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    2 vidéos édifiantes.

     

    Oui, les Décideurs ont des plans pour l'humanité, notamment de guerres. Ceux qui ont l'honnêteté de chercher la vérité sont appelés abusivement "conspirationnistes" (et les dirigeants ou les élus non-alignés sont appelés "dictateurs" ou "populistes"). Cette vidéo du Général Clark, américain, prouve que les PLANS existent bel et bien.

     

    2e vidéo : Oui l'humanité dérive lentement vers le pire, et scandaleux silence médias ! Jamais une info importante, jamais un vrai débat, TOUT nous est caché par les médias de désinformation - et de propagande pour austérité, guerres, libéralisme, "Europe de la paix" (sic), Nouvel Ordre Mondial, etc..

     

    Le principal enjeu pour TOUS : Obtenir que les médias informent honnêtement, vraiment. Sans cela, nous serons toujours conditionnés, manipulés, et floués, asservis. J'appelle à un Printemps des peuples planétaire, qui commence par des manifestations devant les Rédactions jusqu'à ce qu'elles remplissent leur rôle d'informateurs neutres, sans parti-pris. En accord avec la déontologie. 

     

    eva R-sistons (Chantal Dupille)

     

    Voici le lien de mon domaine regroupant tout (depuis hier), il n'est pas encore référencé par Google. La newsletter ne fonctionne pas encore, abonnez-vous ensuite, c'est gratuit, vous serez prévenus chaque fois qu'il y aura un nouvel article sur les grands événements en cours, décisifs pour l'histoire de l'humanité (mes analyses + liens d'actualité, articles conseillés). Parution peut-être une fois par semaine. Et comme je reprends ma plume d'écrivain, vous serez aussi prévenus lorsqu'un de mes ouvrages sera publié.

     

    Cordialement votre eva (Chantal)

     

    http://chantaldupille.fr/

     

     

     

     

     

     

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    Occuper les Médias pour les libérer, si on veut, ou pour moi... manifester devant les Rédactions jusqu'à satisfaction : Une info digne de ce nom, tout simplement ! (eva)

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    Une étude révèle l’imposture de la chimiothérapie

     

    Tout n’est qu’arnaque, tant qu’il y a de l’argent à prendre… Le nombre de cas de médecins qui ont rencontré des soucis après avoir trop bien soigné voire guérit ses patients ne se compte plus, pressions, coupure des subventions, tous les moyens sont bons de ce côté là pour que les traitements continuent à être vendus avec de gros bénéfices à la clé.


    Faire une chimio pourrait aggraver votre cancer

    (NaturalNews) Une équipe de chercheurs de l’état de Washington a récemment ont poussé un mémorable  »oups ! » quand elle a découvert par hasard la vérité mortelle sur la chimiothérapie en cherchant pourquoi les cellules cancéreuses de la prostate sont difficiles à éradiquer par les méthodes conventionnelles de traitement. Comme on le constate, en réalité la chimiothérapie ne traite ni ne guérit le cancer, selon les découvertes de l’étude, mais active plutôt la croissance et l’étendue des cellules cancéreuses, les rendant beaucoup plus difficiles à les éliminer une fois que la chimiothérapie a déjà été démarrée.
    On pourrait en parler comme preuve irréfutable, une fois pour toutes, de la tromperie de l’industrie conventionnelle du cancer. Non seulement la chimiothérapie, qui est la méthode standard de traitement du cancer aujourd’hui, est, selon l’étude un fiasco total, mais elle est au complet détriment du malade cancéreux. Publiées dans le journal Nature Medicine, les choquantes découvertes qui, sans surprise, ont été ignorées de la communauté scientifique dominante, éclairent en détails la manière dont la chimiothérapie obligent les cellules saines à libérer une protéine qui en réalité alimente les cellules cancéreuses et les fait prospérer et proliférer.

    Selon l’étude, la chimiothérapie induit la libération dans les cellules saines une protéine, WNT16B, qui aide à promouvoir la survie et la croissance des cellules cancéreuses. La chimiothérapie endommage aussi définitivement l’ADN des cellules saines, préjudice à long terme qui persiste longtemps après la fin du traitement par chimio.  L’action combinée de la destruction de cellules saines et la promotion de cellules cancéreuses fait techniquement de la chimiothérapie plus un protocole de création de cancer qu’un protocole de traitement cancéreux, par définition, fait qui devrait retenir l’attention de quiconque est personnellement impliqué, soit pour lui-même en ayant un cancer, soit parce qu’il connaît quelqu’un d’autre qui en est affecté.

    Quand le WNT16B (la protéine) est sécrétée, elle interagirait avec les cellules cancéreuses proches et les ferait grossir, se répandre et le plus important, résister à une thérapie ultérieure, » a expliqué le co-auteur de l’étude Peter Nelson du Centre de Recherche Fred Hutchinson sur le cancer à Seattle, concernant cette découverte à laquelle  »il ne s’attendait pas du tout. »  »Nos résultats indiquent que dans les cellules bénignes les réponses en retour… peuvent contribuer directement à une dynamique de grossissement de la tumeur, » a ajouté l’équipe au complet selon ce qu’elle a observé.
    Éviter la chimiothérapie augmente les chances de recouvrer la santé, suggère la recherche

    Cela signifie qu’à tous égards la technique toute entière de la chimiothérapie est totalement sans valeur, et qu’elle est en fait au complet détriment du patient cancéreux. Celui qui cherche vraiment à guérir fera en d’autres mots tout pour éviter la chimiothérapie, et recherchera une voie alternative. Laquelle peut comprendre les traitements alternatifs du Dr Gerson ou des aliments et nutriments anti-cancer comme le bicarbonate de soude, le curcuma, de fortes doses de vitamine C et la vitamine D.

     »Toute manipulation dirigée contre les tumeurs peut par inadvertance augmenter le nombre de tumeurs métastatiques, c’est ce qui tue les patients au bout du compte, » a admis le Dr Raghu Kalluri, auteur d’une étude similaire publiée l’année dernière dans le journal Cellule cancéreuse. Cette étude particulière a conclu que les drogues anti-cancer, qui sont habituellement données en même temps que la chimiothérapie engendrent des métastases.
    SOURCE

    Traduit par Hélios pour le BBB.
    Lire aussi l’article du Dr JacquesLacaze (cancérologue),  »Rapport accablant : 3 médecins sur 4 refusent la chimio pour eux-mêmes ».

    http://bistrobarblog.blogspot.com/2013/01/limposture-de-la-chimiotherapie.html

    Via leschroniquesderorschach.blogspot.fr

    Allez, une petite  info en plus sur le sujet:

    Chimiothérapie : le scandale une nouvelle fois mis à nu !
    Cette fois, par une étude parue dans Clinical Oncology…. !!!
    Des taux de réussite autour de… 2,2 % !

    Une étude qui devrait faire du bruit. À condition bien sûr d’en parler… On apprend ainsi, que le taux moyen de succès des chimiothérapies tourne autour des 2,2 pour cent !

    Un article de trois professeurs australiens est paru dans la revue Clinical Oncology, sous le titre : The contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies (*). Il étudie les données d’études cliniques avec chimiothérapie au cours des 20 dernières années en Australie et aux USA. Le résultat est tout simplement consternant.
    En ce qui concerne la survie au bout de 5 ans, et bien qu’en Australie seuls 2,3 % des patients tirent profit d’une chimiothérapie et qu’aux USA, il n’y en ait que 2,1 %, on continue malgré cela à proposer ces mêmes thérapies aux patients cancéreux. Au total, ce sont les données de 72 964 patients en Australie et de 154971 aux USA, tous traités par chimiothérapie, qui ont été étudiées. Ici, personne ne peut plus prétendre qu’il ne s’agit que des données de quelques patients et, par conséquent, « insignifiantes »… Les auteurs s’interrogent, avec raison, sur le fait qu’une thérapie qui a si peu contribué à la survie des patients au cours des 20 dernières années, ait dans le même temps connu un tel succès commercial. Et cela devient totalement incompréhensible, lorsque l’on considère, une par une, les différentes sortes de cancer. C’est ainsi qu’aux USA, depuis 1985, il y a eu exactement 0 % de progrès dans les cancers suivants : Cancer du pancréas, Sarcome des parties molles, Mélanome, Cancer des ovaires, de la Prostate, des reins, de la vessie, tumeurs cérébrales, Myélomes multiples. Pour le cancer de la prostate, par exemple, rien qu’aux USA, 23.000 patients ont été analysés. Mais au vu des  » taux de succès « , on ne peut que constater : ils étaient de 1,4 % pour le cancer du sein, de 1,0 % pour le cancer de l’intestin, et de 0,7 % pour le cancer de l’estomac. Et ceci au bout de 20 années de recherches intensives dans le domaine de la chimiothérapie et l’investissement de milliards provenant de fonds pour la recherche et de dons faits aux grandes organisations pour le cancer. Logiquement, tout un chacun devrait maintenant changer sa façon de penser. Mais à quelle réaction devons-nous nous attendre ? Tout porte à croire, que les pouvoirs publics continueront à affirmer sans la moindre retenue que « l’on a fait ce qu’il fallait » au cours des dernières décennies et que la recherche a englouti des milliards de dollars dans la bonne direction. Car dans le cas contraire, la perte de prestige serait immense et dévastatrice, et les conséquences économique et financière catastrophiques pour tous ceux qui vivent — et non meurent — du système ! Et tant pis pour le consommateur, pardon le patient, qui se trouve bien seul lorsqu’il n’a pas accès à l’information lui permettant de prendre conscience de cette autre réalité de la maladie, au moins autant physique que psychologique et spirituelle. On trouvera sur le site http://www.cancerdecisions.com, les chiffres des effets cytotoxiques de la chimiothérapie sur les cinq années de survie. Ce qui est remarquable, c’est la similarité des résultats entre les deux pays ! A travers ces chiffres, on peut mesurer les conséquences de ces traitements, acceptés le plus souvent au prix de terribles souffrances, dans l’espoir ultime d’une guérison, en réalité bien illusoire.

    (*)  » The contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies  » de la revue Clinical Oncology ; 16 : 549-560.

    Cette information a été diffusée dans la revue Univers Spirale n°55 du printemps 2009.

    Source: santeendanger.net

    Voire cela aussi…

    Faire une chimio pourrait aggraver votre cancer
    Une étude du Fred Hutchinson Cancer Research Center montre que, sous certaines conditions, une chimiothérapie pourrait accélérer le développement et la métastase d’un cancer.

    Ce sont les fibroblastes, des cellules qui jouent un rôle important dans l’élasticité de la peau en produisant du collagène et protègent contre les infections, qui seraient responsables : lorsqu’elles sont proches d’un cancer soumis à une chimiothérapie, une modification de leur ADN leur fait produire une protéine qui protège le cancer du traitement et facilite la métastase. La production de cette protéine peut, dans ces conditions, augmenter jusqu’à 30 fois.

    Cette découverte permet de mieux comprendre pourquoi certains cancers se montrent résistants au traitement et les patients pourraient, après de plus amples recherches, pouvoir être traités avec des doses de médicaments plus faibles et moins toxiques.

    Source: zinfos974.com
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    DEMANDE DE REPORTAGE SUR LES METAUX LOURDS REFUSE A L EMISSION DE FRANCE 5 "ALLO DOCTEUR" CAR INFLUENCE DU CONSEIL DE L ORDRE !

    SUITE A UNE DEMANDE DE REPORTAGE SUR L INTOXICATION AUX METAUX LOURDS, REFUS DE LA PART DE L EMISSION "ALLO DOCTEUR" SUR FRANCE 5: MOTIF: INFLUENCE DU CONSEIL DE L ORDRE DES MEDECINS! VOICI LA DEMANDE ET LA REPONSE! Mail envoyé à l'émission "ALLO [...]

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    Autre article récent de Robert Bibeau,

    http://les7duquebec.org/7-au-front/la-guerre-des-clans-monetaristes-contre-fiscalistes/

     

     

    Le déclin de l’impérialisme contemporain (1ère partie)

    Robert Bibeau

    ImpérialismeNous entreprenons aujourd’hui la publication de trois articles présentant les principes de base de l’économie politique, ses caractéristiques modernes, et son processus de déclin qui s’accélère depuis l’approfondissement de la crise systémique de 2008. À la fin de cette série vous aurez, nous l’espérons, accru votre compréhension de l’économie et de la politique contemporaine.

    Les États-Unis d’Amérique sont-ils un pays impérialiste ? Oui, évidemment ! C’est que notamment, les Yankees entretiennent 770 bases militaires chez-eux et à  l’étranger. De plus, ils ont agressé et occupé de nombreux pays depuis 1890 (plus de cent invasions). La France et la Chine sont-elles impérialistes ?!… Le Canada est-il un pays impérialiste ? Le Canada n’a pas de bases militaires à l’étranger mais le Canada soutien des multinationales sanguinaires qui exploitent les ouvriers dans les mines de l’Afrique mortifiée ! La Grèce est-elle un pays impérialiste ? Évidemment non voyons ! La petite Grèce (10 millions d’habitants), sans base militaire à l’étranger est tellement dépenaillée. La population hellénique mendie aux portes des soupes populaires et fréquente les friperies dégarnies.

    Et bien si, ces pays sont tous des pays impérialistes. C’est-à-dire que ces cinq États, comme tant d’autres dans le monde, sont des pays où sévit le système capitaliste de production et d’échange de marchandises et l’économie de ces cinq pays est parfaitement intégrée à l’économie «mondialisée-globalisée-néo-libéralisée», pour utiliser des termes à la mode.

    L’impérialisme c’est le système capitaliste développé à son ultime limite – au moment où ce système global s’essouffle et tangue sur ses bases – n’assurant plus le développement des forces productives et se trainant d’une crise à une autre, inexorablement. L’économie impérialiste se développe de façon inégale – imbriquée – et par bonds saccadés. L’impérialisme provoque une division internationale du travail ou les États-Unis, la Chine, la France, le Canada et la Grèce ont chacun leur secteur de développement prioritaire et leur rôle à jouer.

    Une question cruciale pour savoir si un pays quelconque est partie prenante du camp impérialiste en tant que grand spoliateur, en tant que petit profiteur, ou en tant que néo-colonie – il n’existe que trois catégories parfaitement imbriquées – consiste à se demander si le capital (je n’ai pas écrit l’argent, mais bien le CAPITAL) d’un pays est ou non amalgamé au capital mondial via les banques nationales (nationale dans le sens où chacune de ces banques obtient sa charte d’un gouvernement national). Autre question, les entreprises industrielles monopolistes et le marché national sont-ils enchevêtrés au système d’économie politique mondiale hégémonique ?

    Ensuite se pose la question du rôle spécifique de cette économie nationale (grecque par exemple) dans l’ensemble international qui se développe de façon inégale – imbriquée – et par bonds successifs nous le répétons. Le CAPITAL ce n’est pas de la monnaie – de l’argent – le capital est un rapport social de production. Le capital c’est de l’argent investit-transformé en moyens de production pouvant générer de la plus-value et du profit. Le capital impérialiste est ce rapport social de production – la propriété privé – qui permet aux capitalistes du monde entier – quelle que soit leur  «nationalité» de confisquer le travail non payé – le surtravail – des ouvriers grecs, américains, chinois, canadiens, français et autres, dépendamment du pays où ces capitalistes ont investi leurs capitaux.

    Prenons l’exemple du capital, propriété privé, des milliardaires grecs qui brassent des affaires «mondialisées-globalisées-néolibérales» dans trois secteurs économiques particuliers, soit la construction navale, le transport maritime et le tourisme de masse. C’est par ces trois canaux économiques prédominants qu’ils s’amalgament au capital impérialiste international. Évidemment, le gouvernement grec en tant que partie constituante, instrument et état-major de la classe capitaliste monopoliste grec-internationalisée, participe aussi aux complots militaires des grandes puissances impérialistes, telles que les États-Unis et la France, via sa participation enthousiaste à l’OTAN.

    Dernièrement la petite Grèce, au bord du gouffre financier, achetait de l’armement à la France et à l’Allemagne avec de l’argent emprunté aux banques grecs qui elle-même l’avaient emprunté aux banques allemandes et dont la facture a été refilé aux gouvernements grecs qui la fera payé aux travailleurs grecs sous régime d’austérité (les travailleurs contribuent pour 80%aux revenus de l’État grec).

    Pire encore, ce gouvernement à la solde expédiait trois officiers du renseignement sur le front de la révolte des « terroristes et des indépendantistes Touaregs » au fond du Mali africain – « Ah le bon temps des colonies ! Ses képis et ces négresses que le soldat blanc ou noir violaient à l’avenant ; et cet arabe ou ce Touareg que le soldat du BIMA carbonisait vivant avec ses enfants au fond de sa tanière – au bord  de son repère de brigand. Ça fleure bon la civilisation par ici s’écrie le soldat du BIMA français ! Vive l’empereur Hollande Premier, redresseur de torts de la Françafrique ! » –. Le gouvernement de la Grèce a livré par ses trois officiers sa rançon de soumission à son suzerain parisien. Chaque pays impérialiste participe à la hauteur de ses moyens. Le gouvernement canadien, ce vaurien, fournit un avion de transport des troupes néo-coloniales vers le Mali lointain. Il a fait pire lors de l’invasion de la Libye.

    Revenons à l’impérialisme stade suprême du capitalisme. Depuis l’accentuation de la crise structurelle en 2008, les trois secteurs prioritaires de l’économie grecque ont été les premiers à s’effondrer – et à se restructurer (absorbé par des concurrents plus puissants ou éliminés par des concurrents plus gourmands). Ainsi, les impérialistes coréens et chinois détruisent ou absorbent l’industrie navale grecque comme celle de tous les pays œuvrant dans ce secteur industriel où ils prédominent. La division internationale du travail – impérialiste – fait son œuvre implacablement. L’impérialisme mafieux russe a pris une option sur l’hôtellerie touristique hellénique, tout comme la Belgique, et ainsi de suite.

    Les milliardaires grecs sont toujours aussi milliardaires qu’avant mais leur capital s’imbrique peu à peu au capital impérialiste coréen, chinois, russe, belge, indien (BRICS) et toujours allemand évidemment. Les banquiers français, quant à eux, courent toujours après le remboursement de leurs prêts asservissants. Ceux-là jouent le rôle des « tondeurs de coupons parasitaires » comme on les appelait auparavant, avant la numérisation informatique et télématique des transactions bancaires et boursières parasitaires.

    Enfin, la classe capitaliste monopoliste grecque a aussi planquée une partie de ses deniers en Suisse transformant ses euros mal acquis en Francs helvétiques garantis… plus rentable. Sous peu vous apprendrez que les grecques riches ont transformé leur pécule monétaire en étalon or comme la plupart des milliardaires de vos pays en crise économique. Au diable le dollar et l’Euro, tout juste bon pour les ouvriers soumis aux politiques d’austérités visant à renflouer ces monnaies avant la grande dévaluation…

    La raison d’être du système capitaliste

    La finalité de la production sociale des biens et des services nécessaires à l’existence humaine – de la production des marchandises – n’est pas de satisfaire les besoins de la population, ou de fabriquer des consommateurs aliénés – solvables et non solvables – accrédités ou endettés par les soins des banquiers. Le «dessein» de cette infrastructure économique de production matérielle, industrielle, technologique et scientifique et de cette superstructure sociologique, juridique, militaire, idéologique et politique complexe n’est même pas de rémunérer le capital selon les «risques» encourus, non plus que de rétribuer le travail à sa «juste valeur».

    Mais alors, quelle est donc la raison d’être de ce système d’économie politique, quelle est la force mystérieuse qui pousse en avant la charrette du capitalisme obsolescent ? Cette force qui pousse en avant le système capitaliste est toujours la même depuis l’époque où Marx observait les Chevaliers d’industries capitaliser l’Angleterre et exploiter ses colonies. L’objectif du système d’économie-politique capitaliste est de se reproduire pour assurer sa pérennité.

    La finalité de tout système d’économie politique, que ce soit l’esclavagisme romain, le féodalisme tsariste ou le capitalisme britannique, a toujours été de se perpétuer, de se reproduire à plus large échelle – cumulative – hégémonique, tentant de détruire toute trace d’un système d’économie politique antérieur ou en devenir. Ainsi, le capitalisme requiert le développement social des forces productives collectives mais les capitalistes s’opposent farouchement à l’émergence d’une société collectiviste préférant la propriété privée pléthorique et catastrophique.

    De nos jours, la succession des crises économiques, industrielles, financières, boursières et monétaires n’est que le symptôme de l’incapacité du système d’économie politique impérialiste d’assurer sa reproduction étendue, conséquence de ses contradictions internes qui l’entrainent a contrario de sa finalité ultime et entravent le mouvement de son développement croissant. Nous allons en faire la démonstration.

    Du capitalisme à l’impérialisme

    Au début du capitalisme industriel – pendant sa phase concurrentielle – la propriété privée des moyens de production et de commercialisation a induit l’accumulation primitive du capital qui a permis d’acheter la force de travail des ouvriers et des ouvrières à vil prix, d’en spolier le «surtravail», d’en accaparer la «plus-value» – unique source des bénéfices industriels, des profits commerciaux, des rentes foncières et des bénéfices spéculatifs – d’assurer l’investissement du capital et le développement de la production industrielle marchande qui propulsait chaque nouveau cycle de circulation du capital (Capital argent –» Capital production –» Capital marchand –» Capital argent) et sa reproduction étendue.
    Le stade ultime – impérialiste – de ce développement capitaliste se particularise par le mélange de huit (8) caractéristiques que voici :

    1)    La concentration des moyens de production et de commercialisation des biens et des services et du capital productif parvenue à un degré si élevé qu’elle a créé les monopoles, dont le rôle est décisif dans la vie économique, politique et social générale de la société.

    2)    L’interpénétration du capital bancaire (capital argent – épargne – rentes et bénéfices commerciaux) et du capital industriel (moyens de production, salaires, fonds de roulement, actions et obligations) et création, sur la base de ce capital financier gigantesque d’une oligarchie financière hégémonique (1). Ce «capital financier», en partie parasitaire, permet la titrisation inflationniste de tous les types d’actifs financiers et cela en dehors des circuits industriels productifs sans qu’aucune valeur d’usage ni aucune valeur marchande équivalente ne soit produite ou commercialisée (2).
    Ce «capital financier», devenu en partie fausse monnaie inflationniste illégitime, concurrence puis phagocyte le capital «industriel productif» en offrant des rendements spéculatifs alléchants qui drainent l’épargne, les rentes et les bénéfices vers les placements boursiers illicites (3), sans compter le transfert d’une quantité importante de ces capitaux vers des paradis fiscaux hors la loi où ils fusionnent avec l’argent sale – mafieux (4).

    S’ensuit une succession de crises financières, boursières, monétaires entraînant la disparition d’avoirs fictifs, superfétatoires, provoquant crises de surproduction, dépression économique, chômage endémique et marasme de l’économie impérialiste (5).

    3)    L’exportation de capitaux en concomitance à l’expansion des exportations et des importations de marchandises d’une façon toute  particulière sous l’impérialisme. Sous l’impérialisme les monopoles écoulent leurs marchandises sur les marchés à des prix sous-évalués (coton américain par exemple) afin de détruire toute concurrence (des producteurs de coton égyptien par exemple) – après cette phase de «dumping», ayant accaparé le marché ils fixent ensuite des prix monopolistes. De plus, le développement impérialiste accentue l’exportation massive de «capital financier» qui asservit l’économie des pays dépendants (néo-colonies). Qui plus est, très souvent ces «investissements» ne correspondent nullement au développement de nouveaux moyens de production ou à l’utilisation de nouvelles forces productives dans les pays dominés, parfois même il n’y a aucun transfert de biens ou de services de ou vers ces pays néo-colonisés «bénéficiaires» de ces investissements asservissants.

    Qu’y a-t-il d’étonnant à constater que depuis 1960 deux mille milliards de dollars, au titre de «l’aide au développement» ont été internationalement dilapidés et se sont soldés par davantage de pauvreté dans les pays néo-colonisés (6) ? Ces soi-disant investissements se réduisent souvent à une opération comptable (aux livres) où le pays débiteur se retrouve surendetté pour ne pas avoir remboursé un emprunt précédent. S’ensuit un déséquilibre important de la balance des paiements nationaux de ces pays néo-colonisés et dépendants et la mise en péril de leur monnaie nationale.

    À titre d’exemple une quinzaine de pays de la France-Afrique sont toujours soumis à la structure monétaire, bancaire et financière du Franc CFA dont la gestion et les réserves monétaires sont déposées à la Banque de France à Paris et dont la parité est artificiellement maintenue avec l’Euro une monnaie déjà assujettie aux aléas économiques de 17 États européens sur le déclin. Les pays africains dépendants n’ont tout simplement aucun contrôle sur leur monnaie soi-disant nationale.

    Les moyens de production et les «produits de base» que ces pays débiteurs fournissent sont de faible valeur marchande sur les marchés extérieurs alors que les produits ouvrés que lui vendent les pays créanciers sont hors de prix pour ces pays asservis. L’endettement de ces États souverains vis-à-vis du capital international se poursuit jusqu’à la déliquescence de l’appareil gouvernemental néocolonial où l’armée, forgée de flibustiers et de criminels militarisés que l’on a gratifié du monopole de la violence gouvernementale-légale (dont les officiers ont été formé dans les métropoles des oligopoles) demeure souvent la seule structure fonctionnelle sous contrôle de la métropole néo-colonisatrice.

    L’effondrement de ces gouvernements aliénés, surendettés et spoliés, entraîne parfois leurs créanciers dans la faillite ; ainsi va la vie sous l’impérialisme. Sous des couverts intégristes-extrémistes en trompe-l’œil, la décrépitude de nombreux gouvernements d’Afrique et d’Extrême-Orient est le résultat de cette structure de domination économique, industrielle, financière et militaire internationale et de la misère qu’elle engendre partout en Afrique et en Asie.

    4)    Le développement inégal, combiné et par bonds des monopoles, des oligopoles, des multinationales et des États capitalistes, ainsi que des régions sous domination des oligarchies financières internationales, amène la formation d’alliances internationales monopolistiques de groupes capitalistes se partageant le monde ; ainsi que la création d’organisations internationales de gouvernance et de régulation économique, financière, politique, juridique et militaire à l’échelle continentale (Union européenne, Alliance de Shanghai, L’ALBA, L’ALENA, Communauté Euro-asiatique, etc.) et à l’échelle mondiale (OTAN, OCDE, OCM, Banque Mondiale, FMI, CPI, ONU) (7).

    La doxa économique moderne identifiant des pays dits «non-alignés» ainsi que d’autres catégories de pays capitalistes selon quelques singularités de leurs statistiques économiques conjoncturelles n’est que conjecture spécieuse. Le développement capitaliste s’est toujours réalisé par bonds et de façon inégale d’un pays à un autre et d’une région à une autre à l’intérieur même de chaque pays souverain. Pendant que de nouvelles puissances impérialistes apparaissent, d’autres amorcent leur détresse sous les coups de boutoirs des premiers et l’exploitation impérialiste mondiale se poursuit jusqu’au jour où la classe ouvrière y mettra fin.

    5)    Le triomphe de l’impérialisme contemporain marque la fin du partage territorial du globe en zones d’exploitation, de spoliation, de contrôle et en sphères de dépendance entre les grandes puissances impérialistes et leurs alliés. Le partage des terres à exploiter, des pays à spolier, des peuples à surexploiter ayant été complété, il ne peut en résulter qu’une succession de guerres larvées pour le repartage suivant les aléas du développement inégal, combiné et par bonds entre les différentes puissances impérialistes déclinantes et celles «émergentes», très gourmandes.

    Les multiples guerres impérialistes locales et régionales, sous prétexte hier de confondre les guérillas communistes dans les pays dominés et aujourd’hui d’éradiqués les activités dites «terroristes» des mercenaires et des flibustiers engagés, payés, armés et entraînées par les puissances impérialistes sont des expressions de ces combats pour le repartage des zones d’exploitation, d’oppression, de spoliation des ressources et de la plus-value dans le tiers-monde.

    6)    L’impérialisme se caractérise aussi par une hypertrophie des activités de service et par la tertiarisation de l’activité économique générale. Une part très importante de la force de travail est désormais occupée à offrir des services en tout genre (services tertiaires de restauration et d’hôtellerie par exemple et services quaternaires de gouvernance et de recherche-développement par exemple) alors que la portion congrue des forces productives reste attachée à la production de moyens de production – industrie lourde – (production de machines, d’outils, d’appareils, de systèmes de transports, de robots, de matière première et de produits de première transformation et d’énergie) et de biens de consommation courants – industrie légère.

    Dans la plupart des pays impérialistes plus des trois quarts des travailleurs œuvrent dans le secteur des services tertiaires et quaternaires (restauration, hôtellerie, commerce de détail, arts et spectacles, éducation, soins de santé, banque et finance, services-conseil, services gouvernementaux, etc.). Tous ces travailleurs se partagent une part ou une autre de la plus-value produite par les ouvriers des secteurs primaires (mines, agriculture, forêts et pêcheries) et secondaires (construction, transport, industrie lourde et légère) (8).

    Tout ceci démontre la très haute productivité des travailleurs et l’intensité infernale du travail dans les secteurs primaires et secondaires des pays impérialistes alors que les taux d’exploitation de la classe ouvrière et d’extraction de la plus-value de la force de travail ont atteint des sommets inégalés dans l’histoire de l’humanité. Les chantres des parcours de productivité pour accroître la compétitivité n’ont plus qu’à se rhabiller la classe ouvrière a déjà trop donné pour sauver leur système dépenaillé.

    Par ailleurs, au même instant, l’armée de réserve des travailleurs (chômeurs à temps plein ou partiel ; désœuvrés à plein temps ou temporairement ; assistés sociaux et pauvres retirés de la recherche active d’un emploi, etc.) n’a jamais été aussi imposante en nombre et en proportion que pendant cette crise économique systémique de surproduction relative.

    En corolaire les activités primaires agricole, sylvicole et piscicole et de pêche hauturière sont, dans ces pays impérialistes avancés, devenues des activités très fortement mécanisées, avec usage massif d’une panoplie de produits chimiques industriels polluants (engrais, fongicides, insecticides, herbicides, OGM, etc.) atteignant des taux de rendement par unité de surface, des taux de productivité, d’agression de la terre-mère et d’exploitation de la force de travail salarié jamais égalés dans l’histoire de l’humanité (environ 5% de la main d’œuvre active produit les matières premières forestières, minières, hauturières et agraires nécessaires à l’ensemble de l’économie).Dans ces pays impérialistes avancés il ne reste plus aucune trace de la classe paysanne et des rapports sociaux féodaux. Dans quelques pays impérialistes ascendants – en cours de monopolisation-développement – les reliquats des rapports sociaux féodaux sont rapidement broyés en même temps que la classe paysanne est paupérisée – prolétarisée et chassée des campagnes vers les taudis urbains où elle s’agglutine dans l’attente d’un emploi aléatoire et misérable.

    FIN – LA SEMAINE PROCHAINE : L’IMPÉRIALISME ET LA GUERRE


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  • Cuba : La tournée mondiale de Yoani Sánchez
    Salim Lamrani

    21 février 2013

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    Après cinq années d’attente, Yoani Sánchez a enfin obtenu l’autorisation de se rendre à l’étranger. Suite à la réforme migratoire entrée en vigueur le 14 janvier 2013, qui permet à tout Cubain de quitter le pays sans autre formalité que l’obtention d’un passeport et d’un visa, la plus célèbre opposante au gouvernement de La Havane débute au Brésil une tournée mondiale qui la mènera sur plusieurs continents. Elle sera reçue à Recife par le cinéaste Dado Galvao et participera à la présentation du documentaire Conexión Cuba Honduras1.

     

    La plus célèbre opposante au gouvernement de La Havane
    débute au Brésil une tournée mondiale

     

    Source : Opera Mundi

     

    Sa tournée est digne de celle d’un chef d’Etat ou d’une star de la musique et les moyens mis à la disposition de Yoani Sánchez sont impressionnants. En effet, « un programme très intense » attend la jeune opposante de 37 ans (2). Des conférences sont prévues au Mexique où elle sera l’invitée d’honneur de la Société interaméricaine de presse (SIP) qui tiendra sa réunion semestrielle à Puebla, aux Etats-Unis, avec des rencontres prévues à New York, où elle sera reçue dans les bureaux du New York Times, à Washington et à Miami, en Argentine, au Canada, au Pérou, en Espagne, en Italie, en Pologne, en Allemagne, en République tchèque, aux Pays-Bas et en Suisse (3).


    Voyager étant un droit universel reconnu dans la Déclaration des Nations unies de 1948, on ne peut que se réjouir du fait que la principale figure de l’opposition cubaine puisse exprimer ses convictions à travers le monde. Néanmoins, il est inévitable de souligner certains aspects obscurs de la personnalité et de la vie de Yoani Sánchez qui sont l’objet de controverses, et que cette tournée monumentale semble confirmer.


    En effet, Yoani Sánchez n’est pas une opposante ordinaire. Après avoir vécu deux années en Suisse, elle a choisi de rentrer à Cuba et d’intégrer l’univers de la dissidence. En 2007, elle a créé le blog Generación Y – traduit en pas moins de 18 langues ! – dans lequel elle y fustige de manière virulente le système et le gouvernement cubains. Sa nouvelle activité a été couronnée de succès. En l’espace de quelques années, Sánchez a reçu de multiples distinctions du monde entier, toutes accompagnées de dotations financières. Au total, la bloggeuse a été rétribuée au total à hauteur de 250 000 euros, c’est-à-dire une somme équivalant à plus de 20 années de salaire minimum dans un pays tel que la France, cinquième puissance mondiale, et à 1488 années de salaire minimum à Cuba (4).


    A cela s’ajoute le salaire mensuel de 6 000 dollars que lui verse la Société interaméricaine de presse, qui regroupe les grands conglomérats médiatiques privés du continent, et qui a décidé de la nommer vice-présidente régionale de la Commission de liberté de presse et d’information pour Cuba (5). Le quotidien espagnol El País a également décidé de la nommer correspondante à La Havane, lui octroyant un confortable salaire (6).


    Le gouvernement des Etats-Unis, dont l’objectif ouvertement affiché est un changement de régime à Cuba par le biais du financement d’une opposition interne, a fait de Yoani Sánchez sa priorité. Il considère, dans des documents confidentiels rendus publics par Wikileaks, « que Yoani Sánchez peut jouer un rôle à long terme dans une Cuba post-Castro (7) ». L’opposante cubaine est en étroite relation avec la diplomatie étasunienne à Cuba, comme l’indique un câble classé « secret » en raison de son contenu sensible. Elle est tenue en haute estime par l’administration Obama, comme le montre la réunion secrète qui a eu lieu dans son appartement avec la sous-secrétaire d’Etat étasunienne Bisa Williams lors de sa visite à Cuba entre le 16 et le 22 septembre 2010 (8).


    Michael Parmly, ancien chef de la diplomatie étasunienne à La Havane, qui, d’après les documents confidentiels de la Section d’intérêts nord-américains de La Havane, se réunissait régulièrement avec Yoani Sánchez dans sa résidence personnelle, a fait part de son inquiétude au sujet de la publication des câbles diplomatiques étasuniens par Wikileaks : « Je serais vraiment ennuyé si les nombreuses conversations que j’ai eues avec Yoani Sánchez venaient à être publiées. Elle pourrait en payer les conséquences toute sa vie (9) ». La question qui vient inévitablement à l’esprit est la suivante : pour quelles raisons Yoani Sánchez serait-elle en danger si ses agissements, comme elle l’affirme, respectent le cadre de la légalité ?


    A l’évidence, Yoani Sánchez n’est pas une simple dissidente. Il serait intéressant que la principale figure de l’opposition cubaine profite de sa tournée mondiale pour éclairer certaines zones d’ombres sur son parcours personnel et révèle quels sont les puissants intérêts qui se cachent derrière sa personne.


    Notes
    1. Voz de América, « Yoani Sánchez viaja a Brasil el 17 de febrero », 6 février 2013.
    2. Yoani Sánchez, 17 février. https://twitter.com/yoanisanchez&nbsp ;
    3. EFE, « La bloguera cubana hablará en Brasil sobre libertad y derechos », 17 février 2013.
    4. Yoani Sánchez, « Premios », Generación Y.
    5. El Nuevo Herald, « Nombran a Yoani en Comisión de la SIP », 9 novembre 2012.
    6. El País, « Artículos escritos por Yoani Sánchez », http://elpais.com/autor/yoani_sanchez/a/ (site consulté le 17 février 2013).
    7. Jonathan D. Farrar, « The U.S. and the Role of the Opposition in Cuba », United States Interests Section, 9 avril 2009, cable 09HAVANA221. http://213.251.145.96/cable/2009/04/09HAVANA221.html (site consulté le 18 décembre 2010).
    8. Joaquin F. Monserrate, « GOC Signals ‘Readiness to Move Forward’ », United States Interests Section, 25 septembre 2009, cable 09HAVANA592, http://213.251.145.96/cable/2009/09/09HAVANA592.html (site consulté le 18 décembre 2010)
    9. Michael Parmly, « Consenso On Line : An Impartial Forum In Cuba », United States Interests Section, 28 juin 2007, cable 07HAVANA622, http://wikileaks.org/cable/2007/06/07HAVANA622.html (site consulté le 15 septembre 2011) ;Stéphane Bussard, « Ma rencontre avec l’auteur des câbles sur Cuba », Le Temps, 30 décembre.


     

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    Les véritables raisons de la démission de Benoît XVI

    Traduction française pour Avanti4.be : Ataulfo Riera avanti4.be

    Les experts du Vatican expliquent que le pape Benoît XVI avait décidé de démissionner dès le mois de mars de l'année dernière, après un retour de voyage au Mexique et à Cuba. A cette période, le pape, qui incarne ce que le spécialiste et universitaire français Philippe Portier appelle une « lourde continuité » avec son prédécesseur Jean Paul II, découvre la première partie d'un rapport élaboré par les cardinaux Julián Herranz, Jozef Tomko et Salvatore De Giorgi. Dans ce document sont résumés les abîmes, en rien spirituels, dans lesquels l'Eglise est tombé : corruption, finances occultes, guerres fratricides pour le pouvoir, vol massif de documents secrets, luttes entre factions et blanchiment d'argent. Le résumé final insistait sur la « résistance au changement de la part de la curie et des nombreux obstacles posés aux actions demandées par le pape pour promouvoir la transparence ».

    Le Vatican est un nid de hyènes enragées, un pugilat sans limites ni morale quelconque où la curie assoiffée de pouvoir fomente les dénonciations, les trahisons, les traquenards, le blanchiment d'argent, des opérations secrètes pour préserver ses prérogatives et privilèges face aux institutions religieuses et financières. Très loin du Ciel et très proche des péchés terrestres. Sous le mandat de Benoît XVI, le Vatican a été l'un des Etat les plus opaques du monde. Si Josef Ratzinger a soulevé le voile du silence sur les curés pédophiles, il n'a en rien modernisé l'Eglise, ni tourné la page de l'héritage d'affaires troubles léguées par son prédécesseur Jean Paul II.

    Ce premier rapport des trois cardinaux a conduit, en août de l'année dernière, à la nomination du Suisse René Brülhart, un spécialiste en blanchiment d'argent qui a dirigé pendant huit ans la Financial Intelligence Unit (FIU) du Liechtenstein, autrement dit l'agence nationale chargée d'analyser les opérations financières douteuses. Brülhart avait pour mission de mettre la Banque du Vatican en syntonie avec les normes européennes dictées par le GAFI, le groupe d'action financière. Bien entendu, il n'y est pas parvenu.

    Benoît XVI fut, comme le souligne Philippe Portier, un continuateur de l'œuvre de Jean Paul II : « Depuis 1981, il a suivi les pas de son prédécesseur, co-rédigeant plusieurs de ses textes tels que la Condamnation des théologies de la libération dans les années 1984-1986, l'Evangelium Vitae de 1995 sur la doctrine de l'Eglise par rapports aux questions de la vie, ou encore Splendor Veritas, un texte fondamental rédigé à quatre mains avec Wojtyla ». Ces deux derniers textes cités par l'expert français constituent un résumé pratique de la vision réactionnaire de l'Eglise sur les questions politiques, sociales et scientifiques du monde moderne.

    La seconde partie du rapport des trois cardinaux fut présentée au pape en décembre dernier. Depuis lors, la démission s'est posée d'une manière irrévocable. En plein marasme et avec une quantité de couloirs qui conduisent à l'enfer, la curie romaine a agi comme n'importe quel autre Etat. Elle a cherché à imposer une vérité officielle avec des méthodes modernes. Elle a contracté pour ce faire les services du journaliste nord-américain Greg Burke, membro de l'Opus Dei et ex membre de l'agence Reuters, de la revue Time et de la chaîne Fox. Burke avait comme mission d'améliorer l'image détériorée de l'Eglise. « Mon idée est d'apporter de la clarté » avait-il déclaré en assumant son poste. Trop tard. Il n'y a plus rien de clair dans le sommet de l'Eglise catholique.

    La divulgation des documents secrets du Vatican orchestrée par le majordome du pape, Paolo Gabriele, et bon nombre d'autres mains invisibles, fut une opération savamment montée dont les ressorts restent toujours mystérieux : une opération menée contre le puissant secrétaire d'Etat Tarcisio Bertone, une conspiration destinée à pousser Benoît XVI à la démission et à placer un Italien à sa place, ou encore une tentative de freiner la purge interne en cours ? En tous les cas l'avalanche de secrets révélés, les « vatileaks », ont submergé la tâche de nettoyage qui incombait à Burke. Un enfer avec des anges peints sur les murs n'est pas facile à redessiner.

    Benoît XVI a donc été écrasé par les contradictions qu'il a lui-même suscité. Ces dernières sont telles que, dès que sa démission fut rendue publique, les traditionnalistes de la Fraternité de Saint Pie X fondée par Monseigneur Lefebvre ont salué la figure du pape. Ce qui n'est pas étonnant : l'une des premières tâches menées par Ratzinger a consisté à supprimer les sanctions canoniques adoptées contre les partisans néofascistes et ultra-réactionnaires de Monseigneur Lefebvre et, par conséquent, à légitimer au sein de l'Eglise ce courant rétrograde qui, de Pinochet à Videla, a toujours soutenu presque toutes les dictatures d'extrême droite du monde.

    Philippe Portier souligne que le pape « s'est laissé dépasser par l'opacité qui s'est installée sous son règne ». Et la première cause n'est pas doctrinale mais financière. Le Vatican est un gestionnaire d'argent opaque et de nombreuses querelles qui ont été mises en lumière depuis un an ont à voir avec les finances, les comptes maquillés et les opérations illicites. Tel est l'héritage financier légué par Jean Paul II et qui, pour de nombreux spécialistes, explique la crise actuelle. L'Institut pour les Œuvres de la Religion (IOR), autrement dit la banque du Vatican, fondé en 1942 par Pie XII, fonctionne dans une opacité totale. En janvier, à la demande de l'organisme européen de lutte contre le blanchiment d'argent, Moneyval, la Banque d'Italie a bloqué l'utilisation des cartes de crédit au sein du Vatican à cause du manque de transparence et des failles manifestes dans le contrôle du blanchiment d'argent. En 2011, les cinq millions de touristes qui ont visité le Vatican ont laissé 93,5 millions d'euros dans ses caisses via des paiements par cartes. Ils devront maintenant payer en liquide. L'IOR gère plus de 33.000 comptes par lesquels circulent plus de 6 milliards d'euros. Son opacité est telle qu'il ne figure pas dans la « liste blanche » des Etats qui participent au combat contre les transactions illégales.

    En septembre 2009, Ratzinger avait nommé le banquier Ettore Gotti Tedeschi à la tête de la banque du Vatican. Proche de l'Opus Dei, représentant du Banco de Santander en Italie depuis 1992, Gotti Tedeschi a participé à la préparation de l'encyclique sociale et économique Caritas in veritate, publiée par le pape en juillet 2012. L'encyclique demande plus de justice sociale et des règles plus transparentes pour le système financier mondial. Tedeschi avait comme objectif de remettre de l'ordre dans les eaux troubles des finances vaticanes. Les comptes du Saint-Siège sont labyrinthe de corruption et de blanchiment d'argent dont les origines connues remontent à la fin des années 1980, quand la justice italienne émit un ordre d'arrestation contre l'archevêque nord-américain Paul Marcinkus, surnommé « le banquier de Dieu », président de l'Institut pour les Œuvres de la Religion et principal responsable des investissements du Vatican à l'époque.

    Marcinkus était un adepte des paradis fiscaux et était très ami avec les mafias. Jean Paul II utilisa l'argument de la souveraineté territoriale pour éviter sa détention et le sauver de la prison. Ce qui n'est pas étonnant car il lui devait beaucoup : dans les années 1970 et 1980, Marcinkus avait utilisé la Banque du Vatican pour financer secrètement le syndicat polonais Solidarnosc soutenu par Wojtyla. Marcinkus a terminé ses jours en jouant au golf dans l'Arizona en laissant un gigantesque trou noir de pertes (3,5 milliards de dollars), d'investissements mafieux et aussi quelques cadavres.

    Le 18 juin 1982 apparu un corps pendu sous le pont de Blackfriars à Londres. Il s'agissait de Roberto Calvi, présidente de la Banque Ambrosiano et principal partenaire de l'IOR. Son suicide apparent révélait une immense trame de corruption qui incluait, outre la Banque Ambrosiano, la loge maçonique Propaganda 2 (plus connue comme P-2), dirigée par Licio Gelli, et la Banque du Vatican dirigée par Marcinkus. Gelli s'est réfugié à temps en Argentine, où il avait déjà opéré aux temps du général Lanusse dans une opération appelée « Gianoglio » afin de faciliter le retour de Perón.

    Gotti Tedeschi fut donc investit d'une mission quasi impossible et il n'est resté que trois années à la tête de l'Institut pour les Œuvres de la Religion. Il fut licencié de manière brutale en 2012 pour « irrégularités dans sa gestion ». Entre autres irrégularités, la justice de Rome a découvert un versement suspect de 30 millions de dollars entre la Banque du Vatican et le Crédit Artigiano. Le transfert s'est fait à partir d'un compte ouvert au Crédit Credito Artigiano mais fut bloqué par la Justice à cause de son manque de transparence. Tedeschi quitta donc la banque quelques heures après l'arrestation du majordome du pape et juste au moment où le Vatican était sous enquête pour violation des normes contre le blanchiment de capitaux. En réalité, son expulsion constitue un autre épisode de la guerre entre factions. Quand il prit ses fonctions, Tedeschi commenca à élaborer un rapport secret où il consigna ses découvertes : comptes chiffrés où l'ont cachait de l'argent sale de « politiciens, d'intermédiaires, de constructeurs immobiliers et de hauts fonctionnaires de l'Etat ». Même Matteo Messina Denaro, le nouveau chef de la Cosa Nostra, avait son argent placé dans l'IOR. C'est là que commenca le malheur de Tedeschi. Ceux qui connaissent bien le Vatican allèguent que ce banquier fut victime d'un complot monté par des conseillers de la banque avec le soutien du secrétaire d'Etat, Monseigneur Bertone, un ennemi personnel de Tedeschi, et responsable de la commission de cardinaux qui surveille le fonctionnement de la banque. La destitution de Tedeschi s'est accompagnée par la diffusion d'un « document » qui le mêle à la fuite des documents volés au pape.

    Bien plus que les querelles théologiques, c'est l'argent et les comptes occultes de la Banque du Vatican qui semblent composer la trame de la démission inédite du pape. Un nid de corbeaux pédophiles, de comploteurs réactionnaires et de voleurs assoiffés de pouvoirs et capables de tout afin de défendre leur faction : telle est la terrible image de décomposition morale laissée par la hiérarchie catholique. Rien de bien différent du monde dans lequel nous vivons. Corruption, capitalisme assassin, protection des privilégiés, circuit de pouvoir qui s'auto-alimente et se protège, le Vatican n'est rien d'autre que le reflet de la décadence du système lui-même.
    ___________________
    .
    Je transmets tel que reçu de Sos-Justice (eva)

    Génocide du Canada : Verdict et Sentence de la Cour Internationale de Justice du 25 février 2013

     

    Nous venons de recevoir un mail contenant une vidéo annonçant que la Cour Internationale de Justice avait rendu aujourd'hui, le 25 février 2013, sa sentence et son verdict dans l'affaire du Génocide du Canada !
     
    Vérification faite sur le site du Tribunal International contre les Crimes commis par l'église et l'état, l'information est réelle !
     
    Nous vous avons lié la déclaration publique de ce jour que vous trouverez en pièce jointe et en PDF. L'ordonnance sera rendue la 4 mars 2013.
     
     Le pape, la reine et le premier ministre canadien ont été reconnus coupables de crimes contre l'humanité et condamnés à une peine de 25 ans d'emprisonnement.
    Vous remarquerez que parmi les personnes citées se trouve le "Pape Noir" des Jésuites Lucifériens, entre autres.
     
    Voilà pourquoi le Pape a démissionné et qu'il faut à tout prix que le nouveau Pape soit élu avant Pâques et qu'il fallait assurer l'immunité du Pape en le planquant dans le murs du Vatican et non pas au prétexte fallacieux que Dieu lui aurait demandé de se retirer pour prier !
     
    Le Pape, la Reine d'Angleterre et le premier ministre du Canada ont de quoi se faire du souci, car on peut faire saisir légalement les biens des Sociétés, des Banques et des Gouvernements, pour abus d'esclavage et usage de systèmes monétaires privés.
     
    Traduction google de l'article se trouvant que le site Tribunal International contre les Crimes commis par l'église et l'état, 

    Verdict final est Rendus au premier Jurisprudence Cour commune contre le Vatican et le Canada pour génocide

    Le pape, la reine et le premier ministre canadien reconnus coupables de crimes contre l'humanité et condamnés à une peine de 25 ans de prison

    L'Ordonnance du tribunal sera rendue le 4 Mars 2013 pour procéder aux arrestations

     

    Bruxelles: le 25 Février 2013

    Le pape Benoît ira en prison pendant vingt-cinq ans pour son rôle dans les crimes contre l'humanité, et la richesse du Vatican et de la propriété doit être saisie, selon le verdict historique d'aujourd'hui de la Cour de common law internationale de Justice.

    La Cour, basée à Bruxelles a rendu un verdict unanime de culpabilité de ses jurés citoyens et ordonné l'arrestation des citoyens de trente accusés commençant Mars 4 dans une ordonnance de la cour qui leur est délivré aujourd'hui.

    Le verdict lu en partie,

    «Nous le Jury Citoyen constater que les défendeurs dans cette affaire sont coupables des deux actes d'accusation, qui est, ils sont coupables d'avoir commis ou aidé et encouragé les crimes contre l'humanité, et de faire partie d'une conspiration criminelle en cours"

    Le jury a estimé que chaque accusé de recevoir une obligation 25 ans de prison sans libération conditionnelle, et ont tous leurs biens personnels saisis.

    La Cour a poursuivi en déclarant dans son ordonnance no 022513-001,

    "Les accusés ont l'ordre de se rendre volontairement à agents de la paix et des agents autorisés par la présente Cour, après avoir été reconnu coupable.

    «Les défendeurs ont sept jours à compter de la délivrance de cet ordre, jusqu'à ce que Mars 4, 2103, de se conformer. Après 4 Mars 2013, un mandat d'arrêt international sera délivré contre ces défendeurs».

    Les coupables sont Elizabeth Windsor, reine d'Angleterre, Stephen Harper, premier ministre du Canada, et les agents de la tête de l'Eglise catholique, anglicane et unie du Canada. (Une copie complète du verdict, l'ordonnance du tribunal et une liste des prévenus est fermé sur le lien du tube qui vous accompagnent).

    Le verdict de culpabilité suivi presque un mois de délibérations par plus de trente jurés citoyens jurés des 150 pièces de cas produites par les procureurs Cour.

    Ces expositions détaillées preuve irréfutable d'une vaste conspiration criminelle par les institutions de l'accusé à commettre le génocide et de dissimuler sur des générations d'enfants dans ce qu'on appelle les pensionnats indiens au Canada.

    Aucun des défendeurs ont contesté ou contesté une assignation publics qui leur sont délivrées dernière Septembre, et ils n'ont pas de nier les accusations portées contre eux, ou fournir des preuves à l'encontre de la Cour.

    "Leur silence m'a dit beaucoup. Pourquoi ne pas innocents défendre leur propre réputation lorsqu'ils sont accusés de ces choses horribles?" a commenté un membre du jury, basé en Angleterre.

    "Ces crimes ont été destinés aux enfants, et ont un plan froide et calculée d'anéantir les Indiens qui n'étaient pas chrétiens. Et les accusés sont toujours clairement couvrir ce crime. Nous avons donc pensé que nous devions faire plus de gifler leur poignet. L' règne de la terreur en état adossés à des églises qui sont au-dessus de la loi doit se terminer, parce que les enfants souffrent toujours de lui ».

    L'arrêt de la Cour déclare la richesse et les biens des églises responsables du génocide canadien à être confisqué et placé sous contrôle public, à titre de réparation pour les familles des plus de 50.000 enfants qui sont morts dans les pensionnats.

    Pour appliquer sa peine, la Cour a autorisé les citoyens du Canada, des États-Unis, en Angleterre, en Italie et une douzaine de pays d'autres d'agir comme ses mandataires munis d'un mandat, et pacifiquement occuper et saisir les biens de l'Église catholique romaine, anglicane et unie du Canada, qui sont les principaux agents de la mort de ces enfants.

    »Cette phrase donne un fondement juridique et la légitimité des professions ecclésiastiques qui ont déjà commencé par les victimes de la torture Eglise dans le monde», a commenté Kevin Annett, le conseiller en chef au Bureau du Procureur, qui a présenté son cas au monde. (Voir www.itccs.org, Novembre 6 et 30 janvier affichages)

    "Le verdict de la Cour est clairement que ces organismes ecclésiaux pénales doivent être juridiquement et pratiquement dissoute, et leurs richesses volées récupérées par le peuple. Justice a finalement commencé à être être servi. La mort peut maintenant se reposer plus facilement."

    Auxiliaires de justice est la prestation de l'Ordre à tous les défendeurs de cette semaine, y compris le Premier ministre canadien, la reine d'Angleterre et de Joseph Ratzinger, le Pape Benoît retraite qui est d'éviter l'arrestation dans le Vatican après coup démissionner il ya deux semaines.

    Les arrestations de citoyens de ces défendeurs et d'autres débuteront le 4 Mars s'ils ne se rendent pas eux-mêmes et leurs biens, selon l'ordonnance du tribunal.

    Ces actions seront filmées et affichées dans ici la semaine prochaine, avec nouvelles mises à jour de la Cour et ses agents citoyens.

    S'il vous plaît voir la vidéo du tube qui vous accompagnent.

    Publié par le Bureau Central,
    Le Tribunal international sur les crimes de l'Eglise et de l'Etat

    25 Février, 2013

    Bruxelles

    Source : http://itccs.org/2013/02/25/guilty/

     

    La vidéo ici : Verdict and Sentence: Genocide in Canada
    http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=ormOIlOi4Vc#!

    Le verdict final et la sentence de la Cour Internationale de Justice, dans l'affaire du génocide au Canada par l'église et l'état qui comprend la décision de justice rendue aux défendeurs.

     

     

     

    §§§§§§

     

     

    CRIMES de l'Eglise au Canada voir ici :

    Les dessous noirs du Vatican. Camps de concentration chrétiens. Mafias au pouvoir

     

     

    Au Vatican, Dieu n'est pas pauvre. Il est mafieux !

    Et au service du Nouvel Ordre Mondial...

     

     


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