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    Voici l'article que j'ai publié sur le "duel" Sarkozy-de Villepin, sur mon blog r-sistons à l'intolérable.

    Je joins cet article en ajoutant que les Médias aux ordres (de Sarkozy ! Si de Villepin se présente, ce sera la honteuse curée contre lui, comme hier contre Ségolène, et on ose critiquer la Chine ou les médias du Vénézuela, par ex ?) s'ingénient à présenter de Villepin comme à la tête d'un groupuscule, n'intéressant pas les Français, et même sans projet politique. Un scandale ! Et les Instituts de sondage, soi-disant objectifs et en réalité aux ordres, se mettent de la partie. Exemple, l'inénarrable CAYROL, sur l'émission de faux-débats C dans l'Air, n'ouvre la bouche que pour descendre de Villepin et défendre son "patron" Sarkozy. Il a même été jusqu'à dire, sur C dans l'Air hier : "Je ne suis pas là pour défendre Sarkozy, MAIS....", un mais qui en dit long sur ses activités !

    Médias comme Instituts de sondage font ressembler la France à une République bananière, Eva r-sistons à l'intolérable de la désinformation


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    D. de Villepin relaxé, http://laplote.blogs.courrierinternational.com/


    Le duel Sarkozy-de Villepin,
    par Eva R-sistons



    Mes amis,

    C'est fait ! Joli cadeau d'anniversaire pour Nicolas Sarkozy: Sa bête noire, son plus dangereux rival à droite, est relaxé. Même pas un embryon de début de semblant de condamnation, rien, Dominique de Villepin est libre, vraiment libre de partir à la conquête de la France, de chasser sur des terres soigneusement labourées, sur un territoire pourtant entièrement verrouillé ! Déjà dix députés ont ouvertement choisi leur camp, et une dizaine d'autres s'apprêtent à en faire autant. et puis, et puis... Bayrou est aux aguets, Dupont-Aignan aussi, et bien évidemment les Le Pen, père ou fille. La stratégie de l'élection à un tour, si elle a lieu, risque de se refermer sur son auteur, avec une Droite éclatée comme la Gauche. Sur FR2, les fidèles lieutenants de Sarkozy ont flairé le piège, en consacrant un Envoyé spécial à l'affreux rouquin allemand, pour le rendre populaire auprès des jeunes et éparpiller un peu plus la Gauche. Et s'il y a un deuxième tour, patatra ! Aucune réserve à Droite, tandis qu'à Gauche, on se bousculera au portillon, avec un Bayrou trop content de laminer Celui qui incarne la France qu'il déteste, bling-bling, des nouveaux riches ! Et les électeurs de le Pen ne se priveront sans doute pas de faire savoir à Sarkozy tout le bien qu'ils pensent de lui si prompt à faire des promesses mirobolantes avant les élections, et à les saccager une fois élu. Bref, chronique d'une catastrophe annoncée ! Heureusement pour Sarkozy 1er, il y aura les Médias aux mains de ses amis, et des néo-sionistes, pour venir à son secours, pour lui permettre de poursuivre sa politique au service du Medef, des Américains, des Israéliens et du Nouvel Ordre Mondial.

    Et il a du courage, et il a fière allure, ce Dominique de Villepin, c'est autre chose que notre roquet national, il a de la prestance, de la classe, de la culture, de la dignité, un verbe magnifique, une sacrée carrure - même en maillot de bain -, et puis c'est un homme de convictions qui aime la France, lui, qui l'a défendue à l'ONU dans sa différence, contre Bush et ses sordides guerres, et avec superbe s'il vous plaît, avec panache, au point même d'être applaudi, du jamais vu ! Il a une stature d'homme d'Etat, il n'est pas là pour faire carrière, mais pour défendre une vision, et une vision aux antipodes de celle de Sarkozy, puisque ce qui compte pour lui, c'est l'intérêt général, pas le particulier, très particulier ! Et cet homme-là incarne la vieille France, attachée à ses traditions, à ses valeurs, à ses idéaux, républicains, gaulliens, jalouse de son indépendance, et désireuse d'être à nouveau respectée dans le monde, de redevenir une référence !

    Quel est le programme de Dominique de Villepin ? On le trouve dans les voeux qu'il a adressés aux Français :

    " La nouvelle année doit être celle d’un nouveau départ, avec une volonté résolue d’aller de l’avant, de tirer les leçons du passé et d’engager un travail de réflexion et de proposition... L'action est plus que jamais nécessaire, et nous avons besoin d’énergie, d’esprit d’initiative...  Pour être efficace, cette action doit répondre à certains principes, de rassemblement, de justice, d’équilibre... Je voudrais insister sur l’importance d’un retour aux fondamentaux de la France. Assez des illusions de la rupture. Assez des divisions stériles. Le débat sur l’identité nationale a créé l’égarement et la confusion, car l’enjeu n’est pas qui nous sommes. Quels que soient nos origines, nos confessions, nos sensibilités – nous le savons fort bien – l’enjeu c’est d’être fidèles à ce que nous sommes, à ce que nous voulons être. Nous sommes français par le cœur, par la volonté de vivre ensemble, dans un pays d’exception que nous aimons et que nous voulons faire vivre.

    Alors, revenir aux fondamentaux français, c’est d’abord défendre nos points forts :
    • La République, toute la République, enracinée dans le quotidien de chacun, vivante sur l’ensemble du territoire, qu’il s’agisse de la liberté, de l’égalité ou de la fraternité.
    • Une protection sociale garantie pour toutes et tous, qu’il s’agisse de la santé, de la retraite ou encore de l’éducation.
    • Un modèle économique équilibré et diversifié, avec une agriculture forte, une politique industrielle revivifiée et un secteur des services ouvert aux nouvelles opportunités.
    • Des institutions respectées, un Président qui préside, un Gouvernement qui gouverne, un Parlement qui contrôle et fait la loi, une justice indépendante, des médias libres qui informent, autant d’évidences qu’il fait bon rappeler et qui nous appellent à la vigilance.

    Les trois batailles prioritaires à mener restent :

    • La bataille de l’emploi et en particulier celui des jeunes, des femmes, des seniors.
    • La bataille de la compétitivité et nous y serons aidés par les priorités rappelées par la Commission Juppé-Rocard en matière d’innovation.
    • La bataille contre le déficit et l’endettement

    .... Défendre les fondamentaux de la France, c’est permettre à la France de renouer avec sa vraie vocation européenne et mondiale.

    • Une France à la pointe des propositions en matière de gouvernance politique, économique, financière, écologique.
    • Une France au service de la justice et de la paix, en Afrique, au Proche Orient, où les Etats-Unis seuls ne peuvent forcer les conservatismes. En Afghanistan, où, nous le savons, la solution ne saurait être d’ordre militaire. En Iran, où chaque jour davantage s’affirme une volonté de changement.
    • Une France soucieuse de son indépendance, qui ne saurait se laisser enfermer dans des rapports de force ou d’intérêt et qui dispose d’une culture diverse et vivante qui constitue autant de ponts et de chances. (..) " (http://www.clubvillepin.fr/1685-dominique-de-villepin-voeux-pour-2010/)


      Rien de nouveau sous le soleil libéral...



      Joli programme ! Revenir aux fondamentaux de la France, bravo ! Mais si l'on y regarde de plus près, les choses ressemblent quand même beaucoup à ce que l'on nous sert en abondance: Une soupe bien libérale, présentée par ceux-là même qui sont au gouvernement et votent toutes les lois sarkoziennes, vous savez, les Mariton, les Tron, les Girardin, les Montchamp, les Goulard, les Grand, les Le Guen... Une soupe assaisonnée de CNE, de CPE, d'état d'urgence dans les banlieues, d'article 49.3 de la Constitution... bof, pas vraiment appétissant !  Parce que si la forme change, avec l'élégant de Villepin, le fond ressemble quand même beaucoup à ce que l'on déguste tous les jours ! Nouveau riche ou ancien riche, aristo de pacotille ou aristo distingué, clientèle d'affaires ou de diplomates, c'est quand même la France d'en-Haut ! Comment ces deux-là pourraient-ils comprendre les besoins et les aspirations de la France d'en-Bas ? Je sais, rien n'est pire que Sarkozy. De Villepin revendique l'héritage gaulliste, il a certainement retenu la leçon du CPE, et puis il va maintenant à la rencontre du peuple, et sans escorte s'il vous plaît, et il s'enhardit même à aller dans les banlieues, sans décréter un couvre-feu cette fois, et en prônant le retour de la police de proximité chère à la Gauche, et s'il ne remet nullement en question la compétitivité et le Nouvel Ordre Mondial, il dénie aux Etats-Unis le droit de régenter seuls les affaires du monde, et va jusqu'à dire qu'en Afghanistan la solution ne saurait être d'ordre militaire ! Hé oui, D. de Villepin est soucieux de l'indépendance de notre pays, il veut faire entendre partout "la voix de la France". Qui le lui reprochera, à part les fanatiques du CRIF ou du modèle américain ? Et puis, de son temps à Matignon, il faut quand même le rappeler, "600.000 emplois ont été créés". Un bilan qu'on aimerait bien retrouver, au moins ! 

      L'accent est gaullien, l'éloquence est belle, les promesses sont généreuses, la vision est large, ne boudons pas notre plaisir, même superficiel... En tous cas, une nouvelle page s'ouvre: Le duel Sarkozy-de Villepin vient de commencer, et nous allons, nous, compter les coups, bas, hauts, spectaculaires, feutrés, théâtraux, médiatiques... gageons que nos amis, et même nos ennemis, à l'Etranger, vont se régaler ! La comedia dell Arte français, colorée, vigoureuse, chatoyante, un régal, oui un pur régal ! Si on n'a rien dans notre assiette, on aura au moins le spectacle...

      Allez, la guerre des Droites ne fait que commencer, gageons que celles des Gauches, même avec un Georges Frèche pour les égayer, feront désormais pâle figure !!! En avant, les catcheurs, on arbitera bientôt vos combats ! Et Dieu sait quel joli lapin sortira du chapeau en 2012... Les paris sont ouverts !!!

      Eva R-sistons


      NB Eva :  Sarkozy fait tout pour détruire son rival, lui rendre la vie impossible, paralyser sa candidature, c'est abject. Derrière sa hargne, sa haine, il y a les anti-gaullistes (américains, israéliens...) qui veillent au grain, qui défendent leur poulain pour empêcher la France de faire entendre une voix indépendante. C'est très grave ! Rien que pour cela, je "soutiens" de Villepin quand sa posture est gaullienne, quand il défend l'indépendance nationale. Par ailleurs,  les Médias sont aussi abjects (FR2, C dans l'Air, etc et les soi-disant sondeurs comme CAYROL), tous en train de démontrer que la candidature de de Villepin serait un non-événement, qu'il n'a pas de projet (il en a un, voir plus haut), qu' il n'a pas le soutien des Français: Décridibilisé d'avance ! On imagine ce qui serait fait pendant une campagne électorale !!!! La curée odieuse...  A vomir, le Président, ses médias, et ses soutiens ! Eva r-sistons à l'intolérable 

    http://r-sistons.over-blog.com/article-sarkozy-de-villepin-2-rivaux-une-meme-politique-la-guerre-des-droites-43786843.html


    villepin
    http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=10475




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  • wikipedia.org



    Le Kamasutra du lobbying. Regard sur dix techniques d’influence modernes




    Le lobbying est un métier. Et comme tous les métiers, il a son propre jargon décrivant  ses techniques, sa manière d’être. En voici quelques exemples souvent liées à des techniques de communication comme la perception management. On peut en retrouver certaines dans le guide LobbyPlanet Bruxelles.

     

    1. Le cheval de Troie. Inspirée de la légende du combat entre les grecs et les troyens, la technique du cheval de Troie consiste en une certaine forme d’entrisme. Elle est valable en particulier sur Internet. Cette technique d’influence vise à informer des internautes. Ce faisant, elle peut les amener à se positionner sur la thématique mise en avant par l’influenceur. Cela peut également prendre la forme d’une structure mise en place chez la « cible » afin d’être informé sur les législations de l’adversaire. Ainsi, l’AmCham EU, la chambre de commerce américaine à Bruxelles, est soupçonnée d’agit tel un cheval de Troie au sein de l’Union européenne afin de défendre les intérêts américains, de l’Etat ou de ses entreprises.


    2.
    L’hélicoptère de combat. Technique radicale dont le moyen est la menace d’une délocalisation économique, directement ou indirectement, si la législation en place, ou en projet, n’est pas remise en cause. Ces dernières années en France, les menaces de délocalisation ont été légion. Et ce alors que notre pays est l’un de ceux qui profitent le plus des investissements étrangers. C’est ce qui se passe en France actuellement à propos de la contribution carbone à propos des industriels.


    3.
    Gunship. Version anglaise de l’hélicopère de combat.


    4.
    Good cop – Bad cop. A la manière des séries policières américaines, un groupe d’intérêt défend mordicus une position extrême inacceptable. Alors que sa position est jugée trop obtue, un autre groupe d’intérêt connexe prend une position plus acceptable qui, par contraste, apparaît comme plus modérée. La question est : qui fait Starsky, qui fait Hutch ?


    5.
    Le « Kofi Annan ». Du nom de l’ancien secrétaire général de l’ONU, cette technique, qui peut prendre la forme du Cheval de Troie, vise à proposer un accord entre deux parties qui ne satisfait personne complètement mais permet de trouver une issue à la crise. Elle suppose un rapport de forces égal.

    Vidéo sur le site

    par



    6.
    Le tiers.
    Lors d’un désaccord profond, une organisation tierce vient à la rescousse de la négociation pour permettre un consensus dans cette partie à trois. Ces organisations extérieures peuvent être des faux-nez de groupes d’intérêts. Cela peut être également des groupements de groupes d’intérêts, comme le Conseil européen de l’industrie chimique (CEFIC), dont le travail a été très efficace pour entraver la directive REACH sur les produits chimiques au sein de l’Union.


    7.
    Les faux-nez ou le « Canada dry » ou groupes paravents. Cela ressemble à une organisation indépendante, cela prend des positions comme les organisations indépendantes, cela réfléchit comme une organisation indépendante. Mais ce n’est pas une organisation indépendante.


    8.
    Le dentiste. Cette technique d’arracheur de dents permet de résoudre d’abord le problème le plus urgent avant éventuellement de recourir à des frappes plus chirurgicales. En communication d’influence, cela peut consister à mettre en avant une disposition jugée négativement par l’opinion publique afin qu’un projet de loi n’aboutisse pas. Ainsi, lors de la négociation sur la prévention de l’alcool en France, il avait été question d’interdire la dégustation d’alcool. Cela aurait concerné les salons des vins qui ont fleuri en France depuis quelques années. Devant la mobilisation de ce secteur économique, l’appréhension de la mesure par l’opinion ainsi que la difficulté à contrôler l’éventuelle application du principe, la disposition a été amendée par le ministère de la santé lui-même. A consommer avec modération.


    9.
    Le baudet. Reprenant les avantages de la stratégie de la carotte et du bâton, le baudet met en avant les avantages pour un parlementaire d’aller dans le sens de l’influenceur. Dans son autre main, il tient un bâton, symbole des risques à ne pas être convaincu. Lors du vote négatif du Sénat sur la question des exonérations fiscales pour les organismes scolaires, dont Acadomia, lire ici, on peut penser, compte tenu des arguments retenus par les sénateurs, en substance « si on supprime l’exonération pour les entreprises de soutien scolaire, on doit le supprimer pour toutes les entreprises de services à domicile. Donc comment choisir ? Donc c’est compliqué ? Donc on ne fait rien ».


    10.
    Les Think-tank. Ces groupes de réflexion ont fait florès aux Etats-Unis où ils regroupent des penseurs de tous horizons. Leurs rapports, leurs idées font l’objet d’une large communication et permettent d’initier des débats. Comme le dit un proverbe hébreu, « la réponse est dans la question ». Cette technique permet de gérer, en partie, l’agenda médiatique.

     Ne fais jamais rien contre ta conscience, même si l\'Etat te le demande

     

    Albert Einstein

    Le mental intuitif es un don sacré et le mental rationnel est un serviteur fidèle. Nous avons créé une société qui honore le serviteur et a oublié le don.


    Source : http://www.lobbycratie.fr/2010/01/22/le-kamasutra-...

    http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=10461bkf674

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  • Mercredi 27 janvier 2010 3 27 /01 /2010 06:52
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    Dans la série "Les Roberts de France", voici Isabelle qui surclasse de loin notre premier postulant. Il faut dire qu'Isabelle est Journaliste au Figaro, journal de ( d'extrême?) droite détenu par le vendeur de mort Dassault.

    Voici que tous ceux qui cherchent, réfléchissent et se font une idée différente du monde que le manichéisme enfantin et débilitant servi par les médias aux mains des industriels et autres multinationales sont devenus, je cite, "Plus solides qu'al-Qaida et plus immuables que Ben Laden".

    Pire, nous sommes les fruits d'"une croyance collective qui atteint tous les continents et résiste, comme les mauvaises herbes, à tous les traitements".

    C'est très grave, car nous rejoignons là les discours nauséabonds des années sombres où il fallait liquider des mauvaises herbes parce que différentes par leurs origines. Une époque où l'élimination des mauvaises herbes, empêchant le développement "normal" de la société allemande, n'avait qu'un aboutissement logique, normal et unique : La Solution Finale.

    Nous en sommes là.

    Nous pouvons désormais clairement saisir la manipulation orchestrée depuis septembre 2001.
    Al Qaïda n'existant pas, tout ceci est une politique fasciste visant à l'élimination complète de toute résistance au Nouvel Ordre Mondial, "Ordre" qui n'a pour but que l'exploitation de tout et de tous dans l'intérêt des multinationales.

    Aujourd'hui, des mots de collabos, demain, des actes de génocide.

    Bienvenus dans le quatrième Reich.

    Pour voir le trochon d'Isabelle, c'est
    ICI.


    http://changementclimatique.over-blog.com/article-l-inquietante-derive-des-medias-43722099.html


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    Depuis les attentats du 11 septembre 2001,
    les théoriciens du complot ont retrouvé du grain à moudre.



    Neuf ans après les attentats contre le World Trade Center, la traque de Ben Laden est à nouveau considérée comme une priorité par les responsables américains, qui cherchent une porte de sortie à la guerre en Afghanistan. La tentative d'attentat contre le vol Amsterdam-Detroit par un jeune Nigérian, le 25 décembre, a replacé al-Qaida au centre de l'actualité. Mais, depuis le 11 septembre 2001, une chose n'a guère changé : la persistance des thèses révisionnistes qui contredisent la version officielle des événements. Plus solides qu'al-Qaida et plus immuables que Ben Laden, elles se sont transformées en une croyance collective qui atteint tous les continents et résiste, comme les mauvaises herbes, à tous les traitements.

    «Le Pentagate»

    Pour les tenants des thèses conspirationnistes, la CIA, les Juifs et les compagnies pétrolières seraient à l'origine des attentats. Au mieux, l'Administration américaine aurait été au courant des attaques mais aurait laissé faire, pour justifier son projet de s'emparer du Moyen-Orient. Les idées qui veulent que les Twin Towers se seraient effondrées sous l'effet d'explosifs, qu'un missile américain et non un avion aurait frappé le Pentagone et qu'aucun appareil ne se serait jamais écrasé en Pennsylvanie se portent toujours très bien. Après avoir vendu 200 000 exemplaires de son livre, L'Effroyable Imposture, traduit en vingt-huit langues, le chef de file des révisionnistes français sur le 11 Septembre, Thierry Meyssan, directeur du réseau Voltaire, a écrit une suite, LePentagate. Sur le Net, les associations se multiplient comme des petits pains. Le Mouvement (américain) pour la vérité sur le 11 septembre 2001 fédère aujourd'hui une centaine de sites différents, vend des tee-shirts, édite des DVD, organise des conférences dans le monde entier.

    Depuis neuf ans, les zones d'influence des thèses négationnistes sont plus ou moins les mêmes : le monde musulman en général, la Russie, d'anciens pays communistes, l'Amérique latine et quelques pays isolés comme la France et l'Allemagne. «La carte des théories révisionnistes épouse parfaitement celle de l'antiaméricanisme dans le monde», explique Claude Moniquet, le président du Centre européen pour l'intelligence stratégique et la sécurité (ESISC), basé à Bruxelles. Ainsi, elles n'ont pas marché en Ukraine et en Géorgie, dont les cœurs sont tournés vers Washington plutôt que vers Moscou. Les présidents iranien, Mahmoud Ahmadinejad, et vénézuélien, Hugo Chavez, les ont en revanche soutenues dans des discours officiels.

    Aidées par l'effet amplificateur d'Internet, les thèses révisionnistes sont constamment alimentées par les sympathisants. «Leur popularité est quotidiennement nourrie par de nouveaux arguments», explique le sociologue Gérald Bronner, qui a consacré deux ouvrages à la question (*). Mais si ces théories marchent si bien, c'est aussi parce qu'elles sont très difficiles à démonter. «Les arguments paraissent toujours convaincants. Il faut être à la fois ingénieur, physicien, pilote… pour pouvoir les anéantir. Fondés sur un effet de dévoilement satisfaisant pour l'esprit, les mythes conspirationnistes répondent en outre à notre soif de comprendre le monde.»

    Les théories du complot ont toujours existé. Parmi les mythes conspirationnistes les plus connus, on peut citer l'assassinat de John F. Kennedy, en 1963, qui aurait été fomenté par Cuba, par l'URSS ou par la CIA. Et les Protocoles des sages de Sion, faux document censé représenter un plan de conquête du monde par les Juifs, fabriqué par la police secrète du tsar russe Nicolas II. Plus récemment, les théories conspirationnistes se sont emparées du sida, qui aurait été créé par la CIA, et de la mort de Lady Di, qui aurait été assassinée par les services secrets britanniques. «Les thèses conspirationnistes correspondent à des cycles conjoncturels… Aux XIX, XX et XXIe siècles, nous assistons à une véritable culture de l'opposition et du complot», écrit la chercheuse Nathalie Bastin dans une étude réalisée pour l'ESISC.

    Une suspicion généralisée

    Mais elles évoluent aussi avec les époques. Longtemps limités à une région ou à un pays, les mythes sont désormais devenus mondiaux et transcendent les frontières. «Auparavant concentrés sur les minorités (Juifs, gitans, francs-maçons), ils se polarisent aujourd'hui sur un nouvel acteur, les États-Unis, qui représentent la force centrale, l'expression du pouvoir occidental», explique Gérald Bronner. Pour le sociologue, l'époque contemporaine est particulièrement favorable à leur développement. «Il y a, dans nos sociétés occidentales, un désaveu de la parole officielle et une suspicion généralisée de l'expertise et de l'innovation scientifique.» Deux particularités auxquelles il faut, selon lui, ajouter le développement des idées «anticapitalistes» et la «libération du marché cognitif» avec l'explosion des radios, des télévisions et la généralisation d'Internet. «Il est de plus en plus difficile de cacher les choses et les complots. Mais paradoxalement, comme tout finit par se savoir, y compris les mensonges, le sentiment que l'on nous ment se développe.»

    Le sociologue voit aujourd'hui un autre grand mythe prendre le pas sur ceux qui entourent le 11 Septembre : le «précautionnisme», c'est-à-dire le principe de précaution poussé à l'extrême.

    (*) «Vie et mort des croyances collectives», chez Hermann, et «La Pensée extrême», chez Denoël.



    http://www.lefigaro.fr/international/2010/01/25/01003-20100125ARTFIG00710-l-amerique-cible-de-choix-du-revisionnisme-.php

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  • Révélation sur la pseudo agression de Hassan Chalghoumi ( Imam de Drancy )
    Révélation sur la pseudo agression de
    Hassan Chalghoumi ( Imam de Drancy )


    Comment les Médias (sionistes) contribuent à salir
    la Communauté musulmane dans le cadre
    du futur choc de civilisations (eva R-sistons)



    Nous avions refusé de réagir à la "pseudo" agression du "pseudo" imam de la mosquée Drancy afin de ne pas jouer le jeu de ces provocateurs de désordre qui entourent Hassan Chalghoumi. La réalité nous a malheureusement depassé; Des témoins de l'incident ( et des responsables de la mosquée ) ont décidé de réagir à la désinformation massive des Médias en publiant un communiqué témoignage pour exposer les véritables faits.
     
     On y apprend notamment qu'un fidèle voulait interpeller Hassan Chalghoumi mais que ce dernier n'était pas présent, le fidèle s'est adressé à des responsables de la mosquée et c'est ce qui a rapidement provoqué un rassemblement de fidèles. Ce rassemblement n'était autre qu'un "déplacement de curieux" et non "un groupuscule d'islamistes."
     
     Voici un des communiqués :
       
     Quand le mensonge et la manipulation
     
     se banalisent … dans les médias
     
     Ou l’histoire d’un commando islamiste monté de toutes pièces
      
     
     « Quelque 80 personnes ont fait irruption lundi soir dans la mosquée de Drancy, en Seine-Saint-Denis, pour proférer des menaces à l'encontre de son imam, Hassen Chalghoumi … »
     
     «Un commando de quatre-vingts personnes, le visage non masqué, a fait irruption dans la mosquée où se trouvaient quelque 200 fidèles».
       
     Voila ce que l’on pouvait lire dans les principaux médias (le Figaro, le Parisien, le Monde, …). Encore une fois, les médias ont fait preuve d’incompétence, d’irresponsabilité et bafouant les règles les plus élémentaires du journalisme.
     
     Nous avons alors décidé de mener notre enquête en allant à la rencontre des fidèles qui étaient présents ce soir là, chose que les journalistes auraient dû faire !
     
     Tous les témoignages, même ceux des responsables de la mosquée et de l’imam qui y office, nous ont affirmé que cela est un pur mensonge, qu’aucun commando n’a fait irruption, qu’aucune menace de mort n’a été proférée, qu’aucun anathème n’a été lancé.
     
     Bref, une histoire montée de toute pièce !!!
     
     Quel est donc ce fameux conseiller de la conférence des imams qui rapporte ces faits et qui est cité par tous les journaux ? Était-il présent lors des faits?
     
     Un jeu dangereux se met en place qui met en péril notre société dans ses fondements les plus élémentaires :
     
     Pourquoi essaie t on de salir une partie des citoyens de confessions musulmane ?
     
     Pourquoi certains souhaitent le confrontation ?
     
     Un facebook en soutien à Mr Chelghoumi, animé par un certain Bernard Koch nous dit même que Mr Chelghoumi a « fait l'objet d'une véritable "fatwa", un appel au meurtre, de la part d'Imams irresponsables et hostiles aux juifs et à la paix entre Israéliens et Palestiniens. »
     
     Nous voilà repartit dans la surenchère démesurée de personnes irresponsables et menaçant la paix dans notre ville et société.
     
     Une fatwa, des imams et en plus hostiles à la paix, tous les ingrédients sont là pour monter la plus belle des histoires, mais une histoire qui n’a jamais existée, si ce n’est dans la tête de ceux qui l’ont écrite.
     
     Combien de temps pouvons-nous encore tolérer que de tels mensonges soient relayés par les médias ? Que des personnes puissent mener de telles manipulations sans être inquiétées ?
     
     Le Collectif pour la Vérité et la Justice
     
     CollectifdeDrancy@hotmail.fr
     
    http://www.islamenfrance.fr 

    http://www.alterinfo.net/Revelation-sur-la-pseudo-agression-de-Hassan-Chalghoumi-Imam-de-Drancy_a41912.html
      
      
     Nb : TF1 doute de l'agression :
    http://lci.tf1.fr/france/societe/2010-01/voile-integral-l-imam-anti-burqa-s-est-il-vraiment-fait-agresser-5657426.html



    Posté par 2012 ??? le 27/01/2010 20:19
    Drancy : Agression de l'Imam ou coup de pub ?
    Chalghoumi n'était pas présent ce soir là, donc il n'a pas été agressé directement. En effet, c'est le second imam de Drancy, Yassine Aouidet, qui dirigeait la prière ce soir-là, et qui ne comprend pas cette polémique : "C'est une invention complète. Personne ne m'a arraché le micro des mains. Après la prière, j'ai simplement invité différents responsables religieux, une dizaine, tout au plus, à donner leur point de vue sur l'interdiction de la burqa. En aucun cas, il n'y a eu menace physique ou verbale contre quiconque".

    http://rimbusblog.blogspot.com/2010/01/drancy-agression-de-limam-ou-coup-de.html  


    http://www.alterinfo.net/Revelation-sur-la-pseudo-agression-de-Hassan-Chalghoumi-Imam-de-Drancy_a41912.html

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  • Ces politiques qui s'en prennent aux médias

    NOUVELOBS.COM | 27.01.2010 | 14:43

    Peillon vs France Télévisions, Bayrou vs TF1, Lefebvre vs AFP... Les politiques sont-ils obsédés par les médias ? Ou ont-ils trouvé le meilleur prétexte pour occuper le terrain médiatique précisément ?



    François Bayrou, Vincent Peillon et Frédéric Lefebvre (AFP)

    François Bayrou, Vincent Peillon et Frédéric Lefebvre (AFP)

    Lundi 25 janvier, Nicolas Sarkozy attaquait Laurence Ferrari sur son salaire. Dimanche, François Bayrou estimait que "la manière dont les médias sont construits en France pose la question de leur indépendance". Samedi, Vincent Peillon, après avoir boycotté "A vous de juger ", dénonçait dans Le Monde la "servilité" de "certains dirigeants" de France Télévisions. Mais qu'ont tous ces politiques à crier haro sur les médias ? Le phénomène ne date pas d'hier, mais il s'est amplifié ces derniers mois.
    D'un côté, une opposition qui dénonce des médias inféodés au pouvoir, François Bayrou en tête. Avant sa dernière sortie sur Europe 1, le leader du MoDem avait multiplié les accusations contre TF1 durant la campagne présidentielle, notamment sur le plateau du 20h de Tf1, face à sa tête de Turc Claire Chazal. et de dénoncer les accointances entre propriétaires de médias et politiques et d'accuser la presse de fabriquer l’élection présidentielle.

    "Gesticulation"


    L'UMP aussi reprend l'argument, mais à sa sauce : en pointant du doigt des journalistes forcément gauchistes et anti-sarkozystes primaires. Spécialiste de la discipline : Frédéric Lefebvre. L'AFP ? Elle fait de l'"obstruction volontaire" de ces communiqués. Libération ? Un quotidien "qui ressemble de plus en plus à un tract", et qui "après avoir perdu ses lecteurs, perd sa crédibilité". Le débat sur l'identité nationale relayé par la presse? "Une caricature", qui "ne retient que les dérapages".
    Les politiques seraient-ils obsédés par les médias ? Ou ont-ils trouvé le meilleur prétexte pour occuper le terrain médiatique précisément ? François Malye, journaliste au Point, président du Forum des SDJ, dénonce des attaques "opportunistes" : "Jamais on n'avait vu auparavant Vincent Peillon évoquer les problèmes de la presse. François Bayrou, lui, le fait régulièrement, c'est plutôt à mettre à son crédit. Peillon voulait surtout que tout le monde parle de lui, et c'est réussi." Le sociologue des médias Jean-Marie Charon pointe lui aussi une "dimension importante de gesticulation". Le meilleur moyen d'intéresser les journalistes n'est-il pas après tout de leur parler d'eux ?
    L'approche des élections régionales n'y est sans doute pas étrangère. "En période de campagne, il s'agit de remobiliser son camp", souligne Christian Delporte, historien des médias. "François Bayrou a employé la stratégie à plein contre TF1 pendant la campagne présidentielle."

    Lefebvre, "pitbull"


    Et plus les politiques aiment fréquenter les médias, moins ils les ménagent. "Certains politiques ont donné une telle place à la communication dans leur stratégie politique qu'à partir du moment où ils sont confrontés à des situations qui ne leur conviennent pas, ils se retournent contre les médias dans un rapport de force", affirme Jean-Marie Charon. Ainsi, en septembre dernier, Nicolas Sarkozy passait un savon en public à Arlette Chabot en se plaignant de l'absence de "vraies émissions politiques" sur le service public.
    Prendre à parti les médias, cela permet aussi de reprendre la main dans les situations un peu délicates. "C'est le dernier recours quand les politiques sont dans leurs derniers retranchements", juge François Malye. "Frédéric Lefebvre fait ça très bien, en mode pitbull."
    Exemple en octobre, après l'affaire Jean Sarkozy. C'est l'UMP toute entière qui se livre à une violente attaque contre les médias. Frédéric Lefebvre s'en prend une fois encore" à ce
    monde politico-médiatique qui cherche par tout moyen à détruire le président de la République". Il est aussitôt suivi par Xavier Darcos, qui recommande aux militants UMP de ne pas se laisser "abuser par la campagne des petites phrases, des petites rumeurs et des mauvaises idées" et par cet "effort de déstabilisation de notre camp organisé par les médias en particulier". Et par Xavier Bertrand, qui dénonce "un déversement politico-médiatique" sur les récentes "polémiques". On en oublierait presque le sujet premier de la polémique...

    Une mauvaise image dans l'opinion


    Les attaques visant médias et journalistes sont d'autant plus faciles que leur image n'est pas au mieux dans l'opinion. "Les mauvais sondages sur les médias encouragent ce type de comportement", explique Christian Delporte. Selon le dernier baromètre de confiance dans les médias paru la semaine dernière dans La Croix, deux tiers des Français considèrent que les journalistes ne sont pas indépendants face aux pressions du pouvoir et 60% qu'ils ne sont pas indépendants aux pressions de l'argent. Et selon les médias, entre 35% (pour internet) et 60% (pour la radio) estiment que "les choses se sont passées vraiment ou à peu près" comme elles sont racontées.

    Populisme


    Au petit jeu du "qui tapera le plus sur les médias", les politiques gagnent-ils à tous les coups ? Pas sûr, car le risque est tout de même de tomber dans l'excès. "Le systématisme et la caricature deviennent rapidement inopérants, comme le montre Frédéric Lefebvre et ses mises en cause de l'AFP", prévient Jean-Marie Charon. Voire de tomber dans le populisme. "Décrédibiliser médias et journalistes, qui jouent un rôle-clé dans l'animation du débat public, cela peut être dangereux", poursuit le sociologue.
    Au point d'occulter les vraies difficultés auxquelles se heurte la profession. "Les gens qui arrivent avec des vieilles formules et qui réclame des têtes n'aident pas à sensibiliser l'opinion aux vrais problèmes des médias", regrette Jean-Marie Charon. "Les questions de financement des médias, de l'audiovisuel public, des relations entre propriétaires et rédactions, sont des sujets délicats qui renvoient aux questions de démocratie."
    François Malye abonde dans le même sens. "Le vrai problème dans les médias, c'est l'autocensure car les journaux appartiennent à de grands groupes économiques, et une certaine façon de travailler avec les politiques. Mais sur ces sujets, on entend rarement ces derniers."

    (Anne-Sophie Hojlo - Nouvelobs.com)


    http://tempsreel.nouvelobs.com/speciales/medias__pouvoirs/20100127.OBS4953/ces_politiques_qui_sen_prennent_aux_medias.html



     

    Bayrou émet à son tour des doutes sur l'indépendance des médias

    NOUVELOBS.COM | 25.01.2010 | 12:27
     

    Le leader du MoDem estime que "la manière dont les médias sont construits en France pose la question de leur indépendance".

    François bayrou (AFP)

    François bayrou (AFP)



    A
    lors que
    Nicolas Sarkozy doit intervenir ce lundi 25 janvier au soir face à 10 Français sélectionnés par TF1, François Bayrou à émis ce week-end des doutes sur l'indépendance des médias, après les accusations de "servilité" des dirigeants de France Télévisions par Vincent Peillon. Lors du "Grand rendez-vous Europe 1/Le Parisien/Aujourd'hui en France" dimanche, le ton est monté sérieusement entre le dirigeant du MoDem et Jean-Pierre Elkabbach.

    "Vous polluez l'émission"


    Le journaliste a ironisé sur la baisse du parti dans les sondages et a lancé à François Bayrou : "comme vous êtes un cinéphile, ça me fait penser à un vieux film magnifique avec Alec Guiness 'Noblesse oblige': le bateau coule et le capitaine salue et coule dans la dignité". Ce à quoi l'homme politique a répliqué : "M. Elkabbach, vos propos, je regrette de vous le dire, ne sont pas respectueux. Nous avons autant d'intentions de vote qu'Europe 1 a de parts de marché. De quoi vous nous parlez ?"
    "Europe 1 est en train de monter, le MoDem est en train de descendre", a répondu à son tour Jean-Pierre Elkabbach. "Quelle autorité a fait que M. Elkabbach peut se permettre de dire des choses comme ça ? Vous vous rendez compte que vous polluez l'émission quand même", a également lancé François Bayrou.


    Autocensure de la presse


    Interrogé sur la polémique Peillon/France Télévisions, le leader du MoDem n'a pas accablé l'eurodéputé socialiste, parlant "d'autocensure" dans la presse et soulignant : "Les Français soupçonnent, et selon moi à juste titre, que la manière dont les médias sont construits en France pose la question de leur indépendance". Les Français "peuvent se tromper", "nous, nous vivons chaque jour l'indépendance", a affirmé Jean-Pierre Elkabbach, provoquant un éclat de rire chez François Bayrou.
    Vincent Peillon, qui a récemment
    boycotté le rendez-vous politique "A vous de juger sur France 2", a de nouveau attaqué France Télévisions, évoquant samedi dans Le Monde la "servilité" de "certains dirigeants" de la télévision publique. Le socialiste a également prôné une réforme du Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA). La direction de France Télévisions s'est aussitôt "indignée" de ces "propos injurieux et mensongers". Dans Le Journal du Dimanche, le directeur général, Patrice Duhamel, a affirmé que ces "attaques sans précédent" de Vincent Peillon lui faisaient "penser à Jean-Marie Le Pen au début des années 1980".

    http://tempsreel.nouvelobs.com/speciales/medias__pouvoirs/20100125.OBS4688/bayrou_emet_a_son_tour_des_doutes_sur_lindependance_des.html

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