?

    Sur d'autres médias, on est moins abjects, voici ce que j'ai pu glaner :

    - Nous ne remettons pas en cause la majorité des heures supplémentaires.

    - La défiscalisation des heures supplémentaires était une mesure trop coûteuse, contreproductive, et destructrice d'emplois

    - C'était une mesure d'exonération des revenus qui ne sont pas ceux du travail

    - Les exonérations sur le capital pesaient lourd dans les déficits

    - Notre politique créera de l'emploi (évidemment, ceux qui ont, n'auront pas plus, mais ceux qui n'ont rien verront des emplois se libérer)

    - Cette mesure sera efficace sur le plan économique, et juste sur le plan social. Et les revenus du capital seront aussi taxés, pas seulement ceux du travail !

    - Le pouvoir d'achat des consommateurs sera amélioré

    - Nous voulons des pratiques plus vertueuses

    - Nous allons rendre + de dix milliards d'euros de pouvoir d'achat aux Français

    - Les 3 milliards d'euros de TVA "sociale" ? Il n'y a pas de preuve de leur efficacité. Ils seront au détriment de la consommation et donc de la croissance.

    Et tout cela, on ne l'entendra jamais chez le pseudo journaliste Pujadas, juste là pour justifier les politiques de Droite, les guerres impériales, et inciter à la haine raciale envers les Musulmans. Et évidemment pour discréditer la Gauche. Jusqu'à quand tolèrerons-nous cette désinformation ?

    Je rappelle que le sieur David Pujadas, "star" de FR2, a reçu la Laisse d'or du journaliste le plus servile (et sa moto a été badigeonnée d'or). Et ce déshonneur, il le mérite parfaitement !

    Eva R-sistons à l'imposture des journaleux au service non de l'information, mais des intérêts de l'Oligarchie militaire et financière et d'Israël.

     

    http://anti-fr2-cdsl-air-etc.over-blog.com/

     

     

     

     

    § http://www.lepetitmondecozillon.fr/2012/07/scandale-a-lelysee/

     

    §§ 2 en choisissant le moins disant, car il s'agit de nous amener à accepter le nivellement par le bas qui profitera, en définitive, à l'Oligarchie néoconservatrice judéo-protestante, donc  aux Goldman Sachs, aux Rothschild, etc etc. N'oublions pas que la presque totalité des journalistes politiques, en France, ont d'abord des préoccupations communautaristes, qu'ils sont moins au service de notre pays que d'Israël, entité à la pointe du combat pour la mondialisation... ultra-libérale et néo-coloniale ! 

     

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    Commentaire reçu d'un Lecteur :


    Personnellement, il y a déjà un long moment que je boycotte les médias marchands. Je me refuse à subir le lavage de cerveau appliqué avec perversité par ces soit-disant "journalistes".

    Comme beaucoup de Français je ne crois plus un mot de ce qui nous est présenté comme de "l'information" et qui n'est en réalité que mensonges et propagande.

    Puis, quand on constate que 90% des "journalistes" et autres intellectuels occupant en permanence les plateaux de TV, sont sionistes et donc liés à Israël et à ses intérêts, chacun comprend que dans ce système pourri, la France est utilisée comme mercenaire pour défendre des intérêts qui ne sont pas les siens.

    Entre une classe politique majoritairement corrompue et soumise à Israël, des journalistes sionistes liés à Israël, des médias appartenant à d'autres sionistes liés à Israël, il est facile de comprendre que notre pays est rongé de l'intérieur par des agents qui ne défendent ni la vérité ni le droit mais l'intérêt exclusif de l'Etat raciste et criminel qu'est Israël.

    Chère Eva, comme je vous l'ai souvent dit, vous êtes l'honneur de la profession de journaliste.

    Malheureusement, beaucoup de ceux qui se prétendent journalistes, n'ont ni votre courage ni votre talent.

    Il faudrait beaucoup d'Eva pour combattre ce monde orwellien où le mensonge devient "vérité", et où le mal devient le bien.

    De tout coeur avec vous.

    Cordialement,
    Saint Just

     

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    Russ Baker

    http://auisstudent.blogspot.fr/2011/05/auis-professor-answers-russ-baker-come.html

     

     

    Un article de Russ Baker
    Tout ce qu’ils nous disent sur la Syrie…
    est-il faux ?

     

    Vendredi, nous avons lu dans le New York Times et ailleurs qu’un des plus importants soutiens et alliés du régime du président Syrien Bachar al-Assad avait fait défection. L’impression laissée par cette information est que le gouvernement de M. Assad est en voie d’effondrement, ce qui donne de la crédibilité à ceux qui poussent Assad à céder le pouvoir.
    11 juillet 2012

     

    Mais ce que les médias ne signalent pas est que le général de brigade Manaf Tlass n’a pas fait directement défection du cercle rapproché d’Assad. Il était déjà tombé en disgrâce au début de la révolte et avait perdu son commandement en mai 2011 – il y a 14 mois. Si vous aviez eu cet élément d’information complémentaire, vous auriez interprété les articles de presse de manière complètement différente.

    Quand un élément factuel qui contredit une impression d’ensemble est absent d’un reportage, le reportage en tant est alors presque sans valeur.

    Il en va de même des reportages sur des évènements horribles sans vérification factuelle ni enquête de terrain. Vous vous souvenez du massacre de Houla ? Qui l’a perpétré ?

    Houla Whoops

    Les médias nous ont dit que plus de 100 personnes, dont des femmes et des enfants, ont été sauvagement massacrés à bout portant dans le village de Houla en mai dernier. La tuerie, rapportée dans le monde entier, avait été attribuée à une milice loyale à Assad, les Shabiha. Voici un exemple tiré du site web de la BBC :

    « Des survivants du massacre dans la région de Houla en Syrie ont parlé à la BBC de leur stupeur et de leur effroi quand les forces du régime sont entrées dans leurs maisons et ont tué leurs familles…
    La plupart des témoins qui se sont exprimés auprès de la BBC ont dit qu’ils pensaient que l’armée et des miliciens shabiha étaient responsables. »

    « Nous étions à la maison, les shabiha et les forces de sécurité sont entrés avec des kalashnikovs et des pistolets automatiques, » a déclaré un survivant, Rasha Abdul Razaq.

    Par la suite, des informations sorties au compte gouttes ont mis en doute cette version, d’autant que les personnes tuées étaient en majorité elles-mêmes en faveur d’Assad. Le reportage de la BBC ne nous dit pas qui était Rasha Abdul Razaq et n’a donné aucune preuve qu’elle était vraiment présent sur place ni, si elle était sur place, qu’elle avait des éléments quelconques pour affirmer que les tueurs étaient identifiables par leur affiliation. La BBC a cité une autre source qui n’a donné aucun nom. Malgré la faiblesse de ce compte rendu le récit de la BBC a été repris dans le monde entier et a été considéré comme la version définitive des faits.

    Vous n’avez donc sans doute pas eu connaissance d’un article de la Frankfurter Allgemeine-Zeitung, un bon vieux et sérieux journal allemand pour lequel j’ai écrit par le passé. Ce journal a publié il y a un mois un article d’un de ses correspondants qui a recueilli des témoignages oculaires de personnes dont il dit qu’elles sont allées dans la région de Houla. Le correspondant, Rainer Hermann dit que selon des témoins oculaires les victimes étaient des opposants à Assad ; et ont affirmé que les partisans du gouvernement n’étaient pas responsables du massacre.

    Les sources de Hermann décrivent les évènements de la manière suivante : des rebelles anti-Assad ont attaqué des barrages routiers de l’armée disposés aux abords immédiats de Houla pour protéger les vllageois affiliés en majorité alaouite des attaques des milices sunnites. Les soldats postés aux barrages se sentant en minorité, ont alors appelé du renfort, ce qui a débouché sur une bataille de 90 minutes qui a vu les deux camps subir de lourdes pertes. C’est dans ce laps de temps que des miliciens non identifiés sont entrés dans Houla.

    Comme Hermann l’écrivait le 7 juin :

    « Selon des témoins oculaires… ceux qui ont été tués étaient presque exclusivement de familles appartenant aux minorités chiites et alaouites de Houla. Plusieurs dizaines de membres d’une même famille ont été massacrés, c’étaient des convertis de l’Islam sunnite à l’islam chiite. Des membres de la famille Shomaliya, des Alaouites, ont aussi été tués tout comme la famille d’un membre sunnite du parlement syrien qui est considéré comme un collaborateur. Juste après le massacre, les auteurs auraient filmé leurs victimes pour les présenter comme des victimes sunnites dans des vidéos postées sur internet » (...) « Leurs constatations contredisent les allégations des rebelles qui ont accusé les miliciens shabiha proches du régime. »

    Ainsi, Hermann a apparemment été en mesure de faire quelque chose dont la plupart des journalistes occidentaux ont été incapables : il a trouvé des opposants à Assad qui lui ont fourni des témoignages qui ne servaient pas leurs propres intérêts.

    Leurs histoires d’affrontements intercommunautaires est plus logique que celle qui a fait le tour du monde. Mais tout le monde doit néanmoins donner des précisions de sorte que l’on puisse être en mesure de déterminer ce qui est vrai.

    Presque tous les récits dans les articles des grands médias ont la caractéristique d’émaner de l’opposition et presque tous imputent tous les maux au régime et presque tous indiquement au passage que les informations « n’ont pu être vérifiées de manière indépendante. »

    Parlons Turquie

    Bien que le journalisme classique se targue d’être « objectif » et de ne pas prendre parti, je ne me souviens pas avoir beaucoup entendu mentionner le point de vue du gouvernement syrien. On a presque l’impression que le gouvernement syrien ne se manifeste pas. Or il s’avère que ce n’est pas le cas.

    Avec le voisin turc de la Syrie de plus en plus en pointe pour que l’OTAN renverse Assad, il est intéressant de voir qu’un journal turc a voulu savoir ce que le dirigeant syrien avait à dire. Dans un entretien accordé au journal turc Cumhuriyet, Bachar al-Assad a adressé une critique extraordinairement intéressante du premier ministre Turc Recep Tayyip Erdogan. Dans la première partie de l’entretien, avant de soulever des questions sur les motivations de l’alliance qui cherche à le renverser, Assad met en avant sa bonne volonté à l’égard du peuple turc :

    Assad : …. Aujourd’hui Erdogan verse des larmes hypocrites sur le peuple syrien. Pourquoi n’a-t-il pas pleuré sur tous ceux qui ont été tués dans certains pays du Golfe alors que ce sont des gens innocents, pacifiques et désarmés ? Pourquoi ne parle-t-il pas de la démocratie dans certains pays du Golfe ?

    Le journaliste : Quel pays ?

    Assad : Le Qatar, par exemple. Pourquoi n’a-t-il rien fait après l’incident du Mavi Marmara à part gesticuler ? Pourquoi a-t-il défié Israêl puis il a tout soudain accepté de déployer le bouclier antimissile en Turquie ? L’a-t-il déployé pour protéger la Turquie de l’attaque d’un pays hostile ? Les États Unis ont-ils construit ces bases pour leur propre protection dans cette région ? Quel pays de la région est en mesure de menacer l’Amérique ? Aucun.

    Pas besoin d’être un admirateur d’Assad pour trouver de l’intérêt à lire ses propos. Entendre, pratiquement pour la première fois, l’autre partie est un choc salutaire – qui me rappelle une règle qu’on nous enseignait à l’école de journalisme mais dont on n’entendait plus parler par la suite, sauf sous ses aspects les plus superficiels. Pour découvrir ce qui se passe vraiment, faites un véritable effort pour parler avec les deux camps.

    Rien qu’Hillary, Tout le temps

    Alors que les médias occidentaux ignorent purement et simplement les déclarations des dirigeants syriens, ils fonctionnent comme une image inversée de l’agence de presse syrienne officielle, publiant un flot continu de déclarations des dirigeants qui veulent la chute d’Assad. Par exemple, à nouveau dans le New York Times, les propos souvent repris de Mme Clinton sur Tlass.

    « Plus tard, lors d’une conférence de presse, Mme Clinton a déclaré que la nouvelle de la défection du général Tlass et d’autres officiers supérieurs était un signal très fort de la fin prochaine du régime Assad. Elle a présenté le général Tlass comme un « allié de longue date et très proche du régime » du président Assad et de son père. »

    On a donc une Hillary Clinton qui présente de manière distordue l’évènement Tlass et une presse qui n’est que trop heureuse de la suivre.

    Il y a de plus en plus de preuves que nous, Américains, sommes trompés par notre gouvernement sans que les élus du peuple ne pipent le moindre mot dans la presse à ce sujet. C’est une situation qui n’est malheureusement pas une information nouvelle.

     

    Russ Baker,


    WhoWhatWhy (USA), 8 juillet 2012.


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    Conseil de Guerre de l'OTAN contre la Syrie

    Traduit par Dominique Arias

    Mardi 26 juin, à Bruxelles, le Conseil de l'Atlantique Nord - la plus haute instance de commandement du bloc militaire de l'OTAN (Organisation du traité de l'Atlantique Nord), dominé par les États-Unis - doit aborder la question de la Syrie sous l'angle des clauses de son texte fondateur qui, tout au long de la dernière décennie, a été à l'origine de déploiements préliminaires de forces armées conduisant au déclenchement de guerres totales
    .
    Ce conseil est constitué des ambassadeurs des 28 États membres, représentant une population totale de 900 millions d'habitants. Ses membres fondateurs comptent trois puissances nucléaires - les USA, la France et l'Angleterre - dont la première s'est autoproclamée unique puissance militaire mondiale.

    Jusqu'à la veille de cette réunion, l'OTAN devait examiner une requête de l'un de ses membres, la Turquie, de tenir des consultations conformément aux dispositions de l'Article 4 du Traité de l'Atlantique Nord, qui autorise tout État membre à appeler l'intégralité des membres de l'Alliance à répondre à ce qu'il considère comme une attaque contre sa sécurité et son intégrité territoriale.

    Le 25 juin, trois jours après que le chasseur bombardier supersonique F14 eut été abattu au-dessus des eaux territoriales syriennes, la Turquie annonça qu'elle demanderait que l'alliance militaire en réfère à l'Article 5, lequel stipule que « toute attaque armée contre un ou plusieurs États membres en Europe ou en Amérique du Nord doit être considérée comme une attaque contre tous », les alliés de l'OTAN étant alors tenus de « porter assistance à la, ou aux parties ainsi attaquées, en engageant sur le champ, individuellement et en concertation avec les autres parties, toute action jugée nécessaire, y compris le recours à la force armée... »

    L'Article 5 avait été invoqué en octobre 2001, pour la première et unique fois en date, et fonde toujours, depuis une dizaine d'années, le déploiement en Afghanistan de troupes des 28 États membres et de leurs 22 partenaires. L'Article 4 fut invoqué pour la première fois le 16 février 2003, à nouveau par le Conseil de l'Atlantique Nord et à nouveau au sujet de la Turquie, à la veille de l'invasion anglo-américaine de l'Irak. Cela entraîna le déclenchement de l'Opération « Display Deterrence » [déploiement d'une force de dissuasion], et le déploiement en Turquie de cinq batteries de missiles d'interception 'Patriots' - trois allemandes et deux américaines - ainsi que de quatre appareils de surveillance aérienne AWACS [Airborne Warning and Control Systems : Systèmes aéroportés de Contrôle et d'Alerte], en conjonction avec le Système de Défense Aérienne Élargi Intégré de l'OTAN.

    L'OTAN déploya, selon ses propres termes, « 1 000 techniciens spécialisés et extrêmement compétents » pour conduire l'Opération. Les premiers avions AWACS arrivèrent le 26 février, et trois semaines plus tard l'invasion et le bombardement de l'Irak étaient lancés. Bien qu'il n'y ait eu à l'époque en Irak que 25 millions d'habitants, contre 70 en Turquie, et bien que l'armée turque ait été la plus formidablement équipée de la région - tandis que l'Irak sortait affaibli de huit années de guerre contre l'Iran dans les années 1980, de la campagne de bombardements des États Unis et de leurs alliés en 1991 et depuis, et de douze années de sanctions écrasantes, l'OTAN ne tarissait pas d'éloges sur l'Opération Display Deterrence, qui venait de « tester et prouver la capacité des forces de l'OTAN à répondre immédiatement et avec la force offensive appropriée, à une menace évoluant rapidement contre l'un des membre de l'Alliance ».

    Dans quelle mesure un Irak aussi mortellement affaibli avait réellement pu représenter pour la Turquie « une menace évoluant rapidement », cela ne fut jamais précisé. Les AWACS sortirent sur une centaine de missions et les batteries de Patriots allemandes furent notamment équipées de missiles Patriot Advanced Capability-2, « un missile plus moderne fourni par l'Allemagne » expliqua l'OTAN. L'Opération prit fin le 3 mai, soit 65 jours après son déclenchement et 45 jours après le début de l'invasion de l'Irak. Pour donner une idée de ce que l'OTAN pourra déclarer à l'issue de cette réunion au sommet, l'Ambassadeur turc de l'époque, auprès de l'OTAN, déclara après avoir invoqué l'Article 4 : « Encore une fois, je tiens à témoigner de la sincère gratitude du peuple et du gouvernement turcs envers la solidarité dont l'Alliance a su faire preuve en renforçant la défense de mon pays en réponse à la dernière crise en Irak. Nous sommes convaincus que, à travers un déploiement d'une force de dissuasion aussi active et collective, l'OTAN a non seulement tendu la main et offert une aide infiniment appréciable à l'un de ses membres en grande difficulté, mais il a aussi prouvé une fois de plus sa crédibilité et sa pertinence, en tant que pierre de touche de la sécurité collective dans la zone Euro-Atlantique ».

    La Turquie était alors, tout comme aujourd'hui, présentée comme la victime - « en grande difficulté » qui plus est - tandis que l'Irak, en état de siège et sur le point d'être anéanti, était considéré comme l'agresseur. La population syrienne se trouve à l'heure actuelle dans la même position que l'Irak à l'époque, sauf que la Turquie est cette fois une nation quasiment trois fois plus grande. La Syrie est isolée et ses forces militaires sont dérisoires par rapport à celles de son voisin turc. Ce dernier peut en outre compter sur le soutien de 27 alliés, au nombre desquels la plupart des plus grandes puissances militaires du monde. Les États-Unis disposent déjà d'environ 90 bombes nucléaires tactiques B61 stationnées sur la base aérienne d'Incirlik, à 35 miles des côtes méditerranéennes de Turquie.

    C'est en outre au moins la seconde fois depuis avril dernier que le Premier Ministre turc Recep Tayyip Erdogan demande l'activation de la clause d'assistance militaire mutuelle de l'article 5 - qui implique le déclenchement d'une guerre. La première ayant eu lieu plus de deux mois avant la destruction du chasseur bombardier turc survenue la semaine dernière. Le 25 juin, le vice Premier ministre turc Bulent Arinc avait annoncé que sa nation « avait déposé auprès de l'OTAN toutes les demandes requises concernant l'Article 4 et l'Article 5 ».

    Selon l'agence de presse Associated Press, il aurait ajouté : « Il est important de comprendre que, dans le cadre légal, nous userons bien évidemment jusqu'à la fin, de tous les droits que nous garantit le droit international. Cela inclut notamment l'auto-défense. Cela inclut aussi toutes les formes possibles de représailles. Cela inclut toutes les sanctions applicables à l'État agresseur en vertu du droit international. La Turquie ne négligera absolument rien en la matière... ».

    Les États-Unis et l'OTAN avaient impérativement besoin d'un prétexte pour attaquer la Syrie, et la Turquie, seul membre de l'OTAN frontalier de la Syrie, a toujours été le prétexte idéal auquel recourir pour attaquer une nation arabe.

    L'incident de vendredi dernier et la réunion de l'Otan qui y a fait suite, marquent le début du quatrième acte d'une tragédie que le reste du monde n'a que trop peu de temps pour empêcher.
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    Guerre ou Intox ?

    Par Menthalo - Les forces spéciales Britanniques auraient attaqué en force en Syrie ce mardi 26. Une force d’invasion aurait pénétré par la Turquie dans le Nord de la Syrie. Les mêmes sources Britanniques, Françaises et Turques de Debka rapportent de lourds combats contre les forces de la Garde présidentielle dans les faubourgs de Damas. Des sources en provenance du Golfe persique auraient confirmé cette présence militaire britannique en Syrie.

    Les télévisions britanniques et du Golfe, d’après Debka, passeraient des interviews de soldats syriens faits prisonniers, au cours de ces différentes batailles. Poutine était ce matin même en Israël pour ré-affirmer le fait que Moscou ne tolérera pas une intervention militaire occidentale en Syrie. Pendant ce temps-là, la Turquie fait des moulinets de sabre en disant que son chasseur abattu par les forces syriennes ne restera pas impuni. 

    Quelques jours après la révélation par Thierry Meyssan des plans de l’OTAN pour une “Opération d’intoxication” en Syrie, avec de fausses vidéos tournées en studio ou dans le Golfe pour abuser le peuple syrien et faire croire à une fuite de Assad, je reste extrêmement circonspect.

    NB. DEBKA est un organe de presse 100% sioniste.

     

    Ras le bol de ces fachos de l’OTAN, qui veulent mettre en place “la mission anglo-saxonne“.

     

    Vous aurez compris qu’avec l’effondrement du système, ces fous-furieux veulent mettre en place leur Armageddon. Au moment où tout s’écroule, il devient urgent de faire monter la tension internationale.

    Je salue François Hollande qui a retiré les forces françaises de l’OTAN. Est-ce déjà trop tard ?

     

     

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    Auttres infos non alignées,

     

    La stratégie du choc est à l'oeuvre, cf Etats-Unis en faillite (+ 2 vidéos)

    Quand Israël assassine le Théâtre de la Liberté. Pétition - Les enfants d'Arna

    UE Dictature Fasciste Incitant Aux Actes De Terrorisme Contre Les Medias Syriens

    Non à la ratification par la France du pacte budgétaire (Opinions)

    De la Grèce au Niger, comment le FMI favorise l’austérité et la pauvreté

    Echec total du sommet de la dernière chance - Implosion de l'euro ?

     

     


     

     

    Ils ont déclaré la guerre aux chômeurs !

    Facebook : Utilisé pour dénoncer, lyncher, appeler à assassiner..

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  • Attentats de Damas : l’honneur (un peu plus) perdu de L’Express



    Guy Delorme
    Vendredi 11 Mai 2012



    Attentats de Damas : l’honneur (un peu plus) perdu de L’Express

    « Odieux et Inadmissibles ! » C’est le moins que pouvait dire, en effet, Kofi Annan à propos des très sanglants attentats terroristes de ce matin à Damas. À l’heure où nous écrivons, on attend encore, en revanche, les condamnations des Tartuffes les plus considérables de la coalition occidentale anti-syrienne, de « feu » Alain Juppé à Hillary Clinton. Un silence de leur part serait on ne peut plus complice, même i leur condamnation sonnerait assez faux.

    Il est vrai que les terroristes islamistes – qu’ils soient d’al-Qaïda, de groupes sunnites dans la main du Qatar ou d’obédience ASL – ont reculé les limites de l’horreur. La reporter de l’AFP, Louaï Bechara, parle de « vision d’apocalypse » et n’épargne aucun détail atroce – « un petit cerveau » d’enfant baignant dans une flaque de sang, et ne cache pas non plus les réactions d’habitants mettant directement en cause le Premier ministre turc et l’émir du Qatar. À son arrivée sur les lieux, le chef des observateurs de l’ONU, le général norvégien Robert Mood – qui a lui-même échappé de peu à un attentat à Deraa hier – s’est vu entouré de plusieurs dizaines de manifestants pro-régime qui ont scandé le désormais traditionnel slogan « Par notre sang et par notre âme, nous nous sacrifierons pour toi, Bachar ! »

    L’Express s’enfonce plutôt que de se déjuger

    Peter Harling, spécialiste atlantiste de la Syrie, chargé par L'Express de dédouaner l'opposition des massacres de Damas

    On en était, en début d’après-midi, à 55 morts – à titre de comparaison, le précédent attentat à la voiture piégée ayant frappé, le 27 avril, Damas, n’avait fait qu’une dizaine de morts. Ce massacre n’est peut-être pas un nouveau tournant dans la crise syrienne, mais, incontestablement, il ternit l’image de l’opposition, même dans les salles de rédaction d’Occident : une opposition radicale CNS/ASL de plus en plus parasitée par la montée en puissance du djihadisme, estampillé al-Qaïda ou pas. Le CNS, déjà passablement discrédité parmi les opposants à Bachar, n’avait certes pas besoin de ça. Sa tentative d’attribuer le carnage de Damas au régime lui-même ne peut convaincre personne de sérieux. C’est dire si un média comme L’Express se disqualifie, moralement et professionnellement, en laissant entendre que ce qui s’est passé ce matin à damas pourrait être une « manipulation » du pouvoir.

    Et L’Express de convoquer le « politologue » Salam Kawakibi et le « chercheur » Peter Harling pour qu’ils expliquent que le djihadisme est un  phénomène marginal, « pas déterminant » dans la violence observée en Syrie. Du bout des lèvres, Harling reconnait la présence de combattants étrangers, « tunisiens ou libyens« , en Syrie mais affirme que rien n’indique qu’ils soient en grand nombre. Mais, à Bab Amr les autorités ont identifié, parmi les morts et les prisonniers de l’ASL, de nombreux étrangers venus aussi bien du Mahgreb, du Machrek, du Proche-Orient ou même d’Europe. Mais Le Figaro parlait lui-même de 600 volontaires venus de Libye, plus récemment encore, l’hebdomadaire – pro-OTAN lu aussi – Valeurs Actuelles écrivait que la province turque frontalière du Hatay était infestée de volontaires islamistes internationaux…

    Harling trouve même « surprenant » que, compte tenu de violence la répression bachariste, « la présence djihadiste reste assez limitée » en Syrie ! Ce qui est moins « surprenant » en revanche, c’est de voir d’où émanent de telles analyses lénifiantes et mensongères : en l’occurence de l’International Crisis Group, un des innombrables « bidules » néo-conservateurs qui se penchent sur l’avenir et le bien être de l’Humanité en général et des Arabes en particulier. Au Conseil d’administration de l’ICG, on trouve comme président Thomas Pickering, ex-ambassadeur des États-Unis auprès de l’ONU et en Israël, et comme directrice générale Louise Arbour qui présida le tribunal pénal international pour l’ex)Yougoslavie, une autre nation victime notable de l’humanisme militarisé de l’OTAN ; et dans le comité de direction on retrouve de vieilles et illustres connaissances comme le milliardaire américain George Soros, ou Wesley Clark, ancien commandant de l’OTAN en Europe et à ce titre « bombardier » de la Yougoslavie en 1999 ;  ajoutons des personnalités « typées » comme Morton Abramowitz, naguère ambassadeur américain en Turquie, l’Espagnol Javier Solana qui fut ministre des Affaires étrangères de son pays et surtout secrétaire général de l’OTAN ;  ou encore Joska Fisher, ministre des Affaire étrangères du chancelier allemand Schröder, parfait exemple de vieux gauchiste passé dans le camp de l’atlantisme. Bref, M. Harling, qui travailla aussi pour le Quai d’Orsay, est surtout un chercheur en désinformation atlantiste, un espèce particulièrement proliférante ces dernières années.

    Mais L’Express, très en pointe dans la désinformation à thème syrien, préfère mourir – ou mentir, c’est plus confortable – plutôt que de reconnaître que la propagande du régime, qui dénonçait quotidiennement la main-mise des radicaux islamistes sur le mouvement de contestation – visait juste. Car après tout, ce serait admettre que L’Express mentait, par aveuglement idéologique ou paresse intellectuelle (on leur laisse le choix de l’option la moins déshonorante).

    Loin de ces méprisables contorsions para-journalistiques et crypto (si peu)-atlantistes, sur place, les Damascènes ont afflué dans les hôpitaux et centres de transfusion sanguine de la ville pour contribuer physiquement aux soins des quelque 170 blessés – chiffres semble-t-il définitifs. Un don du sang qui n’est pas, vu le contexte, seulement humanitaire mais politique et patriotique : donner son sang aux victimes du terrorisme, c’est aussi affirmer une résistance au chaos et à la terreur voulus par les terroristes, ces terroristes qui selon L’Express et Peter Harling existent à peine…

     

     

     

     

     




    Info Syrie

     

    http://www.alterinfo.net/Attentats-de-Damas-l-honneur-un-peu-plus-perdu-de-L-Express_a76035.html

     


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